Utilisation d’un rayonnement ionisant à but thérapeutiques anti-tumoral








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UE.2.9.S5

04.10.11

La radiothérapie

EN THEORIE

  1. Sa définition

Utilisation d’un rayonnement ionisant à but thérapeutiques anti-tumoral. Appliquer une dose efficace dans une région anatomique bien définie pour en détruire les cellules tumorales.

  1. Son histoire : qqs dates



  • 1895 : découverte des rayons X par Röentgen

  • 1896 : premier ttt de tumeurs. Découverte fortuite de l’effet biologique : les clichés radiologiques se multiplient et la peau des opérateurs devient rouge et s’ulcère. L’idée vient alors d’utiliser les rayons X pour soigner les maladies de peau.

Juillet 1896 : les rayons X sont pour la 1ère fois employés pour soigner un cancer. C’est le début de la radiothérapie

  • 1900-1930 : Développement des traitements par rayons X et du potentiel ionisant du radium dans le traitement du cancer

  • 1936 : Monument à la mémoire des « martyrs des rayons X ». 350 noms de médecins et scientifiques morts de la manipulation incontrôlée de la radioactivité.

On ignorait alors l’effet nocif de ces irradiations.

Les praticiens qui s’exposèrent longuement et à des doses cent fois supérieures à celle utilisées aujourd’hui payèrent de leur vie ces nouvelles expériences.

  • 1950-1960 : radiothérapie moderne : rayonnements de haute énergie grâce à la radioactivité du C060

  • 1960 : dvpt de la curiethérapie

  • A partir de 1970 : Montée en puissance grâce à une révolution technologique dans tous les domaines.

  • imagerie : scanner (montre enfin précisément les zones tumorales cibles), IRM, TEPscan

  • développement de la radio-physique (maîtrise des doses et de leurs effets : quelle dose et à quel endroit)

  • accélérateurs linéaires : RX encore plus puissants et efficaces

  • années 1990 : radiothérapie de conformation

  • Boom informatique

  • Logiciels de calculs puissants et rapides

  • Permet de relier les images scanner – la radio-physique (dosimétrie) pour une prise en charge 3D, virtuelle des traitements.

  • Maîtrise des doses

  • Traitements plus efficaces et moins toxiques



  1. Sa place actuelle : qqs chiffres



  1. Généralités



  • 350 000 cancers diagnostiqués en 2010

  • Homme : prostate (70 000), poumon (27 000), colon-rectum (21 000)

  • Femme : sein (53 000), colo-rectum (19 000), poumon (10 000)

  • 60 % des malades porteurs d’un cancer seront traités en RT.

  • 165 000 p / en France sont traités par radiothérapie.

  • 2/3 seront traités à visée curative et 1/3 à visée palliative



  1. Démographie : environ 180 centres de radiothérapie

Services

  • CLCC, CHU, CHR/CHG, Cliniques privées

  • 400 appareils de traitement

Personnel

  • 600 Radiothérapeutes, 200 Physiciens, 1000 manipulateurs, 300 appareils de traitement.



  1. Comment ca marche



  1. Effet biologique : action anti-cancéreuse cellulaire



  • Rayonnements ionisants : photons X de haute énergie :

  • Exposer les cellules cancéreuses à l’ionisation

  • But : créer des lésions d’ADN létales

Ces rayonnements ont la capacité de traverser aisément les tissus humains et de déposer leur énergie en profondeur.

  • L’effet biologique sur les tissus résulte de l’action de ces rayonnements ionisants : il y a création d’ions et libérations d’électrons :

  • Interaction photons-matière





Visualisation des doubles cassures

  • Immunofluorescence

  • La molécule H2AX intervient sur les sites de double cassure

  • Elle disparaît quand la cassure est réparée



  • « Bombarder » en surface la matière revient à bombarder en profondeur les tissus avec un fux d’électrons secondaires vecteurs de l’effet biologique :

Action de ces électrons « secondaires »

  • Production de radicaux libres OH-

  • Action directe : => lésion de l’ADN

  • Mort différée

  • Après irradiation,

  • Les cellules finissent par mourir

  • mais après un nombre variable de divisions (jusqu’à 20)

  • Réparation : survie ou mort

Expression de la dose en radiothérapie

  • Quantité d’énergie absorbée par le tissu

  • Quantité de lésions crées

  • Nombres de cellules tuées

  • Effet des radiations

Un Gray (1 Gy) = 1 Joule/kilo de matière

1 Gy = 100 cGy = 100 rads

Effet biologique :

  • Les cellules saines à proximité seront aussi « blessées » par le rayonnement : effets secondaires

  • Leur capacité de réparation sont supérieures à celle des cellules cancéreuses : effets différentiel

Cette constatation est à l’origine du fractionnement et de l’étalement du ttt dans le temps.

  1. Production du rayonnement : techniques et technologies



  • Radiothérapie externe

  • les accélérateurs linéaires

  • Curiethérapie

  • Isotopes radio-actifs

Les photons X de haute énergie sont produits artificiellement par le bombardement d’un métal lourd par un faisceau d’électrons.

La curiethérapie

  • Principe : Irradier une tumeur en plaçant la source radioactive dans ou au contact de la tumeur.

  • But : Irradiation moindre des tissus sains

  • Sources radio-actives (Iridium192 ou Césium 137)

  • Haut ou bas débit de dose

  • Endo-luminale, endo-cavitaire ou interstitielle



  • La curiethérapie interstitielle :

  • Source radioactive placée au sein des tissus néoplasiques

  • Faible débit de dose

  • Irradiation en continu sur plusieurs heures

  • Source: fils d’Iridium 192, grains d’Iode 125

  • La curithérapie endo-cavitaire

  • Source placée dans des cavités naturelles

  • Laissées en place quelques minutes à quelques heures en fonction de la dose à délivrer.

  • Source: Césium 137 ou Iridium

En résumé :

  • La curiethérapie est utilisée plus rarement que la radiothérapie externe.

  • Elle est destinée aux tumeurs de petites tailles accessibles

  • Soit en complément après RT externe (sein, canal anal, gynéco)

  • Soit isolée (exclusive) : ORL, prostate



  1. Ses indications



  1. But curatif : contrôle local





  1. But palliatif : qualité de vie



  • Soulager rapidement le patient des symptômes de sa maladie cancéreuse.



En résumé :

  • Connaître la séquence thérapeutique globale

  • Elle est propre à chaque patient

  • L’objectif de chaque traitement anti-cancéreux

  • RT curative :

  • Son but est de prévenir les récidives

  • Souvent associé à la chirurgie

  • RT palliative :

  • Son but est de soulager d’un symptôme lié à la tumeur

EN PRATIQUE

  1. Stratégie thérapeutique

Pluridisciplinarité

  • Le traitement des cancers nécessite un abord pluridisciplinaire, avec la participation:

  • de spécialistes d’organe

  • d’anatomopathologistes,

  • de chirurgiens,

  • d’oncologues médicaux,

  • des oncologues radiothérapeutes,

  • de radiologues.



  1. Préparation du ttt



  1. Dispositif d’annonce

Objectifs :

  • Assurer pour chaque patient accueilli au service de radiothérapie une information claire et efficiente sur sa maladie et le traitement proposé dans tous ses aspects.

  • 2 consultations : médicale et manipulateur

  • Depuis 2006 : CS d’annonce manipulateur qui permet aux manipulateurs du service d’être partie prenante dans ce dispositif.

Consultation d’annonce médicale

  • Informations médicales cancérologiques centrées sur la maladie, l’indication de radiothérapie et les soins de supports.

  • Durée 40 minutes

  • On prend le temps d’expliquer simplement mais clairement les objectifs, le déroulement et les effets du traitement.

  • Avant tout, rassuré car grande anxiété face « aux rayons qui brûlent... »

  • CS si possible avec un membre de la famille ou ami : rassure le patient, fait l’intermédiaire

  • Fin de CS :

  • Remise du carnet d’information.

  • 2 RV sont donnés : CS manipulateur et scanner dosimétrique

Consultation d’annonce manipulateur

  • Reformulation,

  • compléments d’informations sur l’organisation du traitement,

  • les conseils pour la vie quotidienne,

  • les transports,

  • les effets secondaires,

  • l’accessibilité aux soins de supports. 



  1. Le scanner – simulation ou scanner dosimétrique



  • Anciennement : Centrage ou simulation ou repérage ou « marquage »

  • Durée : 30 à 60 minutes

  • Ce temps de préparation sert à :

  • déterminer la position du patient

  • Utiliser les moyens de contention appropriées

  • Recueillir les données anatomi



  1. Simulation virtuelle 3D



  • Délinéation des volumes cibles à traiter et des organes sains à protéger.

  • Déterminer la balistique : nombre et orientation des faisceaux d’irradiation

  • Déterminer le volume cible à irradier :



Dosimétrie :

  • Déterminer la balistique : nombre et orientation des faisceaux d’irradiation.

  • S’assurer de la bonne distribution de la dose aux volumes cibles

  • Vérifier la toxicité prévisionnelle induite aux organes sains voisins

Conformation des faisceaux d’irradiation



En résumé :

  • Au scanner : « en direct »

  • Recueil précis des données anatomiques en position de traitement

  • Détermination rigoureuse de la position du patient et des contentions pour son immobilisation.

  • Simulation virtuelle :

  • Délinéation des structures à irradier et à protéger

  • Mise en place des faisceaux d’irradiation

  • Dosimétrie : « en différé »

  • Valider la balistique

  • distribution de la dose et contrôle de la toxicité aux organes sains :

  • isodoses de référence

  • histogrammes dose – volume

  • Image de référence pour chaque faisceau



  1. Démarrage du ttt et contrôles techniques





La 1ère séance et les autres

  • Chaque séance dure de 10 à 15 minutes

  • Elles comportent donc plusieurs phases

  • Installation

  • Mise en place de chaque faisceau successivement (de 1 à 6)

  • Vérification à la peau (projection lumineuse)

  • Imagerie de contrôle en temps réel

  • « Tir »

  • La phase effective de traitement correspond à » 2 minutes sur la durée totale de chaque séance.

  • Patient ne ressent rien, parfaitement indolore



  1. Suivi du patient en cours de ttt



  1. Effets secondaires



  • Strictement limités à la zone irradiée



  • Effets aigus

  • 2 à 3 semaines après le début du traitement.

  • Réversibles, s'estompent en quelques semaines.

  • Effets tardifs

  • Quelques mois à plusieurs années

  • Peu réversibles

  • Facteur limitant de la radiothérapie



  • Importance d’une bonne gestion des effets secondaires



  • Éviter d’interrompre l’irradiation :

  • Effet délétère potentiel sur le contrôle local. Certes, le patient reprend des forces mais son cancer aussi…

  • Maintenir l’état général du patient

  • Traitements lourds, étalés dans le temps

  • Précède, suit ou s’associe à d’autres traitement anti-cancéreux.



  • La radiothérapie est un ttt ambulatoire pour environ 80% des patients.



  1. ORL

Ttt des effets aigus

Erythème :

  • Pommade (Cerat de Galien*, Avène*, autre…) seulement si érythème prurigineux. Application après les séances

  • Eosine Aqueuse* 2%, Tulles gras* si ulcérations

  • Surinfection : arrêt temporaire et antibiothérapie

Mucite :

  • D’abord traiter la douleur

  • Bains bouche renforcés : + Fungizone* + Célestène*

  • Si surinfection : antifongiques, antibiotiques large spectre

  • Action anti-inflammatoire : corticothérapie en cure courte

  • Prothèse dentaire : 3 mois



  1. Abdo-pelvien

Techniques plus complexes : tumeurs profondes entourées d’organes sains fragiles

  • Essentiellement PELVIENNES (prostate, rectum, gynéco)

Plus rarement abdominales (estomac, pancréas, ganglionnaires)

Réactions communes

Troubles fonctionnels parfois gênants :

  • Accélération du transit,

  • douleurs abdominales,

  • anorexie,

  • nausées, vomissements

Réactions pelviennes :

  • syndrome rectal

  • signes urinaires

  • signes cutanés (périnée)



  1. Sein

CAT :

  • Oedèmes, douleurs

  • Epidermite sèche : Rien ou Pommade cicatrisante mais après la séance (Avene*, Cerat de Galien*, autre…)

  • Epidermite exsudative

  • Surtout sillon sous-mammaire, creux susclav,région axillaire

  • Éosine aqueuse 2%*, séchage atraumatique +/- dermocorticoides, +/- Tulle gras*

Au décours immédiat

  • Soins locaux jusqu ’à cicatrisation (2 à 3 sem)

  • Mammographie : plus tard car le sein est encore œdématié et sensible (échographie si doute)

  • Soleil : pas d’exposition des zones irradiées pendant 12 mois.

Effets tardifs

  • Sclérose cutanée

  • Pigmentation

  • Télangiectasies



  1. Thorax : poumon, œsophage, médiastin

Oesophagite

  • Effet aigu principal

  • surtout si chimiothérapie concomitante.

  • odynophagie parfois très douleureuse

  • Il y a alors risque de dégradation rapide de l’état général.



Surinfection bronchique

  • à ne pas négliger

  • antibiothérapie dès les premiers signes.

  • Si T° élevée avec altération de l’état général : arrêt du traitement et hospitalisation.

Risque important de pneumopathie parfois fatale surtout si patient pneumectomisé

  1. Cerveau

En début d’irradiation

  • Corticothérapie (1mg/kg/j) en prévention d’une poussée œdème cérébral. (éviter le Synacthène*)

  • Poursuite des anti-épileptiques +/- anxiolytiques

En cours d’irradiation

  • Décroissance progressive des corticoïdes.

  • Le sevrage complet reste possible sous réserve d’un suivi clinique régulier.

  • Limiter le syndrome cushinoïde

En fin de traitement

  • Asthénie souvent importante

  • Alopécie limitée aux points d’entrée des faisceaux d’irradiations

Suivi post-irradiation

  • Détérioration intellectuelle

  • De quelques mois à quelques années après le traitement.

  • Images de leuco-encéphalopathie à l’IRM

  • Parfois difficile à différencier d’une récidive tumorale.

  • Aucun traitement n’est efficace



  1. Radiothérapie palliative

But : soulager

  • S’adapter à la souffrance et à l’état général du patient

  • Préparation rapide et simplifiée

  • Traitements concentrés

  • Dose par séance plus forte : effet + rapide

  • Dose totale moindre : moins de séance donc moins de déplacement

  • Renforcer le ttt antalgique avant les transferts en RT.

Effets aigus : brefs mais intenses

Effets symptomatique : max 10 à 15 jours après la dernière séance

Effets secondaires :

  • Espace : territoire irradié : quels sont les organes critiques ?

  • Temps : chronologie et type d’effets secondaires : aigus/séquelles

Conseils préventifs ORL

  • Soins dentaires préalables

  • Avant le début de la RT

  • Cicatrisation gingivale (en cas d’extraction)

  • Confection de gouttières pour fluoration

  • (protéger les dents restantes)

  • Risque précoce : point d’appel infectieux

  • Sevrage alcool + tabac

  • Hygiène buccale

  • Bains de bouche 8 x/j

  • Eviter Eludril*, Hextril*

  • Hygiène cutanée

  • Savon neutre

  • Sécher sans frotter

  • Pas de rasage mécanique

  • Ni de lotion après rasage

  • Pas d’alcool ni d’éther

  • Éviter pansements occlusifs et adhésifs

  • Pas d’exposition au soleil

  • Éviter micro-traumatismes (cols trop serrés, cravate…)

Conseils préventifs sein

  • Nettoyage à l'eau et au savon de Marseille

  • Proscrire l'emploi de solutions alcoolisées, d'éther, de pommades, de déodorants du côté irradié

  • Ne pas utiliser de ruban adhésif

  • Soutien-gorge : ample, sans armature, coton

  • Éviter le port de la prothèse externe pendant le traitement

  • Laisser respirer la peau : pas de pansements occlusifs

Conseils préventifs région pelvienne (prostate, rectum, gynéco)

  • Pour la toilette, utilisez un savon de Marseille

  • Boire entre 1,5 et 2 litres d’eau par jour

  • Les rapports sexuels ne sont pas contre indiqués pendant le traitement

RESUME

  • Bien différencier RT curative ou palliative

  • Objectifs

  • Étalement dans le temps

  • Importance d’un bon du suivi et des soins préventifs

  • Maintenir l’état général du patient pour éviter les interruptions de l’irradiation qui risquent d’avoir un effet délétère sur le contrôle local donc sur la guérison.

  • Chronologie des effets secondaires et leur type en fonction de la localisation irradiée.

  • Quand peuvent-ils apparaître puis régresser?

  • Conseils préventifs et leur prise en charge

CONCLUSION

  • Traitements lourds et parfois longs : la RT n’est qu’un élément de la prise en charge globale du cancer.

  • Un patient bien informé et bien suivi ne « subit » plus son traitement. Il y prend une part active.

  • Rôle clé de la relation soignant – soignés




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