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Comment ‘prendre’ de l’énergie à un arbre, comment me recharger auprès d’un arbre, comment méditer avec un arbre…. ? L’arbre est, pour moi un guide, un exemple d’harmonie avec les éléments. L’arbre met en pratique la connexion permanente à la terre et au ciel. Je pourrai en dire beaucoup plus sur les arbres, mais je vais m’en tenir aux techniques . Un grand conseil avant de vous lancer là-dedans : apprenez à connaitre les arbres (leur variétés, faire la différence entre arbre en croissance et un arbre en phase de putréfaction, ou malade). Ce sont des exercices pour débutants. Les ressentis seront en fonction de son propre avancement en la matière (ressentis énergétiques) et sa faculté au lâcher prise. Sans parler de l’état d’esprit. Ces exercices se font en contact avec le tronc de l’arbre, mais au fur et à mesure on pourra ressentir (et qui sait… voir ) l’aura et le champ d’action d’un arbre. A ce moment-là les exercices pourront être effectués sans être en contact physique avec l’arbre. Choisir un arbre : Nous avons tous une affinité avec certains types d’arbres. Certains courants parlent de ‘végétal Yin’ et ‘végétal yang’. On peut trouver son arbre par recherche radiesthésiste, chamanisme, par intuition, par les rêves lucides et autres méthodes. Quoi qu’il en soit on peut se connecter à d’autres variétés sans problèmes. Le chêne reste un arbre propice aux connexions. Le bouleau, le hêtre, le frêne… feront aussi l’affaire. Choisir un arbre de grande taille, avec ou sans mousse. Eviter les arbres malades ou en train de mourir. Juste au cas où : ne pas choisir un arbre mort. Certains arbres sont à éviter. J’en connais un qui est le houx. 1. Ressentir l’énergie d’un arbre : Se positionner face à l’arbre. De préférence face au nord (le sud dans le dos). Se tenir droit, les jambes légèrement écartées (les pieds dans l’axe des hanches). La langue colle au palais et le menton est légèrement entré (la tête, elle reste bien droite). Poser les deux mains de chaque côté de l’arbre, sans exercer de pression, donc en restant détendu de tout le corps. Fermer les yeux et respirer lentement par le nez puis expirer lentement. Se laisser aller, ne pas être dans l’attente. Les ressentis : picotements, vagues de chaleurs, ou légers tremblements, courants d’énergies qui affluents du tronc vers les mains vers les bras. On peut aussi avoir l’impression que les pieds s’enfoncent dans la terre ou comme une certaine lourdeur du corps qui n’est pas désagréable (cela arrive surtout aux personnes qui ne sont pas ancrée… c’est comme si elles se prenaient subitement 1G d’apesanteur en plus). 2. Echange énergie avec un arbre : Se positionner face à l’arbre comme pour la technique du ressenti d’énergie, sauf pour les mains qu’on ne pose pas de suite sur l’arbre. Faire circuler l’énergie via sa propre méthode ou en suivant celle-ci : On visualise l’énergie qui vient du ciel et entre par le sommet du crâne. L’énergie coule dans le corps jusqu’aux pieds. Arrivé aux chevilles, l’énergie sort par la plante des pieds comme des racines d’arbre et trace un chemin vers le centre de la terre. On visualise l’énergie qui remonte du centre de la terre vers les pieds (comme la sève d’un arbre) et remonte le long du corps vers les mains et le sommet du crâne (les branches et les feuilles d’un arbre), puis vers le ciel. On est ici en circuit fermé terre ciel. A présent on pose les deux mains sur chaque côté de l’arbre, pour inclure celui-ci dans le circuit crée. On ne force pas. On laisse faire et on observe intérieurement ses ressentis sans être à l’affut. Toujours en lâcher prise. En contemplation. Ressentis : beaucoup plus forts que lors du premier exercice. Les ressentis sont toujours les mêmes sauf, qu’à présent on sentira le flux et la teneur de l’énergie changer. Et ce sur tout le corps. Le fait de faire circuler l’énergie (on n’est ni dans le ‘prendre’ ni dans le ‘donner’), nettoiera également les énergies congestionnées, le mental et autres… 3. Se recharger auprès d’un arbre : S’assoir dos contre l’arbre. De préférence face au nord (donc dos au sud). Le mieux étant en tailleur, mais on peut aussi s’assoir à genoux (dos collé au tronc et ne pas mettre la plante des pieds collés au coccyx). Si possible la tête (ou l’occiput) collé au tronc également. Laisser l’arbre vous recharger. Un plus : Poser une main au niveau du bas du dos, paume contre l’arbre et l’autre main au niveau du plexus solaire. Pas plus de 10 minutes. 4. Se connecter à un arbre : Même principe que pour le premier exercice chaque mains posées sur chaque côté et le front collé à l’arbre. Pour se connecter à l’arbre, faire comme pour le deuxième exercice en incluant le troisième œil dans le flux énergétique. On essaye d’être arbre et de fusionner avec lui. Non pas en entrant en lui mais en ne faisant qu’un. On peut le faire simplement en le lui demandant de bien vouloir se connecter à nous (on n’est pas dans la magie. Le simple fait de demander va enclencher le processus…. C’est comme poser une intention). Si on en ressent le besoin, on peut poser ses pieds sur les racines et enlacer franchement l’arbre avec ses bras comme quand on embrasse une personne avec affection. Ressentis : outre les ressentis de l’exercice 1 et 2 ,nos 5 sens seront affutés. L’odorat plus développé (en plein mois de février j’ai pu sentir la végétation en fleurs comme au printemps après une averse)., les bruits de la foret / végétation plus vifs ou au contraire plus subtils et détaillés, on peut percevoir une modification de la lumière ambiante. On peut aussi avoir des flashs, des images qui nous parviennent, des émotions, parfois des mots qui prennent forment (en aucun cas des phrases compliquées). 5. Méditer avec un arbre : Au début on peut se positionner dos contre le tronc en tailleur, puis, petit à petit s’en éloigner tout en restant sous son feuillage (toujours en tailleur ou allongé). Le principe est le même qu’avec la méditation avec les minéraux. En fonction de l’arbre. Attention arbre malade : Etant donné que je n’avais personne pour me prévenir comme je le fais avec vous, ce qui devait arriver arriva. J’étais chez ma sœur et dans son jardin elle a un bel arbre dont le nom m’échappe (son nom traine sur le bout de ma langue mais dès que je m’en rappelle j l rajouterais à l’article). J’ai voulu me connecter lui. JE voulais savoir pourquoi l’arbre du voisin de la même espèce (qui est en fait une bouture de l’arbre de ma sœur) était déjà en bourgeon et lui quasiment pas. Lorsque je me suis connecté à lui je trouvais que le ressenti était assez faible. Je décidais néanmoins de poursuivre. En 5 minutes je me suis littéralement vidée. Je suis revenu du jardin en titubant, épuisée, avec un point sur le cœur et une légère nausée. J’ai du me faire un soin avec les pierres pour récupérer un minimum, mais j’ai passé le reste de la journée avec une pêche assez limitée, voir presque apathique. Lorsque ma sœur revint, je lui demandais ce qu’avait son arbre. Elle me répondit qu’il était malade et qu’il ne ferait surement pas de fleurs cette année. Elle allait surement le tailler ensuite voir s’il reprenait un peu. Lorsque plusieurs semaines plus tard je revins, l’arbre était en fleurs, éclatant. J’ai demandé à ma sœur si elle n’avait pas remarqué que son arbre avait finalement fleuri. Effectivement elle n’avait pas capté que l’arbre avait fleuri de façon exponentiel malgré le fait qu’il était malade affaibli et en retard sur son voisin. Moi j’étais très contente. Y avait un peu de moi dans cet arbre. Quand je suis allé le voir je me suis de nouveau connectée (mais avec une tourmaline dans la poche hein) . Cette fois ci le ressenti était bien meilleur. Ses fleurs dégageaient une belle odeur. Ma sœur n’a pas eu besoin de le tailler. Pour info l’arbre n’est pas très grand. J’imagine mon état avec un arbre de taille plus importante |
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