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APPENDICE IPOUR L'AUTOSEXUALITE OU LA MANUSEXUALITE "Ce qu'on nous demande en somme, c'est de nier l'instinct sexuel, "donc proclamons-le." S. Freud 85 "Plus tu es heureux, plus tu aimes les autres, "Si tu t'aimes un toup, toup, toup'tit peu, "alors, t'aimes les autres. " "Quand tu étais petit, souviens-toi de ces marques, "on t'apprenait déjà que jouir, c'était le diable." "Qui peut dire si la solitude "n'est pas le seul chemin "qui mène vers les autres ?" "Je n'ai plus peur de ma solitude, "si tu n'as plus peur de ta solitude." Maurice Bénin L'autosexualité commence avec la succion du pouce. Elle est une des premières manifestations d'autonomie et la pratique sexuelle la plus inoffensive. Cependant les religions judéo-christiano-islamiques limitent la sexualité à la procréation maritale. Toute autre pratique sexuelle, tout particulièrement l'autosexualité, est réprouvée comme "impure" ou "vicieuse". La répression sociale de l'autosexualité est telle que le terme, absent des dictionnaires les plus modernes, est peut-être employé ici pour la première fois. Ce vide linguistique dénote une faille morale et intellectuelle, marque de la domination rémanente de l'église, de la mosquée et de la synagogue sur l'université. Le discours universitaire et à sa suite le discours courant, parlent d'hétérosexualité, d'homosexualité et de bisexualité, mais d'auto... érotisme. Ce dernier vocable, prisé par les intellectuels, ne désigne pas franchement son objet. "Erotisme" renvoie aux préludes plutôt qu'à l'acte lui-même, comme si l'acte autosexuel n'était pas un acte sexuel. Onanisme est inexact puisque le plaisir d'Onan est le coitus interruptus. Ce discours tend à stigmatiser l'autosexualité comme perverse, alors qu'on banalise l'homophilie avec perversité, dans un but électoral ou mercantile. Qu'on ne se méprenne pas sur notre propos : nous ne pouvons que souscrire à l'affirmation de la chanson d'étudiants : "Baisons ! Baisons ! C'est le plaisir des dieux.", mais lorsqu'elle prête à Jupiter : "Jamais sa main ne lui servit de con.". nous rappelons que nous ne sommes que de simples mortels. Or la condamnation de l'autosexualité est un véritable phénomène de civilisation. Le terme : "masturbation", traditionnellement et universellement utilisé, en fait une turpitude - du latin "sturpatio" (souillure), par la main (manu). Niant, avilissant et condamnant son but : le plaisir de nos petits anges (qui prend au sens propre l'expression "faire l'amour", le Cupidon), il le ravale à une fonction excrétoire. Cela pour ne rien dire de : "Jeux de mains, jeux de vilains", de "mauvaise habitude", "haut-nanisme", "glandeur" ou "branleur", ni de "pollution" dont la connotation médicale et... écologique est particulièrement venimeuse. "M… " et "se m… " font insulte à la sexualité et tout particulièrement à celle de l'enfant. Ils doivent être rayés du dictionnaire. Le refoulement de l'autosexualité est donc aussi courant chez les intellectuels que chez le vulgaire. La déconsidération du travail manuel n'est pas étrangère à cet imbécile mépris. Cette hypocrisie générale n'est pas un mince facteur d'une part de l'infidélité des couples momentanément séparés, de l'autre de la prostitution. C'est ainsi que le docteur Lacan, amateur de semi-mondaines (*), paraissait ignorer qu'on n'est jamais si bien servi que par soi-même et que lorsque le service est réciproque (il fait alors mentir le proverbe), il ne se monnaye pas : "La masturbation est la jouissance de l'idiot." 86 Il désignait peut-être l'autosexualité... intellectuelle. Cependant les pays de langue anglaise sont très attachés aux vieilles traditions. Ils contrebalancent la condamnation linguistique vulgaire de l'autosexualité par l'amusante et probe politesse - du roi et du pauvre - de leur formule de première rencontre, unique au monde : "How do you do ?", littéralement : "Comment faites-vous ?", dont la réponse est… la poignée de mains ("handshake", où "shake" signifie secouer). Elle verbalise une reconnaissance résolument sociale et anti-puritaine de l'autosexualité. Le sinistre épisode puritain en faveur de la circoncision a duré un siècle sans être assez lucide pour y renoncer. L'autosexualité masculine, par l'étirement du frein, est une préparation à l'acte hétérosexuel. Il en est de même pour l'hymen. C'est pour ce dernier que le scalpel et l'anesthésie peuvent être utilisés pour supprimer la douleur. On ne voit pas très bien, en effet, l'intérêt d'une défloration commise au cours d'un acte forcément violent, raté et pénible pour les deux partenaires. Les Incas utilisaient les services d'une spécialiste et l'anesthésie par la cocaïne. L'autosexualité épanouie est un préalable, naturel et normal, à l'abord de l'autre, ce dernier ne pouvant s'effectuer correctement sous la pression du besoin sexuel. Le fait de considérer l'abandon de l'autosexualité comme une condition nécessaire pour l'hétérosexualité est le plus redoutable et mortifère des contresens antisociaux. Cette croyance adolescente irrationnelle est en réalité dictée par les religions judéo-christiano-islamiques. La déconsidération du suprême acte d'amour de soi entraîne nécessairement celle de tout acte d'amour. En effet, si l'usage le plus banal qui soit du sexe est vilipendé, le sexe lui-même est considéré comme un objet différent du reste du corps, extérieur au corps, rejeté. Ce fantasme trouve son passage à l'acte dans les mutilations sexuelles. Le mot sexe lui-même perd son sens de désignation de l'organe au profit de celle du genre. L'acte d'amour et l'être aimé subissent la contagion de ce clivage et de cette réprobation. Ils deviennent objets de sarcasmes, de sourires en coin. L'être aimé est ramené au rang d'objet. La réification de l'autre, évidente dans les perversions pédophile, voyeuriste, exhibitionniste, homophile, envahit la relation hétérosexuelle. L'autre devient un "partenaire" interchangeable pour une activité… sportive (?) au lieu d'un compagnon pour la vie. Toutes les relations humaines sont viciées, perverties. Des rôles socialement assignés prennent le pas sur la liberté et la créativité de la relation d'égalité dans l'altérité. Il n'y a pas d'autre péché originel que celui qui consiste à décréter l'existence d'un péché originel inexistant, à inculquer à l'autre cette fausse morale, dès le plus jeune âge, pour le soumettre. Le monstrueux discrédit jeté sur nos pratiques d'enfants ou de solitaires est la cause première des pathologies mentales dont les religions judéo-chrétiennes portent la lourde responsabilité‚ en qualifiant de "vice", "impureté" ou "abus de soi" ce qui fait partie des soins corporels. La religion moderne, la psychanalyse, fait de la sexualité infantile sa pierre angulaire. Elle échappe donc au fléau, mais reste encore engluée dans les vieilles conceptions. Dans ses toutes premières intuitions, Freud fit justement de la répression de la sexualité infantile (autosexualité) et du refoulement consécutif des éléments majeurs du "complexe nodal des névroses" 87. Il se montra moins assuré lors de la séance du 7 février 1912 de la Société psychanalytique de Vienne où il énonça la tautologie suivante, vite contrée par Stekel : "Si nous considérons la sexualité infantile comme le facteur pathogène dans les névroses, nous ne pouvons dire que la masturbation est inoffensive, parce qu'elle n'est rien d'autre que l'émanation de la sexualité infantile." 88 Comme si l'autosexualité, sexualité dite à la légère infantile, était pathogène en elle-même ! Nous ne pouvons pas ne pas voir là le postulat d'un circoncis incapable de tirer toutes les conséquences de sa condamnation de la circoncision, de rejeter pleinement le tabou de l'autosexualité. Tout au contraire, l'éventuel effet névrosant de l'autosexualité est précisément dû à la répression, à la réprobation sociale et parentale : on doit prévenir les abus sans condamner la chose. En effet, l'autosexualité peut, en pratique, s'avérer pathologique. Les éducateurs de l'Ecole orthogénique de Chicago ont observé que plusieurs enfants se faisaient mal en se faisant l'amour. De même, nombre des participants de la séance du 7 février 1912, rappelée ci-dessus, voyaient dans l'autosexualité une conduite anormale. Certains, oublieux de la répartie : "Je souhaite que tu t'ôtes de mon soleil", proférée par le philosophe Diogène - un autosexuel célèbre - à Alexandre le Grand qui lui offrait le cadeau qu'il voudrait, vont jusqu'à classer l'autosexualité parmi les conduites masochistes. Beaucoup sont victimes à la fois de la traditionnelle répression et de leur absence d'éducation sexuelle ou de découverte personnelle. Car ce qui a été vu au chapitre I concernant la brutale technique de coït des circoncis peut valoir pour l'autosexualité. Ainsi par exemple, le massage prépuciel de la couronne du gland, lorsqu'il est malhabile, hâtif ou lorsqu'il n'est pas précédé d'une suffisamment longue période de caresses, peut devenir douloureux. Mais fermons cette parenthèse pour reprendre le fil de notre exposé. Nous pensons que dans tous les cas, notamment ceux analysés par Freud, c'est la répression de l'autosexualité infantile qui provoque le refoulement premier, fondamental. Elle est, dans l'histoire individuelle, le noyau de la névrose et le préambule à un éventuel mauvais passage de l'oedipe. Ce préalable est attesté, dans le mythe grec, par le fait que Laïos, le père d'Oedipe, avait violé un jeune homme et causé sa mort, avant de se voir signifier l'oracle. On peut même inférer du mépris de l'autosexualité en Grèce antique que ce prélude au célèbre mythe désignerait par métaphore les conséquences néfastes de ce même mépris. Le poète ne chante-t-il pas à sa bien-aimée : "J'ai besoin de toi pour tuer un enfant." ? (Leonard Cohen) Freud 89 va jusqu'à nier totalement, dans certains cas, le rôle fondamental de la répression : "Le temps de latence est un phénomène physiologique. Mais il ne peut provoquer une interruption totale de la vie sexuelle que dans les cultures qui incluent dans leur système la suppression de la sexualité infantile. C'est le cas de la majorité des peuples primitifs." Toutes les cultures sont, peu ou prou, affectées du tabou de l'autosexualité. Lorsque ce tabou, source première des psychopathologies, n'apparaît pas explicitement dans la langue (Océanie), il se manifeste par la circoncision. La période de latence ne peut avoir d'autre cause. La plus évidente preuve des hésitations freudiennes vis à vis de la sexualité infantile est le recours au concept de prégénitalité, alors que le génital est premier, par évidence biologique. Ce savant postulat participe des rationalisations de la régression ci-dessus dénoncée. Il prive nos chérubins de la reconnaissance de leur activité sexuelle, en les confinant à la "prégénitalité". Celle-ci projette sur eux un penchant immodéré, typiquement adulte, pour les préludes de l'acte sexuel. On aboutit au monstre conceptuel d'une génitalité sans sexe, d'un mysticisme absolu, subtile revanche d'un néo-puritanisme dans lequel rivalisent freudiens orthodoxes et puristes lacaniens. La psychanalyse, ainsi débarrassée de quelques survivances, permet de fonder le lien social sur une véritable éthique amoureuse. Celle-ci ne repose plus sur l'étouffement du développement de la vie sexuelle mais sur le rejet de la honte du sexe. Refusant de rougir de la sexualité et de la nudité, la nouvelle religion dépasse les philosophies adverses, hellénistique et judaïque, démocrate et républicaine, en les synthétisant dans une vision qui replace l'enfant et la féminité au centre de l'homme. La réprobation sociale de l'autosexualité, le silence ou le mensonge, l'hypocrisie et la honte qui lui sont rattachés sont la cause profonde des névroses, perversions et psychoses. Celles-ci sont l'expression pathologique de la légitime revendication du droit de se faire l'amour sans encourir de réprobation. Elles sont le refuge de l'individu devant le narcisso-puritanisme ambiant dont la forme la plus achevée est l'envahissement mercantile des média par le faux sexuel (pédophiles et violeurs se multiplient, mais la publicité nous impose sans cesse la prostitution exhibitionniste du corps humain à tous âges). La pédophilie est directement produite par la répression et le refoulement de l'autosexualité infantile : l'objet du pédophile est moins l'enfant, sa victime, que lui-même. L'homophilie aussi, singeant la relation du couple parental, est - inconsciemment - une révolte infantile contre l'interdiction banale de "faire l'amour en solitaire" (Claude François). Pourquoi se déculpabiliser à deux - dans d'infantiles et fantasmatiques jeux de rôles sujets à des modes génératrices de vives frustrations - là où il n'y a pas à culpabiliser ? On ne voit pas, en effet, l'intérêt de recourir à quelqu'un d'autre pour obtenir une jouissance que l'on peut si facilement et mieux se procurer par soi-même. On néglige cependant, dans les deux cas, les divines douceurs, le velouté incomparable de la muqueuse du sexe opposé‚ au prix - dans le premier - d'atroces pathologies de l'anus, d'infections diverses (*), d'odeurs peu ragoûtantes et de postures dégradantes. Le lobby homophile - le plus tapageur et exhibitionniste qui soit - nous apporte régulièrement la démonstration publique que l' "enfant est un pervers polymorphe" et qu'à demeurer dans l'enfance, l'homme s'abîme dans la décadence. De même, seul un changement radical de notre attitude vis à vis de l'autosexualité permettra le dégoût et l'abandon de l'usage de l'alcool, des drogues, du tabac, des somnifères… En effet, le sujet n'a recours à ces suicidaires compensations que parce qu'on lui a inculqué une réprobation antinaturelle de l'usage individuel du sexe. Sottement et artificiellement empêché d'être son propre objet sexuel en se donnant à lui-même son propre plaisir, il aura recours à des paradis artificiels et malsains. Au lieu de pratiquer les joies de la production chimique naturelle, il se servira de lui-même comme d'un champ d'expériences pour l'industrie chimique, sans se rendre compte que tous ces prétendus plaisirs sont des satisfactions solitaires, autosexuelles au sens large, mais socialement valorisées ! Cette attitude trouve son comble dans la circoncision qui oblige ses victimes à se procurer un lubrifiant pour se faire l'amour alors que les entiers peuvent le faire gratuitement. Bien plus, l'absence de reconnaissance de l'autosexualité dans le discours, sa condamnation par des sous-entendus ou des menaces effarantes, choquantes, sont certainement la cause profonde de bien des psychoses. Ce n'est pas l'autosexualité qui rend fou, c'est sa condamnation ! Elle ne rend sourd qu'aux provocations obscènes. Si vous n'aimez pas l'autosexualité, n'en dégoûtez pas les autres. La réprobation de l'autosexualité doit impérativement être condamnée. Cette manifestation de la vie doit être accueillie - et verbalisée - dans la bonne humeur. Voici des millénaires que les aristocraties militaires, religieuses et médicales asservissent les peuples. Les prescriptions qu'elles ont édictées dans le domaine de la morale sexuelle ne visent pas à encourager la sublimation des pulsions qui donnerait au peuple l'énergie qui lui permettrait d'exercer le pouvoir qui lui revient, mais leur répression brutale, soit par le mensonge hypocrite rabaissant l'autosexualité et la sexualité en général, soit par la violence des excisions physiques qui massacrent le sexe. Corollaire I : L'autosexualité du fœtus Le hasard a permis à deux gynécologues italiens 90 et à la mère de l'enfant une découverte qui s'apparente, en matière d'autosexualité, à celle de Galilée. Ils ont observé, à l'échographie, un acte autosexuel mené jusqu'à l'orgasme, chez un fœtus féminin de six mois. Corollaire II : Psychanalyse et phimosis Il est très probable que le phimosis est un produit indirect de la répression de l'autosexualité. L'amour et la confiance sont aveugles. Cette pathologie montre que le sujet intériorise la répression parentale ou sociale : le développement naturel de son prépuce est bloqué, gage hystérique de sa soumission et… de la violence de la répression. Seule la clinique psychanalytique pourra confirmer cette hypothèse. Ceux pour qui patience et longueur de temps font mieux que force ni que rage, choisiront cette thérapie par la parole vraie. APPENDICE II POUR L'ABOLITION DES DOGMES RELIGIEUX DISCRIMINATOIRES Tous les hommes sont égaux devant dieu. Les religions de la prédestination : par élection d'un peuple (judaïsme) ou par grâce divine accordée à certains (protestantisme), celles de la damnation des incroyants (certaines sectes de l'islam) mettent à leur principe une inacceptable supériorité de leurs adeptes ou de certains d'entre eux. En particulier l'islam puisque l'homme peut y avoir plusieurs femmes et que le paradis islamique - peuplé des fantasmes d'un Mahomet vieillissant - lui accorde des "houris" sans donner l'équivalent à sa compagne. Le judaïsme pousse la discrimination entre les sexes jusqu'à exclure ses fils non-circoncis tandis que les filles sont automatiquement juives. Est-il besoin de souligner qu'une telle discrimination, dont le seul but est la préservation de la pureté de l'ethnie en dissuadant les juifs d'épouser des non-juifs, est profondément antidémocratique ? Dieu conférerait-il à certaines de ses créatures humaines des privilèges qu'il refuserait à d'autres ? Lorsque le dogme de l'élection des adeptes va jusqu'à s'accompagner de celui de l'élection d'un peuple au-dessus de tous les autres, on est en présence d'une institutionnalisation de la xénophobie. Chaque névrose collective a ses objets phobiques ou boucs émissaires : les circoncis pour les non-circoncis et vice-versa. Une des principales racines de la xénophobie et du racisme réside dans leur approbation muette par les autorités religieuses ou étatiques. La pire forme du racisme est celle qui agit "au nom de Dieu", avec la bénédiction des prêtres et des chefs politiques. Les mensonges de quelques religieux, au service des castes royales et militaires (quelques familles), abusant de la crédulité des peuples, ne peuvent être tolérés. Ces dogmes doivent être abandonnés : il n'y a pas plus de peuple élu que de démonstration biologique d'une quelconque supériorité des aryens ou autres mégalomanes. ANNEXE II VIOLENCE ET CIRCONCISION PEINE DE MORT, GUERRE, TORTURE (OU CHATIMENTS CORPORELS) ET EXCISION DANS LES PAYS PRATIQUANT MAJORITAIREMENT LA CIRCONCISION |
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