Mutilations sexuelles, le point de vue de l'enfant








télécharger 441.7 Kb.
titreMutilations sexuelles, le point de vue de l'enfant
page6/11
date de publication15.11.2016
taille441.7 Kb.
typeDocumentos
p.21-bal.com > droit > Documentos
1   2   3   4   5   6   7   8   9   10   11

A - Circoncision et mythes


L'origine des "fascismes" (*)
"… tu seras le père d'une multitude de nations… "

"A l'âge de huit jours, que tout mâle, d'entre vous, soit circoncis… "

(Genèse : 17-4 et 17-12, Rabbinat français)
1) Le culte du "guide" ("führer", "caudillo", "duce") de droit divin
"Dieu" en personne s'adresse au fondateur. Il le désigne comme chef en donnant au peuple juif une vocation tyrannique, impérialiste. Le chef est placé sur le piédestal des prophètes et des religieux, rassemblant sur sa personne toutes autorités. Sa parole a valeur de parole divine, infaillible.
2) La supériorité ethnique (racisme) de droit divin et la volonté de puissance colonialiste
Une parole soi-disant divine fonde la supériorité d'un peuple élu entre tous, l'invite aux conquêtes territoriales (Canaan) et à réduire les autres peuples en esclavage, leur imposant la honteuse flétrissure en signe de possession :
"Oui, il sera circoncis, l'enfant... que tu auras acheté… "

(17-13, Rabbinat français)

C'est le début des "Dieu est avec nous" (croisades), "Allah Akbar" (Arabes, turcs, Iraniens), "Got mitt uns" (nazis), incitant au premier génocide de l'histoire (Jéricho), à toutes invasions et à l'esclavagisme ("Les indigènes n'ont pas d'âme").
3) L'asservissement du peuple par une violence "initiatrice"
Un marquage du corps des mâles - la circoncision - est exercé à l'intérieur même de la famille. Barbare et sexiste, il fonde le pacte social sur une mutilation des nouveau-nés. Cette coupure de la partie féminine des mâles (de la partie masculine des femelles dans certaines sectes de l'islam et certaines tribus africaines) est effectuée par décret des autorités étatiques, religieuses ou médicales. Parce qu'elle frappe le sexe, organe du plaisir, cette féroce torture est hautement traumatisante et susceptible de créer des sentiments de culpabilité inconscients, totalement irrationnels. Ce d'autant plus qu'elle est pratiquée sans "explications" possibles, avant l'âge de la parole (Australie, Canada, Etats-Unis, Nouvelle-Zélande, israélites).

Les mâles se trouvent diminués, infériorisés en profondeur, handicapés par des fantasmes (conscients ou inconscients) d'infériorité, incapables de faire confiance, condamnés soit au sexisme psychotique et revanchard, soit à l'absence névrotique (voir la pièce de Dan Greenburg : "Comment devenir une mère juive en dix (et une : la circoncision) leçons"). Les mères, elles aussi, sont profondément culpabilisées, pour n'avoir pas su protéger leur enfant. Cette atteinte à la dignité humaine, à l'endroit le plus intime de la personne, est un acte fondamentalement "fasciste". Le psychanalyste Tobie Nathan compare la circoncision à l'initiation des SS 57.

L'attaque contre l'individu sera contrebalancée par des croyances éducationnelles qui développeront des sentiments de supériorité de groupes dont les membres seront aisément manipulables. Freud lui-même était affecté par cette plaie : il confessait que ses sentiments de judéité étaient fondés sur :
"beaucoup d'obscures forces affectives - d'autant plus puissantes qu'elles se laissent moins saisir par des mots". 58
4) L'asservissement du peuple par la propagande mensongère
Les autorités religieuses sont utilisées pour inculquer au peuple un double mensonge.
a) Celui de la croyance au péché originel, incrusté dans la chair par la circoncision.

La circoncision diabolise à la fois l'autosexualité et la sexualité, érigées en péché originel. Derrière la phallique côte d'Adam, donnant naissance à la femme (rendue responsable du péché), il faut voir la féminine enveloppe prépucielle : le contenant pour le contenu, selon la logique de l'inconscient. Ce soi-disant péché se trouve puni avant même d'avoir été commis. Vise-t-on l'autosexualité du fœtus (cf. l'annexe de l'appendice I) ?

C'est ainsi que les rédacteurs de la Bible, dans leur acharnement castrateur, forgèrent le mythe de la création de la femme par une allusion voilée à la circoncision, pour accréditer cette dernière par voie d'analogie, par une justification purement imaginaire. Fins connaisseurs des mécanismes de l'inconscient, ils utilisèrent leur savoir en manipulant le peuple, pour le dominer.
b) Celui d'une supériorité à la fois spirituelle et hygiénique découlant de la circoncision.

L'idée d'une supériorité spirituelle du circoncis est particulièrement choquante. Nous l'avons déjà abordée au chapitre IV. Elle conduit à partager la population entre de grands mystiques : les mâles circoncis, et des êtres bassement terre à terre : les femelles et les non-circoncis !

La traditionnelle superstition hygiénique renforce par une assise pseudo- rationnelle le sentiment de supériorité du peuple "élu". On comprend mal comment des hommes ainsi prétendument aseptisés ne répugnent pas à plonger leur organe dans celui des femmes.
5) La polygamie et la domination des femmes et des enfants
Abraham était polygame. Or dans les sociétés polygames, les mutilations sexuelles ont pour fonction principale de rappeler la punition de l'inceste, la castration ou la mort, aux fils tentés par les jeunes femmes du père et aux filles tentées par le père lui-même.

Tout se tient : la circoncision est le complément nécessaire, indispensable, de la polygamie et donc d'une domination des femmes particulièrement sévère. Les garçons n'auront plus qu'à se venger de l'ignoble comportement de leurs pères et mères lors de la défloration ou sur les étrangères conquises à la guerre. Voilà pourquoi les chefs tribaux tiennent à la circoncision comme à la prunelle de leurs yeux : elle est un des fondements de leur "pouvoir".
6) L'exclusion des non-circoncis
C'est une sanction terrible. Abraham prend soin de "retrancher" de son peuple ceux qui refuseraient de se prêter au marquage de son cheptel humain.
Les quatre fondateurs des religions judéo-christiano-islamiques ont tous invoqué la révélation divine : Abraham et Mahomet au profit des féodalités religieuses et militaires, Moïse et Jésus au profit du peuple. Si le fascisme abrahamique est le pire de tous, c'est parce qu'il a pris valeur de testament, écrit et révéré, fondateur des religions du livre (mais en réalité religions d'hommes, dans lesquelles les femmes sont exclues de la prêtrise).

La perversité des mythes africains est plus subtile (cf. 67, p. 51). En reliant la circoncision à des institutions incontestables : interdit de l'inceste, nécessité de l'exogamie, ils en font un gage de vertu morale et sociale. Cette pieuse et "culturelle" rationalisation soutient la barbarie par le traditionnel et cynique argument du "C'est pour ton bien.".

B - Les conséquences
En traumatisant l'homme, en le privant d'une protection naturelle, la circoncision renforce ses tendances paranoïdes, l'amenant à rechercher d'autres types de protection. Privé de la retraite de son territoire d'origine, il sera persécuté ; campé sur ses bases, il envahira ses voisins.

Cette barbarie envers les enfants se retrouve dans le tempérament guerrier des peuples de circoncis (cf. Annexe I). Dominateurs et sûrs d'eux-mêmes, ils ont une histoire marquée par la violence, subie par les hébreux que les événements ont chassés de Palestine, exercée par les conquérants arabes et israéliens. Depuis des millénaires, guerres et massacres tribaux incessants ravagent l'Afrique et le Moyen-Orient. De nombreux peuples polygames, esclavagistes, envahisseurs et génocideurs pratiquaient la circoncision : elle fut le préalable historique immédiat de l'invasion du pays de Canaan, les Arabes la généralisèrent à la plupart des Africains qu'ils soumirent et son adoption coïncide avec le génocide des Indiens d'Amérique du Nord.

A l'exception d'un guerre civile (Sri Lanka), toutes les guerres des 6 dernières années (1996-2002) impliquaient au moins un pays circonciseur. Mais elles furent 4 fois plus fréquentes entre pays circonciseurs (cf. Annexe II).
En interdisant l'inceste et les relations pré-maritales par la violence, la circoncision pousse à toutes violences sur les étrangères conquises par la guerre. Elle donne ainsi une puissante motivation aux combattants qui se réjouissent par avance du prix de la victoire. Ce tout particulièrement dans les sociétés pratiquant l'infibulation, où les jeunes gens ne peuvent faire l'amour avant le mariage. Comment s'étonner de l'état de guerre quasi-permanent dans de nombreux pays à la fois polygames et circonciseurs ?

Il n'est pas indifférent qu'au milieu du dix-neuvième siècle, à l'époque de la bourgeoisie conquérante et en dépit de leur christianisme, deux états qui se sont donné vocation à gendarmer la planète (l'Angleterre victorienne et les Etats-Unis) aient adopté la circoncision, entraînant à leur suite - corps médical et autres notabilités obligeaient - les autres pays anglo-saxons.

Hitler, les Tutsis et Milosevic, génocideurs de circoncis, n'étaient pas fous par hasard : l'inconscient a ses raisons. S'il faut haïr la haine, on doit aussi condamner les provocations à la haine. Les mutilations sexuelles, comme tous les crimes, notamment ceux contre les droits de l'homme et tout particulièrement de l'enfant, sont des provocations à la haine. Les mutilations barbares des enfants engendrent inévitablement l'aversion à l'encontre de leurs auteurs. Les victimes ne doivent pas faire de leurs enfants des victimes.

Au lieu de cela, leur compulsion à circoncire pousse les circoncis à mutiler de force leurs ennemis vaincus. La presse internationale a fait état d'excisions et de circoncisions de masse, forcées, pratiquées, en décembre 2000, par des fanatiques islamistes sur des chrétiens, habitants des îles Moluques en Indonésie. A l'assemblée du 31 juillet 2001 de l'ONU 59 le gouvernement indonésien a reconnu le fait des conversions forcées, sans confirmer ni infirmer les mutilations génitales. En Europe même, des Serbes ont été circoncis par des combattants musulmans 60.

Les observations sur le terrain des anthropologues américains amènent Prescott 61, 62 à la conclusion que la violence est renforcée par la douleur, amoindrie par le plaisir : dans quarante-neuf cultures étudiées 63, on relève une corrélation absolue entre d'une part la violence à l'âge adulte (criminalité), d'autre part la carence en affection physique et les châtiments corporels des enfants, souvent accompagnées par la prohibition de la sexualité aux adolescents (et aux enfants, ajoutons-nous). Les croyances socio-religieuses prêchent l'intolérance envers le plaisir sexuel considéré comme dangereux.

Il serait inexact d'affirmer que les circoncis sont systématiquement violents. On pourrait trouver mille exemples du contraire. Cependant, dans une situation extrême ou après des provocations fortes ou répétées, toutes choses étant égales par ailleurs, celui qui a subi un traumatisme grave - et la circoncision en est un - aura tendance à s'emporter s'il est en position de force, à subir stoïquement s'il est en position de faiblesse. Le souvenir inconscient du traumatisme lui interdit l'analyse objective. Ce qui explique la passivité des israélites dans le camp d'extermination de Treblinka et l'extravagante démesure d'Hiroshima et de Nagasaki. On peut aussi penser que les mutilations sexuelles favorisent des comportements suicidaires de groupe : Treblinka, sionisme, guerre du Golfe, Talibans.

Les cultures archaïques - et d'autres tentées par l'obscurantisme - veulent s'assurer des mâles, les rendre meilleurs guerriers, en les distinguant par un signe de reconnaissance : "décoration" ou diplôme de bravoure. Les soldats sont censés être d'autant plus ardents au combat que soudés entre eux par la même perversion inconsciente (fétichisme du phallus) et disciplinés par la même peur inconsciente d'une castration totale en cas de défaillance :
"On sait combien les hommes s'aiment et s'entraident quand ils ont tous la même marque distinctive qui est pour eux une sorte d'alliance et de pacte." 11
Maïmonide souligne indirectement le caractère manipulateur de la circoncision. Ce dernier s'affirme encore plus nettement dans les tribus qui pratiquent la circoncision de groupe. Ceux qui ont partagé les affres de cette douloureuse initiation seront des frères d'armes pour la vie. Il en fut ainsi des circoncisions exigées par Abraham, Josué et l'armée américaine avant le départ pour le Viêt-nam. Les pharaons et autres chefs de tribus agissaient en fins psychologues. Au cours des millénaires, ils expérimentèrent que la circoncision est susceptible de fanatiser les guerriers, jusqu'au suicide. Les psychologues modernes n'ont fait que retrouver ce phénomène dans les quelques cas cliniques qu'ils ont pu observer.

Mais cette soumission obtenue par la violence est à courte vue. Nos psychologues improvisés furent de mauvais observateurs médicaux. Nous avons vu que la circoncision augmente la sensibilité à la douleur. Si la résistance est résistance à la douleur, il est logique que les circoncis soient, toutes choses étant égales par ailleurs, les perdants des guerres. Celle du Viêt-nam est un des principaux exemples de guerre perdue par des circoncis, malgré une supériorité matérielle écrasante. Il est caractéristique que le recul de la circoncision aux Etats-Unis fût parallèle à la défaite. Le peuple américain vaincu ne pouvait plus croire au mythe de la supériorité du circoncis, entretenu par les notables médicaux et la grande bourgeoisie wasp.

La paix dans le monde est au prix de l'abandon de cette pratique sexiste, ségrégationniste et guerrière (ou plutôt terroriste) d'embrigadement par différenciation contre nature.

Chapitre VI
Mutilations sexuelles et psychanalyse

(Mutilations sexuelles et éthique)

La psychanalyse permet de dénoncer aussi bien le lourd contenu fantasmatique des mutilations sexuelles que leurs redoutables conséquences sur le développement psychogénétique.

Elles sont à la fois une négation et une reconnaissance de la sexualité infantile - tabou pour certains - scientifiquement révélée par Freud. Par leur action brutale sur l'inconscient, elles intéressent au premier chef la psychanalyse.
Elles peuvent facilement dégénérer en un culte de la différence, symptôme de narcissisme pathologique, xénophobe, excluant l'autre :
"La circoncision a, selon moi, un autre motif très important : elle fait que ceux qui professent cette idée de l'unité de Dieu se distinguent par un même signe corporel qui leur est imprimé à tous, de sorte que celui qui n'en fait pas partie ne peut pas, étant étranger, prétendre leur appartenir." 11
Maïmonide, à l'évidence ironique, fait semblant d'approuver l'institutionnalisation biblique de l'ethnocentrisme dans laquelle on ne sait si c'est dieu qui nationalise certains ou eux qui nationalisent dieu (dogme de l'alliance avec Abraham).

Mais l'arme est à double tranchant : elle est source d'exclusion des circoncis, lorsqu'elle n'est pas le signe qui les dénonce à l'ennemi.
Spinoza (1670) y voyait une source majeure de la judéophobie :
"… les juifs ayant vécu à part de toutes les nations de façon à s'attirer la haine universelle et cela non seulement par l'observation de rites extérieurs opposés à ceux des autres nations, mais par le signe de la circoncision… " 63
Freud analyse :
"Parmi les coutumes par lesquelles les juifs s'isolèrent, celle de la circoncision a produit une impression déplaisante, inquiétante (unheimlich), qui s'explique sans doute par ce qu'elle rappelle la castration redoutée... " d'après 64,
"L'hypothèse selon laquelle nous pouvons aussi chercher ici une racine de ces haines des juifs (judenhasses) qui émergent de façon si primaire et génèrent des comportements si irrationnels chez les occidentaux, me paraît incontournable. La circoncision est inconsciemment assimilée à la castration." d'après 65,
"Le complexe de castration est la plus profonde racine inconsciente de l'antisémitisme, car, dans la nursery déjà, le petit garçon entend dire que l'on coupe aux juifs quelque chose au pénis - il pense : un morceau du pénis - ce qui lui donne le droit de mépriser les juifs." d'après 39.
Il ne faut pas tirer le diable par... la queue. Le fantasme inconscient des persécuteurs des israélites est manifestement celui d'une crainte d'avoir à subir un jour le sort que l'éternel, du seul témoignage d'Abraham, lui aurait assigné ainsi qu'à ses serviteurs (cf. l'enquête, citée par le docteur Foley 9, auprès de deux cents membres de l'extrême droite allemande) ! Cependant, nous avons vu que ces craintes n'ont rien de fantaisiste.
Il faut ajouter, en termes rigoureusement freudiens, que, pour l'inconscient, la partie - jetée - vaut pour le tout. Autrement dit, pour les inconscients (Hitler et quelques autres), les circonciseurs sont des assassins.
A l'autre extrême sont les intégristes (pour avoir perdu leur intégrité). Ils visent à la retrouver symboliquement, en se vengeant sur autrui.

Circoncision et fantasmes
La circoncision s'accompagne d'une abondante fantasmatique.
Freud a dénoncé dans la circoncision un fantasme de castration symbolique visant la soumission. Nous retrouvons là un des deux grands procédés de codage de l'inconscient : la condensation. Le circonciseur s'en prend au contenant, mais, symboliquement, c'est le contenu qui est visé. Le phallus est en effet l'emblème du pouvoir. Dans une société barbare, l'enfant fait peur, non pour ce qu'il est mais pour ce qu'il peut devenir. On tente de l'asservir en le terrifiant, dans un fantasme pédophobe inconscient.
Le fantasme de la circoncision médicale, d'un interventionnisme scientiste envahissant, férocement obsessionnel, dissimule en réalité la chasse à la sorcière autosexualité.
Le docteur Zwang dénonce celui d'un sacrifice mystique propitiatoire 66, p. 275. Il est commode pour des parents de tenter de se déculpabiliser de leur autosexualité ou désirs d'autosexualité, physique ou mentale, par un sacrifice commis sur le corps de leurs enfants, atroce réalisation d'un fantasme banal.
Jean-Thierry Maertens 67 voit fort justement dans les rites de prélèvement d'une partie du corps une tentative incestueuse inconsciente d'appropriation du corps maternel perdu. Cette interprétation est confirmée par la succion du sexe de l'enfant dans le rituel juif.
1   2   3   4   5   6   7   8   9   10   11

similaire:

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\Etudier le développement humain : Quelles spécificités?
«L'enfant ne sait que vivre son enfance : la connaître appartient à l'adulte. Mais qui va l'emporter dans cette connaissance, le...

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\Imc et grossesse : le point de vue du Nutritionniste

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\Recherche en sciences infirmières, point de vue du doyen de la faculté de médecine d’Angers 5

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\L’activité physique chez l’enfant : indispensable mais jusqu’à quel point ?

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\Editorial : Mettre en œuvre les droits de l’enfant
«en vue d’inviter le peuple togolais à renoncer à jamais aux violences électorales»

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\L’enfant dépendant
...

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\À la différence des auxiliaires verbaux (be have do), les auxiliaires...

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\Lorsque le f-14 est entré en service dans l'us navy, cela a entraîné...

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\Pourquoi vos parents ont-ils décidé d’avoir un enfant ?
«Il m'a fallu vingt ans pour mettre au point cette méthode. Bien sûr je me suis arrêté de temps en temps pour manger ou dormir, mais...

Mutilations sexuelles, le point de vue de l\Rapport de jc ringard à propos de l'enfant dysphasique et de l'enfant dyslexique








Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
p.21-bal.com