Examen de l’intelligence








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Alfred ADLER (1930)

L’ENFANT DIFFICILE

Technique de la psychologie individuelle comparée
Traduction française de l’Allemand par le Dr Herbert Schaffer, 1949.

Un document produit en version numérique par Gemma Paquet,

collaboratrice bénévole et professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi

Courriel: mgpaquet@videotron.ca
Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales"

Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html
Une collection fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay,

Bénévole et professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi
et développée en collaboration avec la Bibliothèque

Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi

Site web: http://bibliotheque.uqac.uquebec.ca/index.htm




Cette édition électronique a été réalisée par Gemma Paquet, collaboratrice bénévole et professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi à partir de :


Alfred Adler (1930)
L’ENFANT DIFFICILE. Technique de la psychologie individuelle comparée

Une édition électronique réalisée à partir du livre d’Alfred Adler, L’ENFANT DIFFICILE. Technique de la psychologie individuelle comparée. Traduction française de l’Allemand par le Dr Herbert Schaffer, 1949. Paris : Éditions Payot, 1962, 214 pages. Collection Petite bibliothèque Payot, n˚ 15. Précédemment publié dans la Bibliothèque scientifique chez Payot.

Polices de caractères utilisée :
Pour le texte: Times, 12 points.

Pour les citations : Times 10 points.

Pour les notes de bas de page : Times, 10 points.

Édition électronique réalisée avec le traitement de textes Microsoft Word 2001 pour Macintosh.
Mise en page sur papier format

LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’)
Édition complétée le 10 juillet 2002 à Chicoutimi, Québec.


Table des matières

Préface du traducteur, Dr Herbert Schaffer, 1949
Avant-propos de l’auteur, 1930
Introduction : L’homme et son semblable, par Dr Alfred Adler, 1930
Chapitre I.- Exagération de l'importance de sa propre personne (vantardise)

Chapitre II. - Une élève redouble sa classe

Chapitre III. - Un père empêche le développement du sentiment social

- La benjamine en lutte

- Lutte de l’aîné pour ses droits héréditaires

Chapitre IV. - Une benjamine gâtée

- Examen de l’intelligence

Chapitre V. - Les prétendues crises de la puberté

Chapitre VI. - L'enfant unique

Chapitre VII. - Le benjamin découragé

Chapitre VIII. - Faible d'esprit ou enfant difficile ?

Chapitre IX. - Une ambition qui se fourvoie

Chapitre X. - L'enfant détesté

Chapitre XI. - L'enfant unique qui veut jouer un rôle ?

Chapitre XII. - L'aîné détrôné

Chapitre XIII. - Le mensonge, moyen de se mettre en valeur

Chapitre XIV. - L'héroïsme dans l'imagination remplace le rendement utile dans la réalité

Chapitre XV. - Trouble-fête

Chapitre XVI. - La lutte pour le paradis perdu

Chapitre XVII. - Vol à cause d'une affection perdue

Chapitre XVIII. Énurétique

Chapitre XIX. L'énurésie, moyen de liaison

Chapitre XX. Auprès de frères et sœurs brillants

Chapitre XXI. Comment je parle aux parents

Chapitre XXII. La tâche du jardin d'enfants

Dr Alfred Adler
Ancien professeur au long Island Medical College de New York, est avec Freud et Jung l'un des pionniers de la psychologie contemporaine.
Cet ouvrage sur L'enfant difficile révèle l'un des aspects pratiques les plus intéressants de la doctrine adlérienne : son application au domaine de la psycho­pédagogie. Au moment où le monde entier se penche sur le problème de l'enfance difficile ou délinquante, cet ouvrage intéressera au plus haut point tous les parents, éducateurs, sociologues, psychopédagogues, etc.
Petite Bibliothèque Payot

Né en 1870 dans un faubourg de Vienne, ALFRED
ADLER est avec C. G. Jung l'un des principaux disciples et dissidents de Freud. Il est mort en 1937 à Aberdeen, en Écosse, où il était venu faire des conférences.
Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, l'enseignement adlérien commence à être universellement connu et son retentissement sur l'évolution des idées en psychopathologie, psychothérapie, pédagogie et médecine est considérable.
Dans cet ouvrage sur L'enfant difficile, le lecteur découvrira l'un des aspects pratiques les plus intéressants de la pensée adlérienne et comprendra quelle aide une telle doctrine peut apporter aujourd'hui aux parents, éducateurs, médecins ou psycho­pédagogues.

Préface du traducteur
Dr. Herbert Schaffer, 1949


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L'étude de l'âme enfantine avec ses difficultés caractérielles est à l'ordre du jour. Une abondante littérature psychopédagogique, des dispositions législatives concer­nant l'enfance délinquante, des enquêtes fréquentes des quotidiens et périodiques sur l'enfance malheureuse, des émissions radiophoniques éducatives, témoignent de l'inté­rêt suscité par ce sujet. Un grand nombre de consultations pour enfants difficiles, des Child Guidance Cliniques, essaient d'apporter aide à ces cas.
Depuis toujours on a voulu cristalliser les expériences dans un enseignement et chaque époque a connu son système pédagogique. Mais la prise de conscience de la donnée suivant laquelle l'adulte se présentera demain dans la vie tel que l'aura formé l'éducation de ses premières années d'enfance semble une notion récente et une dé­cou­verte de la psychopédagogie. Comment parler à l'enfant, comment le comprendre, le guider, dans quel sens l'élever, voilà autant de questions qui font la préoccupation permanente de tous ceux qui se sont attaqués à ce problème.
Or, si l'ampleur de cette littérature et si l'importance du mouvement en faveur des questions de psychologie infantile nous montrent que le problème est ainsi posé, elles nous démontrent en même temps qu'il est loin d'être résolu.
Dans les consultations pour enfants difficiles le jeune sujet est pesé, toisé, aus­culté, testé, étiqueté. Il est nécessaire de connaître l'état physique de l'enfant, il est utile de pouvoir dénommer la nature de ses difficultés. Là où le terrain somatique est déficient - ces cas représentent une minorité: enfant nonchalant par hypothyroïdisme, surmenage, etc. - la médecine, en particulier l'endocrinologie, nous apporte la modes­te contribution des préparations stimulantes, neurovégétatives ou opothérapiques. Mais bien souvent les complications caractérielles surgissent chez des enfants en parfait état de santé physique.
La théorie du milieu voudrait influencer favorablement l'enfant en le plaçant dans une ambiance convenable. Il est certes préférable d'élever l'enfant dans un entourage équilibré et compréhensif et de l'éloigner de toute influence nocive. Cette condition est hélas bien souvent irréalisable. Tous les psychologues connaissent d'ailleurs des cas d'enfants difficiles survenus dans des milieux harmonieux, Le changement des circonstances extérieures n'entraîne pas toujours le résultat espéré, étant donné que l'enfant conçoit le monde environnant d'après un schéma préétabli, un style de vie façonné depuis les premières années de son existence et que son aperception sera tendancieuse.
La doctrine de l'hérédité caractérielle ne connaît que des aptitudes transmises. Elle devrait, de ce fait, renoncer à toute tentative pédagogique.
D'autres auteurs encore veulent ramener les perturbations caractérielles à des traumatismes sexuels infantiles.
Dans les congrès de neuropsychiatrie, dans les rencontres périodiques de psycho­pédagogues et d'éducateurs se discutent et s'opposent les résultats des différentes recherches. Le système éducatif de la discipline la plus sévère et du « laisser faire » le plus absolu s'affrontent dans ces discussions.
La psychologie d'Alfred Adler apporte à ce débat l'avis compétent d'un grand médecin et d'un grand éducateur. Sa méthode représente le premier essai systéma­ti­que pour remédier par une action psychopédagogique aux troubles de nature psycho­gène. Le traitement s'adresse à la structure psychique propre de l'enfant, explore le sens intime de ces troubles, en découvrant le but caché de leur raison d'être subjective.
L'introduction du livre familiarisera le lecteur avec les données essentielles de l'enseignement adlérien. Il est d'ailleurs inutile d'y revenir en détail car, dans d'autres ouvrages théoriques - Le Tempérament nerveux, La Caractérologie, Le Sens de la vie - le fondateur de la psychologie individuelle comparée expose l'ensemble de ses vues et de sa doctrine. Mais la psychopédagogie est un art qui a son côté technique qu'il impor­te de ne pas négliger. L'amateur qui admire au musée du Louvre le regard expressif de la Joconde trouvera dans un simple dessin que possède le musée de Chantilly une preuve de ces multiples tentatives qui mènent au résultat final, dessin où le maître a voulu, par la juxtaposition de deux cercles dessinant la prunelle, con­crétiser toute la vivacité de l'expression de son modèle. Comme il est instructif de connaître ces croquis hâtifs dont sont issus tel chef-d'œuvre ou telle toile de maître, il sera profitable au lecteur - et surtout au pédagogue et à tous ceux qui s'occupent d'éducation - de connaître la manière d'agir de l'illustre psychopédagogue que fut Alfred Adler et d'assister à ses conversations avec les enfants difficiles.
Des interprétations de comptes rendus rédigés par des instituteurs, des résumés de cas commentés au moment de la lecture, des entretiens sténographiés pris sur le vif, ont fourni la matière du présent recueil. En face de la simplicité apparente des dialo­gues on pourrait être parfois tenté d'oublier la grandeur de la tâche qui incombe au psychopédagogue. Mais il importe avant tout de parler le langage de l'enfant pour le comprendre et le mettre à l'aise et ensuite se faire comprendre par lui en se mettant encore à sa portée. Il ne faudra donc pas s'attendre à trouver dans ces chapitres des échafaudages philosophiques - du moins dans la partie pratique de ce recueil - ou des formules toutes faites pour « tirer les vers du nez » à l'enfant difficile. Ceux, par contre, qui affrontent dans la pratique journalière les difficultés des problèmes de l'éducation, instituteurs, jardinières d'enfants, parents soucieux du devenir de leurs enfants, psychopédagogues et psychothérapeutes, pédiatres et médecins y cueilleront une riche moisson de renseignements. Ils y découvriront des problèmes semblables aux cas qu'ils rencontrent dans leur propre activité professionnelle, des analogies de structure psychique, des ressemblances de situations ou de constellations familiales, des tournures heureuses dans le dialogue qui leur seront utiles. Mais ces dessins caractériels et ces courts métrages de séances éducatives seront surtout profitables à l'élève - ne sommes-nous pas tous élèves ? - qui, de la parole, de la phrase et de la formule employée saura progresser au sens et à la compréhension profonde de la structure du cas individuel. Car, pour reprendre l'exemple de l'art pictural, la qualité de la création ne dépend pas du mouvement de tel trait de fusain ou de l'emploi de telle couleur, mais de l'heureuse disposition de l'ensemble et de l'harmonieuse juxtaposition de toutes les nuances et de toutes les formes. Pour y parvenir il faut savoir saisir le sens intime du sujet qu'on aborde.
Voici défiler devant nous l'enfant gâté, le menteur, le voleur, l'enfant détesté, l'am­bi­tieux, l'énurétique et tant d'autres encore. Chaque cas apparaît avec son étiolo­gie particulière, ses manifestations propres et son dynamisme spécifique. Tous pré­sen­tent les visibles défauts d'une invisible structure de leur personnalité dont le trait essentiel est l'insuffisant développement du sentiment social.
Voici quelques notions d'éducation à donner aux parents - dont l'attitude est par­fois à la base des troubles de l'enfant - sans blesser leur susceptibilité ; et pour terminer quelques pages sur l'importance du jardin d'enfants, importance qui n'échappera à personne si l'on tient compte de la valeur des premières impressions de la personnalité naissante pour la destinée future de l'être humain.
Dr Herbert SCHAFFER.


Avant-propos de l'auteur
1930


« L'enfant est le père de l'homme. »

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Dans la psychologie individuelle cette maxime prend toute sa vigueur. Les quatre ou cinq premières années de sa vie suffisent à l'enfant pour compléter son entraîne­ment spécifique et arbitraire vis-à-vis de ses impressions. Celles-ci proviennent non seulement de sa valeur organique mais aussi des excitations émanant de l'extérieur. A partir de cette période commencent l'assimilation et l'utilisation des expériences vécues, non plus d'une façon arbitraire et encore moins en suivant de prétendues lots de causalité, mais en fonction du style de vie. L'individu est déterminé par la structure de son style de vie. A ses lois obéissent désormais et pendant toute la durée de l'existence les sentiments, les émotions, les pensées et tes actions. L'activité créatrice du style de vie commence son œuvre. Pour faciliter cette activité, des règles, des principes, des traits de caractère et une conception du monde son élaborés. Un schéma bien déterminé de l'aperception s'établit et tes conclusions, les actions sont dirigées en pleine concordance avec cette forme finale idéale à laquelle on aspire. Ce qui dans le conscient se révèle comme ne créant pas de perturbation, comme agissant conformément à ce sens, y est maintenu. Le reste est oublié, réduit ou encore agit comme un modèle inconscient, soustrait plus qu'à l'ordinaire à la critique ou à la compréhension. Le résultat final de ce schéma, qu'il renforce les lignes dynamiques conscientes, qu'il les annihile ou les paralyse par une réaction, conduisant ainsi à des conflits par inhibition, est toujours déterminé d'avance par le style de vie.
Les modèles du style de vie, par exemple les lignes de conduite des traits de caractère, se construisent toujours après un long entraînement en vue duquel on peut retrouver, dans le conscient comme dans l'inconscient, les restes de souvenirs généra­lement incompris. Ce ne sont pas les souvenirs ni les expériences vécues qui fournis­sent les facteurs déterminants, mais bien le style de vie qui leur a donné une forme, les a dirigés et utilisés dans son propre sens. Une compréhension suffisante permet de saisir cet accord complet de la force agissante du conscient et de l'inconscient. Et la compréhension des deux ne s'étend aussi loin que si l'action, la sphère d'action du style de vie, n'est pas perturbée.
Il est permis de compter sur une certaine probabilité, acquise par une longue expérience. lorsque l'on n'a en main que quelques fragments de la vie de l'âme, probabilité qui permet pourtant de tirer certaines conclusions. Mais l'on doit toujours vérifier très soigneusement si ces conclusions correspondent également au système complet de la vie de l'âme d'un individu. Le plus souvent il n'est pas possible d'agir autrement. C'est là un procédé qui correspond parfaitement aux exigences du diagnostic médical, où nous sommes également obligés de tirer les conclusions d'un symptôme partiel, de limiter la sphère de la maladie présumée, jusqu'à ce qu'un second, un troisième symptôme viennent nous aider à établir un diagnostic tout à fait précis.
Dans le présent ouvrage j'ai essayé, tout en poursuivant la description de la « technique de la psychologie individuelle comparée », de dégager le style de vie des enfants difficiles.
Cette tâche nécessite la connaissance la plus précise de la technique de la psychologie individuelle comparée et de ses ressources éprouvées: elle montre égale­ment d'une manière très nette la connaissance de l'art de l'interprétation. Pour ce faire, de même que dans le diagnostic médical, on ne peut se passer de la faculté de divination. Cette divination ne peut se justifier que s'il est prouvé que toutes les manifestations partielles sont en nette cohésion avec l'ensemble et font apparaître des dynamismes identiques. Parmi ces aspirations, semblables dans tous leurs détails, les plus importantes sont:
1° Le degré de coopération (du sentiment social et de l'intérêt social).
2° La manière caractéristique dont l'individu recherche la supériorité (sécurité, puissance, perfection, dépréciation d'autrui).
Ces formes d'expression, invariables, peuvent être différentes dans leurs moyens mais non dans leur finalité (finalisme de la psychologie individuelle comparée). Le degré du courage, du sens commun manifestés, le mot d'ordre individuel de la con­cep­tion du monde, l'utilité ou le caractère nuisible pour la collectivité, reflètent le degré d'aptitude au contact social. La solution plus ou moins réussie, conforme à l'esprit de notre époque, des trois principaux problèmes de la vie (communauté, profession, amour) ou le degré de leur préparation dévoilent le complexe d'infériorité toujours présent et sa compensation manquée, le complexe de supériorité.
Celui qui ne reconnaît pas ou n'a pas compris le fait de l'unité du style de vie ne parviendra pas, même avec les principes d'airain de la psychologie individuelle, à comprendre la formation des symptômes. Celui qui a saisi cette notion doit savoir qu'il est capable de changer le style de vie mais non les symptômes.
Je me propose de parler ailleurs du diagnostic général et spécial de la psychologie individuelle comparée, de la technique et du comportement du conseiller.
Dr Alfred ADLER.

Introduction
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