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![]() ![]() ![]() ![]() ![]() L’examen clinique L’interrogatoire= étape indispensable à l’élaboration des hypothèses diagnostic. sémiologie = études des signes et des manifestations des maladies Etat civil- âge - profession ( ex maladie professionnelle : mésothéliome = cancer de la plèvre ) - si retentissement pour arrêt de travail - mode de vie ( célibataire, marié, surmenage intellectuel ou physique => maladie psychosomatique, alcool => cirrhose, tabac => cancer des poumons ou de la vessie ) N.B. épidémiologie = étude statistique des maladies Antécédents- pathologie médicales : asthme, infarctus, artérite, diabète, ... N.B. athérome = dépôt de cholestérol - pathologie chirurgicales : laparotomie, prothèse de la hanche, ... Chez une femme : antécédents gynécologiques et obstétricales : troubles menstruels, date des dernières règles, grossesse, ménopause, ... Motif de consultation= céphalées, fièvre, diarrhée,... La question ouverte : « que se passe-t-il ? » Cela permet l’écoute, le patient souffre et l’exprime. Le motif de la consultation permet parfois de faire d’emblée le diagnostic ; Le diagnostic n’a souvent qu’une valeur d’orientation. Traitement en cours ?Il existe des effets secondaires des médicaments ( maladies iatrogènes ) Les symptômes peuvent être aussi en rapport avec un surdosage ( intoxication médicamenteuse) Le malade peut ne pas tolérer certains produits ( allergies ) Signes fonctionnelsMotif de consultationCe sont les plaintes exprimées par le malade : douleur, malaises, asthénie, fatigue chronique,... On doit l’interroger sur : - circonstance de découverte de la maladie - modalités d’apparition des troubles - évolution Autres plaintesIl faut également rechercher de façon active d’autres signes, appareil par appareil. Signes générauxEnsemble des signes témoins d’une altération de l’état général = DANGER : - asthénie - anorexie - amaigrissement - fièvre Appls : analyse d’une douleur spontanéeUne douleur se caractérise par : - circonstance d’apparition ( brutale ou progressive ) - son horaire ( diurne ou nocture, à l’effort ) - sa durée - son siège ( abdominale, thoracique,... ) - ses irradiations ( douleurs projetées ) - son type ( pesanteur, torsion, brûlure, coup de poignard ) - les circonstances dans lesquelles elles disparaissent ou s’exagèrent ( décubitus dorsal = couché sur le dos, repos, prise de médicaments,...) N.B. pancréatite : le plus souvent lié à l’alcool, position antalgique = plié en deux - l’intensité de la douleur ( échelle d’évaluation de 0 à 10 ) - signes d’accompagnement : toux, expectoration, dyspnée, nausées, vomissement, impotence fonctionnelle = ne plus pouvoir bouger un membre,... Signes physiquesLe malade doit être mis en confiance : importance du dialogue médecin/ malade. On commence par l’organe a priori concerné, on examine en suite les autres appareils InspectionLa 1° démarche consiste à observer le malade dans son ensemble pendant l’interrogatoire. - faciès figé => maladie de Parkinson - asymétrie du visage => paralysie faciale - tuméfaction - position assise => cardiaque en phase aiguë - assis au bord du lit, jambes pendantes => artéritique N.B. Lors d’un calcul biliaire triade : douleur, fièvre, ictère(= jaunisse) |