Instances decisionnelles ou consultatives avec ou sans representant siuaps








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Article 10.reglement des litiges


Sous réserve des dispositions de l’article 8 ci-dessus, en cas de différend sur l’exécution de l’une des clauses de la présente convention et à défaut d’accord amiable, la partie la plus diligente pourra saisir le Tribunal Administratif compétent.

Article 11.annexes


La liste des annexes à la présente convention est composée comme suit :

  1. Règlement intérieur du local mis à disposition

  2.  Etat des lieux

  3. Police d’Assurances souscrite par le LOCATAIRE

    La présente convention est établie en deux exemplaires originaux.

Fait à Pau, le 2004

Pour l’Université de Pau Le Président Pour ......
et des Pays de l’Adour PROPRIETAIRE LOCATAIRE
GRILLE DE NOTATION DES PROFESSEURS D’EDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE AFFECTES DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

Arrêté Ministériel du 30 Avril 1992 modifié par les Notes de Services 96-024 du 09/01/1996 et NS 97-192 du 08/09/1997 en ce qui concerne la création du 7ème échelon HC

1) CLASSE NORMALE


ECHELON

NOTE MINIMALE (Sur 100)

NOTE MAXIMALE (Sur 100)

NOTE MOYENNE

1er

60

82

74

2ème

60

82

74

3ème

60

82

74

4ème

61

83

75

5ème

63

85

77

6ème

68

89

81

7ème

72

92

84

8ème

74

94

87

9ème

76

96

89

10ème

78

97

90

11ème

80

99

92


2) HORS-CLASSE


ECHELON

NOTE MINIMALE (Sur 100)

NOTE MAXIMALE (Sur 100)

NOTE MOYENNE

1er

73

93

86

2ème

76

96

88

3ème

77

97

89

4ème

79

98

90

5ème

80

100

93

6ème 7èm

82

100

94



CONDUITE DE REUNION

Définir: l'objectif de réunion critères pour les représentants ce que l'on va attendre de lui. Définir quel est l'enjeu par rapport aux gens avec qui on travaille

-Pression autoritaire

-Mettre en place une situation où tout le monde est content

Dimension essentielle.

Objectif: éviter le conflit.

Lorsqu'un petit groupe travaille et arrive à un projet fini puis le présente aux autres: ça débarque, ils ne sont pas concernés ça les gêne ils ne voient pas l'intérêt. Il y a toujours une résistance aux changements et si l'on rajoute à ça le manque d'explications c'est la surprise et surtout le manque d'intérêt.

Il faut donc repartir à zéro, comme a fait le petit groupe.Toutes les étapes par lesquelles le petit groupe est passé doivent être retraduites en termes du pourquoi? comment? par le grand groupe.

Pour qu'ils adhèrent: (étape à respecter dans le temps avec un nombre à négocier pour l'optimiser).

1-Il faut qu'ils comprennent

2-Il doivent être motivés. Rechercher le point de motivation qui va provoquer une envie de changer et qui va réduire l'inertie résistante au changement.

Dans un grand groupe tout le monde adhère suite à l'intervention de grand parleur; mais s'il y a problème les gens ne prennent pas la parole si on leur demande leur avis car le groupe est trop grand.

-Si dans un petit groupe on est attaqué, il ne faut pas réagir de façon duelle( par peur du groupe ou par sensation d'être attaqué). Il faut prendre du recul demander au groupe ce qu'il en pense.(Il y a très souvent des oppositions dans le groupe.).Ceci afin d'éviter de cristalliser sur quelqu'un qui n'est peut-être pas représentatif du groupe.

-Si on a une sensation d'enlisement, de tourner en rond. Une solution est de donner la parole à celui qui n'intervient pas ou à celui qui avait eu une idée différente non entendue et qui n'intervient plus.Cà reprend le mode de fonctionnement où on rompt une situation par une minute de silence (notion de rupture).

3-Etapes intermédiaires pour préparer ça.

Travail sur petits groupes. A fortiori lorsque les deux premières choses n'ont pas été respectées.

-Pour adhérer il faut être porteur plutôt que d'adhérer aux idées des autres.Lorsque le statut n'est pas reconnu. On présente, mais des résistances et des critiques peuvent apparaître. Les faire parler et reprendre ses propres idées chez ceux qui les expriment en se servant de la question-écho..

I COMMENT ORGANISER SA PENSEE LORSQUE L'ON DOIT PARLER ET QUE L'ON N'A PAS PREPARE SON DISCOURS. plan proposé
Situation: contexte, cadre

Observation: faits, constats, (médias)

Sentiment: situé à différents endroits (pas forcément présent)

Réflexion: sorte d'exposé qui débouche sur une

Action: propositions,décisions (montrer là la fin du discours)

si on demande un avis on part tout de suite de la réflexion vers l'action
sinon il faut mettre en place ce plan pour autoalimenter sa réflexion afin d'arriver à déboucher sur une proposition.

La position du sentiment relève de la stratégie (en politique notamment où il est souvent absent ).

Il faut éviter d'avoir un discours exhaustif et ne pas répéter les mêmes éléments qui n'apportent rien de plus à la discussion.

Il vaut mieux être bref et bien organiser son discours en concluant.

Il faut bien se positionner en s'installant confortablement pour éviter de se mettre en situation de "mal-être" (cela réduit le trac ). Tous ces détails sont des éléments de perturbation énormes.

Voix

Attitude

Langage

Sourire

Elocution

Regard

Ce sont les facteurs qui servent à faire passer son message (au niveau corporel).Si on a un manque dans un domaine il faut compenser en excellant dans un autre.

* Bonne technique pour orienter une discussion vers un sujet: généraliser à partir d'un exemple particulier et choisir son thème favori.

TECHNIQUES DE REUNION AVEC SITUATION CONFLICTUELLE

Conseils lors d'une situation avec un animateur de réunion.

- avoir le réflexe de rappeler: l'objet, l'objectif, de la réunion et les informations préliminaires (important pour le pôle de la production, pour recentrer et pour créer le groupe autour du contexte.

- faire les préalables avant de travailler pour éviter les rappels à l'ordre.On peut créer une ambiance par une simple boutade.

- Eviter que plusieurs personnes s'expriment en même temps: c'est négatif.

- à partie d'un refus pour exécuter une tâche ex: prendre des notes être patient car souvent un "sauveur" va se sacrifier.

- ne pas donner de notion de négatif en début de réunion.

- si on sait on suggère le départ, si on ne sait pas on se sert du groupe pour remplir le rôle de production afin de construire avec lui (question écho: comment pourrait-on traiter le sujet? ).

- dès que des éléments apparaissent, surtout s'ils sous-tendent des idées importantes ou pas il faut en profiter pour gérer le débat en relançant sur la personne qui s'est exprimée par une question écho ou une question miroir (reprendre les idées du groupe ).

- poser le pour et le contre dans sa conduite dans la perspective des bénéfices et des inconvénients

- être vigilant pour ne pas parler en même temps que les participants et attendre une pause pour reprendre les éléments invoqués.

- lorsqu'il y a rupture ex prise de parole d'une personne qui ne parle guère il faut accentuer en faisant répéter avec écoute de tous.

- lorsque cela déborde ne pas hésiter à repartir de zéro pour éviter de s'enliser. Cela peut être positif car on repart sur de bonnes bases après que chacun ait pu sortir des choses "folles".Le vote est une situation d'échec.

- à chaque question négative renvoyer une question miroir pour aboutir à du positif; exploiter tout ce qui peut être dit.

- si un emmerdeur intervient sans cesse faire soit une pause de 5mn avec tête à tête avec lui, soit si c'est quelqu'un qui parle tout le temps lui donner la parole; ainsi on pourra s'appuyer dessus "laisse parler les autres tu as exprimé ton point de vue".

- le risque de trop préparer c'est d'être enfermé dans ses idées empêchant ainsi de créer.

SE FAIRE COMPRENDRE

Ou on est sûr que le public comprend le langage, ou il faut repréciser toutes les notions utilisées par ce langage. D'où la nécessité lorsqu'on fait un discours de définir ce que l'on dit.

Dire les pièces correspond au plan, aux différentes parties. Si possible écrire au tableau pour s'y raccrocher.

Pour ce qui concerne le code utilisé il est nécessaire d'expliquer les mots techniques ou scientifiques ou être le plus simple possible

Il faut se rendre compte de la quantité de mots imprécis utilisés; d'autre part certains mots sont inutiles mais certains indispensables; ainsi lors d'un exposé bien préparé on ne doit pas faire cette erreur et n'utiliser que des éléments essentiels pour comprendre.

La redondance n'apporte rien sinon le fait qu'elle embrouille si elle ne permet pas de corriger une certaine conception; elle doit corriger l'attention du récepteur ou être utilisée si elle apporter du nouveau.

Il existe une certaine frustration de ne pouvoir intervenir en tant que récepteur donc il faut essayer partie par partie de faire des pauses pour permettre de réagir; de telle façon en cas de décrochage au niveau de l'assistance on peut repartir sur une autre partie.

ARGUMENTATION

L'objectif est lors d'une situation pour/contre de défendre son point de vue en tenant compte des arguments de l'autre.

- il ne faut pas vouloir convaincre à tout prix mais essayer de développer sa capacité d'écouter les arguments de l'autre pour les intégrer afin de les utiliser dans la discussion et éviter de rentrer dans un dialogue de sourds.

- si on ne s'occupe que des arguments de l'autre il faut le pousser dans ses derniers retranchements "alors si tu dis çà..", "dans ce cas là...", en prenant donc le risque qu'il puisse parfaitement développer sa théorie sans anicroche ce qui est rare.

- les valeurs lorsqu'on les cible par rapport au sujet sont de bons arguments car on ne peut raisonnablement être contre (la liberté ); l'argumentation valeur si elle est forte et maintenue est bonne.

- la mise de l'exemple sur l'autre "et si c'était vôtre fils..." a valeur d'illustration; il ne faut pas se dérober face à une telle question mais essayer de noyer le poisson en reprenant des termes utilisés par l'autre pour accrocher autre chose et aborder son domaine privilégié: c'est une bonne stratégie.

- les chiffres sont à double tranchant; le débatteur peut avoir d'autres chiffres ou dire " on peut faire dire n'importe quoi aux chiffres..."; s'ils sont utilisés ils doivent être incontournables.

- les arguments du style extrapolation "en imaginant... et si et si..." ne passent pas; il n'y a pas d'éléments qui puissent justifier ces supputations.

- les caricatures n'ont pas de poids, à la rigueur cela détend l'atmosphère.

- lorsque l'on est toujours en situation de défense, on s'épuise rapidement; il faut renverser la vapeur en relançant dans le terrain de l'autre.

- il faut se réoxygéner dans les débats en soufflant et en faisant parler l'autre chez qui on va trouver des éléments pour s'appuyer afin de le pousser dans ses derniers retranchements.

- il faut éviter l'emploi des termes vagues, ou si on utilise du conceptuel (qui n'est pas un argument force ), savoir ce que l'on y met dedans.

- enfin il faut faire attention de quoi on parle sinon le débat devient inutile.

ANALYSE TRANSACTIONNELLE
Concept créé par un psychologue américain BERN. Ecole de Palo ALTO.

Les relations humaines peuvent être considérées comme des échanges, négociations, marchandages plus ou moins explicites qui sont des transactions. Chaque individu perçoit la réalité et agit en fonction de 3 systèmes différents: les états du moi (un ensemble spécialisé de comportements, d'opinions, d'émotions) qui sont des modèles pratiques pour décoder ce qui se passe en nous et/ou chez les autres. A partir de cette capacité à définir dans quel état du moi se trouve l'autre, on peut définir l'état du moi personnel qui va rompre ou aller dans le sens de l'autre.

I-Les 3 états du moi sont:

parent adulte enfant

Dès 6 ans, on passe d'un état à l'autre. L'analyse transactionnelle c'est la capacité à repérer où se situe l'autre.

1-L'état parent

tout ce qui résulte de l'éducation, des expériences, des modèles au cours du passé. Il se fonde sur la morale, le souci de protection. C'est la vie apprise.

2-L'état enfant

toutes les émotions, les sentiments, les passions, la vie sensible, l'irrationnel, les peurs ou angoisses, l'imagination ou la créativité. C'est le lieu des motivations, des impulsions. C'est la vie ressentie.

3-L'état adulte

On agit là par le raisonnement, l'expérimentation. Le traitement des informations extérieures se fait sans préjugés, sans jugement.On classe, on analyse, déduit, organise décide. C'est l'aptitude à ramasser les infos pour décider. C'est la vie expérimentée.
II-Les différentes fonctions de ces états

1-Etat parent : indiquer des normes de façon positive: normatif,sauveur

donnant négative: persécuteur

donner de l'aide de façon positive: donnant

négative: sauveur

-Le normatif +: énonce des règles et devoirs et il les fait appliquer.Les règles sont applicables, utiles et souples.

-Le persécuteur -:écrase, critique, fait du chantage. Les règles sont

inapplicables, inutiles, arbitraires, rigides, humiliantes.

-Le donnant +: diagnostique les besoins, développe les motivations, veille au conditions de travail, aide efficacement; une aide qui correspond à son rôle selon ses capacités, de façon sincère en réponse à une demande.Dans cette aide qu'il apporte, il fait moins de 50% du chemin.

-Le sauveur -: cela devient étouffant, il fait tout à la place des autres, ne sait pas déléguer, il ligote, il propose une aide qui dépasse son propre rôle, il se force à aider et ne se soucie pas de la demande, il fait plus de 50% du chemin.
2-Etat enfant

s'adapter aux règles de la vie en société:adapté + (positif)

soumis - (négatif)

se laisser aller à la spontanéité naturelle:libre + (positif)

rebelle- (négatif

-L'adapté +: fait ce qu'il convient de faire pour être bien adapté, aménage de façon positive les contraintes. Il est épanoui, obéissant, à l'aise, réaliste, clair.

-Le soumis -: n'exprime pas ses idées, se plaint, rumine tout seul. Il est brimé, influençable, sans confiance, anxieux, confus.

-Le libre +: très motivé par ce que l'on fait, ses émotions et sentiments l'aide à communiquer des relations chaleureuses. Il est simple, créatif,indépendant, spontané.

-Le rebelle -:rejette systématiquement toutes contraintes, il est impulsif, attaque maladroitement, cherche à être désagréable, provoquant, destructeur; s'opposant à toute autorité, très difficile à contrôler. Ce n'est pas un état de liberté,il recherche l'attention, guidé par l'obsession de focaliser l'affection.
3-Etat adulte

pas de fonction. Etat très froid, professionnel. Etude précise des choses.

4-La différence entre interaction et transaction.

En transaction il y a volonté d'échange d'idées, de concepts.en interaction, il n'y a pas de transactions. Les transactions qui se passent le mieux:état adulte/état adulte.

Les transactions qui posent des problèmes:état adulte/état rebelle.

Il faut donc repérer l'état de l'autre et se fondre dans l'état complémentaire. Comment repérer? par le discours, le verbe et par les comportements non verbaux.

III-Les comportements non verbaux signifiants.

ils n'excluent que le verbe mais pas les bruits qui sont des comportements non verbaux.

-éléments visuels

cinétique rapide: regards, mimiques, gestes.

cinétique lente: les postures.statiques : comportement vestimentaire et ornemental.

-éléments olfactifs et tactiles

-le rapport à l'espace (la proxémique). Pur la compréhension d'un message, les comportements non verbaux comptent pour 2/3. On passe 70% de son temps de veille en état de communication. Le verbal représente 30 à 35% des significations; les médiums non verbaux 65 à 70%.

Lorsque la communication ne passe pas, il y a souvent des problèmes non verbaux.

1-La proxémie

terme créé par Edward HALL "La dimension cachée"

A-zone intime (bras plié): C'est la confidence, les messages individuels.Il y a peu de regards, beaucoup de mode tactile et olfactif. C'est la zone affective.

B-zone personnelle (bras tendu): Le regard est important, il perçoit les attitudes. On ne s'adresse qu'à une personne.

C-zone sociale (2 bras tendus): On s'adresse à un ensemble de personnes.

D-zone publique : Les gestes et déplacements sont perçus.

Quels sont les glissements de zones? qui va savoir jouer sur ces rapports de distances?

Rapprochement: attirance, entente, passion, aisance, affection, confiance, conviction, chaleur.

Eloignement: rejet, crainte, froideur, désaccord, non engagement, gêne, désintérêt, doute.

exemple: pour vexer : message personnel à dire à distance sociale ou publique. Pour encourager:message personnel à dire à distance personnelle. Il faut savoir repérer les glissements de zone chez l'autre .Le bon communicant va savoir lire les indices.

L'aménagement de l'espace va influencer pour induire des relations individuelles ou pas (voir dans les halls le souci de créer un type de relations)

2-Les éléments corporels de la communication non verbale

*cinétique rapide

-Le regard: donne des indices très intéressant afin de relever la perte de communication, permet de faire évoluer son discours.

-Les mimiques: les mouvements du nez, des yeux, de la bouche. Ils font partie des 65% du message.

L'émetteur doit être capable de se maîtriser mais surtout de percevoir l'autre donc de savoir "écouter". L'information doit être sincère pour qu'il y ait congruence entre les 2 parties.

Dans une négociation on peut jouer Gagnant/Perdant.

dans G2 P1 on tue l'autre qui ne pourra jamais être un partenaire.Donc essayer le G2 G1 en jouant le compromis.

-Les gestes:de la main et des bras qui accompagnent et renforcent le discours (gestuelle conversationnelle)

exemple:français enseigné comme une langue étrangère.

main étendue:étendre le message.

poing fermé:asséner l'info.

index tendu:intention d'attaque, dominateur.

la pince (pouce/index): recherche de la précision

main bourse: subtilité du point accordé (précision).

main enveloppe (va et vient):détermination.

main serrée: dominer prendre.

main tranchée: rupture dans le dialogue ou l'idée.

2 mains: paumes au sol: tempérer.

paumes extérieures: geste pare-chocs.

paumes en l'air: ouverture pacifisme.

paumes face à face: message facile on protège la bougie pour ne pas l'éteindre.

mains jointes: message confidentiel, intérieur.

doigts croisés:protection.

En meeting, il est nécessaire d'amplifier ses mouvements or lors des retransmissions cela peut choquer (réduction de la gestuelle durant le passage TV)

*cinétique lente

Les éléments corporels donnant lieu à des postures:tête, bras, torse bassin,jambes. Des sous-postures peuvent donner des significations différentes. Une posture est durable et constante (cinétique lente). L'image globale d'une posture est donc la combinaison de postures. Le passage d'une posture à une autre est très significatif à l'instar des glissements concernant la proxémie.

On voit dans les postures les degrés d'intérêt ou de fatigue.(assis: le bassin s'avance ou bassin collé au dossier ou recul du buste ou avancée du buste ou tassement du buste ou déplacement du buste).Tous ces éléments se retrouvent partout.
IV-Indices verbaux de l'analyse transactionnelle
-Etat parent:

commandements,normatif (le chef a toujours raison)conseils,protecteur-sauveur ;jugement. Le paraverbal comprend le rythme le timbre,et la hauteur de la voix. Dans un message on compte 80% de non verbal, 12% de paraverbal et 8% de verbal.

- Etat enfant:

se manifeste plus par des gestes que des paroles. soumis: voix faible mal articulée.rebelle:bruyant, excité, bailler. L'état enfant se caractérise par une grande mobilité des yeux, le fait de mâcher, de mimer la situation, se tortiller, piétiner.

-Etat adulte:

Il est froid et efficace, se montre calme, sans émotions,il écoute avec attention, pose des quesions d'informations.

Le verbal est constitué de questions (qui, quoi, où, comment, quelle heure est-il, qu'est ce qui vous fait penser cela, quels sont les faits, les moyens) Il attend des réponses concises, précises, sans ambigüités.Son attitude est relâchée mais attentive, sa voix directe, calme maîtrisée.

Quelques définitions

La communication : processus qui permet de transmettre des informations.

L'information:contenu du message.

Lors d'une transactions les différents états vont se rencontrer.
PREPARATION NEURO-LINGUISTIQUE

Créée par BANDLER et GRINDLER en 1970. Antoine LA GARANDERIE s'appuie sur eux.

La préparation neuro-linguistique (PNL) c'est un ensemble de techniques visant une habilité à communiquer au travers d'une meilleure écoute et d'une meilleure observation de l'autre (interlocuteur).
P: comparaison entre le cerveau et l'ordinateur qui forme des programmes comportementaux.

N: concerne les perceptions (vue, kinesthésie, audition).

L: comprend le langage et la communication non verbale.
Chacun perçoit le monde selon un modèle comportemental obtenu par les 5 sens (vue, kinesthésie, audition, olfactif, gustatif). Il faut percevoir sur quels types de représentations sont branchés les interlocuteurs: auditif, visuel, kinesthésique (V A K).Ceci peut se voir à sa façon de parler.

Registre du visuel: je vois bien ce que tu veux dire, éclairer, clarté.

Registre auditif: j'entends bien, diapason.

Registre kinesthésique: mettre le doigt sur quelque chose.

Les clés d'accès visuelles:

pour l'observateur à gauche visuel:images créées

à droite visuel: images vécues

en haut à gauche, en haut à droite, au milieu du visage à gauche auditif: crée des sons à droite auditif: sons mémorisés.cela s'inverse pour les gauchers.

Regard vers le bas :

à gauche kinesthésique droite dialogue intérieur

La personne qui regarde à gauche suite à une question, ment.

Différents mots concernant les registre:
visuel auditif kinesthésique
petit accord satisfaisant
inférieur reproche convaincu
prévoir dire apprécier
aspect dessus
remarquer réponse
voir parler
regarder soit dit
circulaire dessus
gauche
etc...

Accès oculaires visuel(mémorisé ou construit),kinesthésique.

auditif(mémorisé, construit, dialogue interne), dialogue interne.

Accès verbaux: Registre visuel:voix haut perchée, débit rapide, saccadée.

Registre kinesthésique: voix grave, tonalité basse, débit lent, pauses longues.

Registre auditif: tonalité variable, débit moyen.

Bibliographie :
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