Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres








titreAu fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres
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présente
Vladimir Vladimovitch NABOKOV
(Russie-États-Unis)
(1899-1977)

Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres,

qui sont résumées et commentées,

trois dossiers à part étant cependant consacrés à :

- ses nouvelles,

- son roman, ‘’Lolita’’,

- ses autres romans.

Une synthèse est tentée à la fin (page 59).
Bonne lecture !

Il est né à Saint-Pétersbourg, dans une riche et réputée famille aristocratique que la légende faisait descendre d'un prince tatar russifié du XIVe siècle, Nabok Murza. Elle possédait des terres dans la province de Kazan et des mines d'or dans l'Oural. Elle s'était illustrée au service de l'Empire russe, comptant parmi ses membres des militaires et des hommes d'État :

- son arrière grand-père, qui avait été le premier président de l'académie de médecine ;

- son grand-père, qui avait été ministre de la justice sous les tsars Alexandre II et Alexandre III, avait réussi à empêcher l'application de mesures antisémites prises par le ministre de l'intérieur ;

- son père bien-aimé, Vladimir Dimitriévitch Nabokov, qui, né en 1870, était un éminent juriste, professeur de droit pénal à l'école impériale de jurisprudence, un criminologue, l'éditeur de la revue juridique de l'opposition libérale, ''Pravo'' (''Le Droit''), le plus ferme défenseur des droits des juifs dans l'empire russe.

Sa mère, Elena Ivanovna Roukavichnikov, qui était issue d'une richissime famille de propriétaires terriens (c'était d'ailleurs elle qui possédait plusieurs des maisons familiales), lui assura une enfance heureuse dans le vaste hôtel particulier du 47 rue Bolchaïa Morskaïa (dans un des quartiers les plus élégants de la capitale), où étaient employés constamment une cinquantaine de serviteurs, tandis que les étés étaient passés dans une propriété de Vyra, près de Siverskaya, à cinquante kilomètres plus au sud, ou au château de Rojdestveno (aujourd'hui musée Nabokov) et même à l'étranger.

Vladimir fut le premier de cinq enfants : allaient naître, en 1900, Serguéï ; en 1903, Olga ; en 1906, Éléna ; en 1912, Kirill.

En 1901, la famille séjourna à Pau, dans le château de Perpigna qui appartenait à «Oncle Rouka», Vassili Ivanovich Roukavichnikov, le seul oncle maternel.

En 1902, les garçons commencèrent à apprendre l'anglais, car ils eurent «une file ahurissante de nurses et de gouvernantes anglaises» («la langoureuse et mélancolique Miss Norcott», «la vague Miss Rachel Home», «la myope petite Miss Hunt», «Miss Robinson au nez tout rose»), et, de plus, leur mère, anglophile comme son mari, leur lisait des contes de fée en anglais. Dans la famille, on passait aisément, à table, du français à l'anglais et au russe. Il allait indiquer : «J'appris à lire en anglais avant de savoir lire en russe». Ils eurent aussi une gouvernante française, Mlle Rachel Accueil, qui leur lisait les grands classiques de la littérature française. Ils eurent encore des précepteurs allemands. Ainsi, ils maîtrisaient trois langues étrangères. C'est ce qui allait permettre à Vladimir d'être un écrivain polyglotte, d'avoir, avant même l'émigration, la sensation d’une identité mobile.

Si la famille était officiellement orthodoxe, elle n'était animée d'aucune ferveur religieuse, et Vladimir ne fut pas forcé d'aller à l'église quand il perdit tout intérêt pour ces pratiques.

Son père, qui était un libéral, se lança en politique. En janvier 1903, il fut élu membre du conseil municipal de Saint-Pétersbourg. En avril, à la suite d'un pogrom à Kichinev où quarante-cinq juifs furent assassinés, il écrivit, dans le journal ''Pravo'' qui critiquait le gouvernement, un article intitulé "Le bain de sang de Kichinev" où il accusait le gouvernement d'encourager tacitement ces manifestations de haine raciste.

En septembre-décembre, la famille se rendit à Paris puis à Nice.

En avril 1904, la famille séjourna à Rome et à Naples ; en été, dans le sud de la France, à Beaulieu.

Comme, du 19 au 22 novembre 1904, eut lieu à Saint-Pétersbourg le premier congrès national des «zemstvos» (assemblées locales), qui demandaient que soient effectués d'importants changements politiques (l'octroi d'une constitution et de droits civils), la dernière séance se tint chez les Nabokov.

Après le fameux «dimanche rouge», le 22 janvier 1905, où, à Saint-Pétersbourg, des troupes avaient tiré sur des manifestants, Vladimir Dimitriévitch Nabokov condamna le massacre devant le conseil municipal. Huit jours plus tard, il fut interdit de présence à la cour.

En février, la famille se rendit à Abbazia (aujourd'hui Opatija, en Croatie).

Au cours de l'été, «durant l'un de ses brefs séjours avec nous à la campagne, notre père constata, avec une consternation de patriote, que mon frère et moi étions capable de lire et d'écrire en anglais, mais pas en russe.» Aussi eurent-ils leur premier précepteur russe, l'instituteur du village de Vyra, Vassili Zhernosekov.

Alors qu'une grève générale avait été déclenchée en Russie, Vladimir Dimitriévitch Nabokov assista, à Moscou, du 12 au 18 octobre, au congrès qui allait fonder le parti constitutionnel-démocrate (ou K.D.).

En mars 1906, eurent lieu les premières élections parlementaires, où le parti K.D. obtint la majorité à la première Douma. Vladimir Dimitriévitch Nabokov, qui avait été élu, se montra un opposant déterminé au despotisme du tsar. Le 15 mai, il fut désigné pour prononcer le discours au trône. Comme, le 26 mai, le programme qui avait été alors présenté fut rejeté, il protesta : «Il faut que le pouvoir exécutif soit soumis au pouvoir législatif !».

Mais, le 22 juillet, Nicolas II prononça la dissolution de la Douma. Le lendemain à Vyborg, en Finlande, Vladimir Dimitriévitch Nabokov et les autres membres du parti K.D. signèrent un manifeste déclarant illégal cet acte de dissolution, appelant le pays à boycotter la conscription et la levée des impôts. Moins d'une semaine plus tard, les signataires furent destitués de leurs droits politiques. Vladimir Dimitriévitch Nabokov devint l'éditeur du journal du parti ''Rech'' («discours»).

Cette année-là, entra dans la famille une nouvelle gouvernante des garçons, la Vaudoise Cécile Miauton. Le matin, elle leur donnait des cours de français, et l'après-midi leur lisait les grands textes de la littérature française. Il allait la retrouver, à la fin des années 1920, sur les bords du Léman, et l'évoquer dans sa nouvelle, ''Mademoiselle O''.

Cette année-là encore, âgé de sept ans, il commença, avec son père, à chasser les papillons, vit naître son intérêt pour l'entomologie à la lecture de livres de Maria Sibylla Merian qu'il avait trouvés dans le grenier de la maison de Vyra, et qu'il lut attentivement quand il dut rester alité pour se relever d'une sévère pneumonie. Cela allait devenir pour lui une passion, car il aima les papillons plus que les êtres humains ; il allait continuer à les étudier toute sa vie, au point de devenir un spécialiste reconnu, qui donna même son nom à une variété !

Il découvrit aussi les échecs.

Surtout, mettant à profit «la bibliothèque de dix mille ouvrages» de son père, il commença à explorer la littérature, une passion pour elle naissant en lui.

En décembre 1907, Vladimir Dimitriévitch Nabokov passa en jugement pour avoir signé le manifeste de Vyborg, et fut condamné à trois mois de prison ferme. En 1908, il purgea sa peine dans un cachot, à Saint-Pétersbourg, et, à sa sortie, le 25 août, fut accueilli triomphalement.

Puis, jusqu'en octobre 1908, les Nabokov séjournèrent à Biarritz.

Un précepteur anglais vint rejoindre le précepteur russe, et Vladimir eut également un professeur de dessin, anglais.

En 1909, il lut Verne, Doyle, Kipling, Conrad, Chesterton, Wilde, Pouchkine, Tolstoï.

En automne, de nouveau, des vacances furent passées à Biarritz où il tomba amoureux d'une petite fille de neuf ans, Claude Deprès (qu'il allait appeler «Colette» dans une nouvelle de ce titre et dans son autobiographie, ''Autres rivages'').

En 1910, il y eut, pour les garçons, un nouveau précepteur et un nouveau professeur de dessin.

Vladimir traduisit en alexandrins français ''The headless horseman'' de Thomas Mayne Reid, et approndit sa connaissance des lépidoptères.

En automne, les Nabokov se rendirent, en Allemagne, à Bad Kissingen, puis à Berlin où furent laissés, pour un trimestre, les deux garçons et leur précepteur.

En janvier 1911, les garçons firent leur entrée à l'Institut Tenichev, une école privée d'avant-garde, ouverte à tous, mais qui était l'une des plus chères de l'Empire russe, et où ils étaient conduits dans une Rolls-Royce en portant les vêtements qu'ils voulaient (et non l'uniforme imposé ailleurs). Vladimir se trouva en «seconde», classe qui correspond à la cinquième française. Il allait suivre les cours sans grand enthousiasme, préférant se consacrer à de premières tentatives littéraires que n'appréciait cependant pas son professeur de littérature, Vladimir Vasilivitch Gippius. Son frère, Sergueï, allait être renvoyé de cette école, probablement en raison d'amitiés particulières.

Cette année-là, son père, étant attaqué par un journal conservateur, provoqua en duel son éditeur, Mikhail Souvorine. L'affrontement n'eut pas lieu, mais le jeune Vladimir craignit fort de voir son père mourir (ce souvenir allait donner lieu à sa nouvelle, ''L'arroche'').

En 1912, il suivit les cours du peintre pétersbourgeois Mstislav Doboujinski, et cela allait durer deux ans.

En été, il lut Pouchkine, Poe, Browning, Keats, Verlaine, Rimbaud, Gogol, Tchékhov, Dostoïevski, Shakespeare, Tolstoï, Flaubert, James, Wells (qui était alors son écrivain favori).

En 1913, Vladimir Dimitriévitch Nabokov alla assister au procès, à Kiev, du juif ukrainien Mehahem Mendel Beilis, qui, dans le cadre d'une campagne antisémite organisée par le gouvernement pour diriger l'insatisfaction populaire contre les juifs, était accusé d'avoir commis un crime rituel sur un garçon chrétien de treize ans. Le procès mobilisait toute l'«intelligentsia» russe, et toute l'Europe en suivait le déroulement. Vladimir Dimitriévitch Nabokov, qui avait conseillé les avocats de Beilis qui, d'ailleurs, fut acquitté, écopa d'une amende pour en avoir rendu compte dans un journal.

En 1914, au cours d'un dîner organisé chez les Nabokov, Vladimir eut le privilège de rencontrer H.G. Wells, dont il admirait l'oeuvre.

Comme il vivait une idylle passionnée avec une jeune fille, Valentina Evgenievna Shoulgine, son premier grand amour (elle allait être "Machenka" dans le roman éponyme, ''Katya'' dans la nouvelle ''La flèche de l'Amirauté'', "Tamara" dans l'autobiographie ''Conclusive evidence'', mais fut toujours, pour lui, "Lyussia"), il composa sa première oeuvre, un poème : ''Другие берега'' - ''Drugie berega'' (''Autres rivages'').

Comme, le 1er août, l'Allemagne déclara la guerre à la Russie, Vladimir Dimitriévitch fut mobilisé en tant que sous-lieutenant de réserve, tandis qu'Éléna s'engagea comme infirmière. Les derniers tuteurs des deux frères aînés quittèrent la famille.

En automne, le poème de Vladimir, polycopié et relié, fut distribué à la famille et aux amis.

Olga et Éléna accueillirent leur préceptrice, Evguénia Hofeld, qui allait rester de nombreuses années dans la famille, et devenir la plus proche compagne de la mère pendant ses dernières années.

En 1915, Vladimir, malade du typhus, resta alité.

Il découvrit le journal intime de son frère, Sergueï, le lut et l'apporta à son précepteur qui, à son tour, l'apporta au père. Ce journal devait contenir des passages où apparaissait le goût de Sergueï pour les garçons, et qui fournissaient à son père l'explication de certaines des attitudes bizarres à ses yeux de ce fils qui, alors que l'aîné, Vladimir, était le centre de l'attention, grandissait, timide et malheureux, dans son ombre, car il avait un physique fragile, une grande sensibilité, souffrait d'un bégaiement terrible, se comportait avec indolence ; il n'y avait pas deux frères qui puissent être aussi différents.

En septembre 1915, Vladimir Dimitriévitch fut muté à Saint-Pétersbourg, loin du front.

En novembre, Vladimir participa à l'édition du journal littéraire de son collège, ''Yunaya mysl'' (''La jeune pensée''), et y publia un autre poème, “Osen” (“Automne”).

En janvier 1916, il y publia une traduction de "La nuit de décembre" de Musset.

Au printemps, la meilleure revue littéraire de Russie, ''Vestnik evropy'', publia un de ses poèmes sous le pseudonyme de «В. Сиринь» («Vl. Sirine») (qu'il avait pris pour ne pas être confondu avec son père, le mot désignant, dans le folklore russe, un fabuleux oiseau de paradis).

Puis il fit imprimer à compte d'auteur, à cinq cents exemplaires :

_________________________________________________________________________________
Juin 1916

''Stikhi ''

"Poèmes"
Recueil de soixante-sept poèmes
Ils étaient inspirés par Valentina Evgenievna Shoulgine. Nabokov allait les qualifier de «poèmes d'amour dans le style Sully-Prudhomme».

Il plaça en épigraphe ces deux vers de Musset :

«Un souvenir heureux est peut-être sur terre

Plus vrai que le bonheur.»

_________________________________________________________________________________
La poète renommée, Zinaïda Gippius, qui était la cousine de Vladimir Dimitriévitch, lui demanda : «S'il te plaît, dis à ton fils qu'il ne sera jamais un écrivain.» Brian Boyd, le biographe de Nabokov, allait pouvoir dire : «Ses vers sont plus poétisants que poétiques».

Il publia encore, dans le journal ''Vestnik evropy'', un poème intitulé “Lunnaia greza” («rêverie lunaire»).

En 1916, son unique oncle maternel, Vassili Ivanovich Rukavishnikov («oncle Rouka»), mourut. Ce diplomate homosexuel, riche dilettante excentrique, qui était vraisemblablement amoureux de Vladimir, fit de lui son héritier. Malgré l'opposition de son père, alors qu'il était âgé de seulement dix-sept ans, il devint le propriétaire de sa demeure de Rozhdestveno, près de Vyra (la seule maison qu'il allait posséder au cours de sa vie), de deux mille acres de terres et d'une fortune colossale (deux millions de livres sterling), dont, cependant, il n'allait profiter que pendant quelques mois.

Vladimir Dimitriévitch continuait à militer pour le parti K.D., en tant que journaliste et éditeur du journal du parti. Il fut menacé par des terroristes d'extrême-droite, les Centuries noires (dits aussi Cent-Noirs).

En 1917, la révolution (celle de février) ayant éclaté, et le tsar ayant, le 15 mars 1917, abdiqué en faveur de son frère, le grand-duc Michel Alexandrovitch, Vladimir Dimitriévitch participa, le lendemain, à la rédaction de la lettre d'abdication de celui-ci, acte qui signa le glas de la dynastie des Romanov. Puis, membre de la nouvelle Assemblée constituante, il fut nommé chancelier (donc ministre sans portefeuille) dans le gouvernement provisoire de Kérenski.

Vladimir écrivit “Dozhd proletel” («la pluie est tombée»), qui allait être le premier poème inclus dans son recueil ''Poems and problems'' (1970).

Quand fut déclenchée la révolution d'octobre, que les bolcheviks prirent le pouvoir, Vladimir Dimitriévitch Nabokov fut maintenu président de la commission électorale de l'Assemblée constituante.

Mais, dès que Vladimir eut terminé ses examens de fin d'année, le 15 novembre, il l'envoya, avec Sergueï, en Crimée, pour leur éviter d'être incorporés dans l'Armée rouge. Ils furent accueillis dans la famille d'un des chefs du parti K.D., à Gaspra, au sud de Yalta, où leur mère et leurs frère et sœurs les rejoignirent. Ils pensaient que leur séjour serait court, mais il allait se prolonger. Ce fut alors que Nabokov, à ses heures perdues, commença à créer ses premiers problèmes d'échecs, une activité qui pour lui s’apparentait à la composition littéraire puisqu'un problème d’échecs n’est pas une vraie partie, mais une position composée qu’il faut résoudre ; le plus souvent, il s’agit de trouver une combinaison qui mène à un échec et mat en deux ou trois coups, et dont le premier mouvement, la clé du problème, est remarquable par son caractère inattendu, voire paradoxal ; plus la clé est surprenante, plus le problème est beau. Avant tout un problémiste, il déclara : «Les jeux, en tant que tels, ne m'intéressent pas. Le jeu signifie la participation d'autres personnes. Ce qui m'intéresse, c'est l'exploit solitaire - les problèmes d'échecs par exemple, que je compose dans une solitude glacée.» - «Les problèmes sont la poésie des échecs. Ils exigent du compositeur les mêmes vertus que celles qui caractérisent tout artiste digne de ce nom : originalité, invention, harmonie, concision, complexité et absence splendide de sincérité.» Il fit aussi des poèmes, et chassa des papillons.

Après avoir été arrêté et emprisonné quelques jours par les bolcheviks, en décembre, les rejoignit leur père.

En septembre 1918, la famille s'établit dans le palais de Livadia, qui avait été une résidence des tsars. Sergueï, Olga et Éléna allèrent à l'école, tandis que Vladimir prit des cours de latin.

En novembre, des membres du parti K.D. et des nationalistes tatars mirent en place un gouvernement régional de Crimée, dans lequel Vladimir Dimitriévitch Nabokov fut ministre de la Justice.

Vladimir publia, avec son camarade de l'Institut Tenichev, Andreï Balachov, un recueil de vingt poèmes intitulé
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