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Toute utilisation à des fins commerciales des fichiers sur ce site est strictement interdite et toute rediffusion est également strictement interdite. L'accès à notre travail est libre et gratuit à tous les utilisateurs. C'est notre mission. Jean-Marie Tremblay, sociologue Fondateur et Président-directeur général, LES CLASSIQUES DES SCIENCES SOCIALES. Cette édition électronique a été réalisée Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de soins infirmiers retraitée de l’enseignement au Cégep de Chicoutimi Courriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca à partir du texte de : Henri Dorvil, “Profilage diagnostique et traitement des troubles mentaux. Les attitudes de la société”. Un texte publié dans l'ouvrage sous la direction de Henri Dorvil, Problèmes sociaux. Tome IV. Théories et méthodologies de l'intervention sociale, chapitre 12, pp. 271-298. Québec : Les Presses de l'Université du Québec, 2007, 455 pp. M. Henri Dorvil, travailleur social, enseigne à l’École de travail sociale de l’UQÀM. [Autorisation formelle de l’auteur accordée le 5 juin 2008 de diffuser ce texte dans Les Classiques des sciences sociales.] ![]() Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Times New Roman, 14 points. Pour les citations : Times New Roman 12 points. Pour les notes de bas de page : Times New Roman, 12 points. Édition électronique réalisée avec le traitement de textes Microsoft Word 2004 pour Macintosh. Mise en page sur papier format : LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’) Édition numérique réalisée le 30 juillet 2008 à Chicoutimi, Ville de Saguenay, province de Québec, Canada. ![]() Henri Dorvil Travailleur social, professeur, École de Travail social, UQÀM “Profilage diagnostique et traitement des troubles mentaux. Les attitudes de la société” ![]() Un texte publié dans l'ouvrage sous la direction de Henri Dorvil, Problèmes sociaux. Tome IV. Théories et méthodologies de l'intervention sociale, chapitre 12, pp. 271-298. Québec : Les Presses de l'Université du Québec, 2007, 455 pp. Table des matières Introduction 1. Beautiful patients are good patients 2. Étude de cas - autobiographie de Patricia Deegan 3. Revue de littérature sur les attitudes 3.1. Revue de littérature sur le logement 3.2. Revue de littérature sur le travail 3.2.1. Les obstacles structurels 3.2.2. Les obstacles cliniques, motivationnels, cognitifs, et ceux liés aux antécédents scolaires et de travail. Conclusion Bibliographie Henri Dorvil, Travailleur social, professeur, École de Travail social, UQÀM “Profilage diagnostique et traitement des troubles mentaux. Les attitudes de la société”. Un texte publié dans l'ouvrage sous la direction de Henri Dorvil, Problèmes sociaux. Tome IV. Théories et méthodologies de l'intervention sociale, chapitre 12, pp. 271-298. Québec : Les Presses de l'Université du Québec, 2007, 455 pp. INTRODUCTION Retour à la table des matières Selon un expert de la Faculté de droit de l'Université de Windsor (Tanovich, 2006), Racial profiling occurs when law enforcement or security officials, consciously or unconsciously, subject individuals at any location to heightened scrutiny based solely or in part on race, ethnicity, Aboriginality, place of origin, ancestry, or religion or on stereotypes associated with any of these factors rather than on objectively reasonable grounds to suspect that the individual is implicated in criminal activity. Racial profiling operates as a system of surveillance and control. It creates racial inequities by denying people of color privacy, identity, place, security, and control over (their) daily life. » It shares many similarities with previous systems of control such as slavery and segregation, both of which had a long history in Canada. As one scholar has pointed out, , racial profiling is best understood as a current manifestation of the historical stigma of blackness as an indicator of criminal tendencies. » Le profilage s'avère une notion qui a migré des études ethniques à la sociologie de la santé. Un stigmate est une marque au couteau ou au fer rouge que l'on faisait sur la peau d'un individu (esclave, criminel, traître) pour le désigner à l'opprobre du public, car il était frappé d'infamie, il était rituellement impur. Cette marque physique, avec le temps, est devenue de plus en plus une marque sociale. Goffman (1975) précise : Un individu qui aurait pu aisément se faire admettre dans le cercle des rapports sociaux ordinaires possède une caractéristique telle qu'elle peut s'imposer à l'attention de ceux d'entre nous qui le rencontrent, et nous détourner de lui, détruisant ainsi les droits qu'il a vis-à-vis de nous du fait de ces autres attributs. Il possède un stigmate, une différence fâcheuse d'avec ce à quoi nous nous attendions. Quant à nous, ceux qui ne divergent pas négativement de ces attentes particulières, je nous appellerai les normaux. Il existe plusieurs types de stigmates. En dehors des anomalies physiques constituant le premier type, viennent les différences de caractère qui, aux yeux d'autrui, prennent l'aspect d'un manque de volonté, de passions irrépressibles ou antinaturelles, de croyances égarées ou rigides, de malhonnêteté. Les personnes jugées mentalement dérangées font partie de cette catégorie où l'on retrouve également les prisonniers, les drogués, les alcooliques, les chômeurs, les suicidaires, les gens d'extrême gauche et jusqu'à tout récemment, les gais et lesbiennes. Un des stigmates les plus coriaces et les plus tabous est le Racial Profiling (sélection raciale), profil statistique construit à même des banques de données. Ce marqueur social construit sur un phénotype racial donne lieu à un genre de harcèlement policier qui consiste à contrôler et arrêter d'une manière intempestive les gens de race noire ou les hispanophones jusqu'à deux fois par mois, cinq fois plus souvent que les Blancs. Une jolie voiture conduite par un Noir, c'est une voiture de dealer. Même si 80% des consommateurs de cocaïne aux États-Unis sont blancs, la police cherche de la drogue en priorité chez les Noirs et les Latino-Américains, en conformité avec le Drug Courrier Profie. D'ailleurs, c'est maintenant connu. Quand les policiers se mettent en parallèle des autoroutes, ils contrôlent la conduite automobile à même les plaques d'immatriculation. Quand ils garent leur voiture en retrait de manière perpendiculaire à la circulation automobile, ils contrôlent avant tout le profil racial. Ce problème est d'actualité et fait la une dans les journaux du Québec. Le Conseil interculturel de Montréal (Cauchy, 2006) a dévoilé un avis sur le profilage racial. Un jeune de la polyvalente Georges-Vanier d'origine haïtienne témoigne : l'autre jour, des policiers m'ont arrêté alors que je courais vers la station de métro pour attraper le dernier train. Il y avait plein d'autres personnes qui passaient mais les policiers ne faisaient rien. Si la couleur de la peau (les Noirs, Hispaniques, Asiatiques, Musulmans) signe en quelque sorte la ligne de démarcation et voue ces personnes au traitement discriminatoire, il en est de même du diagnostic psychiatrique qui enlève, à toutes fins pratiques, l'essence même de la nature humaine aux personnes usagères des services de santé mentale. Ce chapitre se divise en trois parties. Tout d'abord, un aperçu de la problématique générale de la beauté ; ensuite, une étude de cas relatant le témoignage d'une personne diagnostiquée schizophrène à l'âge de 17 ans et qui a eu à vivre avec ce stigmate plus difficile à traiter que la maladie elle-même. En dernier lieu, une revue de littérature récente décrira les attitudes de la société à l'égard des personnes présentant une maladie mentale (PPMM) pour ce qui concerne le logement, l'emploi ou les médias de masse. 1. BEAUTIFUL PATIENTS ARE GOOD PATIENTS Retour à la table des matières Il y a de cela un quart de siècle environ (Nordhlom, 1980), une recherche confirmait les préjugés favorables que les travailleuses sociales, les psychologues, les médecins nourrissent à l'égard de leurs clients beaux et tranquilles. Il en est de même en cour de justice où les beaux accusés, les femmes « sexy », les gens instruits en général écopent de peines moins sévères (beautiful but dangerous). Selon Amadieu, un professeur de sociologie et de gestion des ressources humaines, être beau, c'est un atout dans la vie. Un individu doté d'une caractéristique qui a été perçue par les autres comme distinctive va déclencher un certain nombre de préjugés. On va lui prêter des qualités ou des défauts et, du coup, tout ce qu'il va faire ou dire ne sera pas évalué de façon juste. Il y a une sorte de flou ou de brouillard qui va auréoler cette personne et qui va faire qu'au fond, on ne verra pas les caractéristiques réelles de la personne. Cet effet de halo profite aux uns et nuit aux autres. Surtout, il brouille la perception et la vision des autres de ce que l'on est vraiment (2005, p. 31) L'apparence a un impact sur l'insertion professionnelle et l'ascension professionnelle des individus. Dans deux cas de testing, j'ai constaté qu'un visage disgracieux ou une surcharge pondérale entravent l'accession à un emploi. Il existe aussi des travaux sur les déroulements de carrière. Les effets de la taille des individus ont été démontrés. Les gens de grande taille font de meilleures études, gagnent plus que des gens de petite taille (Amadieu, 2005, p. 31). Il vaut mieux être né beau dans un milieu défavorisé que laid dans un milieu favorisé. Il est peu probable qu'un laid né dans un milieu favorisé connaisse un déclassement social dû à son handicap physique. Les images des gens beaux, minces, bronzés, souriants sont partout à la télévision, sur les pancartes publicitaires et deviennent au fil du temps la norme très largement dominante. Par ailleurs, depuis les philosophes de la Grèce antique, il existe une association entre la beauté du visage et celle de l'âme. Le stéréotype « ce qui est beau est bien » se manifeste sur plusieurs registres, incluant des dimensions sociales comme l'extraversion, la sociabilité aux compétences (intelligence, qualifications) sans oublier la santé physique, mentale, la grandeur, la puissance d'attraction sexuelle, etc. Si les effets de ces stéréotypes peuvent s'observer à l'évaluation scolaire, dans le processus d'embauche, ou pour des promotions, ils sont parfois déterminants dans les diagnostics et les pronostics médicaux, dans l'évaluation de la dangerosité et pour toute décision judiciaire. Par exemple, une recherche (Farina, 1986) établit que les malades mentaux qui sont les moins attirants ont un diagnostic plus sévère et sont hospitalisés plus longtemps. A contrario, les autorités hospitalières autorisent les plus attirants à vivre hors de l'hôpital pendant plus longtemps. Une autre recherche (Zebrowitz et McDonald, 1991) démontre que le degré d'attirance du plaignant a un poids déterminant sur la diminution des chances de l'accusé. Toute cette problématique doit être drapée dans l'individualisme contemporain nimbé de narcissisme où le flot d'images s'avère incessant, où le sensationnalisme prime. La surabondance des images (Denis, 2004, p. 176) fait écran à notre monde intérieur : il peut exister ainsi une sorte de toxicomanie des images, qui s'apparente, à la traumatophilie et qui, comme tout recours à un toxique, vise à en réprimer les effets. La médecine est une discipline où le regard tient une place fondamentale, mais il s'agit d'un regard de pathologiste, d'emprise, d'étiquetage d'objet et non de compréhension de l'être humain dans toutes ses dimensions, d'empathie, d'acceptation inconditionnelle d'autrui. Le regard est au cœur de la condition humaine, disait Claudine Haroche (2004, p. 160). Le déni du regard est alors susceptible de provoquer la perte de l'intériorité et de déposséder la personne de ses attributs les plus fondamentaux. De là, l'importance des apparences, la recherche de notre part de l'attention qui deviennent des éléments déterminants dans le jugement porté sur un individu, et par ricochet sur notre identité. Il faut être regardé pour être reconnu. L'individu dit normal ou aux prises avec des troubles mentaux a un profond besoin d'attention et de regard. Comme je l'ai avancé en début de chapitre, le stigmate associé aux troubles mentaux s'avère très traumatisant et enlève aux personnes diagnostiquées l'essence même de la nature humaine associée à la rationalité et à la volonté. Si vrai qu'il faut se rétablir non seulement de la maladie mentale mais aussi des effets de l'étiquette « malade mental ». Les professionnels des services de santé mentale, les chercheurs (Link et Phelan, 1999), essaient de comprendre l'état des personnes diagnostiquées. Cependant, seule la personne ayant vécu le traumatisme du diagnostic et de l'internement psychiatrique est à même de l'exprimer authentiquement dans la force de la sévérité des conséquences. C'est le cas de Patricia E. Deegan, Ph.D, directrice de programme, Northeast Independant Living Program, Lawrence, Massachusetts et consultante au National Empowerment Center. 2. ÉTUDE DE CAS – AUTOBIOGRAPHIE DE PATRICIA DEEGAN Retour à la table des matières L'autobiographie désigne simplement le récit rétrospectif écrit qu'une personne fait de sa propre vie, sans interlocuteur ou intermédiaire extérieurs. L'élément de définition le plus important à retenir de l'autobiographie (Létourneau, 1989) est qu'il s'agit d'un récit élaboré comme une réinterprétation de sa vie en vue de lui trouver un sens. L'acte d'écriture proprement dit est donc inséparable d'une prise de conscience (latente ou manifeste) et d'un effort d'intégration de divers épisodes dont chacun à été vécu de façon spécifique et sans s'inscrire nécessairement dans un projet de vie complet et logique. Le récit de Deegan (1993) répond justement à cette définition du document biographique. Au cours de mes réflexions devant alimenter mon témoignage, j'ai fait un retour en arrière dans ma vie quand j'étais adolescente et que je venais d'être diagnostiquée la toute première fois pour une maladie mentale grave. Je pensais à la première de mes deux hospitalisations et dans quelles circonstances on a associé mes problèmes à de la schizophrénie et trois mois après, lors de ma seconde hospitalisation, j'étais devenue une schizophrène chronique. Je m'étais dit que j'avais une maladie comme le diabète et que si je continuais à prendre mes médicaments neuroleptiques pour le reste de ma vie et si j'évitais des situations trop stressantes, je serais capable de m'y adapter. Je me souviens du moment où le psychiatre a prononcé ces mots, tous mes rêves d'ado volèrent en fumée. Plus question de jouer à la crosse dans l'équipe féminine des États-Unis ou de travailler dans le Peace Corps. Toutes ces fonctions de mon identité s'échappaient de ma personne. Un processus de déshumanisation, de dévalorisation s'opérait en moi : je n'étais plus une personne, je devenais une maladie. Je n'étais plus Pat Deegan mais une schizo. Un profond sentiment de solitude, de perte de valeur, de manque de dignité s'emparait de moi. Des membres du personnel des soins me donnaient des médicaments, prenaient ma tension artérielle, faisaient de l'ergothérapie, de l'occupation thérapeutique, des loisirs avec moi. Cependant, j'étais toute seule avec ma solitude, à la dérive sur une mer sans nom sans boussole ou gouvernail. Ça aurait été tellement réconfortant si quelqu'un était venu m'encourager en me disant par exemple : Tenez bon, vous allez vous en sortir. Et le plus profond sentiment de solitude venait du fait que beaucoup de gens me parlaient de mes symptômes, mais personne ne me demandait comment je me sentais. Personne ne venait à moi pour dire : Hey, vous êtes en train de vous diriger droit en enfer. Je sais que vous vous sentez totalement perdu dans un cauchemar. Je sais que vous ne pouvez voir aucun chemin au bout du tunnel. Cependant, j'ai été là où vous êtes en ce moment. Moi aussi, j'ai été étiquetée schizophrène et de toute une kyrielle d'autres diagnostics. Et je suis là à vous dire qu'il existe un chemin pour s'en sortir, que votre vie ne doit pas se dérouler à l'intérieur des institutions psychiatriques. Je suis dans les alentours à votre disposition si vous voulez m'en parler. Personne n'est venu à moi avec ces mots de réconfort. Tout ce que je savais de mon état était les stéréotypes que j'entendais à la télévision ou dans les films comme Vol au-dessus d'un nid de coucou (One Flew Over the Cuckoo's Nest). Pour moi, à cette époque la maladie mentale signifiait Dr. Jekyll et Monsieur Hyde, des tueurs en série, des maisons de fous, des idiots, des schizos, des cinglés, des timbrés, des cas de camisole de force, des fous furieux. C'étaient ces idées qui me venaient à l'esprit et ce qui me paraissait le plus terrifiant dans tout ça, c'était que les professionnels m'envoyaient le message que j'étais l'une de ceux-là. Cela aurait été drôlement aidant d'avoir quelqu'un pour me dire que je pouvais survivre à la maladie mentale, que je pouvais me rétablir de cette maladie, construire une nouvelle vie. Cela aurait été le fun d'avoir des modèles à imiter, je ne sais pas moi, des gens qui sont déjà passés par là, qui ont réussi à s'en sortir et qui maintenant ont un bon boulot, ou qui sont en amour, qui ont un apart avec ou sans coloc ou même leur propre maison unifamiliale, ou enfin qui ont fait une contribution valable à la société. C'est dommage pour moi, ça ne m'est pas arrivé. Aujourd'hui j'ai la chance de dire ces choses que personne ne m'a jamais dites. Je veux parler avec l'ado de 17 ans, presque jeune adulte, que j'étais autrefois. Je veux lui dire ce que je sais maintenant, ce que je ne savais pas cette époque là. Je désire lui dire et aussi à tous ceux qui ont porté le poids du diagnostic de maladie mentale, qui ont souffert profondément, qui ont connu des moments de désespoir, à qui on a dit qu'ils n'avaient pas de valeur et qui se sont sentis seuls, abandonnés, à la dérive sur une mer morte et silencieuse. |
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