CONCLUSION :
J’ai réalisé cette expérience en compagnonnage avec Monsieur Gaillard. Grâce à lui, au Docteur Leroux et à l’I.S.O., j’ai pu découvrir et vivre une formidable aventure, la réalité de ma future profession.
Malgré tous les biais précédemment cités, j’ai essayé de construire un véritable projet autour de ce mémoire. L’investissement de temps demandé n’est rien par rapport à tout ce qu’il m’a apporté.
Ce n’est pas une thèse, même si ce protocole a reçu un avis favorable de la Commission Ethique et Europe de l’EEM (Espace Ethique Méditerranée). Mais l’expérimentation prospective que j’ai pu mener m’amène à conclure que la phrase de notre fondateur se vérifie encore : « à petite stimulation, grande réponse ». En effet, les modestes résultats que j’ai pu obtenir montrent que le reflux gastro-œsophagien du nourrisson s’est amélioré plus rapidement en n’utilisant que des techniques crânio-sacrées. Par ailleurs, je pensais au départ que le déclenchement de l’accouchement ou l’utilisation d’instruments avaient une influence sur l’apparition de cette pathologie. Concernant la population étudiée, au moment où elle l’a été, les chiffres montrent que la corrélation n’est pas évidente.
Il va de soi que la démarche ostéopathique est avant tout holistique et unique pour chaque individu. Le but de ce travail n’est pas de proposer un ensemble de techniques appropriées à une pathologie, mais d’extraire d’une expérience les points de ralentissement les plus fréquents chez les individus porteurs de cette maladie. La ou les technique(s) libératrice(s) sont propres à chaque individu à un moment donné. Pour les nourrissons rencontrés il nous apparaît que le traitement fondamental à réaliser était crânio-sacré à visée dure-mérienne.
L’ostéopathe n’est qu’un instrument qui met au service de la santé du patient, ses connaissances, son diagnostic et ses différents outils : « seul le corps sait ».
Cette recherche pourrait être poursuivie et enrichie en évaluant de façon « objective » les résultats, tout en gardant à l’esprit l’universel « primum non nocere ».
TABLE DES ILLUSTRATIONS :
Figure 1 : facteurs physiopathologiques du RGO. 8
Figure 2 : sex ratio lors de la 1e consultation. 55
Figure 3 : âges lors de la 1e consultation. 56
Figure 4 : moyennes par groupe des éléments constitutifs du COGRA 1. 58
Figure 5 : nombre de séance(s) nécessaire(s) au traitement par groupe. 59
Figure 6 : évolution des COGRA encadrant la séance. 60
Figure 7 : évolution des COGRA encadrant les deux séances. 61
Figure 8 : évolution des COGRA encadrant les trois séances. 62
Figure 9 : date d’apparition du RGO. 64
Figure 10 : répartition par âge de première consultation. 65
Figure 11 : répartition des autres symptômes que le RGO par groupe. 66
Figure 12 : représentation globale des autres symptômes que le RGO. 67
Figure 13 : modes d’accouchements. 69
Figure 14 : types d’allaitements. 70
Figure 15 : récapitulatif des dysfonctions crânio-sacrées. 73
Figure 16 : récapitulatif des dysfonctions tissulaires (à gauche) et de motilité (à droite) du groupe 3. 78
Figure 17 : récapitulatif des dysfonctions tissulaires (à gauche) et de motilité (à droite) du groupe 4. 78
Tableau I : définition du COGRA. 54
Tableau II : répartition par sexe des sujets lors de la première consultation. 54
Tableau III : répartition par âge des sujets lors de la première consultation. 55
Tableau IV : moyennes par groupe du COGRA 1 et de ses éléments constitutifs. 57
Tableau V : nombre de séance(s) nécessaire(s) au traitement. 58
Tableau VI : évolution des COGRA encadrant la séance. 60
Tableau VII : évolution des COGRA encadrant les deux séances. 61
Tableau VIII : régression des COGRA entre les deux séances. 61
Tableau IX : évolution des COGRA encadrant les trois séances. 62
Tableau X : régression des COGRA entre les trois séances. 62
Tableau XI : répartition par date d’apparition du RGO. 63
Tableau XII : répartition par âge de première consultation. 64
Tableau XIII : répartition des autres symptômes que le RGO par groupe. 66
Tableau XIV : récapitulatif des accouchements par groupe. 68
Tableau XV : récapitulatif du type d’allaitement par rapport au COGRA 1. 70
Tableau XVI : récapitulatif des dysfonctions crânio-sacrées. 71
Tableau XVII : récapitulatif des dysfonctions musculo-squelettiques. 75
Tableau XVIII : dysfonctions tissulaires en viscéral. 77
Tableau XIX : dysfonctions de motilité en viscéral. 77
Tableau XX : COGRA en première séance du groupe 1. CXIV
Tableau XXI : COGRA en première séance du groupe 2. CXV
Tableau XXII : COGRA en première séance du groupe 3. CXVI
Tableau XXIII : COGRA en première séance du groupe 4. CXVII
Tableau XXIV : enfants du groupe 1 n’ayant eu qu’une séance de traitement. CXVIII
Tableau XXV : enfants du groupe 2 n’ayant eu qu’une séance de traitement. CXIX
Tableau XXVI : enfants du groupe 4 n’ayant eu qu’une séance de traitement. CXIX
Tableau XXVII : enfants du groupe 3 n’ayant eu qu’une séance de traitement. CXX
Tableau XXVIII : enfants du groupe 1 ayant eu deux séances de traitement. CXXI
Tableau XXIX : enfants du groupe 4 ayant eu deux séances de traitement. CXXI
Tableau XXX : enfants du groupe 2 ayant eu deux séances de traitement. CXXII
Tableau XXXI : enfants du groupe 3 ayant eu deux séances de traitement. CXXII
Tableau XXXII : enfants des groupes 2, 3 et 4 ayant eu trois séances de traitement. CXXIII
|