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Table des matièresIntroduction 3 La consommation d’héroïne aux Etats-Unis 3 L’héroïne 3 Les effets de consommation 4 Les effets immédiats 4 Les effets à long terme 4 Quelques effets indésirables 5 Les consommateurs 5 Stratégies de lutte 6 Les enjeux 6 Les objectifs 7 Les stratégies de lutte 7 La lutte préventive 8 La lutte curative 9 La situation dans le reste du monde 10 CONCLUSION 11 BIBLIOGRAPHIE 13 IntroductionLes USA, pays anglophone d’une superficie de 9 629 048 km2, comptent une population de 318 857 056 habitants. C'est une république constitutionnelle fédérale, composée de 50 états, dont 48 sont continentaux. C'est une grande puissance économique mondiale, avec un taux de chômage faible (4,9 % en janvier 2016). En 2013, 15 000 000 d’américains abusent de drogues : c’est un véritable enjeu sanitaire ! En cause principale on retrouve les médicaments contre la douleur : les opioïdes, trop facilement prescrits par certains médecins (souvent peu scrupuleux) et très addictifs. Devenus accrocs à cette substance, de nombreux patients se tournent désormais vers l'héroïne pour assouvir leur addiction. Comment les Etats-Unis font-ils face à ce fléau? Comment lutter contre cette épidémie ? Comment contrôler et réduire sa propagation ? Quelles réponses apportent-ils à la situation ? Dans un premier temps nous présenterons la toxicomanie aux Etats- Unis dans ses grandes lignes, Puis nous déterminerons les stratégies de lutte contre ce fléau, Et nous terminerons par une comparaison avec le reste du monde. La consommation d’héroïne aux Etats-UnisDans cette partie nous allons vous exposez ce que sont les opioïdes/opiacés, plus particulièrement l’héroïne, pourquoi et comment sont-ils utilisé ainsi que les effets de l’héroïne sur le consommateur. Les opioïdes sont des substances opiacées psychotropes (substances qui agissent sur système nerveux) de synthèse tirées de la graine de pavot dont les effets sont similaires à ceux de l'opium (exemples : la morphine, le Tramadol®, ou la méthadone (produit de substitution à l’héroïne). Ils sont utilisés depuis des siècles pour soulager la douleur. A cause de cet effet connu, ils ont souvent été prescrits de façon abusive par les médecins, mais sont susceptibles de provoquer une dépendance caractérisée par la sensation d'euphorie et un puissant désir de consommation du produit. En effet une fois le traitement par opioïdes terminé, les patients se retrouvent du jour au lendemain sans leurs antidouleur, ce qui entraîne un sevrage brutal. La sensation de manque se fait ressentir et les pousse à se tourner vers les drogues. De nos jours, les opioïdes constituent le type de drogue le plus consommé au monde, celle dont nous allons vous parler d'avantage est l’héroïne. L’héroïneL’héroïne est une drogue très addictive obtenue à partir d’un dérivé de morphine, principal alcaloïde issu du pavot somnifère. Elle est généralement vendue sous 2 formes :
Elle peut être sniffée ou fumée et par ce fait elle plus « abordable » pour les consommateurs, car le fait de la fumer élimine la stigmatisation associée à la consommation de drogues par injection. L’héroïne est le plus souvent « coupée » avec des sucres, de l’amidon, du lait en poudre, ou de la quinine. Les effets de consommationEn consommant cette drogue, on touche directement les récepteurs opiacés qui sont des neurotransmetteurs (substances chimiques que produit l’organisme). Lorsque ces récepteurs sont stimulés par l’héroïne, le consommateur ressent alors moins de douleur en stimulant la création de dopamine, un neurotransmetteur provoquant une sensation d’intense plaisir. Un plaisir très éphémère, mais très intense s’apparentant à un orgasme sexuel, une intense relaxation, un profond apaisement faisant oublier la douleur physique et psychique. Les effets immédiatsCes récepteurs atteints, les premiers effets se font très vite ressentir. C’est la phase dite de « rush» (« la montée »). Cette phase est généralement accompagnée par une vive bouffée de chaleur, une bouche sèche ainsi qu’un sentiment de lourdeur dans les membres, qui peut être accompagnée de nausées, de vomissements et de démangeaisons sévères. Après les premiers effets, les utilisateurs sont généralement somnolent pendant plusieurs heures; les fonctions cérébrales sont diminuées, la fonction cardiaque ralentie, et la respiration est également fortement ralentie, parfois suffisamment pour être mortelle. Le ralentissement de la respiration peut aussi conduire au coma et/ou à des dommages permanents au cerveau. Les effets à long termeLa consommation régulière d’héroïne a des effets dévastateurs sur le corps et le psychisme. Elle multiplie les changements de la structure physique et de la physiologie du cerveau, créant des déséquilibres à long terme dans les systèmes neuronaux et hormonaux qui ne sont que très difficilement réversibles. Des études ont montré une certaine détérioration de la matière grise du cerveau due à la consommation d’héroïne, qui peut affecter les capacités de prise de décision, la capacité de réguler son comportement, et la prise de décision durant des situations stressantes. La répétition des injections peut endommager les veines et engendrer des infections des valves cardiaques et des vaisseaux sanguins. L’héroïne produit aussi un intense degré de tolérance et de dépendance physique. Une tolérance qui devient vite difficilement gérable lorsque de plus en plus de quantité d’héroïne est nécessaire pour atteindre les mêmes effets. De cette dépendance physique, le corps s’adapte et se nourrit de la présence des symptômes liés à la drogue, rendant la diminution du produit très brutale pour le consommateur (l’héroïne agit ponctuellement comme un antidépresseur très puissant). Aussi, les échanges de seringues entre consommateurs qui, dans de nombreux cas, mènent au SIDA ainsi qu’à d’autres maladies transmissibles et contagieuses (hépatites A, B, C etc…). Quelques effets indésirablesTroubles respiratoire Altération de la dentition Constipations fréquentes Sueurs froides Démangeaison Tremblement des mains Acné Inflammation des gencives Impuissance et frigidité Altération de la mémoire Détérioration des performances intellectuelles Manque ou perte d’appétit Sentiment de dépression Douleurs musculaires et osseuses Coma Diminution du système immunitaire… Les consommateursLe profil type de l'héroïnomane est aujourd'hui celui d'un homme de type «blanc non-hispanique», âgé de 18 à 25 ans, sans assurance santé et gagnant moins de 20.000 dollars par an. Cependant, l’héroïne touche tous les rangs sociaux et tous les âges. La progression est notamment frappante chez les femmes (aujourd'hui 2 fois plus qu'il y a 10ans) La consommation d'héroïne a augmenté de 63% entre 2002 et 2013, portant le nombre d'usagers à 500.000 personnes. Dans le même temps, le nombre de personnes dépendantes a augmenté de 90%. Ces chiffres ont progressé plus rapidement entre 2011 et 2013 qu'au cours des périodes précédentes indiquant une aggravation de la situation sanitaire. Parmi les facteurs explicatifs de la progression de la consommation d'héroïne aux États-Unis, on souligne son prix attractif, (10 dollars la dose) cinq fois inférieur à celui des antidouleurs pharmaceutiques. Or, les prescriptions de ces analgésiques opioïdes, de la même famille que l'héroïne, sont aussi en augmentation. Les populations pauvres ne bénéficiant pas de couverture sociale voient donc en cette poudre un moyen peu onéreux de calmer leur douleur, et la dépendance amorcée par les médicaments. Aux États-Unis d’Amérique, on a estimé à 16 651 le nombre de décès survenus en 2010 suite à une overdose d’opioïdes délivrés sur ordonnance, et à 3 036 ceux imputables à une overdose d’héroïne. Plus de 8 200 personnes sont mortes d'une overdose d’héroïne en 2013, soit 2 fois plus qu'en 2011. Stratégies de lutteLes enjeuxAccoutumance et dépendance aux opiacés ont augmenté brutalement, entrainant des conséquences graves sur les individus et leurs familles. En effet, le nombre de morts par overdose (stupéfiants ou médicaments) est plus important que celui des accidents de la route ou de la criminalité, avec 30000 décès par overdoses en 2015. Cette épidémie touche toute la population de façon directe ou indirecte (famille, ami, proche, vol / agression, …) Les enfants sont les plus vulnérables à l'usage de la drogue. En effet, ils sont la cible des trafiquants. L'épidémie actuelle s'est surtout propagée chez les jeunes entre 15 et 16 ans et les jeunes adultes. Le gouvernement refuse de voir son avenir être menacé par un problème qui coûte en vie humaine et qui pourrait générer des problèmes pour les générations futures. La raison est largement suffisante pour justifier les ressources, le temps et les efforts consacrés à la guerre contre l’héroïne, que ce soit sur le territoire américain ou international. Cette lutte est devenue un enjeu de santé publique aux États-Unis et provoque déjà un débat passionné chez les candidats à la Maison Blanche. En septembre dernier, Hillary Clinton a même proposé de mettre en place un plan de 10 milliards de dollars pour endiguer cette effroyable épidémie. Les objectifsLe plan de lutte actuel vise à :
Campagnes publicitaires pour dénoncer les méfaits de la drogue Renforcement des politiques de tolérances zéro quant à leur consommation Sensibilisation des enfants dès la maternelle Education de la population afin d'éviter la banalisation des drogues et leur consommation
Lutte antidrogue dans les quartiers sensibles, avec la création de « brigades spécialisées » Intégrer, infiltrer et dissoudre les réseaux Application des lois afin de démanteler les réseaux de blanchiment d'argent Saisir et confisquer les revenus provenant de la criminalité Faciliter la poursuite et l’incarcération des contrevenants impliqués dans les trafics.
Réduire les problèmes de santés, notamment les maladies infectieuses liés à la consommation Former les professionnels de santé, sur une prise en charge holistique des toxicomanes Tolérance zéro en milieu professionnel (test de dépistage, éducation, prévention et intervention) Soutenir la recherche pour le développement de traitements substitutifs
Démanteler les sources étrangères d’approvisionnement en drogues Développer la recherche et la technologie, afin de repérer, saisir les drogues et de décourager leurs trafics Améliorer et accroître la coopération, avec les pays limitrophes, en particulier le Mexique, par où transitent l’héroïne Réduire considérablement la culture et la production de matières premières (coca, opium, marijuana) Les stratégies de lutteDepuis 2011, le gouvernement américain établi un plan de prévention contre l’Abus de Prescription de médicaments (Prescription Drug Abuse, PDA) et met en place une stratégie en matière de lutte contre la toxicomanie. Le Ministère de la justice (Department of Justice, DOJ) a finalisé le projet, permettant ainsi :
Un budget de 133 millions $, est alloué pour l’exercice 2016, réparti de la façon suivante : 95,6 million pour la lutte préventive et 37,4 millions pour la lutte curative. La lutte préventiveLa prévention a pour but :
Budget du Ministère de la santé attribut au service de Contrôle et de la Prévention des maladies (CDC) un nouveau financement :
Permettre le recueil de données sur l’augmentation du taux de décès par overdose à l’héroïne, en travaillant près des services d’urgence en temps réel : certificat de décès et données toxicologiques.
Financement pour les rapports de décès électroniques : traitement rapide et de meilleure qualité des données
Programme de surveillance des prescriptions de médicaments, par le biais de nouveaux logiciels informatiques. La lutte curativeSevrage par substitution ou substitution médicalement assistée Le sevrage par substitution (Medication-Assisted Treatment MAT) est un outil important pour le traitement des troubles liés aux opioïdes, mais il est trop souvent hors de portée pour les populations vulnérables. Élargir l'accès au MAT aiderait plusieurs personnes dans leur sevrage et leur phase de réadaptation.
Financer les services d'assistance et de traitement technique aux plus nécessiteux
Sevrage par substitution dans le système pénale
• Fournir à tous les détenus, admissibles, un traitement approprié au sevrage par substitution médicamenteuse.
« Loi de la seconde chance » : réduire la récidive et les violations de probation et de libération conditionnelle Lutte national et international contre la criminalité Le Ministère de la justice créé le Crime Intelligence and Operations Center (CIO-2)
Comme nous l’avons vu précédemment, le traitement de la toxicomanie est financé par les autorités fédérales, mais aussi par les autorités locales ainsi que le secteur privé. Il peut aussi bien se faire dans le cadre d’une structure, comme l’hôpital, une clinique de santé mentale, ou une institution de type Centre Camelot qu’à résidence, impliquant la participation de travailleurs de nombreux secteurs dont le médical et le social. Il existe, selon le NIDA (National Institute on Drug Abuse), « plus de 14500 installations spécialisées dans le traitement de la toxicomanie qui prodiguent entre autre des conseils, des thérapies comportementales et délivrent les traitements de substitution». Cependant, le système de santé américain ne fournit pas de couverture sociale suffisante, ce qui ne permet pas toujours l'accès aux soins. Les traitements durent généralement 6 à 12 mois. Cette durée reste malheureusement trop courte, pour un sevrage efficace et durable. Une autre alternative est la consultation de nombreux sites internet, privés ou gouvernementaux, comme le NIDA. Ils ont pour vocation de prévenir sur les méfaits des opioïdes et d’informer sur les moyens existants pour y remédier. La situation dans le reste du mondeLes Nations Unies font état d’une hausse importante de la production d’opium en Afghanistan, premier producteur mondial et premier pays fournisseur de l’héroïne consommée en Europe. Dans certains pays où une hausse du degré de pureté a été observée, on constate également une augmentation du nombre de décès par overdose. Par ailleurs, des laboratoires de confection d’héroïne, phénomène entièrement nouveau, ont émergé, de même que l’adaptation des itinéraires de trafic de l’héroïne. Des données relatives aux saisies soulignent clairement le rôle joué par la Turquie en tant que plaque tournante. Selon l'Observatoire Européen de Drogues et des Toxicomanies, l'héroïne représente la plus importante part de morbidité et de mortalité liées à la consommation de drogue dans l’Union Européenne. Le nombre de toxicomanes est situé entre 3,6 et 4,4 pour 1000 individus, âgés de 15 à 64 ans. Cela représente environ 1,3 millions de personnes. Ce nombre semble, cependant, relativement stable, depuis 2005. Des micro-réseaux d’usagers-revendeurs s’approvisionnent dans les pays limitrophes (Pays-Bas, Belgique, Espagne), où le gramme de produit est beaucoup moins cher qu’en France. Ce phénomène joue un rôle majeur dans la diffusion actuelle de la substance sur le territoire français, tant dans les petites villes de province que dans les zones rurales. L'âge moyen des patients traités pour consommation primaire d'opiacés est de 34 ans. Socialement, ils présentent un taux de chômage élevé, un faible niveau d'instruction et une proportion plus importante aux troubles psychiatriques. La plupart d’entre eux sont des usagers d’héroïne par injection intraveineuse et sont de ce fait les plus exposés aux infections par le VIH ou par l’hépatite B. Ils sont aussi les plus nombreux à succomber à une overdose. Même si l’offre de drogues illicites est considérée comme un délit dans tous les pays européens, les sanctions prévues par la loi varient néanmoins selon les États membres. Par exemple, le trafic d’1 kg d’héroïne peut donner lieu à une peine comprise entre 2 et 15 ans, selon le pays. Depuis 1995, les usagers dépendants aux opiacés ont la possibilité de suivre un traitement de substitution. Il s’agit d’une des options thérapeutiques mise en place par le gouvernement. Pour cela, deux médicaments ont été mis sur le marché : la Méthadone® et la Buprénorphine® (Subutex®). La méthadone ne peut être prescrite pour la première fois que dans un Centre de Soins d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA) ou un établissement de soins, alors que la Buprénorphine® peut l'être par tout médecin. A titre indicatif, en 2013 et suivant des estimations, 700 000 consommateurs d’opiacés ont reçu un traitement de substitution dans l’Union européenne. En France, un nouveau plan gouvernemental de lutte contre les drogues et conduites addictives a été mise en place pour les années 2013 à 2017. Conformément aux recommandations internationales et européennes relatives à l’efficacité de la prévention des conduites addictives, la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) souhaite promouvoir : • la mise en cohérence des politiques d’éducation, de santé et d’application de la loi • la mise en œuvre la plus précoce possible d’interventions de prévention adaptées aux populations concernées, y compris en agissant sur leur environnement, et s’appuyant sur des preuves scientifiques. CONCLUSIONEn conclusion, les Etats-Unis qui sont tout de même les plus sévèrement touchés dans le monde par ce fléau, du fait de leur grand nombre de consommateurs d’héroïne, ont mis des processus en place, afin de contenir la production, le trafic, ainsi que la consommation de stupéfiants. Le gouvernement croit en une approche équilibrée pour réduire cette consommation, en réalisant des recherches sur des traitements qui ont fait leurs preuves, en développant la prévention primaire, en utilisant des outils en vue de perturber les réseaux de trafic illicites et surtout en préconisant la prescription d’Anti Inflammatoires Non Stéroïdiens, en 1ere intention. D’autre part, le gouvernement souhaite rester ferme dans son engagement et son soutien, à la santé des individus et des collectivités, en favorisant des stratégies de santé publique et intelligentes contre la criminalité. La lutte contre la drogue reste un enjeu mondial de grande envergure où les différents gouvernements sont et seront amenés à travailler davantage ensemble, main dans la main. 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