Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire








télécharger 346.88 Kb.
titreDescription des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire
page4/7
date de publication30.03.2017
taille346.88 Kb.
typeDocumentos
p.21-bal.com > droit > Documentos
1   2   3   4   5   6   7
Où le préparer ?
au CFA du GARAC, 3 boulevard Galliéni, 95100 Argenteuil. Tél. 01 34 34 37 40 - Internat possible.
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Carrosserie, de suivre une formation complémentaire pour se spécialiser ou encore de préparer un Brevet de Maîtrise.
Au programme :
La formation technologique porte surtout sur la connaissance des carrosseries (conception et assemblage), sur la connaissance des matériaux (ferreux ou non ferreux, composites, bois), sur la préparation des surfaces, sur la connaissance des produits (peinture, mais aussi solvants, durcisseurs, mastic, laque, …) et sur la colorimétrie (connaissance des couleurs, de leur composition, de leur dosage).

Une sensibilisation à l'esthétique est de plus en plus souhaitée des professionnels.
Pour en savoir plus :
"Automobile" (Cahier de l'ONISEP) en D 04 dans l'auto-documentation du CDI

"Mécanique – Productique - Automobile" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 8)


CAP Serrurerie métallerie

d:\pfiles\msoffice\clipart\standard\stddir1\bd04920_.wmf





Un métier : métallier
Le métallier intervient dans la serrurerie, la construction métallique, la menuiserie métallique (dont l'aluminium), l'agencement et la décoration, la ferronnerie d'art. Il fabrique tous les éléments métalliques qui habillent les bâtiments (grilles, balcons, encadrements de fenêtres et de vérandas...), mais aussi des ouvrages de charpente métallique comme des ponts, des passerelles, des pylônes, des hangars ainsi que de la serrurerie.
Le métallier trace les formes sur le métal et le découpe. Viennent ensuite la mise en forme des pièces par pliage puis leur montage et leur assemblage, avec des boulons, rivets ou par soudure. Le métallier les met ensuite en place sur le chantier. Il utilise une gamme de plus en plus large de matériaux : le fer, l'aluminium mais aussi l'acier, le cuivre, l'inox, le laiton. Il ajuste ses pièces avec des machines de plus en plus modernes.
La métallerie exige de sérieuses connaissances en calcul et géométrie, une bonne perception des formes et volumes, mais aussi une solide robustesse et des qualités manuelles. Le métallier est un ouvrier capable d'être tour à tour forgeron, soudeur, ajusteur, monteur, menuisier métallique.



Où le préparer ?
au CFA Métiers du bâtiment et des travaux publics, 35 rue du Marquis de Coriolis, 92500 Rueil Malmaison

Tél. 01 47 32 02 81. Alternance : 1 semaine au CFA, 3 semaines en entreprise

au Lycée Adrienne Bolland, 62-64 boulevard Devaux, 78300 Poissy. Tél. 01 30 06 38 48

Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Structures métalliques, un Bac Pro Structures métalliques. Il existe également un BP Serrurerie métallerie. Mais il peut aussi se diriger vers un Bac Pro Bâtiment : métal, aluminium, verre et matériaux de synthèse.

Au programme :
Le noyau de la formation porte sur la préparation du poste de travail, puis sur la fabrication et l'assemblage des divers matériaux et, enfin, sur leur pose sur le chantier.

Vous apprendrez à lire une fiche de fabrication.

On vous enseignera également les différents procédés de débit, d'usinage (fraisage, perçage, filetage…) ou de conformation (pliage, cintrage, torsadage…) et à utiliser les différentes machines.

Pour en savoir plus :
"Bâtiment, travaux publics" (Cahier de l'ONISEP) en D 07 dans l'auto-documentation du CDI

"Les métiers du bâtiment, des travaux publics et du bois" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 4)

"Le travail des matériaux – De la métallurgie à la plasturgie" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 17)



CAP Construction d'ensembles chaudronnés

d:\pub\clipart\in00737_.wmf




Un métier : chaudronnier
Le chaudronnier met en forme et assemble des feuilles de métal de plus de 3 mm d'épaisseur, des tubes et des profilés (barres en forme de T, U, H, L). Il participe à la réalisation de produits de grande consommation (électroménager, automobile) ou hautement technologiques (aéronautique, aérospatial). Son travail inclut les activités suivantes : étude du dessin représentant l'objet à fabriquer ; traçage assisté par ordinateur des formes sur les tôles ; découpage des feuilles de métal selon le tracé ; formage du métal, assemblage et montage des pièces selon le plan.
Un autre métier : tôlier
Professionnel de la chaudronnerie, spécialiste du travail des métaux, le tôlier réalise des ensembles à partir de feuilles de métal de moins de 3 mm d'épaisseur, en acier, aluminium et métaux cuivreux. Il fabrique aussi bien des gaines de ventilation, des silos à grains, que des tôles d'habillage d'ascenseurs ou encore des carrosseries de voitures. Après étude des plans et des formes à réaliser, il trace les gabarits (formes) sur la tôle, réalise les pièces selon diverses techniques (découpage, pliage, cintrage, emboutissage). Puis, il réalise les opérations de finition (égalisation des surfaces…), assemble les pièces en les vissant ou en les soudant.
Un autre métier : soudeur
Le soudeur assemble les pièces réalisées par les autres spécialistes. A partir de documents techniques, il soude aussi bien des objets usuels (des chauffe-eau, par exemple), que des produits et appareils pour l'industrie nucléaire, en passant par les tuyauteries de l'industrie chimique, la construction métallique ou encore les structures tubulaires des plates-formes pétrolières. De plus en plus, le soudeur effectue d'autres opérations liées au soudage telles que le découpage, le façonnage et surtout le redressage.



Où le préparer ?
au CFA AFORP, 6 rue Camélinat, 78700 Mantes-la-Ville. Tel. 01 30 92 31 11
au LP Louis Blériot, rue Léo Lagrange, 78190 Trappes. Tél 01 30 51 88 18
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Structures métalliques, ou de faire une mention complémentaire Soudage en un an. Il existe également un Bac Pro Réalisation d'ouvrages chaudronnés et de structures métalliques.
Au programme :
Fabrication de produits (chaudière, élément de réacteur, charpente…) par déformation de feuilles métalliques d'épaisseur variable. A partir d'un dessin de la pièce, traçage, découpage et mise en forme des feuilles de métal ; conduite d'une machine-outil à commande numérique ; contrôle de la qualité des pièces fabriquées et réalisation de leur montage ou de leur assemblage (soudage, boulonnage, rivetage…). Les mathématiques et la géométrie sont importants.
Pour en savoir plus :
"Matériaux d'hier et de demain" (Cahier de l'ONISEP) en D 13 dans l'auto-documentation du CDI

"Le travail des matériaux – De la métallurgie à la plasturgie" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 17)

"Mécanique, productique, automobile" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 8)



CAP Plasturgie

d:\pfiles\msoffice\clipart\standard\stddir3\na01602_.wmf




Un métier : ouvrier plasturgiste
L'ouvrier plasturgiste sait faire fonctionner un système automatisé ou semi-automatisé de transformation des matières plastiques pour assurer une production. Outre l'injection, il est formé à au moins trois techniques de fabrication telles que la compression, l'enroulement filamentaire, l'extrusion de profilés, soufflage et thermo-formage.
Il est capable de préparer l'aire de fabrication, c'est-à-dire qu'il met en place les outillages et les périphériques en liaison avec le responsable. Il participe aussi à la préparation de la matière plastique et installe les compléments du poste. En toute autonomie, il lance la fabrication et assure la production. Le produit doit être conforme aux exigences de la commande dans le respect des délais. On exige de lui un respect des procédures, des consignes, des modes opératoires. Il sait détecter les dysfonctionnements et alerte le bon interlocuteur si nécessaire. Il possède les connaissances indispensables à l'exercice de l'auto-contrôle dans le cadre des normes ISO.




Où le préparer ?
au LP Galilée, 109 rue Paul Vaillant-Couturier, 92230 Gennevilliers. Tél. 01 47 33 30 20

Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en Bac Pro Plasturgie pour les meilleurs.

Au programme :
La formation est surtout axée sur la seconde transformation, c'est-à-dire sur les techniques d'utilisation des produits de base pour la réalisation des plaques, feuilles ou tubes en matières plastiques ou composites, employés pour les emballages alimentaires, les tuyauteries, etc.
Vous aborderez l'étude des systèmes automatisés et mécanisés, l'organisation du poste de travail et le décodage des dessins techniques.

Le concept qualité est abordé en cours ainsi que les notions de productivité, de coût, de service vis-à-vis du client.
Pour en savoir plus :
"Matériaux d'hier et de demain" (Cahier de l'ONISEP) en D 13 dans l'auto-documentation du CDI

"Le travail des matériaux – De la métallurgie à la plasturgie" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 17)


CAP Tapissier d'ameublement (spécialité couture décor)

e:\pfiles\msoffice\clipart\standard\stddir3\in00309_.wmf



Un métier : tapissier d'ameublement

Ce diplôme prépare à un emploi d'ouvrier qualifié dans la réalisation ou la remise en état d'ouvrages : rideaux et décors de fenêtres, décors de lit, coussins, tentures murales, voilages, stores. Il connaît les matériaux (tissus, passementeries...), la coupe et la couture en atelier. Il sait relever les mesures, exécuter la pose. Il reçoit une formation en histoire de l'art. Ce métier exige un certain goût artistique. Une bonne appréciation des couleurs et des volumes, l'habileté manuelle, la propreté et le soin sont nécessaires. L'aptitude aux relations humaines facilite les échanges avec la clientèle.
Le tapissier d'ameublement crée un décor. Il coordonne l'habillage des murs et des accessoires (voilages, coussins, parures de lits). Il peut travailler avec un architecte d'intérieur à la décoration d'appartements, d'hôtels, de bureaux… En plus de ses compétences techniques, qui demandent patience et habilité manuelle, il lui faut un sens relationnel pour s'adapter et traduire la demande de clients divers : il travaille aussi avec les ébénistes et des décorateurs.
L'ouvrier qualifié peut travailler dans un atelier industriel ou, le plus souvent, chez un artisan.



Où le préparer ?
au Lycée Valmy, 130 boulevard de Valmy, 92700 Colombes. Tél. 01 47 81 34 16.
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en Bac Pro Artisanat et métiers d'art, option tapisserie d'ameublement, voire en DMA de l'Habitat, option décors et mobiliers.
Au programme :
A partir d'un projet, le tapissier d'ameublement doit savoir établir un devis et réaliser ensuite les travaux demandés. La formation professionnelle consiste alors à apprendre à exécuter à la main ou à la machine tous les travaux de couture, de rideaux et de draperies à partir de plans prévus. Les élèves apprennent à monter les tentures suivant divers procédés (tasseaux par exemple), à fixer dans le mur les tringles qui soutiennent les rideaux et les voilages et à mettre en place les systèmes d'ouverture à fonctionnement manuel ou automatique.
Pour en savoir plus :
"Etudes et métiers d'art" (Dossier de l'ONISEP) en E 11 dans l'auto-documentation du CDI

"Les métiers d'art" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 19)



CAP Entretien des articles textiles en entreprise artisanale

d:\pfiles\msoffice\clipart\standard\stddir1\bd06433_.wmf




Un métier : employé de pressing
L'employé de pressing accueille le client en magasin, lors du dépôt et de la livraison des articles. Puis il effectue en atelier les différentes opérations liées au nettoyage des textiles : triage, brossage, nettoyage à sec, détachage, apprêtage. Il doit assurer l'entretien courant du matériel. Parfois il peut effectuer la facturation du service rendu au client.
Cette formation convient aux jeunes qui ont le goût du travail précis et soigné, qui sont attirés par l'habillement, les vêtements et aiment le contact avec les tissus. Elle nécessite une bonne forme physique, car l'employé de pressing travail debout la majeure partie du temps. C'est un métier de contact qui exige donc une présentation et une tenue correctes.
Il peut être embauché dans une entreprise artisanale d'entretien des textiles (le pressing de quartier par exemple) qui peut proposer différentes qualités de prestations, qui vont du service économique au service de haute qualité en passant par le service soigné.




Où le préparer ?
au Lycée Jules Verne, 2 rue de la Constituante, 78500 Sartrouville. Tél. 01 61 04 13 00
au CFA des métiers de l'entretien des textiles, 39-41 rue Chanzy, 75011 Paris. Tél. 01 55 25 20 60
Et après :
Les meilleurs élèves peuvent envisager de préparer le Brevet de Technicien Technologies d'entretien des articles textiles.
Au programme :
Pour les entreprises artisanales, la physique et la chimie sont importantes pour la connaissance des composants des textiles et de leurs traitements. Technologie des produits chimiques, initiation aux matériels et techniques commerciales sont abordées. Les élèves se familiarisent avec les diverses fonctions d'une employé de pressing : réception de la clientèle, tenue d'une caisse, détachage et travaux de finition. Ils apprennent à programmer une machine de nettoyage à sec, s'initient au maniement du fer, d'une presse, à la mise en forme d'un vêtement sur le mannequin à vapeur. On leur enseigne les techniques du pliage simple et fantaisie.

Pour en savoir plus :
"Autour de la mode" (Cahier de l'ONISEP) en D 12 dans l'auto-documentation du CDI

"Les métiers du textile, de l'habillement et de la mode" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 16)



CAP Couture flou

d:\pub\clipart\in00199_.wmf





Un métier : couturière
Pour parvenir à un travail soigné, la couturière doit respecter les mêmes étapes que le tailleur : choix du modèle, prise des mesures, fabrication de la toile (étape entre le patron et le vêtement définitif), réglage aux mesures, coupe des tissus et des doublures, assemblage (pinces, côtés, devant et dos, épaules, manches). Elle passe ensuite aux essayages avant de coudre définitivement le vêtement. Elle procède enfin aux opérations de finition : poches, ceinture, passants, boutonnières, ourlets, galonnage… avant le repassage afin d'obtenir un aplomb impeccable.

Un autre métier : retoucheuse
Robe à transformer, pantalon à raccourcir, fermeture éclair à changer ou accroc à réparer… les occasions ne manquent pas pour faire appel à la retoucheuse. Elle doit posséder les mêmes compétences que la couturière : bonne connaissance des matières, des fils, des techniques de coupe et de montage. C'est elle qui reçoit les clients, prend les mesures, épingle… et évalue le coût du travail demandé. Des capacités relationnelles pour éventuellement conseiller et répondre au mieux à ce que souhaitent les clients ainsi que des aptitudes commerciales lui sont indispensables.



Où le préparer ?
au Lycée Louise Michel, 11 boulevard du Midi, 92000 Nanterre. Tél. 01 47 24 00 86
au CFA de la couture, 45 rue Saint Roch, 75001 Paris. Tél. 01 42 61 00 77
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Métiers de la mode et industries connexes, de faire une mention complémentaire Essayage - retouche - vente en un an. Il existe également un Bac Pro Artisanat et métiers d'art.
Au programme :
Les élèves apprennent les différents points de base, l'utilisation des différentes machines (surjeteuses, surfileuses, machines à boutonnières), le matériel de repassage (fers, presses, tables chauffantes), ainsi que le matériel de coupe et de traçage.
A partir d'un dessin ou de mesures normalisées ou prises sur une cliente, les élèves réalisent par tracé le patron de la jupe ou du chemisier demandé : c'est la technique de la coupe à plat. Mais il existe aussi la technique du moulage et dans ce cas, les élèves travaillent directement sur le mannequin et exécutent le modèle et son patron à partir d'une toile de coton. Les élèves se familiarisent aussi avec des matériaux difficiles à manipuler du fait de leur légèreté et leur finesse : soie, synthétique, crêpe, velours, polyester, mousseline…
Pour en savoir plus :
"Autour de la mode" (Cahier de l'ONISEP) en D 12 dans l'auto-documentation du CDI

"Les métiers du textile, de l'habillement et de la mode" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 16)


CAP Prêt à porter

d:\pfiles\msoffice\clipart\standard\stddir1\bd07096_.wmf




Un métier : mécanicienne
La mécanicienne est une ouvrière qualifiée que l'on va retrouver au montage et à la fabrication en série de vêtements, mais aussi de linge de maison et de tissus d'ameublement. Dans les entreprises aujourd'hui, on fait surtout de la petite série, la grande série étant souvent exportée à l'étranger. C'est pourquoi les ouvrières ne sont pas forcément occupées à faire la même pièce toute la journée, mais plutôt à réaliser le montage intégral d'un vêtement, ce qui est forcément plus intéressant.
La mécanicienne interprète un document technique pour réaliser un patronage industriel. Elle place les éléments du patron pour calculer le métrage nécessaire, coupe les pièces et les regroupe avant de les passer au montage. Puis elle utilise des machines professionnelles de montage et de finition : piqueuse plate, surjeteuse-surfileuse, remmailleuse, machines spéciales pour les boutonnières, les points d'arrêt, les thermocolleuses et le matériel de repassage. Elle utilise aussi les techniques de montage des vêtements (cols, poches, poignets…).
Enfin la mécanicienne sait préparer son poste de travail, régler les machines de montage et de finition selon le produit à confectionner. Elle contrôle la qualité du produit au cours de la fabrication. Pour exercer ce métier, il faut aimer travailler à la machine, avoir le sens de la précision et de la minutie.



Où le préparer ?
au Lycée Adrienne Bolland, 62-64 boulevard Devaux, 78300 Poissy. Tél. 01 30 06 38 48
au CFA de la couture, 45 rue Saint Roch, 75001 Paris. Tél. 01 42 61 00 77
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Métiers de la mode et industries connexes, de faire une mention complémentaire en un an. Il existe également un Bac Pro Artisanat et métiers d'art.
Au programme :
La formation porte sur l'analyse des besoins et le conseil à la clientèle. Dans ce cadre les élèves apprennent à estimer le style et la taille de la personne. Les techniques de vente, la connaissance des produits, des textiles, l'évaluation du coût et du délai nécessaires pour réaliser des retouches font aussi partie du programme.

Seront également passées en revue les techniques de retouches (marquage, coupe, repassage) et le matériel utilisé.

Au programme également, une initiation à l'informatique : utilisation des logiciels de gestion de stocks, de fichiers clients, de retouches.
Pour en savoir plus :
"Autour de la mode" (Cahier de l'ONISEP) en D 12 dans l'auto-documentation du CDI

"Les métiers du textile, de l'habillement et de la mode" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 16)

CAP Fleurs et plumes

..\..\..\cliparts\bd07452_.wmf




Deux métiers : plumassière et fleuriste
Fabriquer des boas de plumes, composer des parures pour orner des robes de soirée, adapter des aigrettes sur des chapeaux… ce savoir-faire, cet art particulier revient à la plumassière. Un travail de goût, de précision que l'on rencontre surtout dans les maisons de haute couture et dans les cabarets.
Une bonne professionnelle doit savoir créer ses modèles, reconnaître et choisir les plumes, maîtriser l'art de la teinture. La base du travail réside dans le placement des plumes par collage à plat, en rond, en volume, en damier. L'apprentissage est long et de nombreuses opérations techniques sont nécessaires pour concevoir des objets très complexes comme des fruits, des fleurs, ou des oiseaux.
La fleuriste, quant à elle, élabore des compositions florales en tissu. Découper les pétales au fer puis les teindre est un travail d'une grande minutie. Après les avoir humidifiés, elle les travaille avec divers outils chauffés pour leur donner la forme désirée : en boule, galbée, effilée… La recherche de coloris, comme pour la plumassière, est fondamentale.



Où le préparer ?
au lycée Octave Feuillet, 9 rue Octave Feuillet, 75016 Paris. Tél. 01 45 20 41 47
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre vers d'autres CAP tels que Mode et chapellerie, Broderie, Couture.
Au programme :
Rouler, friser, tremper, gaufrer, coller des plumes et des pétales de tissu pour réaliser des bouquets, des parures, des broches… c'est ce que les élèves apprennent dans le cadre de cette formation.

Les élèves vont apprendre à fabriquer des fleurs en tissu naturel (coton, soie…), à reconnaître les diverses variétés de plumes et à les travailler, les mettre en forme. Ils seront initiés aux techniques de coloration, de trempage… On leur demandera, par exemple, de reproduire de façon la plus réaliste possible un lys, une marguerite… Ils vont également savoir fabriquer les montures avec des fils de laiton et à maîtriser les différentes techniques : le tourné et le gaufrage à la pince pour les fleurs, le collage à plat, circulaire, le remplumage pour les plumes.

Une partie de la formation est consacrée au dessin afin de développer la créativité, l'imagination…
Pour en savoir plus :
"Autour de la mode" (Cahier de l'ONISEP) en D 12 dans l'auto-documentation du CDI

"Les métiers du textile, de l'habillement et de la mode" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 16)


CAP Boulanger

c:\program files\microsoft office\clipart\publisher\pe04195_.wmf




Un métier : boulanger
Aujourd'hui, le pétrin est mécanique et le four est électrique ; mais la pâte fermentée qui compose le pain, réclame toujours la même attention. Pour fabriquer du pain, il faut de la farine, du sel, de l'eau, des agents de fermentation et beaucoup de savoir-faire.
Pétrissage de la pâte, fermentation, façonnage des "pâtons", enfournement, cuisson… la panification (fabrication du pain) passe par plusieurs étapes qui exigent chacune des compétences techniques. Aujourd'hui le métier a beaucoup évolué, et les équipements de plus en plus performants facilitent la tâche du boulanger.
Pour s'adapter au goût des clients, les boulangers ont diversifié leur production et proposent, à côté des pains courants, toute une gamme de pains spéciaux (aux raisin, aux noix, aux lardons…). Ils fabriquent aussi des produits de viennoiserie (petits pains, croissants, brioches…) et beaucoup évoluent vers une activité de traiteur (pizzas, quiches, sandwiches…).
Si la boulangerie est un métier passion, elle a aussi ses contraintes : travail le samedi et le dimanche, travail debout dans la chaleur et l'humidité, hygiène à respecter…
A côté de la boulangerie de quartier, la boulangerie industrielle et les laboratoires intégrés des grandes surfaces se développent et offrent de plus en plus d'emplois.



Où le préparer ?
au CFA de la Chambre des Métiers, 17-19 avenue du Général Mangin, 78000 Versailles. Tél. 01 39 55 15 23
au CFA Ferrandi, 28 rue de l'Abbé Grégoire, 75006 Paris. Tél. 01 49 54 29 03
au CFA de la boulangerie-pâtisserie, 64 rue des Pirogues de Bercy, 75012 Paris. Tél. 01 53 02 93 70
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Alimentation option Boulanger, en Mention complémentaire Boulangerie spécialisée, en Brevet professionnel BP Boulangerie ou en Brevet de maîtrise Boulangerie.
Au programme :
La formation porte sur la découverte des techniques de production des pains courants, des pains spéciaux et de la viennoiserie et l'initiation à l'activité de traiteur. Les enseignements théoriques et pratiques sont regroupés autour des thèmes suivants : connaissance des matières premières (farine, levure, sel), étude des différentes étapes de la panification, des méthodes de fermentation, des différents matériels (pétrins, balances, fours), de l'hygiène alimentaire et de l'organisation du travail. Des notions de commerce et de comptabilité sont bien utiles si on décide de s'installer un jour à son compte.
Pour en savoir plus
"Commerce" (Cahier de l'ONISEP) en E 06 dans l'auto-documentation du CDI

"Commerce et distribution" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 6)


CAP Charcutier préparation traiteur

c:\program files\microsoft office\clipart\publisher\fd00944_.wmf





Un métier : charcutier-traiteur
Le charcutier-traiteur réalise des préparations alimentaires variées à base de viande et surtout de porc et il les vend. Il prépare la viande de porc (la désosse et la découpe) et il la fait cuire. Il effectue la salaison et le fumage (utilisation du sel et de la fumée). Il fabrique des produits cuits (pâtés, saucissons, jambons) et des produits crus (saucisses, poitrine fumée).
L'activité traiteur tient une place très importante. Le charcutier-traiteur réalise des plats et des repas cuisinés, de l'entrée au dessert ; il peut organiser aussi des buffets et des réceptions. Il prépare des hors d'œuvre, des entrées chaudes ou froides ; il fabrique des terrines de volailles, de poissons et de légumes ainsi que des pâtisseries salées et sucrées simples. Le charcutier-traiteur présente et décore les plats cuisinés et en assure la conservation par différentes méthodes : congélation, stérilisation.
Il est en relation avec la clientèle et a une activité de commerçant : vente des produits réalisés, conseils. Il utilise divers matériels : couteau, machine à trancher, robot, mixer… Il nettoie et entretient les matériels et les locaux.

Côté débouchés, le secteur est ouvert : les charcutiers sont très recherchés et ont de l'avenir. Des emplois sont aussi offerts dans l'industrie agroalimentaire et dans les rayons spécialisés des grandes surfaces. Il y a des places à prendre chez les traiteurs organisateurs de réception.



Où le préparer ?
au CFA de la Chambre des Métiers, 17-19 avenue du Général Mangin, 78000 Versailles. Tél. 01 39 55 15 23
au CFA des métiers de la charcuterie, 19 rue Goubet, 75019 Paris. Tél. 01 42 39 19 64
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Alimentation, en Mention complémentaire Employé traiteur, en BP Charcutier traiteur ou en Bac Professionnel Métiers de l'alimentation.
Au programme :
La formation porte sur l'apprentissage du découpage et de la préparation de la viande en vue de la vente, mais aussi sur la confection de produits crus ou cuits, des volailles, des légumes et des poissons. Une partie de la formation professionnelle a trait à la pâtisserie (connaissance des pâtes brisées, feuilletées…) et à la mise en forme des préparations (comment décorer un plateau, glacer des ballottines ou des terrines…). Ces connaissances lui permettent d'exercer la fonction traiteur pour la confection de divers plats préparés.
Pour en savoir plus
"Commerce" (Cahier de l'ONISEP) en E 06 dans l'auto-documentation du CDI

"Commerce et distribution" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 6)


CAP Chocolatier confiseur

e:\pfiles\msoffice\clipart\standard\stddir3\fd00495_.wmf




Un métier : chocolatier-confiseur
Le chocolatier-confiseur participe à tous les stades de la fabrication du chocolat ou de la confiserie (truffes, pralines, caramels, nougats, bonbons et autres délices). Il peut aussi avoir des activités de vente.
C'est avant tout un métier technique : pour réaliser intérieurs comme enrobages, il faut bien connaître les produits utilisés, évaluer leur résistance à la chaleur et leur réaction au froid et de composer de savants mélanges. C'est aussi une profession artistique qui fait appel à l'imagination, à la créativité et au sens esthétique.
Actuellement, les chocolatiers-confiseurs ne sont pas très nombreux et seuls les artisans de renom arrivent à s'en sortir. Rude est la concurrence des industries agroalimentaires et des grandes surfaces qui produisent et distribuent de grandes quantité de sucreries à un prix modique. La fabrication de bonbons et chocolats est souvent devenue une activité annexe pour les pâtissiers qui utilisent déjà le cacao pour garnir ou simplement décorer leurs gâteaux.




Où le préparer ?
au CFA des métiers de la table, 17 rue Jacques Ibert, 75017 Paris. Tél. 01 44 09 12 00
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BM Pâtissier-confiseur-glacier, en BTM Pâtissier ou Chocolatier.
Au programme :
En confiserie, il faut connaître les techniques de cuisson, de fonte, de façonnage et de fourrage. En chocolaterie, il s'agit plutôt des matières premières que l'on utilise, savoir les marier, étudier leur résistance à la chaleur, leur réaction au froid. Pour fabriquer du chocolat, on commence par "le cœur" du chocolat. Puis on découpe les plaques avec un système de cordes à piano appelé "guitare". Une fois les morceaux découpés, ceux-ci sont alors trempés dans le chocolat et enrobés d'une couverture. Pour maintenir la couverture à température, on utilise des "tempéreuses". Tempérage, trempage, enrobage, la chocolaterie est un métier très technique.
Pour en savoir plus
"Commerce" (Cahier de l'ONISEP) en E 06 dans l'auto-documentation du CDI

"Commerce et distribution" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 6)


CAP Pâtissier, glacier,chocolatier, confiseur

e:\pfiles\msoffice\clipart\standard\stddir3\fd00299_.wmf





Un métier : pâtissier
Gérer le service, décorer les entremets, travailler le chocolat… le pâtissier exerce un métier où la technique et l'expérience se mêlent au talent de l'artiste. Sous la responsabilité d'un chef pâtissier, il prépare de bonnes tartes aux fruits, des forêts noires, sans oublier de savoureux gâteaux d'anniversaire. Fort de la polyvalence du cuisinier et de l'art du coloriste, le pâtissier sait tout faire, les pâtes comme les garnitures, la cuisson comme la décoration. Il connaît aussi l'ensemble des matières premières qu'il travaille : farine, sucre, fruits, aromates, laitages, … Lorsqu'il travaille dans un laboratoire, le pâtissier est le plus souvent debout et dans la chaleur. Pour être dans la pâtisserie, il faut être courageux, ne pas avoir peur de se lever le matin, aimer le travail bien fini. Il faut être aussi un peu artiste car la pâtisserie, c'est de la création.
Pour satisfaire sa clientèle, le pâtissier fait de plus en plus office de chocolatier-confiseur ou de glacier. En ville il peut exercer dans le cadre d'un salon de thé. A la campagne, il fabrique lui-même pains, croissants et brioches. Au fait de la restauration rapide, certains pâtissiers font également des plats salés : pains surprise, tourtes, petits fours… A côté des pâtisseries artisanales, nombreuses en centre ville, les pâtisseries semi-industrielles connaissent un grand développement, avec en particulier la restauration collective et la grande distribution.
Un métier : glacier-sorbetier
Les glaciers sont de plus en plus rares. Spécialistes des produits glacés, ils fabriquent des glaces aux œufs, au lait, des sorbets, des mousses et des entremets. Ces artisans ont du mal à s'en sortir. La consommation de glaces en France est beaucoup trop saisonnière. Ils ont tout intérêt à s'associer avec un boulanger ou un pâtissier. D'autant plus que se développent les machines automatiques à fabriquer des glaces dont l'utilisation ne réclame aucune compétence particulière.



Où le préparer ?
au CFA de la Chambre des Métiers, 17-19 avenue du Général Mangin, 78000 Versailles. Tél. 01 39 55 15 23
au CFA des métiers de la table, 17 rue Jacques Ibert, 75017 Paris. Tél. 01 44 09 12 00
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Alimentation option Pâtissier, en Bac Professionnel Métiers de l'alimentation
Au programme :
La formation professionnelle permet d'apprendre à réaliser en laboratoire les différents types de pâtes (à choux, levées, brisées, feuilletées), à les façonner, les mouler et procéder à leur cuisson. L'élève apprend à fabriquer les garnitures (chocolat, crèmes, meringue…) dont il décore les gâteaux. Il prépare également les entremets, des petits fours, des pièces montées…
Pour en savoir plus
"Commerce" (Cahier de l'ONISEP) en E 06 dans l'auto-documentation du CDI

"Commerce et distribution" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 6)


CAP Préparateur en produits carnés

d:\pub\clipart\fd00961_.wmf




Un métier : boucher
Le boucher achète les animaux (en carcasses ou quartiers) chez un grossiste ou dans les abattoirs. C'est une opération de négociation pour laquelle il faut se tenir au courant des prix du marché. De retour dans son laboratoire, il les transforme en morceaux de viande qu'il mettra en vente. C'est un travail qui demande de l'adresse et une bonne connaissance de l'anatomie animale.
Il fabrique de plus en plus des plats élaborés (paupiettes, volailles farcies, plats cuisinés…) et se fait parfois tripier-volailler. Un métier qui demande une hygiène parfaire, de l'adresse et de la résistance physique (travail debout, dans le froid…). Savoir conseiller le client sur le choix d'un morceau ou le temps de cuisson est également essentiel.
Le boucher peut travailler dans un petit commerce (comme salarié ou patron), sur les marchés, dans une grande surface ou un atelier de découpe industriel. Les possibilités d'emplois sont actuellement nombreuses. Le boucher peut aussi exercer dans des ateliers de découpe de type industriel ou dans des marchés de gros.



Où le préparer ?
au CFA de la Chambre des Métiers, 17-19 avenue du Général Mangin, 78000 Versailles. Tél. 01 39 55 15 23
au CFA des métiers de la viande, 37 boulevard Soult, 75012 Paris. Tél. 01 43 45 23 72
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Alimentation option Préparateur en produits carnés, en Mention complémentaire Employé traiteur, en BP Boucher, en Bac Pro Métiers de l'alimentation.
Au programme :
De la transformation des carcasses jusqu'à leur présentation en morceaux de détail, ce diplôme comporte un programme diversifié. L'élève apprend l'anatomie et la morphologie des animaux, les critères de qualité, la classification des carcasses, les caractéristiques des morceaux et leur destination culinaire, les méthodes de traitement et de conservation des viandes et volailles.
Il s'initie aux techniques utilisées dans chaque spécialité : boucher, boucher hippophagique (viande de cheval), tripier, volailler. Il apprend à couper, désosser, parer, ficeler… à reconnaître et utiliser les différents outils nécessaires. Habileté manuelle, compétence technique, goût de l'initiative, sens de la responsabilité et du contact, telles sont les qualités requises pour préparer un diplôme en boucherie.
Pour en savoir plus
"Commerce" (Cahier de l'ONISEP) en E 06 dans l'auto-documentation du CDI

"Commerce et distribution" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 6)


CAP Cuisinier

d:\pfiles\msoffice\clipart\standard\stddir1\bd05234_.wmf




Un métier : cuisinier
Sa devise : satisfaire le palais et l'estomac des clients.
Il peut faire partie d'une équipe (commis, chef de partie, chef de cuisine…). Il peut aussi revêtir tout simplement le titre de cuisinier, et régner seul sur ses fourneaux. Car tout dépend de son diplôme de départ, de l'évolution de sa carrière, de la grandeur et de la notoriété du restaurant où il exerce ses talents.
Dans un petit restaurant, son rôle commence au marché. Maître des achats, il élabore les menus en tenant compte des saisons. Il passe ensuite en cuisine, assisté parfois de quelques aides ou apprentis, pour couper les légumes, vider et flamber les volailles, vérifier le goût d'une sauce, faire dorer les tartes…
Dans un grand restaurant, il travaille en équipe, une équipe très structurée et hiérarchisée.
C'est un métier qui demande une réelle motivation : les horaires sont contraignants et il faut travailler les dimanches et les jours fériés. Il faut aussi une bonne résistance physique car il faut travailler debout, à la chaleur et dans le stress des commandes.



Où le préparer ?
au CFA de la Chambre des Métiers, 17-19 avenue du Général Mangin, 78000 Versailles. Tél. 01 39 55 15 23
au CFA Bel Air, Annexe "l'Oustal", 15 rue Jacques Boyceau, 78000 Versailles. Tél 01 39 67 52 20
au CFA des métiers de la table, 17 rue Jacques Ibert, 75017 Paris. Tél. 01 44 09 12 00
Et après :
Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Hôtellerie-Restauration option cuisine, de faire un autre CAP dans une spécialité proche, de faire une mention complémentaire Traiteur en un an. Il existe également un Bac Pro Restauration (pour être premier commis).
Au programme :
Les élèves apprennent les techniques culinaires de base (préparation des viandes, des légumes…). Ils réalisent des hors d'œuvre, des plats principaux, des desserts, …

Ils apprennent à confectionner un menu simple, et à préparer l'approvisionnement en matières premières (bons de commande, stockage de marchandises, calcul de coût).

Egalement au programme : des sciences appliquées à l'alimentation, les règles d'hygiène et de sécurité, et huit semaines de stage en entreprise (en Lycée Professionnel).
Pour en savoir plus
"Hôtellerie, restauration, tourisme" (Cahier de l'ONISEP) en E 07 dans l'auto-documentation du CDI

" Hôtellerie, restauration, tourisme " (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 9)


CAP Restaurant

..\..\..\..\..\..\program files\microsoft office\clipart\pub60cor\fd01084_.wmf
1   2   3   4   5   6   7

similaire:

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconDescription des capa et cap accessibles aux élèves de segpa

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconRésumé Une collaboration entre les promoteurs et les chercheurs de...

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconSommaire (cliquer sur n° de page)

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconSommaire (cliquer sur n° de page)

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconCompetences mises en oeuvre pour cette activite professionnelle
«N° Interne» le code à barre de l’équipement recherché, puis cliquer sur «Rechercher»

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconNote page 5 Découvrir le film à l’aide de la pré bande-annonce page...
«Nous avons besoin de plus de films comme Aurélie Laflamme Les pieds sur terre» Elizabeth Lepage-Boily, Cinoche

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconPour lequel on trouve ici l’examen de
«Entre les rues Duluth et Mont-Royal, cinquante vieilles maisons s’épaulent pour endiguer le bassin de nature déversé par la montagne»...

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconCette page peut être trop longue pour que sa lecture et la navigation...

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconLa mise en œuvre du reglement 178/2002
«législation alimentaire générale» : des principes généraux de la législation alimentaire, des obligations générales du commerce...

Description des capa et cap pour revenir à cette page, cliquer sur les images. Agriculture agro-alimentaire iconLe catalan, l’occitan et l’espéranto. Cliquez sur "International"...
«Montpellier notre ville». En page 2 de ce document un sommaire a été créé pour faciliter l’accès aux différents articles du journal....








Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
p.21-bal.com