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![]() Mardi 30 aout : Boulogne – Marquise ![]() Départ 09:00 de la route de Calais où j’ai laissé ma voiture pour le reste de la semaine. ![]() ![]() Superbe étape qui démarre par le site de la Colonne de la Grande Armée [eh oui, on commence par se taper la colonne …], on enchaîne par la pittoresque mais riche vallée du Denacre juste après avoir franchi l’autoroute A16, sur le territoire de Rupembert A peine quitté le Denacre on s’enfile sept à huit kilomètres de casse-pattes, … de véritables montagnes russes entre Rupembert, Olincthun, le Moulin de Grisendal, Maninghen et Wacquinghen. D ![]() Néanmoins, on s’habitue très rapidement à ce genre d’efforts méconnus dans la banlieue lilloise [sauf peut-être au Saint Aubert]. V ![]() Ca encourage à repartir. En route donc vers Marquise, via le mont Duez et Beuvrequen, avec toujours en point de mire le village de Bazinghen sur sa colline ; arrivée à Marquise vers 15:30. J ![]() Ma logeuse m’annonce le menu : Boules de melon, velouté de potiron, pintade au chasselas du jardin purée, glaces artisanales de la ferme voisine [menthe pépites de chocolat, pistache, pétales de rose], … Tout me convient. Chiffres du jour : 22 kms [18 prévus + Détour par le Denacre + Détour jusqu’au camping + Visite Marquise] Altitude maxi : 97 m – Dénivelé positif : 315 m Météo : Nuages le matin, soleil l’après-midi Moral et Physique : Au beau fixe ; une seule ampoule … au majeur de la main droite à cause du bâton de marche !!! Quel plaisir cependant d’enlever le sac à dos [12 kg quand même], mais après quand les muscles des omoplates refroidissent … quelle jouissance. ![]() Mercredi 31 aout : Marquise – Peuplingues ![]() Petit déjeuner copieux à 08:00 : Café, chocolat, brioches maison et yaourts idem. D ![]() On prolonge maintenant vers la commune de Ferques dont on évite le centre bourg par la gauche en se dirigeant vers l’autre versant des carrières vers Les Communes, avant de s’orienter plein nord vers Blacourt et sa ferme- château. S ![]() Du sommet vers l’est jusqu’à l’autoroute A16, puis à l’identique de l’autre coté de l’A16 par l’aire des deux caps et le mont de Couple, on se trouve sur la crête d’une barre de monts séparant nettement le Boulonnais du Calaisis … Quelle vue imprenable. ![]() Petite pause désaltérante sur le pont du Golfeur de l’autoroute à l’entrée de Saint Inglevert, que l’on traverse ensuite de toute sa longueur, et où est prévue la pause déjeuner à l’Estaminet Palace [km 13] qui affiche fièrement « Moules à la crème de Maroilles » entre autres, … mais qui est fermé pour congés jusqu’au 07 septembre depuis hier ! Caramba, … rien d’autre à se mettre sous la dent avant Peuplingues arrivée de l’étape du jour ! On quitte donc Saint Inglevert par son aéroclub et on poursuit vers Ramsault d’où le paysage change totalement : en effet on ne voit plus le Boulonnais, la Colonne de la Grande Armée, le château d’eau de la Trésorerie et le Mont Lambert, mais on pénètre maintenant dans la Terre des Deux Caps en découvrant au loin le Blanc Nez et le Mont d’Hubert ; juste après, en entamant la lente et longue descente vers Peuplingues, on change à nouveau radicalement de paysage en voyant au loin Calais, son port, les infrastructures de l’entrée du Tunnel en pénétrant en Calaisis. Peuplingues est atteint vers 13 :45, … Bistrot fermé, Brasserie fermée [en congés depuis ce matin pour la semaine], Compotes et lait avant de passer au gite récupérer ma chambre et où le logeur m’annonce immédiatement que vue les circonstances il me conduira à Escalles en voiture pour y diner … Ouf ! ![]() Douche, massage des pieds et décrassage en empruntant vers le nord le chemin vers Coquelles qui coupe normalement l’entrée exacte du Tunnel, mais il faut rester tellement loin et il y a tant de rideaux de grillages qu’on ne voit rien … On revient à Peuplingues et visite du village. De retour au gite, un transat dans le jardin me tend les bras, la journée sans repas de midi a été éprouvante, et hop … Une petite sieste au soleil. On me dépose plus tard au restaurant les Falaises à Escalles [à 5 km], à peine assis, le serveur vient me voir pour dire qu’il me connait que je suis de Leers et qu’il est venu jouer plusieurs années au Tournoi de Pentecôte. Au Menu ce soir : Coquille de poisson gratinée, tagliatelles au saumon fumé, dame blanche, … La totale, quoi ! Résumé de l’étape : A part aux alentours des carrières, parcours extrêmement rural et pittoresque avec des paysages de champs et de collines à perte de vue, … sans maison et sans personne [à part un garagiste à Saint Inglevert, je n’ai vu ni rencontré personne] ; pour pouvoir communiquer, il va falloir que j’apprenne à parler le « chien » ! Chiffres du jour : 24 kms [20 prévus + Visite entrée Tunnel et Peuplingues] Altitude maxi : 157 m – Dénivelé positif : 300 m Météo : Soleil au départ, puis nuages en fin de matinée et retour du soleil l’après-midi Moral et Physique : RAS ; Plus d’ampoule, douleurs persistantes aux épaules après l’effort … couteau et fourchette me paraissent diablement lourds ! Jeudi 1er septembre : Peuplingues – Audembert ![]() L ![]() La plus longue [23 km prévus] et la plus « montagneuse » [435 m de dénivelé positif] avec les ascensions des Blanc Nez, Mont D’Hubert, Mont Roti et le Mont de Couple à 2 km de l’arrivée. Départ sous le soleil mais par un temps encore frisquet [je sors le pull pour une demi heure pour la première fois depuis Boulogne, ce sera d’ailleurs la seule fois du séjour] à 09:00 après un fort copieux et savoureux petit déjeuner et de bien longs bavardages avec la logeuse. ![]() Direction Sangatte, via l’ancienne voie romaine de la Leulène, on passe plusieurs fois sur le tracé du Tunnel sous la Manche [qui du reste devrait s’appeler Tunnel sous la Mer du Nord, … puisque la séparation Manche / Mer du Nord se trouve plus au Sud, au Gris Nez] et on se laisse doucement descendre sur Sangatte [point le plus septentrional du parcours] et son Eglise qui semble posée sur l’eau, et d’où l’on croit voir les ferries sortir de la messe tant ils sont près de la cote avant de s’éloigner vers le large. Allure soutenue, sac à dos allégé aujourd’hui, … En effet Christine* [* : le prénom de cette personne a été changé pour le reste du récit à la demande de la Police], passe à Peuplingues dans la journée pour récupérer le surplus de bagages avant de rallier Audembert en soirée et de repartir vers Hesdin demain matin. ![]() Petite pause sur le site du départ du tout premier tunnel [Napoléon ?] au bord de la plage, on en a profité pour quitter la route pour le chemin côtier vers le Blanc Nez qui se profile majestueux au loin. Montée facile pour ce troisième jour durant laquelle on croise le berger et les six cents moutons du Conseil Général du Pas de Calais, … E ![]() O ![]() Un bon petit verre de lait pour se retaper au très beau bar panoramique du sommet [ce devait être un lait super bio issu de l’agriculture de hauts alpages, vu son prix !], avant de repartir vers les Noires Mottes en longeant l’enclos des béliers, et en descendant – fort - via l’ancien moulin, puis en traversant Haute Escalles, puis Escalles où après 13 km, la pause déjeuner s’impose telle une évidence. On ne change pas une équipe qui gagne, … Retour donc aux Falaises, pour cette fois Moules marinières frites, Glace Vanille. Comme la veille, au moment de partir, un client vient me saluer en me disant qu’il m’a vu à Leers au Tournoi de Football où il était venu accompagner son fiston. Le monde est décidemment vraiment petit [… trop ?]. O ![]() ![]() A la sortie du bourg de Sombre [Alt : 25 m], on entame une longue grimpette vers le pied du Mont de Couple, dont on peut éviter le sommet, … mais une table d’orientation sur l’Everest boulonnais [Alt : 164 m], ça ne se refuse pas. Mais là, cela monte … fort [aux Saisies, il classerait cela en piste rouge !], et puis quelle satisfaction et quel point de vue. Deux petits kilomètres de descente sur Audembert où Christine * [voir plus haut] arrive au gite en même temps que moi, … mais en voiture. On téléphone aux propriétaires et on attend un peu dans le très beau jardin. Douche, massage des pieds, plus massage des épaules aujourd’hui. Départ pour Wissant pour décrassage [des membres inférieurs … vieux cochons] et pour y passer la soirée ; balade via le centre, le musée du moulin, le port, la digue, la dune d’aval et retour sur l’église [4 km]. Repas chez Edwige - à coté du Charlemagne -, très bien : Soupe de Poissons et sa rouille, Crabe gratiné et Dame blanche … quand je vous disais très bien ! ![]() Chiffres du jour : 27 kms [23 prévus + Visite Wissant] Altitude maxi : 164 m – Dénivelé positif : 440 m Météo : Grand soleil toute la journée Moral et Physique : Pas de Crampe, pas d’ampoule, pas de tendinite … Toujours ces douleurs aux épaules à froid. De plus en plus heureux d’avoir entrepris cette aventure. Vendredi 2 septembre : Audembert - Haringzelle ![]() Petit déjeuner un peu chiche et sans spécialités « maison » à 08:15 avec Christine *. ![]() ![]() Départ à 09:00 sous un soleil déjà chaud et avec un sac à dos « normal » ; belle approche de Wissant via le GR 128 par la butte Carlin et la proximité du Camp César. ![]() On effleure Edwige et Wissant, déjà visités la veille pour repartir aussitôt par le long du Typhonium [étrange et énorme propriété boisée sur le haut de Wissant, avec une demeure de style égyptien] qui débouche sur un « rude » chemin champêtre bien montant, où l’on a bien le temps sentir ses épaules, et qui nous emmène jusqu’à la splendide ferme d’Inghem. On reste à parcourir les champs jusqu’à l’entrée de Tardinghen [belle Eglise bien mise en valeur par des aménagements paysagers]. ![]() Après avoir traversé Tardinghen, on se dirige vers Le Chatelet via quelques très beaux gites restaurés, et on débouche sur la plage du Chatelet à mi chemin entre Wissant et le Gris Nez … Marée basse, de grande marée qui plus est, on peut donc s’engager pour poursuivre par l’estran côtier en contournant la Pointe de la Courte Dune et en se dirigeant ensuite en suivant les bouchots vers la plage de la Sirène, au pied du cap. ![]() 12:00 et 14 km effectués, j’avais prévu le restaurant La Sirène pour le midi, et je m’y rends. Des nappes, des sur nappes, des serviettes, de l’argenterie et moi … Le seul en short et godillots ! Comme le Maître d’ Hôtel et le sommelier me surveillent un peu, je n’ose pas enlever mes pompes pour m’aérer les pieds. C’est plutôt ambiance bon chic, bon genre, … C’est adorable d’entendre les flamands essayer de prononcer « Les langoustines grillées ». M ![]() U ![]() Tour du Cap Gris Nez, points de vue, phare, falaises … Beaucoup de changements là aussi, mais moins bien réussis, pour moi, qu’au Blanc Nez : le parcours en étoiles autour du parking central ne remplace pas avantageusement l’ancien tour du cap en surplomb de la mer. J ![]() 16:00, les clefs de ma chambre d’hôte sont sur la porte, douche et massage rituels. T ![]() Diner : Terrine – Moules à la crème – Dame blanche. Au cours du repas, j’ai vu servir à la table voisine, un jarret, mais alors, … un jarret, … comme le mien, du temps où j’avais encore un péroné ailleurs que dans ma bouche ! Une très bonne adresse, très sympa en plus. Chiffres du jour : 22 kms [18 prévus + Visite modifiée du Cap gris Nez + Visite Audinghen] Altitude maxi : 65 m – Dénivelé positif : 240 m Météo : Grand soleil et température en hausse sensible Moral et Physique : Moral au plus haut Pieds et jambes nickel … Les épaules ont sérieusement dégusté ce jour avec la remontée en poids du sac à dos. Quand je pense que c’est, malheureusement, presque ... déjà terminé. Samedi 3 septembre : Haringzelle - Boulogne ![]() Plantureux petit déjeuner servi dès 08:00 autour d’une gigantesque table d’hôtes capable d’accueillir jusqu’à seize convives ; avec notamment des yaourts maison à se taper le c.. par terre. Comme je passe près du gite en repartant vers Lille, pour tenter de ne pas alourdir l’addition musculaire sur les épaules [la saison de Golf est encore longue], je décide de laisser le sac à Haringzelle. ![]() C’est donc muni d’un minimum d’effets que je démarre vers 08:45 cette, hélas, dernière journée en longeant d’abord le bois d’Haringzelle ; au sortir du bois, prenant la direction du hameau de Juphen, on peut sentir de suite que la journée sera chaude. On se laisse filer jusqu’à Audresselles qu’on atteint près du camping le « Noirda ». Ce charmant petit village de pêcheurs ressemble exactement à ce dont je me souvenais … comme si le 21ème siècle n’y était pas encore entré : sa plage immense et déserte, ses flobarts devant les pas de porte et son église fortifiée démesurée par rapport à la taille du village. ![]() Entre Audresselles et Ambleteuse, on reprend un peu de d’altitude et de ruralité en passant par la ferme de Selles [qui vaut le déplacement non par son architecture ni par son élégance, mais par sa taille énorme … et surtout son odeur !]. Via la Mairie d’Ambleteuse on rejoint la plage, la digue, quelques vieilles villas typiques et surtout le très beau fort Mahon qui surveille la jetée de la Slack dans la mer. Le GR côtier quitte la station par un joli petit chemin en surplomb le l’embouchure. J ![]() ![]() A ![]() A 12:00 et après 14 km sous le cagnard, au haut de Wimereux, le Ch’ti Charivari et ses ambiance et déco savoyardes me tendent les bras … Ou plutôt, sa tartiflette onctueuse et ses formidables glaces maison [straticella, caramel au beurre salé, …], me font chanceler et m’arrêter. ![]() U ![]() A la sortie de Wimereux, on reprend le sentier côtier qui monte à la Pointe de la Crèche qui, normalement, domine l’avant port nord de Boulogne ; mais là, dans le brouillard, dans les vagues de brumes qui montent le long de la falaise, on ne voit rien, on entend simplement la mer, les promeneurs et les mouettes !!! On se croirait au bord du cratère d’un volcan nommé La Manche. ![]() La descente par la corniche sur Boulogne se fait dans des conditions météo identiques jusqu’à Nausicaa où un chaud soleil me baigne à nouveau ; les blocs d’appartements, les quais, les ponts sur la Liane et l’entrée dans le centre ville sont tout à fait comme dans les cartes postales … modernes mais beaux. Une dernière découverte, pour moi, la vieille ville traversée de la Porte des Dunes jusqu’à la Porte Neuve : les remparts, le Palais Impérial, le Beffroi, l’Hôtel de Ville, les Places de la Resistance et Godefroy de Bouillon et la Basilique … des chefs d’œuvre méconnus mais qui transforment la fin de ce périple en apothéose ! ![]() ![]() O ![]() C’est pas vrai que c’est déjà fini … On change de godasses, … Retour à la civilisation. On met le contact, instinctivement on glisse un CD, … Depeche Mode, … Black Celebration … A fond … Putain, c’est bon aussi, çà !!! Chiffres du jour : 24 kms [22 prévus + Détour chemin privé Pointe aux oies + Visite Vieux Boulogne non fait mardi] Altitude maxi : 65 m – Dénivelé positif : 265 m Météo : Chaud et orageux - Presque trop chaud le matin - Brume sur Wimereux et Ht Boulogne Moral et Physique : Everything is all right … Surtout sans le sac à dos, ce dernier jour. Chiffres du Parcours total : 119 kms – 23,8 de moyenne par Jour Altitude maxi : 162 m – Altitude mini : 5 m Dénivelé positif : 1550 m Météo : Pas une goutte de pluie … Perte de poids : 500 g, soit environ 400 g aux 100 km !!! ![]() Remarques générales : ° Importance de la préparation physique : Avoir les heures de marche dans les jambes – Faire des essais avec sac à dos - Ne pas négliger l’entrainement en dénivelé [il me manquait quelques heures seulement de St Aubert, le 1er jour] – Les muscles ont en effet … de la MEMOIRE. ° Importance de la préparation cartographique : Emmener les cartes de préparation du parcours – Les avoir toujours sous la main et les consulter – S’en tenir à l’itinéraire prévu, il a généralement était conçu dans le calme et la raison - Rien de plus désagréable qu’une fausse route après 6 ou 7 heures de marche, surtout si cela vous rajoute quelques kilomètres imprévus – Personnellement, pas une seule erreur d’itinéraire sur les cinq jours, et ce sans GPS. ° Importance du matériel : Notamment les chaussures et les chaussettes – On peut parfois regretter de ne pas avoir chaussé ses bons vieux tennis au bout d’une heure, … mais on ne regrettera jamais sa bonne paire de chaussures bien montantes, à semelles bien épaisses et qui maintiennent bien, quand au 20ème km le chemin devient brusquement pentu et fort pierreux – Le bâton offre un apport non négligeable, même si celui-ci parait insoupçonnable au début. ° Importance de la logistique : Avoir prévu et répertorié différentes adresses de restauration et de logement – le top, c’est quand même d’avoir des réservations fermes pour les nuitées -. Ne pas trouver à se restaurer ou alors pas du tout dans les prix escomptés, le midi ou même le soir transforme vite une bonne journée en une journée « galères ». De plus, un parcours bien préparé logistiquement, permet d’éviter le surpoids de nourriture à porter. ° Importance du rythme : En partant tôt, à 12:00 ou 13:00, le gros du trajet est effectué on arrive tôt, on se douche tôt, on se soigne éventuellement tôt, on fait un décrassage tôt, …et il reste encore du temps pour se divertir. ° Concernant le Boulonnais, j’ai été fort agréablement surpris de trouver en ce début septembre – donc en saison bien entamée – des chemins et sentiers particulièrement propres, sans détritus, aux abords bien tondus, bien fléchés et entretenus, sans trou et bien revêtus ou empierrés. On sent la derrière un important travail de fond … Mais, c’est tellement plus agréable à pratiquer ! Merci de votre lecture. Ouvert largement à vos remarques et suggestions. De toute façon, déjà prêt à repartir, là ou ailleurs, seul ou à quelques uns. Sachez bien en tout cas, que j'y ai pris mon pied, ce qui pour un randonneur est ... le top. ALAIN
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