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CHAPITRE 15 : Retour à la caserne. Je ne vais pas m’épancher sur la description des stages co dans les camps , séjours de chacun 3 semaines à coucher pas une seule fois dans un plumard digne de ce nom, le nouveau capitaine qui en avait plein les oreilles des histoires de guerre de ses glorieux géniteurs tenait à ce que des soldats d’infanterie restent constamment sous la tente à même le sol souvent gelé ou voire carrément sans tente, durant ces deux séjours on y aura laissé quelques bidasses revenus complétement fourbus, grippés et avec quelques fractures, ce qui lui aura valu de belles remontrances de notre nouveau colon, un humaniste qui ne voulait pas "faire de vagues" et encore moins la une des journaux avec des titres du genre Un soldat du contingent retrouvé mort de froid pendant sa garde au camp de…….. Et vas y que je te casse du militaire engagé qui brime ces pauvres appelés, un service militaire obligatoire et désuet qui n’est plus de mise dans la plupart des pays européens , voilà ce qu’aimaient bien raconter nos médias avec forces reportages sur l’inutilité de la conscription mais voilà le père Mitterrand tout socialiste qu’il se prétendait restait quelque part vieille France , normal vu la génération à laquelle il appartenait et les journaleux qui le taquinait sur son rôle à Vichy durant l’occupation , ses accointances avec des dénommés Touvier et Papon, il avait tôt fait de les remettre en place en leur demandant ce qu’ils auraient fait à sa place, d’autres parts ce service maintenu permettait de maintenir artificiellement des chiffres du chômage plus bas en occupant plusieurs centaines de milliers de jeunes français et depuis quelques temps on ne fait que parler du vide qu’il a laissé en tant que parcours initiatique de notre jeunesse désœuvrée. Nous sommes constamment en liaison avec K et sa troupe déjà parti depuis 2 mois, ils n’ont pour l’instant aucun blessés graves à déplorer et à ce moment il règne sur place un calme précaire, je vais même avoir l’insigne honneur de l’avoir au bout du fil alors que je suis de semaine et tiens la radio, l’échange a été bref et je retiens principalement de son discours qu’il est assez déçu de n’avoir à accomplir que des missions de patrouilles de sécurisation, il semble même pressé de revenir début janvier et n’est pas chaud pour y retourner, il me parle de sa demande pour réintégrer la légion où il est prêt à y servir n’importe quel régiment, il insiste pour que je sois là et me bourre encore le mou pour une rallonge éventuelle de 6 mois. Nous sommes fin octobre , il me reste donc 3 mois et nous préparons assidument avec la 4e Cie le départ en RFA à Baden Baden , avec le voyage cette affaire va nous occuper 1 mois et demi et cela s’annonce relativement intéressant, fichtre manœuvrer à grande échelle avec des marines US et des British , il y aura plusieurs milliers d’hommes, des centaines de blindés, de l’artillerie lourde, de l’appui aérien, cela me laissera une sacré expérience à défaut du proche-orient. Le capitaine De Lamollardière me convoque en tête à tête à son bureau, plutôt satisfait de mon comportement au cours des 2 stages co il m’annonce qu’il me prendra comme chauffeur radio en RFA car il a lu dans mon dossier que je possédais un niveau d’anglais bac+2 et il y en pas des masses dans ce régiment des militaires du rang bilingues ça sera utile avec nos camarades anglophones ricains et anglais, je conduirais le convoi jusqu’à Baden Baden à ses côtés et il tient à ce que je reste avec lui pour la préparation, autrement dit, nib de permes mais je m’en fous d’ailleurs on file illico à la caserne Brune pour rencontrer le lieutenant colonel Foucherolle l’ adjoint du colon. Première fois que je pénètre dans le bureau du big boss même si ce n’est que le no 2 qui nous reçoit: Caporal Berthou, engagé volontaire service long, déjà depuis 15 mois au 126e, n’a pu partir au Liban en raison d’une vilaine fracture , je le prends comme radio car j’ai entière confiance en lui d’autant plus qu’il a été formé par le capitaine Kriegblitz! L’autre fou furieux? Celui là ça serait pas dommage qu’il réintègre la légion, avec son passé et ses fréquentations douteuses de l’ex OAS, il est pas en odeur de sainteté avec l’état major, mon cher De Lamollardière , bon c’est vous qui commanderez notre détachement de 400 hommes , un mélange des meilleurs éléments des 3et 4e Cie de combat plus une section de mortier et missiles Milan de la Cie d’éclairage et d’appui. Vous serez intégrés en renfort du 151e RI de Verdun et sous le commandement du colonel de ce régiment qui a l’habitude de participer à ces grandes manœuvres avec les forces de l’OTAN, tachez de nous faire honneur , il vous reste une bonne semaine pour peaufiner le départ. Vous prendrez bien un cognac ainsi que votre caporal? Pas question de refuser, ce serait inconvenant, ce vieil officier supérieur attend sa retraite et a tendance à pas sucer de la glace, on le voit encore moins que le colon, il passe ses journées à astiquer ses médailles obtenues en Indochine, Algérie et Tchad. Il regarde par la fenêtre et malheur à ceux qui oublient de le saluer même s’il est au 3e étage . Il nous remet sans nous poser des questions des cognacs et le capitaine qui est un abstinent commence à être volubile bégayant: Le caporal devait partir au Liban…..patati patata …je vous le propose pour qu’il obtienne un galon supplémentaire d’ailleurs je pense qu’il va rester chez nous et ce serait bien qu’il intègre le PSO dés le début de sa prolongation, mon colonel! Du calme, capitaine il n’est caporal que depuis 5 mois et puis ce jeune con n’avait qu’à pas refuser les EOR…… texto le colon à mon adresse avec un regard appuyé me dévisageant……. pour remplir son rôle de radio chauffeur c’est pas 1 sardine de plus qui le fera avancer plus vite, avec ce genre de fils de paysan sans ambition qui demande rien depuis son incorporation mais à qui l’armée doit faire découvrir ses possibilités au compte goutte , faut y aller mollo mollo capitaine, il vient pas comme vous d’une dynastie de glorieux serviteur de la patrie mais est issu d’une lignée de bouseux dur à la tache , vous comprenez s’il avait voulu du galon il avait qu’à intégrer St Maxeint , l’armée française a le tort de le proposer à des appelés et on se retrouve avec des petits pète sec incapables de se faire respecter…….tenez goutez moi cet Hennessy , une pure merveille. Le pitou, comment qu’il est désarmé , ce colon avait même jeté un coup d’œil sur mon dossier avant qu’on arrive mais bon, il nous a assez vu , taciturne ce serait pas le mot, il se rassoit dans son coin et recommence à astiquer ses médailles: Vous pouvez disposez messieurs et bonne chance, un dernier mot, faudra pas vous vexer si les ricains se foutent un peu de votre gueule avec nos tacots de Dodges ou GMC, c’est comme ça depuis 1945, votre père a du vous mettre au parfum De Lamollardière , il se les ait coltinés après la guerre durant l’occupation de l’Allemagne. Le capitaine dans la jeep au retour est tout abasourdi par le discours du lieutenant colonel: " C’est un aigris, le vieux, il va prendre sa retraite sans avoir jamais commandé un régiment et puis il picole trop, vous avez vu la bouteille de cognac comment il se l’est descendue , ne vous inquiétez pas au retour de RFA fin décembre je vous ferai nommer capo/chef, c’est important car si vous prolongez de 6 mois de nouveau, on ne pourra faire autrement que de vous faire intégrer le PSO, ce sera de sergents comme vous dont on aura besoin en priorité et pas de ces jeunes qu’on nomme au bout de 6 mois de service" Je lui rétorque rien pour pas le vexer mais à ce moment précis à 3 mois de la fin, je suis très tenté par ce baroud en Allemagne et puis basta, dans ma tête c’est terminé la vie de bidasse, je crois bien qu’il me fallait faire un service bien complet avec beaucoup de terrain et au sein d’une unité combattante qui m’aura permis de m’éclater sur le plan physique mais m’engager , trop tard, fallait signer aux EOR car gravir les échelons depuis là où j’en suis???? Pour finir adjudant/chef alcoolique!!!! Je ne me sens pas l’âme du général Bigeard qui avait débuté en tant que militaire du rang pour terminer comme un des généraux les plus décorés de l’armée française, l’époque n’est plus la même, la France n’a plus de guerre d’Indochine ni d’Algérie à offrir , le mythe aventurier du légionnaire dans le désert a été remplacé par celui du technicien du nucléaire et des interventions humanitaires surveillées de près par des merdias à l’affut de la moindre bavure et qui sont tout étonnés de voir qu’à la guerre on a des armes et même qu’on s’en sert et que ça fait des morts, ils égrainent de nos jours les quelques dizaines de morts que nous déplorons engagés en Afghanistan , en 10 ans l’armée française s’en est plutôt bien sortie et les rapports réels à établir seraient la comparaison avec ceux d’en face, au moment où j’écris ces lignes, le gouvernement socialo-communiste verdatre a envoyé plus de 4000 hommes et au bout de 3 semaines n’a à déplorer que la perte d’un pilote d’hélicoptère alors qu’en face, ils ont morflé sévère , plusieurs centaines au tas . De Lamollardière, c’est vraiment l’autre style d’officier en comparaison de K mais je le trouve sympathique, érudit , très vieille France aristocratique catholique traditionaliste , certain que lui ne va pas m’inviter à boire l’apéro chez lui, moi un fils du peuple dont on lui a appris de se méfier mais niveau confiance il me laisse autant carte blanche que K à la caserne et quand j’ai pas d’ordre de mission particulier je reste très libre de mes mouvements avec ma jeep à faire la navette entre les 2 casernes de Brive , cela me permet durant ces 3 semaines où j’aurai d’ailleurs pu rentrer à Reilhac 2 ou 3 fois de me balader un peu dans toutes les compagnies où désormais je suis connu comme le loup blanc. Je passe donc ces journées de préparatif à faire du sport le matin , du tir l’après midi mais quasiment pas de marche ni de combat, je vais plutôt taper le carton au foyer et discutailler avec Ballard à la 11e, en sorte je fais partie des meubles au bout de 15 mois et je n’étais jusqu’à présent jamais arrivé à une telle réussite d’intégration au milieu et je n’y arriverai jamais plus par la suite de mon existence ce dont je ne me doutais pas à l’époque et ce que K avait reniflé chez moi: Berthou tu es voué à la marginalité et comme je te vois pas du tout clodo hippie ou milliardaire, les seuls qui peuvent se permettent ce luxe,il ne te reste que l’armée, tu fais partie des cons qui s’en rendent compte à 50 ou 60 piges. K il m’avait bien cerné j’aurai été partout le rebelle rien que pour me démarquer du troupeau, l’armée contrairement à ce que pensent nos faux new rebels hippies anti militaristes primaires sait très bien les utiliser s’ils peuvent apporter quelque chose, on peut exploiter l’esprit d’initiative de ces individus sur le terrain dans la guerre moderne qui n’est plus depuis quelques temps une guerre de front, ainsi souvent ils font d’excellents "francs-tireurs", la Wermacht en 40 s’était basée la-dessus, laisser un maximum d’initiative à de petites unités rendues très mobiles par leur avance concernant la motorisation, des stratèges comme Gudérian et Rommel ont remporté nombre de batailles devant des troupes supérieures en nombre mais figées dans des systèmes de commandement dépassés et qui ne savaient plus quoi faire lorsqu’elles étaient coupées de leur haut commandement. Notre société libérale avancée fondée sur l’esprit d’entreprise et la compétition nous a permit de gagner la guerre économique face au système sclérosé hyper centralisé de l’URSS sur le même principe. Ainsi nous retrouvons la même opposition entre des entreprises d’état vastes usines à gaz comme l’éducation nationale impossible à réformer mais qu’il faudrait complétement démanteler pour leur permettre de rivaliser face à n’importe quel établissement privé hors contrat. Cette digression je l’apporte ici car j’ai pu effectuer ces parallèles après avoir effectué plusieurs expériences professionnelles au sein de différents organismes du privé et du public à l’heure où j’écris ces lignes. Toujours est-il que je me déplace dans ces 2 casernes avec ma jeep et mes galons de caporal engagé de la 3e Cie et que plus personne ne me pose de questions, j’ai mes entrées dans toutes les Cie où je connais partout des sous/off surtout et voilà t’y pas qu’un aprem au foyer je tombe sur le repman ( légionnaire para aux glorieux faits d’armes, en fait ce qu’on appelle plutôt un maréchal de la légion) Apststein tout heureux de me voir alors qu’il était seul à vider son pack de kro: Caporal engagé volontaire Berthou, tu as lâché tes camarades et K, comment tu as pu faire ça, pas croyable, t’as intérêt à en être de la prochaine sinon je te descends à l’AK47 , t’es limite déserteur à mes yeux, qu’on lui serve un schnaps maison à ce radio de mes couilles. J’avais pas intérêt à aller à contre courant de son discours, bien sur que j’attends impatiemment le prochain départ d’un détachement d’une centaine d’hommes du 126e prévu pour Beyrouth pour février et même que j’attends ça avec impatience mais là je dois partir en RFA. Ach, les grandes manœuvres, pas inintéressants, moi je n’ai eu que des guerres pour me faire la main mais pour un bleu comme toi, vas-y, tu verras nos alliés de l’OTAN, essaye la-bas de contacter les US Marines, c’est du velu et compare leur matériel envers le notre , tu seras pas déçu , prosit! Apstein a déjà son compte car il me demande de le ramener dans son bunker, la bas il insiste pour que je reste à partager son frichtis une choucroute vraiment très bonne accompagnée d’une bonne bière, il a pas trop éclusé et son discours est vraiment intéressant , il me raconte nombre de coup qu’il a exercés dans le djebel et aussi lors de la bataille d’Alger, je suis toute ouïe et regrette de ne pas avoir pris de notes car vu la soupe que nous servent nos "merdias" gauchistes à la solde d’un système corrompu sur la guerre d’Algérie, son témoignage vaut de l’or en barre, il me décrit les généraux Massu, Bigeard et Trinquier avec qui il a personnellement travaillé , la façon dont ils ont opéré pour capturer Yacef Ben Saidi alors que les paras n’étaient pas formés pour ça, les méthodes qu’ils ont appliquées pour investir la casbah et retourner le peuple algérien contre le FLN, les briefing menés par Bigeard pour remonter depuis le simple colleur d’affiche jusqu’au chef du réseau en remplissant un organigramme tous les soirs. L’usage de la torture bien sur , comment faire avouer des individus qui avaient posé des bombes qui chaque semaine tuaient ou blessaient atrocement des femmes et des enfants? Et la dessus il m’a montré nombre de photos prises par lui même , des images horribles de soldats du contingents avec les organes génitaux dans la bouche, les ventres remplis de pierre et pas seulement des militaires, des civils aussi, femmes enceintes éventrées, enfants à qui on avait arraché les yeux, une image insoutenable d’un enfant qu’on avait empalé après l’avoir égorgé…..des actes commis par un FLN dont les dirigeants sont encore au pouvoir en 2012, c’est le cas de Boutéflika à qui notre président socialiste va demander pardon pour une colonisation brutale et injuste…..En 1830, avant la colonisation l’Algérie n’existait pas, elle était occupée par les ottomans et ses diverses peuplades au nombre de 2 ou 3 millions en étaient les esclaves, à l’indépendance en 1962 , l’Algérie était une nation moderne avec des infra structures et était peuplée de 20 millions d’habitants, voilà pourquoi le président de la république (est elle encore française) va demander pardon en s’agenouillant. Alors que je suis intrigué par un immense portrait qui trône au dessus de la cheminée, il me demande si j’ai reconnu ce personnage affublé d’une casquette de la Wermacht, bien désolé de ne pouvoir lui répondre voilà qu’il va me faire tout un laïus sur le Volks fuhrer Léon Degrelle qu’il a été rencontré en Espagne où il est actuellement réfugié politique (en 1984). Je connais personnellement un des derniers dignitaire du 3e Reich car mon grand frère Friedrich a combattu à ses cotés durant la campagne de Russie, il l’a sauvé lors de la bataille de Tcherkassi où il est mort et a demandé à Degrelle de veiller sur moi , je suis un des rares à pouvoir l’approcher depuis qu’il s’est réfugié en Espagne où Franco lui a accordé l’asile politique , il faut savoir que Hitler a dit de cet homme que s’il avait eu un fils, il aurait voulu qu’il soit comme lui, tu te rends compte gamin, il est parti avec sa légion Wallonie en tant que simple 2e classe et a été décoré de la croix de fer avec doubles feuilles de chêne, la plus haute distinction de l’armée allemande , de tout ce qu’il m’a dit je retiens surtout ceci; et le voilà qu’il s’affuble d’une casquette de la Wermacht et prenant une position martiale il se met à vociférer en prenant un accent à moitié belge et allemand: Vous voudriez entendre que je dise de ce brave Hitler que c’était un maboul, un drogué, qu’il était bourré de pilules , c’est entièrement faux, un discours monté par les alliés car l’histoire est toujours écrite par les vainqueurs, en réalité Hitler c’était le plus grand génie de tous les temps, capable de dicter 2 ou 3 discours en même temps tout en se penchant sur les cartes d’état major entouré de ses généraux avec un esprit de sacrifice total qui fait qu’il avait fait entièrement don de sa personne à l’Allemagne , tenez un dimanche matin je le croise et voilà qu’il me demande où je vais ? Je lui réponds que je vais communier et il me dit ceci: si ma mère était encore vivante, Léon, elle irait avec vous, un autre jour voyant ma paire de botte usagée, il me demande du combien je chausse, du 42 meine führer ! Et le voilà qu’il ouvre une armoire et me donne une de ses paires en y glissant 2 morceaux de journaux car il chaussait du 43 ……… Mais c’est comme ça que ça se passait , Hitler était un homme simple, un homme issu du peuple, rien à voir avec la vaste propagande qu’on fait gober à notre jeunesse occidentale qu’il voulait sauver du désastre inévitable qui va se produire au 21 e siècle , mes amis! Apstein s’interrompt un moment, me surprenant car je ne connaissais pas ses talents d’imitateur, et en profite pour vider cul sec la moitié d’une bouteille de vodka qui trainait dans son placard, il me fixe comme si j’étais le public wallon auquel Léon Degrelle s’adressait du haut de sa tribune et prend une posture plutôt mussolinienne et là il se met carrément à hurler: |
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