Les odeurs d’une ville sont des impressions parfois fortes ou parfois ténues, quelques fois prenantes et à d'autres moments fugitives mais néanmoins si peu








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Séville - jardin de l’Alcazar - 1998

Séparé des grands axes de circulation par de hautes fortifications, le jardin du palais royal présente une disposition en forme de croix d’origine almohade, faisant référence aux quatre fleuves de la vie qui coulent dans le jardin du paradis. Une pénétrante odeur de buis souligne les allées: les cyprès et les stipes des palmiers rythment l’espace; les fines branches des orangers et des citronniers ombragent les parterres fleuris. Les nuits d’avril, leurs fleurs largement dilatées exultent leur azahar (fleur d’oranger) envoûtant, l’amertume des conifères s’estompent, les tubéreuses enivrent. L’hiver, dominent les parfums capiteux de jasmins et le fumet des acacias. Plus tard, au printemps, les sucs des rosiers se mêlent aux forts arômes de chèvrefeuille et de genêts, de menthe et de mirabelles, aux odeurs entêtantes des lys et des narcisses. Plus tard encore, dans les nuits chaudes de l’été les dames de nuit triomphent, odeur violente d’héliotrope, aux effluves vanillés. Au hasard des parterres, émane le poivre des oeillets. Dans l’atmosphère quelque peu rafraîchie de l’automne, fleurissent les néfliers du Japon dont les fragrances se mêlent aux parfums délicats des armoises, mélisses et verveines. Au-delà des jardins de l’alcazar, plus vaste, plus ombragé, le parc Maria Luisa, offre à un plus grand public ses essences méditerranéennes et tropicales. (Sophie Lignon-Darmaillac) (81)

Salzbourg – l'aéroport - 988

Fonctionnels, la plupart des aéroports ont perdu toute odeur. Construits pour distribuer les corps dans l'espace, ils ont la senteur uniforme et fade des ma­chines. Mais il demeure en Europe quelques lieux qui ont gardé avec la nature des liens assez puissants pour qu'on les rebaptise du nom d'aérodromes. Il y a Venise. Il y a Salzbourg. En ce lieu, au sortir de l'avion, il y a toujours cette vague de fumier frais et de luzerne coupée qui dévale des montagnes pour ac­cueillir le voyageur surpris. Certains soirs d'été, lorsque vient l'orage, l'odeur se fait si forte qu'on titube sous son ivresse.

[…] Toute la ville sent le foin et le crottin de cheval, parmi ses enveloppements de pistache et de rose. (Jean Clair) (82)


3 quelques lieux fermés


Maisons au Moyen Age

Sur le sol [des maisons riches], des fourrures, parfois, mais plus généralement des jonchées, de paille en hiver, de joncs, de glaïeuls et de plantes aromatiques (menthe, verveine, etc.), en été. Le palais royal, quand il les renouvelait, envoyait à l’Hôtel-Dieu les pailles mises au rebut. [...]

Le coffre, [...] On y range les vêtements soigneusement roulés, ainsi qu’on le fait encore dans certaines de nos campagnes, le linge parfumé de racine d’iris, de lavande ou de safran, ... (Geneviève D’Haucourt) (83)

Lisbonne – palais Marialva – 27 juin 1787

La pluie tombant avec violence, on avait fermé toutes les fenêtres ; le jardin ne pouvait nous offrir ces délicates effluves que dégagent les plantes après une ondée ; au lieu de quoi on nous fit respirer l’odeur de lavande brûlée. (William Beckford) (84)

Un appartement - Vienne - 1805

Ce fut une chose nouvelle et ravissante pour moi que d’y trouver les appartements de la plupart des femmes élégantes ornées de serres, parfumées en hiver par les plus aimables fleurs. Je me rappelle entre autres, avec une sorte d’ivresse, le boudoir de la comtesse de C***, dont le sofa était environné de jasmin rampant sur des datura en pleine terre, et le tout au premier étage. On s’y rendait de la chambre à coucher, à travers de véritables buissons de bruyères africaines, d’hortensias, de camélias, alors fort peu répandus, et d’autres arbustes précieux, plantés sur des plates-bandes garnies en outre de violettes, de crocus de toutes les couleurs, d’hyacinthes et d’autres fleurs serrées en gazon. Au côté opposé était la salle de bain, également placée dans une serre où le papyrus et les iris croissaient autour de la cuve de marbre et des conduits d’eau. Les doubles croisées étaient non moins garnies de belles plantes fleuries ... (Bory de Saint-Vincent) (85)

Espagne - 1840

Le choeur [de la cathédrale de Burgos], où sont les stalles, qu’on appelle silleria, est fermé par des grilles en fer repoussé d’un travail inconcevable; le pavé est couvert, comme c’est l’usage en Espagne, d’immenses nattes en sparteries, et chaque stalle a en outre son tapis d’herbes sèche ou de jonc. [...]

Le parquet est une chose inconnue en Espagne, ou du moins je n’y en ai jamais vu. Toutes les chambres sont carrelées en briques; mais, comme ces briques sont recouvertes de nattes de roseau en hiver et de jonc en été, l’inconvénient est beaucoup moindre; ces nattes de roseau et de jonc sont tressées avec beaucoup de goût. (Théophile Gautier) (86)

Les écoles - Autriche - vers 1890

La froide impersonnalité des écoles autrichiennes [...] se marquait déjà dans l’architecture de notre lycée, une construction type et sans âme, maçonnée à la hâte et à peu de frais cinquante ans auparavant. Avec ses corridors froids et mal crépis, ses salles de classe basses, sans un tableau au mur, sans une décoration qui eût réjoui nos yeux, ses lieux d’aisance qui empuantissaient toute la maison, cette caserne d’étude avait quelque chose d’un vieux meuble d’hôtel que d’innombrables passants auraient déjà utilisé, que d’innombrables autres utiliseraient encore avec la même indifférence ou la même répugnance; et aujourd’hui encore je ne puis oublier cette odeur de moisi et de renfermé qui persistait dans cette maison comme dans tous les bureaux de l’administration autrichienne et qu’on appelait chez nous l’odeur “officielle”, cette odeur de pièces surchauffées, surpeuplées, mal aérées qui s’attachaient d’abord à vos vêtements et finalement à votre âme. (Stefan Zweig) (87)

Une auberge – Suède - vers 1910

Une impulsion soudaine m’a fait descendre à Hessleholm, d’où je suis allé passer une semaine à Finja, au bord du joli petit lac. L’auberge propre comme une maison de poupées toute neuve, avec ses petites fenêtres carrées, les planchers de bois blanc jonchés de brindilles de sapin renouvelées tous les jours, la salle de bains confortable, et toutes les commodités de la civilisation réunies dans une campagne en apparence si éloignée des grands centres. (Valéry Larbaud) (88)

Une brasserie – Munich – vers 1910

Si l’on veut prendre contact avec les vrais buveurs de bière, il faut se rendre à la Hofbräuhaus (brasserie de la Cour). Elle se trouve au centre de la ville, au Platzl, à deux pas de la Maximilianstrasse. On entre dans une sorte de cour plantée d’arbres, avec une fontaine au milieu, et où des tonneaux se dressent, sur lesquels de grands bocks de grès au couvercle d’étain sont posés. Autour de ces tonneaux, des hommes debout fument la pipe en devisant. De cette cour on pénètre de plain-pied dans la brasserie qui a l’air d’un cloître, avec ses arcades en ogives appuyées sur des piliers trapus et des murs peints de fresques pâles. [...]Une affreuse odeur de bière et de tabac emplit les salles. Le long de massives tables de chêne, assis sur des bancs grossiers, des centaines de buveurs, les uns à côté des autres, fument de longues pipes ou des cigares. (Jules Huret) (89)

Les théâtres – Allemagne et France – vers 1910

Partout en Allemagne, les théâtres sont très propres, d’une propreté de salon. On n’y respire pas cette affreuse odeur de poussière et de renfermé des salles de chez nous, en général si négligées. (Jules Huret) (90)

L’usine de crayons Faber – Nuremberg – vers 1910

La fabrique Faber compte 1000 ouvriers. La réserve de bois se trouve dans la cour, sous un vaste hangar surmonté de six paratonnerres ; là sèchent des montagnes de poutres de cèdre, de tilleuls entiers, des bouleaux de Suède et des tas de petites planchettes qui furent sciées sur le lieu d’abatage. Une odeur exquise, balsamique, émane de ces bois de cèdre ; on respire partout la poussière parfumée qui s’échappe des scies mécaniques. Tous les bâtiments sont couverts de cette cendre rouge. Rien que de poussière de cèdre, la maison recueille dans ses ateliers près de 15.000 kilogrammes chaque année, revendus aux fabricants d’huiles éthériques, aux parfumeurs qui en tirent, par le mélange, des parfums variés. (Jules

Huret) (91)

Grands magasins – Liège – vers 1912

Des grands magasins, il y en avait trois place Saint-Lambert. Le grand bazar, le plus vaste, avec trois ou quatre étages de galeries, où l’on vendait de tout, depuis les crayons et les cahiers d’écoliers jusqu’aux bicyclettes, aux outils, que sais-je encore, de tout sauf des vêtements et du tissu. Son voisin, un autre très grand magasin, Vaxelaire-Claes, était spécialisé, lui, dans la confection, mais dans une confection soignée qui correspondait à ce qu’on appelle aujourd’hui le prêt-à-porter. Enfin, venait l’Innovation.

Les deux premiers magasins cités étaient brillamment éclairés et bruyants. L’Innovation, au contraire, de proportions un peu plus modestes, semblait vouloir garder un éclairage plus intime, une sorte de pénombre dans laquelle on marchait à pas feutrés, on parlait presque à voix basse en circulant dans les rayons, et les inspecteurs, plantés à certains points stratégiques, étaient des messieurs dignes qui portaient encore la redingote et les moustaches cirées. L’odeur y était caractéristique. A l’Innovation, on vendait surtout ce qu’on appelle du blanc, du tissu pour les draps de lit, pour le linge de corps, des vêtements d’enfants brodés ou ornés de dentelles, et il s’en dégageait une odeur sourde si caractéristique qu’il me semble encore la sentir tout en dictant ces lignes. Les pièces de tissu, que l’on déroulait devant les clientes sur de longs comptoirs de bois verni, avaient des noms qui ne doivent plus exister aujourd’hui : madapolam, croisé, pur fil, pur lin, et enfin, tout en bas de l’échelle, le coton qui était alors une matière considérée comme vulgaire tandis que les soies, surtout le liberty, tenaient le haut de l’échelle. (Georges Simenon) (92)

Maisons – vers 1914 et 1975

Hier, je me laissais aller à évoquer ceux des souvenirs d’enfance qui nous poursuivent plus ou moins toute notre vie [...] J’oubliais une autre sensation, aussi importante, sinon plus : les odeurs. Les maisons jadis, avaient chacune leur odeur, en grande partie selon la cuisine qu’on y faisait. J’ai dit qu’en revenant de l’école, je savais, dès l’entrée dans le corridor, ce qu’on allait manger, car il y avait des odeurs aussi diverses que celles du poisson, des moules, dont j’étais friand, du chou rouge, des navets, du rôti du dimanche clouté de girofle, etc. [...] Je n’irai pas jusqu’à dire que les maisons n’ont plus d’odeurs. Certaines en ont encore, les plus vétustes, celles qui n’ont pas encore, comme à Epalingues, au-dessus d’un immense fourneau, une hotte avec aspiration automatique des vapeurs et des odeurs. Epalingues ne sentait rien. On pouvait y cuire du maquereau sans que, même dans la cuisine, on puisse le deviner. (Georges Simenon) (93)

La loge de concierge - Paris - vers 1925

Il était rare que je me promène dans les beaux quartiers où cependant je travaillais et j’habitais. C’était la vraie rue qu’il me fallait, avec ses petites vieilles, ses vieillards solitaires, ses commères forte en gueule, ses loges de concierge où régnait une odeur de cuisine mijotée. (Georges Simenon) (94)

La galerie des Beaux-Arts – Paris - 1938

Exposition internationale du Surréalisme. Dans la salle aménagée par Marcel Duchamp, sorte de grotte à l’obscurité soigneusement étudiée, le plafond est constitué de mille deux cents sacs de charbon suspendus, le sol, jonché de feuilles mortes, comporte une mare de roseaux et nénuphars. Le tout baigne dans une odeur de café du Brésil. (Boba’No) (95)

La loge de concierge - Paris – jusqu’en 1940

Jusqu’à la guerre de 1940, [...] Dans ce modèle réduit d’appartement, la loge de la concierge, [...] une odeur un peu écoeurante de ces tanières fermées au jour et aux vues et qui gardaient comme seule senteur celle de la toile cirée de la grande table qui prenait presque toute la place. Au fond, une cafetière bouillante, un poste de radio, les photos. Comme un bric-à-brac. Il y avait aussi à certaines heures de savoureux parfums de nourriture. Nous nous souvenons de notre maison qui, le vendredi, parce que la concierge n’était pas croyante, se remplissait de l’odeur de cuisson des tranches de jambon dont la fumée envahissait la cage d’escalier et venait défier les appartements chrétiens et fidèles aux prescriptions de l’Eglise. (Jean Cayrol) (96)

Rhodes - 1945

La nuit est descendue à travers un brouillard de pluie et dans la gloire d’un arc-en-ciel dont le pied touchait Smyrne. Les paysans disent que lorsque l’on passe sous un caroubier l’arc-en-ciel s’évanouit, et qu’alors le bois exalte un parfum pénétrant et délicieux. Ils mettent des morceaux de ce bois dans leurs armoires pour parfumer leur linge et éloigner les mites.

(Lawrence Durrell) (97)

Les monastères du mont Athos – vers 1950

Parmi les souvenirs les plus nets qui me restent d’Athos figurent les odeurs. Les monastères d’Athos ont une odeur à eux, lourde et riche, faite d’effluves multiples et constamment mêlés : encens, cuisine, latrines. Ces odeurs n’ont par elles-mêmes rien de particulier et c’est leur mélange, leur voisinage qui surprennent, peu habituels pour un odorat citadin. La plus violente, en fait, est celle des latrines. Simples édicules surplombant le vide, avec un caisson de bois creusé d’un trou, on les repère vite à l’odeur qui s’insinue partout, parfois jusque dans l’église. [...] A cette odeur s’ajoute celle des cuisines. On fait beaucoup de fritures à Athos avec des pommes de terre, les aubergines, les courgettes, les tomates et ces odeurs emplissent les couloirs du xénôn. A mesure toutefois qu’on approche de la cuisine, on sent percer un arôme, le subtil et plus alléchant : celui du raki, offert en permanence au visiteur.

Les moines utilisent toujours de l’encens au cours des liturgies. Il en existe de toute sorte, en poudre ou en grains, mais la plupart sont extraits de certains arbres, sous forme de résines : lentisquiers, mastiquiers, benjoin. Ce dernier, le plus courant, est appelé moscolivano. On trouve aussi en Grèce (mais j’en ai vu très peu au mont Athos) des encens importés des Indes ou d’Arabie: gommes, safran, santal. Aux parfums des encens

se mêlent ceux qui proviennent des veilleuses. Elles brûlent en permanence devant l’iconostase principale et certaines icônes, avec une mèche trempant dans une huile en général bon marché: de sésame ou de chènevis. Seuls la Vierge et le Christ ont droit à des veilleuses d’huile d’olive. Tous ces parfums épicés, capiteux, finissent par imprégner les murs et les pierres de l’église et procurent même, à la longue, une sorte de vertige, d’ivresse légère qui n’a rien de désagréable. (Jacques Lacarrière) (98)

Les petits hôtels de province – France – vers 1970

Qui dira, chantera, psalmodiera jamais l’ennui des petits hôtels-pensions de province ? Petits hôtels avec leurs odeurs de chats incontinents, de poussière, d’encaustique rancie, de bouillon dix fois réchauffé, de poules au pot néolithiques. Avec leurs lits en fer aux ressorts épuisés et maussades grinçant au moindre geste, leurs lavabos où l’eau chaude ne fonctionne jamais. (Jacques Lacarrière) (99)
4 en guise de fin

Epidaure - 1955

… une question de sensibilité ou d’approche personnelle. Eschyle, c’est vrai, sera toujours lié pour moi aux cris, aux lumières, aux odeurs et aux bruits d’Epidaure (et je me souviens qu’après la seconde représentation des Perses, en 1955, quand je jouais Xercès, je suis resté assez longtemps sur le théâtre après le départ des derniers spectateurs et que toutes les senteurs de la terre ont jailli brusquement comme si la nuit montante les libérait, mêlées aux odeurs des pierres et des gradins chauffés par le soleil de la journée – rugueux et tièdes sous la main. Quand nous sommes descendus avec le car vers le vieil village d’Epidaure où nous devions passer la nuit, le vent apporta sans cesse des bouffées de ces senteurs champêtres – foin séché, résine, térébinthe – et cela fut si fort, si intense que je me demandai si les théâtres antiques avaient aussi ces odeurs-là, si elles étaient celles d’un théâtre vivant ou si elles étaient liées aujourd’hui à l’abandon et au silence de ce théâtre mort), mais tous ces bruits et odeurs ne sont qu’émotions, souvenirs subjectifs. (Jacques Lacarrière) (100)
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