Les odeurs d’une ville sont des impressions parfois fortes ou parfois ténues, quelques fois prenantes et à d'autres moments fugitives mais néanmoins si peu








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Amsterdam – 1876

Un lacet de rues étroites et de canaux m’a conduit à la Doelen Straat. Le jour finit. La soirée est douce, grise, voilée. De fins brouillards d’été baignent l’extrémité des canaux. Ici, plus encore qu’à Rotterdam, l’air est imprégné de cette bonne odeur de Hollande, qui vous dit où vous êtes et vous fait connaître les tourbières par une sensation subite et originale. (…) Ainsi noyée dans ses buées odorantes, vue à pareille heure, traversée par son centre, peu boueuse, mais humectée par la nuit qui tombe, avec ses ouvriers dans les rues, sa multitude d’enfants sur les perrons, ses boutiquiers devant leurs portes, ses petites maisons criblées de fenêtres, ses bateaux marchands, son port au loin, son luxe tout à fait à l’écart dans les quartiers neufs – Amsterdam est bien ce qu’on imagine quand on ne rêve pas d’une Venise septentrionale. (Eugène Fromentin) (19)

Monreale - Sicile vers 1880

Le petit cloître de l’église San Giovanni degli Eremiti, une des plus anciennes églises normandes de caractère oriental, bien que moins remarquable de celui de Monreale, est encore bien supérieur à tout ce que je connais de comparable.

En sortant du couvent, on pénètre dans le jardin, d’où l’on domine toute la vallée pleine d’orangers en fleurs. Un souffle continu monte de la forêt embaumée, un souffle qui grise l’esprit et trouble les sens. [...] Cette senteur vous enveloppant soudain, mêlant cette délicate sensation des parfums à la joie artiste de l’esprit, vous jette pendant quelques secondes dans un bien-être de pensée et de corps qui est presque du bonheur. (Guy de Maupassant) (20)
Paris - fin XIXè - début XXè siècle

La persistance des “odeurs de Paris” prouve toutefois la lenteur de l’évolution des pratiques édilitaires. Jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale, et bien que le tout-à-l’égout ait été voté en 1889 et l’aqueduc d’Achères achevé en 1895, la capitale demeure puante en été. [...] De sporadiques campagnes tentent, à l’image de celles que suscite la police des moeurs, de soulever l’opinion contre l’incapacité des édiles. Durant l’été 1911, la crise éclate. L’odeur suffoque le promeneur, surtout le soir; au dire des experts, il s’agit d’une puanteur “de cirage, de matière organique chauffée”. Cette fois, grâce à Verneuil, le coupable se découvre: il s’agit des usines de superphosphates installées dans la banlieue nord. La ceinture laborieuse impose sa puanteur coupable comme naguère l’abominable Montfaucon. L’industrie s’est substituée à l’excrément dans la hiérarchie nauséeuse. (Alain

Corbin) (21)


Francfort - Palmengarten - 1906

il y a là [dans les jardins d'hiver du duc de Nassau ] un Palmengarten comme il n'en n'existe nulle part, ou du moins comme je n'en ai jamais vu. Des palmiers, des caoutchoucs, des poivriers, des bananiers, des camphriers, des cocotiers merveilleux, tous les arbres exotiques, les fleurs les belles des pays chauds : magnolias, azalées, rhododendrons, camélias, orchidées, et des roses, et des muguets, y sont réunis sous des coupoles de verre; on marche entre des haies de verdures parfumées qui sont des allées de paradis pour qui aime les fleurs et les feuilles vivantes. Des ruisselets courent entre les bandes de gazon, il y fait doux l'hiver, on y est au frais l'été. (Jules Huret) (22)

Liège - vers 1920

Liège, à cette époque-là, comptait encore un assez grand nombre de ruelles très étroites, aux maisons moyenâgeuses, et le ruisseau des eaux usées, comme on dit à présent, coulait librement au milieu des pavés. L’odeur de ces rues-là était caractéristique et rien que d’y penser elle me revient aux narines. (Georges Simenon) (23)

Londres - vers 1920

Pourquoi ne pas revoir Londres après des années et avec des regards neufs les musées, le pays et la ville? [...] Je redescendis après trente ans à la gare de Victoria, et je m’étonnai seulement à mon arrivée de ne pas rouler en cab jusqu’à mon hôtel, mais en auto. Le brouillard, le gris tendre et frais, était semblable à celui de jadis. Je n’avais pas encore jeté un coup d’oeil sur la rue, mais mon odorat avait déjà reconnu, après trente ans, cet air singulièrement âpre, dense, humide et qui vous enveloppe de près. (Stefan Zweig) (24)

Pornichet (Loire-Atlantique) vers 1920

Dès que je débarquais à la gare, l’odorat pour moi s’éveillait là comme nulle part, s’aiguisait en passant et en repassant sans cesse au gré des avenues la ligne de crête qui partageait la petite ville en deux versants d’épaisses senteurs : d’un côté le varech mouillé, de l’autre la résine chaude, - et l’une et l’autre me dilatent encore la narine comme ne le fait aucune odeur.

(Julien Gracq) (25)

Lille – vers 1924

Lille me frappa par sa grisaille, son humidité à goût de métal, sa mauvaise odeur de charbon et d’essence. Il m’était difficile d’admettre, moi qui avais connu la Crimée du Sud et ses jardins, qu’ici tous les arbres de la ville, en dépit de pluies incessantes, fussent couverts d’une épaisse couche de suie. (Constantin

Weriguine) (26)

Sienne vers 1928

Cette ville entre les villes, Sienne est de toutes, en effet, celle que la nature pénètre le plus. La campagne l’envahit de tous côtés : les vallons finissent en ruelles jusqu’au cœur de la ville : les arbres et les buissons, les oliviers, les cyprès, la vigne et les yeuses ne s’arrêtent qu’au seuil même des portes. Comme de dix lieues à la ronde, dans le val d’Orcia, ou la Crête, ou la Montagnette, on découvre la Tour de la République et le clocher du Dôme, on aperçoit avec bonheur, de cent et cent fenêtres, loges ou terrasses de maisons, les oliveraies et les vergers, les vignes, les figuiers et les branches vertes. Il est des matins où la brise porte à la ville l’odeur du buis ; il y a des midis où Sienne sent la pêche. (André Suarès) (27)

Classe d'école – vers 1930

La classe avait une odeur qui se composait de craie, de transpiration, de vêtements entassés. (Pierre

Sansot) (28)

Paris – rue de Belleville – vers 1930

Le long de la rue, les épiceries et les magasins de légumes ne sont plus éclairés que par des lampes d'intérieur. Les commis rentrent les étalages. Les barriques d'anchois salés, avec l'alignement rayonnant de leurs petits poissons métalliques, les grappes de stockedfish, les sacs de riz, de sucre, de fèves, les caisses de pâtes alimentaires. Au bord du trottoir dorment quelques voitures dévas­tées de marchandes des quatre saisons engluées d'épluchures pendantes, de queues de poireaux, de feuilles de choux, de salades. La rue sent la sau­mure et le jardin potager, et quelquefois l'épice   un parfum aigu et qui bouleverse tout l'équilibre d'un homme   et quelquefois le drap, le cuir ou le fer blanc. Il n'y a toujours dans la rue que cette lueur rouge qui sort des boutiques et, de loin en loin les becs de gaz. Devant certains magasins déjà fermés on passe dans une zone d'ombre. Il y a presque toujours à ces endroits là quelqu'un assis sur le trottoir, avec un journal sous les fesses. (Jean Giono) (29)

Grasse - milieu XXè

Encore jusqu’après la guerre, les rues de Grasse étaient très odorantes. Les industries de la parfumerie installées dans le coeur de la ville utilisant beaucoup d’eau dans leurs traitements, déversaient celle-ci dans les rues. On pouvait ainsi sentir différentes senteurs qui se dégageaient des rigoles longeant les maisons où coulaient les eaux de rinçages chargées d’odeurs d’oranger, de ciste ou de mousse de chêne, etc... (Thérèse Roudnitska) (30)

Londres - 1947

Il existe une odeur de Londres, subtil parfum complexe et combiné de brouillard, d’asphalte chaud, de cuir de Russie, de pale ale, de pickles, de tabac anglais (mélangé de miel et d’opium), d’étoffe de tweed. (André Siegfried) (31)

Prague - environ 1950

Ce qui me reste de Prague, c’est cette odeur de concombres trempés dans le vinaigre, qu’on vend à tous les coins de rues pour manger sur le pouce, et dont le parfum aigre et piquant réveillait mon angoisse. (Albert Camus) (32)

Vérone 1951

Vérone sent le melon fait. (Jean Giono) (33)

Venise 1951

Il [le garçon de café] vient de Modène. Il habita Venise depuis vingt ans. […] Il est Vénitien de cœur. Rien n’est plus beau, dit-il, que d’aller à son aise, un soir d’automne, du théâtre Malibran à San-Marco. La pluie à Venise est un délice. Seuls les étrangers croient au soleil. La pluie réveille l’odeur des maisons. […]

Quand nous avons la pluie des îles grecques, la ville prend son odeur. Dans les chambres, il y a cent ans, on entreposait encore du poivre et de la cannelle. […] Les femmes mettent des clous de girofle dans les coffres à linge. […] Du Palazzo Pisani qui est face de l’Académia, jusqu’à la Mercerai, en passant par le théâtre de la Fenice, on peut aller à couvert d’une maison dans l’autre par des portes secrètes. On brûlait du papier d’Arménie tout le long de ces couloirs. […] La pluie de novembre qui vient de Céphalonie fait sortir l’odeur des murailles. Rien ne donne plus de l’idée qu’une odeur. (Jean Giono) (34)

Belgrade – 1953

De la haute ville aux quais de Save, le chemin passe par un flanc de colline couvert de maisons de bois, de palissades vermoulues, de sorbiers, de touffes de lilas. Un coin agreste, doux, peuplé de chèvres à l’attache, de dindons, d’enfants en tablier qui font de silencieuses marelles ou tracent sur le pavé, d’un charbon qui marque mal, des graffitis tremblés, plein d’expérience, comme dessinés par des vieillards. J’y suis souvent venu traîner au coucher du soleil, la tête à rien, le cœur en fête, poussant du pied des trognons de maïs, respirant l’odeur de la ville comme s’il fallait mourir demain. […]

Sur le quai [de la Save], deux hommes nettoyaient d’énorme tonnes qui empestaient le soufre et la lie. L’odeur du melon n’est bien sûr pas la seule qu’on respire à Belgrade. Il y en a d’autres, aussi préoccupantes ; odeurs d’huile lourde et de savon noir, odeurs de choux, odeurs de merde. C’était inévitable ; la ville était comme une blessure qui doit couler et puer pour guérir, et son sang robuste paraissait de taille à cicatriser n’importe quoi. Ce qu’elle pouvait déjà donner comptait plus que ce qui lui manquait encore. (Nicolas Bouvier) (35)

Bruges - vers 1960

Ici, à Bruges, j’ai pensé à toi Prague. Le long des canaux putrides et somnolents, sur les pelouses où se pressent des groupes de cygnes blancs avec un B sur le bec, devant le Markt qui évoque la défunte splendeur des Flandres, face aux maisons-Dieu, rue de l’Ane aveugle, quai du Miroir, dans les boutiques où s’entassent candélabres, broderies et bagatelles en cuivre, j’ai pensé à toi, Prague, à tes splendeurs de pierre et à tes coffres emplis de débris rouillés, à tes concombres au vinaigre dont l’âcre senteur provoque l’angoisse. La pourriture des eaux fétides de Bruges a une étroite parenté avec la moisissure de certaines de tes ruelles dans la petite île de Kampa. (Angelo Maria Ripellino) (36)

Bruges – vers 1960

De mauvaises odeurs peuvent nous rappeler de bons souvenirs sans pour cela qu’on veuille nécessairement les retrouver.

Bruges avant le nettoyage des canaux sentait très mauvais en été. Certaines régions autour de Gand sentaient très mauvais - l’usine Fabelta - bien que cela puisse évoquer un très bon contexte. Ce sont des situations très valorisées affectivement et que l’on remémore, c’est évocateur de contextes, mais moins précis que la vue. (Geneviève Declève) (37)

Paris vers 1965

C’est un peu avant l’aube, en décembre et par temps couvert, que l’odeur de Paris se révèle tout à fait ; âcre, sulfureuse, elle oblige à ne respirer qu’à petits coups et fait tousser. Nuée fétide, refusée par le ciel et qui s’étale horizontalement sur la ville et la baigne, amalgame condensé des fumées des calorifères et des exhalaisons méphitiques aux relents d’œufs pourri des usines de banlieue, rabattues sur les maisons, auquel s’unissent le rance rappel des nourritures avariées et les fades remugles qui montent des égouts, des caves et des cimetières. (Jacques Brosse) (38)

Ajaccio vers 1967

L’odeur du maquis vient au devant de vous au large du port d’Ajaccio et ne vous quitte plus : en rouvrant au retour ma valise, je la retrouve sur mes vêtements enfermés. C’est une odeur sèche, chaude, résineuse, mais sur cette exhalaison de pinède surchauffée s’exhalent des essences plus délicates : tantôt sucrées et presque mielleuses, à la manière du sureau ou du seringa, tantôt épicées et presque sacramentelles, comme s’il y brûlait par moments un grain d’encens : l’impression de sécheresse pince les narines, en même temps qu’elle les réjouit, comme si tout ce qu’on respire venait d’être vaporisé sur une pelle rougie au feu : ce sont déjà les parfums de l’Arabie Pétrée, non les molles odeurs défaites qui coulent de nos forêts de brouillard. Auprès de l’odeur des forêts landaises que pourtant j’aimais déjà, c’est comme si on libérait les éthers subtils d’un grand bourgogne après avoir débouché une bouteille d’aramon. (Julien Gracq) (39)

Sète – vers 1970

La gare de Sète, c'est le meilleur point d'arrivée dans ce bas-Languedoc. […] . Tout de suite, vous sentirez l'odeur du sel, de la rouille, de l'eau et, si le sable avait une odeur, ce serait celle-là, l'odeur de Sète. (Pierre Sansot) (40)

Rome – 1975

Des débris d’antiques, des jardins odorants, des parcs où se pressent par buissons entiers lauriers roses et blancs, un moutonnement de coupoles et de frontons, des quartiers récents, découpés nets; les rumeurs d’une ville participant de la fièvre moderne, composent à Rome un espace orchestral où chaque aspect fait geste et prend valeur de signe. (Edmond Radar) (41)

Venise – 1978

L'arrivée par avion. Dès qu'on a mis le pied sur le tarmac, le corps est baigné par cet air tiède et humide dont les composés de musc, de vase et d'anis soufflent au visiteur le nom du lieu où il est arrivé. La griffe VENEZIA s'inscrit en lettres bleues sur les murs de l'aéroport, comme sur un vieux flacon décoré au plomb.

Un parfum est promesse et déception. La narine retourne indéfiniment au calice, à l'aisselle, à la bouf­fée du vent, humant une question à laquelle l'esprit ne sait répondre. C'est dans l'espoir d'en déchiffrer l'énigme qu'on revient à Venise. Que dit un parfum? Il répète, il insiste, il trame, il susurre, il s'évapore, il revient, il est remugle autant qu'exhalaison, il refuse à se laisser saisir, il est accomplissement et dérobade.

[…] Comme je comprends ces Vénitiens qui, ayant la chance d'avoir un jardin, protègent soigneusement le secret qu'il contient en l'enserrant derrières de hautes murailles. Gardées par les statues de Pomone et de Mercure, elles ne sont franchies, le soir venu, que par les chats, amoureux des odeurs. La nuit, quand je longe ces murs de brique, gonflés par endroits sous la poussée des buissons qu'ils enclosent, j'aspire à n'en plus finir le parfum de jasmin et de tubéreuse qui en sourd. Tant de suavité, à défaut d'un vrai paradis, prépare à un sommeil serein.
Tous ces fumets de poisson frit qui flottent dans les cali sur le coup de midi. Odeurs grasses des daurades alla griglia, saveur acide des seiches ai ferri, fumet des moules à la vapeur, parfum aillé des queues de lotte, bouquet piquant et frais des mollusques: on s'imagine ainsi le paradis d'Allah des félidés. Baignés dans ces odeurs, les chats de Venise s'endorment gavés. (Jean Clair) (42)
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