Fred posa le livre. Immobile un instant, IL imaginait encore; IL venait d'achever la lecture d'une analyse de caractères de représentants d'une classe. Tout y








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J'en ai entendu parler, répondit Fred en mentant et en examinant la couverture.

Il mentait pour préserver la sienne (de couverture); car, malgré une réputation surannée et critique, le texte était connu des élèves de la SAMCDA. Il avait été publié à Londres, juste avant la mort de Freud qui acheva les derniers mois de sa vie dans la capitale anglaise, lors des semaines de la déclaration de la dernière guerre mondiale. Cette ultime publication était rarement notée comme très semblable à celle que fit Copernic de son oeuvre concernant la révolution de l'orbe terrestre; mais la comparaison de Freud à Copernic n'était pas non plus la chose la plus courante qui fut, même à la SAMCDA. Cependant certains faisaient remarquer que dans leur constitution-même, les livres étaient similaires: les deux découvreurs les avaient écrits, partiellement diffusés, tout au long de leur vie, et publié à la veille de leur mort. Du livre de Freud, on trouvait un premier article en 1912 qui suggérait que Moïse était égyptien, publié avec celui du nommé Karl Abraham dont Lange lui avait déjà parlé, s'agissant de l'apparent Complexe d'Oedipe d'Akhenaton.

Telle était bien la présentation de l'ouvrage, déjà connu, que lui fit l'homme aux yeux bleus.

Lange précisa encore qu'un Grand Rabbin de Londres tenta désespérément de dissuader le psychanalyste de livrer au public cette oeuvre de sa vie. Freud était hésitant et doutait de sa propre thèse mais il ne céda pas. Puis Lange fit une remarque:
- Savez-vous que les Rabbins, aujourd'hui, professent volontiers que Moïse était égyptien? Et avec une telle simplicité qu'on peut se demander pourquoi celui de Londres en fit une telle affaire; ou bien Freud se trompait ou bien il ne disait pas tout. Or ce n'était pas qu'il s'était trompé: Moïse est égyptien; selon l'observation d'aujourd'hui - concluez!

L'argument était contorse. Fred resta indécis. Lange poursuivit:

- D'autre part, nous avons fait un sondage d'opinion de notre coté et en direction des organes du Vatican - services d'information du public. Un associé leur écrivit qu'il avait entendu dire - c'était de ma bouche - que Moïse était un pharaon et il leur demanda quelles étaient dans ce cas les perspectives du dogme. Eh! Bien, les catholiques affirment sans férir que Moïse était Hébreu. Or l'amusant fut que la réponse, pour se faire colorée, décria Cécil.B.de.Mile, le cinéaste du célèbre LES DIX COMMANDEMENTS - mon collaborateur n'avait nullement parlé de ce film et l'informateur avait manifestement supposé que :son information venait de là. Puisque l'organe officiel du culte déclarait que B.de.Mile était un menteur, notre associé visionna le film et il constata... que le péplum suivait mot à mot, si ce n'est à la lettre, le récit biblique; à part un détail classique que l'on doit à Flavius Joséphe, concernant l'Ethiopie. De sorte que nous nous trouvions devant un beau spéciment de quiproquo si ce n'est de lapsus. Au demeurant, pour célébrer le chapitre de l'émotion, toujours présente en ce cas, la voix du Vatican concluait d'une sévére dénégation: "Et de quel dogme parlez-vous?". Vous voyez comme ces phénomènes sont précis et significatifs; évidemment ils ont moins d'effets sensibles qu'un coup de canon sur un petit pot de beurre! Pourtant l'analyse du discours est beaucoup plus audibles que l'assourdissante grossièreté.
Fred recommençait à se demander quelle était l'étrange présence qu'il semblait toujours ne pas voir de Lange et qui lui donnait l'impression, mentalement de loucher. Il avala sa salive et se demanda si ledit associé n'était pas, par hasard, Claude.

- On peut trouver les documents de cette correspondance? interrogea-t-il.

- Oui, reconnut Lange et, sévére: mais on peut aussi en produire; et la provocation par soi-même n'est pas indigne. Fred imagina qu'il reculait de dix pas.

- Regardez ce livre! dit Lange d'une voie profonde.

Magestueusement il l'éleva dans sa main, au-dessus de la table. Et soudain il s'affala. D'un coup! Comme si le texte de Freud avait soudain pesé cent kilos. Lange s'écrasa sur la table. Et il recommença plusieurs fois le mime. Il restait un peu de salive à Fred pour avaler.

- Alors: ironisa enfin Lange, ne doit-on pas soulever encore le problème? Apprenez que les émules de Freud ont constamment déconsidéré ce travail si saillant de ses oeuvres. Tenez!

Et Lange tira un autre livre qui semblait écrit par un psychanalyste, de la bibliothèque, l'ouvrant à la page qu'un onglet signalait. Il lut:

"" La censure de Freud consistant comme toujours à laisser dans l'ombre 'es sujets scabreux de la sexualité et de l'inceste maternel...""

- Voilà ce que jasent ceux qu'il a mis sur la p:ste, s'affligea Lange. Mais enfin, MOISE ET LE MONOTHEISME fut considéré généralement comme peu digne d'attention. C'est un fait.
Lange resta un moment silencieux. Il avait l'air réellement affecté et Fred ne sut comment intervenir. Le médecin repris de lui-même:

- Il faut donc admettre que le livre de Freud est un mauvais livre. Si vous le lisiez, vous constateriez que son auteur est rongé de scrupule. Avant même qu'il fut rongé de son cancer. Ecoutez ce qu'il écrit:
"" Pendant la rédaction de cette étude sur Moïse des difficultés particulièrement grandes - scrupules intérieurs aussi bien qu'entraves extérieures - on pesé sur moi... "".

- Ailleurs il écrit:

"" Maintenant comme alors je doute de mon propre travail et ne me sens pas, comme tnut auteur devrait l'être, en étroite communion avec mon oeuvre... "". Et tout le texte est jalonné de ces confidences. Alors tout simplement, je me permettrais de vous rappeler le livre d'Edouard Shuré dont je vous ai déjà parlé. Il y a quelque chose d'étrange quand on compare ces deux livres; l'un, à grande diffusion et Freud, qui avait le sentiment d'être absolument solitaire dans son examen.

Lange lut encore:

"" Cependant nul historien, à ce que ;e sache, n'a tiré de conclusions semblables en ce qui touche le cas de Moïse, même parmi ceux qui, comme Breasted, sont tout prêts à admettre que Moïse "était instruit de toutes les sagesses d'Egypte". ""

- Comment situer - explicitait Lange - les 91 éditions du livre de Shuré qui affirma même avoir reçu "des messages de sympathie lui arrivant de tous les coins du monde"?

- Lorsque Freud en note concède, insista Lange, que "" L'hypothèse de l'origine égyptienne de Moïse a été assez souvent émise, et cela depuis les époques les plus lointaines jusqu'à ce jour, sans toutefois qu'on s'appuya sûr le nom du prophéte. ""il n'a pas tout à fait raison car il ignore, néglige, le célèbre 1815de Fabre d'Olivet et. le 1884 de Saint-Yves d'Alveydre; et il ne tint jamais compte de Manéthon, cité par Philon qui autorise Shuré à décrire qu'après celui de "Hosarsiph","Moïse"fut un second nom porté par une même personne. Il est manifeste qu'avec cela, il aurait franchi l'impossible pour Shuré puisque, pour ce dernier en 1889, le phraraon monothéiste était encore inconnu de l'égvptologie: Akhenaton est un second nom que le pharaon porta après avoir été dénommé Aménophis.4 - que Freud, au demeurant écrit "Amenhotep", du nom générique du devin aveugle dont je vous ai déjà parlé.

- Tout cela semble un dédale, rassura Lange, mais je vous en parle pour vous indiquer seulement la chose essentielle qui en ressort: les critiques chahuteuses des élèves-même de Freud, quant à la préoccupation la plus souterraine et constante du chercheur de l'Inconscient - ces critiques-là ignorent l'analyse contextuelle de l'ouvrage pour ne s'en tenir qu'au cercle clos et personnalisant de son discours. Pour cette raison, ces méprises ne sont pas différentes des propres scrupules (de Freud) qu'il leur cédaient un Maître narcissique (lui-même). Si nous comprenons cela - si nous accédons à intégrer la parole de Freud dans sa relation aux attitudes de ses élèves et émules, alors nous aurons conquis un point de vue qui permet d'intégrer au titre du contre-transfert ce qui réalise la résistance de Freud. Je vous ai présenté un matériel extrêmement précis pour arpenter tout cela. Ne vous y éreintez pas mais, forts de concepts logiques et réputés, nous allons pouvoir nous poser sérieusement la question simple et majeure qui subsiste depuis notre dernier entretien et qui se résume en cela: de savoir un peu lucidement pourquoi; Freud n'a pas pu dire que Moïse était Akhenaton s'il avait dit qu'il était Egyptien. pourquoi a-t-il approché seulement les figures, sans pouvoir nouer les deux noms au même individu? Etes-vous d'accord avec moi?
Fred redescendait d'un monde où il avait connu l'air raréfié de la ténuité des envolées mentales et il dodelinait encore en posant ses mains sur la table. Il voulut cependant émettre une opinion - qui ne le démasquât pas.

- Si je comprends bien, dit-il, nous allons nous demander la même chose qu'après la lecture de Vélikovsky; pour l'américain nous nous demandions pourquoi il n'avait pas identifié Akhenaton à Moïse, puisqu'Oedipe (à Colone) y prêtait fort - pour le viennois nous nous demanderons pourquoi il n'a pas identifié Moïse à Akhenaton, puisqu'il l'avait déjà approché fort en disant qu'il était égyptien. Mais - si je peux me permettre - que ce serait-il passé si l'un ou l'autre avait dù y réussir?
- Cher Monsieur, répondit Lange, votre question confirme que vous désirez une analyse. Tout d'abord considérez que la réponse est simple: votre hypothèse n'est pas décente. Tout simplement, ils ne pouvaient pas arriver à ces identifications. Ils n'auraient pas été ce qu'ils étaient, ou n'auraient pas survécu, s'ils avaient entendu l'inaudible quant à eux. Votre désir de psychanalyse s'indique car vous imaginez que le complexe de castration se résout en acceptant de perdre quelque chose (par exemple la fonction phallique d'un Freud qui l'eut tenu); mais cette résolution s'acquiert en acceptant de ne jamais avoir possédé (par exemple la connaissance supposée tenable par Freud) quelque chose que jamais personne ait possédé non plus (spécialement pas la mère en ce cas; car pour le père il serait vain de confondre attribut et possession).

Fred se contenta de noter que Lange le considérait bel et bien névrosé.

- Ce qui signifie, rajouta Lange, que le contentement d'être névrosé entretient une jouissance, supposée à une Société, à un groupe, qui n'existe pas. Ce n'est pas le cas du pluriel qui ne jouit pas, mais en donne la preuve. Avez-vous donc lu Lacan sur le propos que je vous ai indiqué? Et par 1a même occasion, avez-vous lu Oedipe à Colone comme je vous l'ai conseillé?

Fred avait été touché; il avait senti passé le vent du fantasme que Lange faisait une allusion à la SAMCDA. Ebranlé pas la honteuse idée, il persista à nier ce qui, même masqué, touchait son Tarquel. Et sans mentir il avoua n'avoir encore pas lu Oedipe à Colone.

Le médecin ne se formalisa pas. Il consulta sa montre et déclara qu'il leur restait une quinzaine de minutes pour exposer ce qui aurait, pu empêcher Freud dans sa juste découverte de la vérité.


- Nous avons des anecdotes, raconta Lange, qui permettent de méditer un peu sur le climat de l'époque. La femme de Karl Gustav Jung, un autre disciple célébre de Sigmund Freud, écrivait au Maître de son mari. Elle laissa entendre qu'à son propre avis, elle était une réincarnation de la femme de Toutankhamon - le fils dynastique d'Akhenaton. Pour Freud qui allait lui-même jusqu'à envisager son identification personnelle à Moïse, l'épreuve devait être rude! Mais on peut imaginer que cela n'était qu'un détail parmi les multiples résistances qu'il devait vaincre pour établir déjà seulement la nationalité égyptienne de celui qu'il appelait "le grand Homme des juifs". Ne parlons pas de ce qui peut-être gît encore dans l'énigme d'Akhenaton, s'agissant de sa virilité - car cela atteindrait jusqu'à l'analyse ultime que Freud avouait quant à lui, s'agissant du complexe de castration.

- Mais regardons plutôt en notre époque présente, suggéra Lange; je disais que les quelques psychanalystes qui avaient manifesté l'ambition de critiquer plutôt qu'ignorer MOISE ET LE MONOTHEISME, s'étaient tout de même manifestés en caressant la bête dans le bon sens du poil. Je vous ai assimilé cela aux résistances, quand elles viennent encouragées par l'entourage, du collectif, montrant quand elles agissent encore aujourd'hui, cet aspect de l'Inconscient qui ne connaît pas le temps. Principalement, nous aurons peut-être l'occasion de parler d'un livre titré LE MOISE DE FREUD. Son auteur, avec d'autres sont des spécialistes de la question; vous y liriez que la hardiesse de récuser Freud quant l'idée originale de ce Moïse égyptien, se cantonne à lui disputer l'intuition avec un autre viennois de l'époque, que Freud ne connut pas mais dont il lut peut-être une nouvelle de quatre pages, titrée LE FILS DU ROI D'EGYPTE où le prophète d'Israël est conté devoir ses jours à une maîtresse juive du pharaon.

- Voilà à quel niveau l'analyse de l'analyse se hausse! s'émut Lange. Et on ne peut même pas dire que la nouvelle était si pertinente... peut-être, dans le fond, car on peut toujours faire avec ce qu'on a; mais je vous assure que nous avons beaucoup cherché, mes collaborateurs et moi, à trouver quelque part une seule supposition que Moïse fut l'authentique pharaon - ne serait-ce qu'une seule ou seulement l'allusion au fait; nous avons énormément cherché! Imaginez les titres: D'OEDIPE A MOISE ou MOISE ET AKHENATON et combien d'autres! Nous n'avons rien trouvé. Pas une fois, cette hypothèse si limpide n'est évoquée dans la somme. C'est expressif sur les aspects du refoulement...

- Ce qu'il faut! N'est-ce-pas... sembla rêver Lange, pour que les psychanalystes, même, s'intéressent à ce qui manque... N.u.l.l.e p.a.r.t o.n n.e t.r.o.u.v.e l.a m.o.i.n.d.r.e a.l.l.u.s.i.o.n à l'i.n.c.o.n.t.e.s.t.a.b.l.e p.r.o.b.a.b.i.l.i.t.é, acha Lange; je vous parle des dizaines de livres sur le sujet. "ll faut manquer" - c'est la valeur de tout ça. Mais quand, une fois qu'on a émis l'hypothèse; peut-on encore dire que nous ne savions pas qu'il n'y a aucun élément, aucun argument qui puisse l'infirmer - pas l'ombre d'une contradiction?
- Tenons-nous à notre petit examen, recula Lange; il est tout de même réaliste d'estimer que si Shuré eut un tel succès d'édition - passons même qu'il ne fut connu des universitaires - nombre de gens devaient songer à ce Moïse égyptien. Et il est remarquable que les épigones critiques du Moïse freudien, aient dû chercher, de derrière les fagots, l'argument inconsistant du "FILS DU ROI... " au titre de FANTAISIES D'UN REALISTE (c'est de J.Popper-Lynkeus). Est-ce que cela ne montre pas comment le cercle des freudiens accompagna la résistance de Freud sur ce sujet?

- Lisons-y une bonne description des formes que l'on doit à l'Inconscient, suggéra Lange. Premièrement, première règle: son savoir se manifeste ailleurs qu'au lieu où on l'attend; or tous ces freudiens restant dans le domaine des études freudiennes - ils sont certains de ne pas l'y trouver. Le savoir inconscient n'apparaît pas là, il surgit dans des lapsus, dans le comique, l'exclu, l'incongru, voire l'obscène; alors vous vérifierez: une des meilleures description de la saga d'Akhenaton figure au cinéma au crédit d'un comique qui restera moralement Président des Français, Coluche [2h-1/4avJC]. Mais les psychanalystes, fonctionnaires hiérophantes du Principe de Réalité (Lange ne croyait pas si bien dire - comme la suite le montrera) renient avec conformisme le geste essentiel de Freud alimentant son art de l'insupportable, du débordement voire de l'abject. Vous pourrez aussi constater comment c'est au terme d'un roman familial qu'un des nôtres "tomba" sans s'y attendre, croyant faire une boutade, sur la formule "Moïse égale Akhenaton". Pensez! Parce qu'il n'y croyait pas, il l'affirma pour qu'on puisse démontrer le contraire; voyez où nous en sommes aujourd'hui.

- Et puis une deuxième règle est visible, compléta Lange, dans cette affaire. C'est que le refoulement se masque, souvent, derrière le scrupule, voire la proximité criante de la vérité. On peut dire que l'approchant décrie (décrier) la vérité. Vous pouvez voir cela dans les éléments que je vous ait présentés: la critique studieuse de l'étude freudienne par les épigones de la psychanalyse opère et déculpabilise comme les scrupules; mais surtout Freud lui-même approchant si bien Moïse d'Akhenaton puisqu'il décrit que l"'Egyptien" est un proche, un "haut fonctionnaire", disciple de l'Atonisme. Ce disant, n'élude-t-il pas, ne masque-t-il pas, ne distrait-il pas, l'inattaquable hypothèse qu'il s'agissait du roi-même? Je vous le répète, l'hypothèse est inattaquable, nous l'avons présenté à des dizaines de spécialistes concernés de tout genres, aucun parmi eux n'y a opposé le moindre argument scientifique. N'est-il donc significatif que Freud offre le dernier leurre, dernier évitement, dernier refus à la pression de la découverte, en côtoyant si prés la vérité sans la voir qu'on ne puisse en appeler à autre chose qu'au ridicule; honte et humiliation caractéristique des levées du refoulé.

- Alors, cher Monsieur, conclut Lange avant de s'interrompre, il reste que vous puissiez comprendre ce délai de la bévue Freudienne & C° en un concept que je vous suggérais d'appeler: la causalité temporelle de la découverte - pour résumer tout ça que je suis obligé de vous dire un peu en détail. Parce qu'évidemment, je parle pour que vous y croyiez et, la chose étant d'une importance que nous avons peine à soupçonner, de sorte que je garantisse où je guide vos pieds.
Fred apprécia. Il avait à peu prés suivi l'argumentation de Lange; mais enfin, tout cela ressemblait à une pétition de principe. En effet, il en aurait fallu encore beaucoup avant qu'il ne soit convaincu! Pourtant, bien qu'il eût souhaité que Lange cessa son laborieux labourage qui commençait à lui attaquer les méninges, il ne put retenir une critique dialectique - la passion du Savoir n'étant jamais totalement émoussé; même au terme d'études appliquées à la psychanalyse professionnelle qui destinent sensément à l'idéal d'ignorance (disait Lacan à Louvain).

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