Fred posa le livre. Immobile un instant, IL imaginait encore; IL venait d'achever la lecture d'une analyse de caractères de représentants d'une classe. Tout y








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Je voudrais une psychothérapie, fit-il en se tenant à son personnage, si vous pensez que...

- Bien sûr, bien sûr, interrompit Lange en se levant. Décidément l'homme pouvait être aussi d'une impolitesse scandaleuse. Il n'avait pas écouté trois mots et déjà invitait-il Fred à lever la scéance.

- A bientôt, dit-il quand Fred fut dans le couloir; attendez, je vais vous chercher ma secrétaire, elle doit tirer des photocopies par là-bas.

Et sa voix s'enfonça avec lui dans le corridor. L'instant suivant une jeune femme élégante venait à la rencontre de Fred, l'invitant à la suivre dans son bureau prés de la porte d'entrée.

-Voulez-vous prendre un rendez-vous, Monsieur De Lamasse? interrogea un charmant sourire.

Fred déclina sa réelle identité en donnant finalement pour explication le double nom de sa mère; il regardait distraitement le bureau, indéfinissablement féminin. Etait-ce les affichettes en nombre aux murs, d'aphorisme, de poèmes, de maximes? Il lisait: "Quand on se calme, n'oublions pas de clamer le calmeur". La secrétaire sortit un instant retrouver Lange; il lut encore attribué à J.M.: "Si l'analyste est effrayé par l'histoire réelle de sa propre science, il ne sera jamais en mesure d'affronter le passé d'un seul de ses patients". Il se retourna vers la femme ronde et rousse qui rentrait.

- Quand revenez-vous?

- Je ne sais pas, répondit-il.

Ils fixèrent une date, pour un début d'après-midi. Fred se sentit gêné; qui donc reviendrait dans de telles conditions? songeait-il. Il fallait au moins un motif aussi précis que le sien.

- Il y a des groupes ici qui travaillent? enquêta-t-il.

- Oui, le Docteur Lange ne vous a pas expliqué?

Fred concéda que non.

- Il vous dira, conclut-elle, prudente et discrète; il faut lui demander. A bientôt Monsieur Laffraide...

C'était assez! Il ne corrigea pas le lapsus de la jeune femme qui sembla aussi éclatée que Lange. Il salua et fut bientôt dehors.

Après déjeuner il passerait au local de la SAMCDA.

La suite montra qu'il allait s'y taire quant à l'entretien qu'il venait de conclure. Quelque chose était étrange, qu'il trouvait désagréable; avant d'en parler à quiconque, surtout de ses confrères, même dans le secret, il préférait rester discret. "Oui était Claude?", voilà ce que la SAMCDA lui avait demandé - et pour ce faire, elle n'avait su lui fournir que la seule adresse de Lange; Lange qu'on trouvait par ailleurs dans l'annuaire professionnel au titre de Psychothérapeute, qui détectait les mensonges, qui surveillait les joueurs de boule et qui racontait que toute autre formule que dire qu'un pharaon égyptien avait annoncé Jésus-Christ était l'alibi d'une contre-vérité secrète; telle était la situation et au sujet de Claude, il ne savait encore rien.

CHAP.2 - PAGE#16

Lorsque Fred se présenta pour la seconde fois au bureau de Lange il était sans mallette, document ou quoique ce soit qui l'aurait emprunté - de toute (qui n'existe pas) évidence, il se trouvait parfaitement libre, sans entrave ni attaches. La secrétaire le conduisit là où il avait pris son premier contact avec Lange. C'était un vaste salon et il piqua tout d'abord vers la fenêtre: les boulistes étaient toujours là. Il reconnut même l'homme en habit clair. Mais, comme si le reflet de la vitre éclaboussée de soleil avait réfléchi, une autre chose l'intrigua: le vide de la pièce; nul ornement, pas de revue, elle eut semblé un pur fantasme de ménagère. Par analogie il pensa à son propre appartement qui approchait la même tendance désertique.

Il en resta là; Lange apparut à la porte, lui fit signe et ils se retrouvèrent de nouveau face à face dans le bureau du premier entretien.

- Comment allez-vous Fred, débuta le médecin.

- Bien, je vous remercie.

Il y eut un silence. Lange le rompit:

- Vous avez l'air en bonne santé, je vous en félicite. C'est pour ça que j'ai ces choses à vous dire, c'est pour éviter que vous tombiez malade:

Lange s'était incliné vers lui, le visage fendu d'un généreux sourire. Fred voulut protester; il venait justement pour... ce fut Lange qui protesta:

- Si, si, dit-il, vous êtes en bonne santé. Ce que vous appelez maladie est le signe d'une adaptation, d'un refus et d'une lutte raisonnables dans le monde où nous vivons. Il faut éviter de vous guérir de votre malaise; nous y songerons quand il n'y aura plus de raison d'être nauséeux, n'est-ce-pas? Votre maladie est un signe de bonne adaptation à une adaptation mauvaise. Car c'est l'adaptation au Savoir qui commande notre malheur en ces temps.

Fred admit que l'idée était recevable. La SAMCDA elle-même, songeait-il, ne s'était-elle pas retenue de n'hésiter pas avant que dénigrer !'auteur cynique du pamphlet: "Si c'est cru s'y fier". Et lui-même s'interrogeait régulièrement sur le bon droit qu'il y avait à suivre les chemins tracés, hanter les lieux communs, adhérer aux croyances collectives qui manifestement géraient le monde de façon désastreuse.

Puisqu'évidemment il n'y avait d'autre solution pour quelqu'un de normal - autrement dit d'une normalité critique - c'était la force de la SAMCDA que d'avoir regroupé en Société l'affiliation sophistique qui garantissait contre la duperie de la secte pour en présenter toutes les apparences en affirmant le contraire.

C'est dire que Fred était parfaitement au courant de pétitions telles que celle que venait de lui déclarer Lange. Sa normalisation, bien plus réaliste, consistait à n'être pas dégoûté de rester nauséeux dans un monde de malaise. Il appelait cela sa castration et assumait qu'elle le menât à la réalité. Lange, lui, était un utopiste, Fred le savait déjà; il était seulement dommage qu'il fut fou par surcroît.
- Donc, poursuivit Lange, vous devez raisonner avec moi. D'abord vous ne vous imaginez pas à quel point c'est important de savoir si Moïse fut Akhénaton. Vous ne vous l'imaginez pas parce que vous ne savez pas à quel point ça vous fait peur. Comme c'est de ça dont je veux absolument vous parler pour que vous puissiez savoir si vous désirez faire une analyse (ou un traitement psychique), il faut que nous examinions d'abord ce qui s'oppose à ce que ce soit vrai...

- A ce que quoi soit vrai, exactement? demanda Fred agacé et décidé à tenir un tant (temps) soit peu le bonhomme.

- Eh! Bien que Moïse était Oedipe! répliqua Lange au comble de l'étonnement; puisque vous ne le crûtes pas et que c'est tout de même important, si vous vouliez faire une psychanalyse freudienne par exemple, il faut bien que nous examinions pourquoi ça ne vous semble pas couler de source.

- Mais c'est parce que je n'ai jamais entendu dire çà! répliqua Fred; ça n'a jamais coulé à ma source! finassa-t-il.

- Eh! Bien, répéta Lange, c'était donc resté à votre insu; mais c'était bel et bien "resté" parce que nous pouvons le retrouver aujourd'hui. Et je ne parle pas d'un complexe incestueux par force individuel. Mais de ce qui resta à l'insu de vos proches, de vos amis, de vos politiciens, de vos maîtres et de millions de gens et qu'il faut donc, s'agissant d'Histoire, interpréter de façon plurielle.

Fred ne se faisait aucune illusion. Il était persuadé qu'on pouvait tout dire et n'importe quoi, presque toujours démontrable de façon assez satisfaisante. L'ennui avec ces délires paranoïaques tenait à ce que le malade trouvait toujours une échappatoire, une preuve de dernière minute ou un argument caché. Pire, il n'y avait aucun moyen de les soigner ou de leur faire rendre raison; et encore devait-on éviter de les contrarier sans ruse, sinon c'était eux qui vous auraient traités de fou.

Heureusement Fred n'avait pas sa mallette ce matin; puisqu'à ce point où l'identité devenait dialectique il en aurait fait usage: il l'aurait déplacée comme un aiguillage de voie ferrée et se serait réaffirmé sur une idée de la SAMCDA (ou d'une autre institution) - seulement cette fois-ci il entrevit deux choses: d'une part, si donc un paranoïaque en défaut traite l'autre de fou, il devait admettre que lui-même était en train de considérer Lange de la sorte - c'était grâce à son entraînement et à ses études intellectuelles qu'il pouvait raisonner aussi rapidement; d'autre part il envisagea, moins en un éclair que pour l'avoir toujours su de façon confuse, que la traversée de la mer rouge ouverte par Dieu, l'écriture des tables de la loi d'un coup de foudre, les trompettes qui écroulent les murs, les buissons ardents, les arrêts du soleil dans sa course et des dizaines d'autres miracles étaient évidemment des idées concurrentes à bien des thèmes délirants que les neuroleptiques ou les homéopathies sacrées rendent aussi silencieux qu'un psychanalyste orthodoxe...

Fred était troublé, c'était incontestable. Moins par l'autre que par lui-même, crut-il, et il s'abîma dans son fauteuil comme dans une profonde dépression.
Lange continua doucement:

- Pourquoi cette vérité sur les deux phases de la vie d'Oedipe en tant que personne physique, d'abord Akhenaton, Moïse ensuite - pourquoi cette vérité, disait Lange, sur l'organisation fondatrice de la civilisation occidentale est-elle restée à l'insu du sens commun; pourquoi est-elle restée au seuil du savoir, comme une bévue de la réalité? Eh! Bien, remarquez d'abord que si on l'avait toujours su, on pourrait dire aujourd'hui le contraire! On arriverait certainement à montrer que Moïse "n'était pas" un pharaon. Tandis que si on croit autre chose... surtout si cette autre chose, c'est un mensonge - souvenez-vous - ça risque de nous mener avec certitude à la vérité; puisque le mensonge certifie bien plus la vérité que l'erreur.

- Mais enfin, assura Lange, je ne veux pas vous casser les pieds. Ecoutez! Avant ces dernières années, on ne savait pas que Moïse était Akhenaton, et non plus qu'Oedipe était Akhenaton, pour la bonne et simple raison que plus personne ne se souvenait du pharaon en question. Il y a eu des centaines de pharaons, tout le monde les a oubliés - et Akhenaton a été spécialement effacé. Ca fait seulement un siècle qu'on y repense; ça fait tout juste cinquante ans qu'on commence à connaître à peu prés Akhenaton. Alors vous pensez bien! Comment aurait-on connu la véritable identité de Moïse ou d'Oedipe quand personne ne pourrait savoir qu'il avait seulement existé - ce fichu pharaon?

Fred regardait Lange d'un oeil vitreux.

- Evidemment cet argument est simpliste, concéda Lange, parce qu'on aurait pu s'en souvenir puisqu'on se souvenait de ses pseudonymes. Mais enfin il nous rappelle déjà quelque chose: c'est qu'on oublie - et c'est pas tellement étonnant. Ce qui est plutôt étonnant, c'est qu'on se souvienne. Tout compte fait, voyez-vous, ça serait plutôt normal que ç'ait été d'abord logé dans l'insu, cette origine pharaonique comme tout d'ailleurs, qui concerne les origines; si on commence par oublier ce dont on se rappelle. Aujourd'hui on est confronté aux noms, aux traces, on va fouiller dans les pyramides avec d'autres ambitions que de les piller. Il faut tout de même ne pas être trop naïf; on risquait d'y trouver quelques choses dans toutes ces nécropoles!
- Mais enfin, cher Monsieur Fred, continua le docteur, tout ceci n'apprête-t-il pas une sorte de volume, d'étoffe, d'épaisseur quant à justifier, normaliser et fonctionnaliser que ce soit resté insu pour des centaines de populations - qui tout à fait concernées ou intéressées cependant - en Occident? Parce que si nous prenons la question de la sorte, inversée, nous devons nous méfier d'être impatients car, moins que d'être resté insu, c'est plutôt que ça commence à être su, qui est remarquable. La mémoire ne vient pas tout de suite dans un corps; pourquoi est-ce que pour l'humanité, ce ne serait pas comparable, voire semblable ou analogue? Alors voyez-vous, on commence peut-être simplement à se rappeler; et pour commencer, ça cahote, ça patine. Au bout du compte on se souviendra peut-être que c'était par la fonction de ce qu'on appelle aujourd'hui le mensonge qu'on a commencé à avoir de la mémoire. Vous connaissez l'histoire des enfants qui paraissent croire au père Noël! C'est parce que ça les travaille les feignants! Evidemment, je parle de la mémoire consciente; pas de la mémoire que garde un caillou quand vous le cassez en deux, ni même de celle que vous essayez de conserver en vous répétant quelque chose d'important, sans cesse pour ne pas l'oublier - cette mémoire qui équivaut à celle qu'on appelle la mémoire orale des peuples.

- Donc aujourd'hui, voyez-vous, conclut le "délisant", nous découvrons que Moïse ou Oedipe, c'était Akhenaton. On a des traces écrites et des signes d'effacement; avec ça on arrive à découvrir quelque chose. Etes-vous d'accord?

Fred opina.

- On découvre quelque chose, mais quoi exactement? poursuivit Lange; on découvre que Moïse était un pharaon? C'est ça? Ou bien, est-ce qu'on découvre quelque chose d'autre... est-ce qu'on n'est pas en train de découvrir la façon dont on découvre? Comprenez-vous?

- Bien sûr, s'énervait Lange, que c'est intéressant de savoir que le mari de Néfertiti (c'était Akhenaton) a galuré dans le Sinaï, ou bien que le père dynastique de Toutankhamon (c'est encore Akhenaton) annonçait la résurrection des corps sur la terre; comme c'est intéressant de savoir que je suis le fils de ma mère et vous de la vôtre; les choses intéressantes foisonnent - mais le petit "plusss" que je vous dis, concernant la façon elle-même dont on découvre, est bigrement intéressante.

- Si vous voulez bien admettre, insista le médecin, que nous pouvons penser à une façon dont on découvre, vous serez d'accord avec moi pour estimer qu'on puisse parler d'une structure de la découverte; chose qu'on gagnerait beaucoup à connaître. Eh! Bien, voyez-vous, pour commencer, tout ce temps que les peuples ont enduré dans l'insu, ça peut tenir à l.a c.a.u.s.a.l.i.t.é t.e.m.p.o.r.e.l.l.e d.e l.a d.é.c.o.u.v.e.r.t.e.
Lange avait haché ses derniers mots, comme pour forcer de se faire comprendre. Fred avait bien suivit; sa méchante humeur n'avait pas nuit à son attention. Par contre, il n'était pas du tout prêt à admettre ce qu'il avait écouté. De bien plus belles paroles qu'il avait même déjà cru entendre s'étaient avérées vides. Ce Lange pouvait bien lui raconter qu'une durée de mensonge était nécessaire à toute certitude, il n'apportait cependant aucune preuve quant aux affirmations énormes qu'il opposait au sens commun. C'était toujours cette même histoire triste de la mélancolie d'incertitude qu'il préférait ouïr de la bouche, au moins de beau-parleurs, sélectionnés par la SAMCDA, ayant le mérite d'essayer de ne rien dire, pour parler dé la vérité. Il tendit la jambe en regardant sa chaussure;

- Il y a des groupes qui étudient ces choses-là avec vous? dévia-t-il en tournant le pied, où bien travaillent-ils ensemble, mais seuls de leur coté?
- Oui, répondit Lange, d'ailleurs nous ne saurions étudier ces choses-là autrement qu'en groupe - pour la raison qu'avec les peuples, nous sommes face à des phénomènes de la même sorte que ceux dits "de groupe" et qu'en la matière des sciences humaines nous devons confronter des choses identiques puisqu'elles établissent l'identité qui s'affronte; les individus traitent des individus et les groupes des groupes. Au demeurant pourquoi une clientèle ne formerait-elle pas un groupe ce serait très réaliste; au moins aussi réaliste que souligner la perversion solitaire de l'ego! Donc bien sûr, nous travaillons en groupe. Connaissez-vous Zénon Kelper c'est un praticien qui adapte et qui écrit ces choses dont je vous parle. Il a formé des expériences très intéressantes sur le sujet du Pluriel. Parce qu'évidemment ce qui fait la durée du mensonge et qui fait qu'on y croit - qui plus est: mordicus - c'est ce que Freud appelait la résistance. Or, si Freud en a parlé s'agissant de phénomène individuel - il se doutait seulement qu'il y était lui aussi, et singulièrement en prise; et dans son cas il s'agissait de la forme, supra-individuelle, que prend ladite résistance dans une phénoménologie de masse, de peuple et de civilisation. C'est à dire que les psychanalystes s'avèrent aujourd'hui avoir constitué institutionnellement au moins une résistance à cette idée qu'Akhenaton avait agit sous le nom de Moïse et s'était fait connaître sous celui d'Oedipe. Aujourd'hui que nous commençons à en parler, cette résistance passe au stade que nous appelons "dénégation".
Fred constatait que le Docteur Lange était retombé dans son inévitable manège; d'ou qu'on le lançât il revenait, avec une précision astronomique, graviter autour des même obsessions par lesquelles il tentait d'obturer les inévitables failles de l'Histoire qu'un complexé de la castration doit d'abord admettre pour tirer son destin du jeu.

Fred qui, après avoir lutté des années inconsciemment contre ledit complexe, était proche aujourd'hui de l'admettre une fois pour toute; il n'avait donc pas le coeur à croire que pour surgir de la structure d'une faille, il faille en trouver toujours une autre; récuser comme refendre sa castration, par exemple.

Loin de mécroire à une féminisation de sa mémoire, il obérait l'aporie d'un Moïse hébreux (et d'un Oedipe grec) en récusant qu'on put jamais conquérir plus l'Histoire que la loi maternelle. Puisqu'il l'ignorait il s'en réjouissait.

De surcroît Lange avait parlé d'un certain Cléper - ou Képerl? - et, quant à ce qui lui manquait, à lui Fred, cette évocation venait soulager le suspens: si ce "casse-pied" citait ses collaborateurs, il pouvait espérer qu'il allait arriver à Claude - tout au moins en insistant; il suffirait de le relancer avec patience ce butor hors de son cirque mégalomaniaque.

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