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![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Mr CHARAFI Abderrahim chararose.e-monsite.com abdou_chara@hotmail.com 0677 84 31 42 Le français à l’examen du bac a un coefficient élevé (4 pour les littéraires comme pour les scientifiques). Si nos élèves peuvent se débrouiller dans les questions de compréhension globale, il n’en est pas de même pour l’épreuve de français est difficile pour la majorité de nos élèves. Pour la production écrite : ‘Un sujet de réflexion en rapport avec l’un des thèmes de l’œuvre (œuvres) au programme, sans être une dissertation littéraire.’ Mais qu’est ce qu’un sujet de réflexion ? Il s’agit d’une démonstration. Vous devez expliquer quelque chose à propos des œuvres et le prouver à votre correcteur en lui démontrant ce que vous dites à partir de références précises au texte (citation d’un personnage, ou à la rigueur à partir de votre réalité vécue). Voici brièvement la technique à suivre pour réussir l’épreuve production écrite. D’abord, il faudrait consacrer une heure à la PE (et non un quart d’heure !). un travail sérieux et minutieusement préparé est ‘senti’ par le correcteur. Une copie bâclée se voit dès la première phrase : minuscule au début, absence d’alinéa, des ratures partout…Mais qu’est ce qu’une bonne préparation ? La première étape, bien sur, c’est la lecture et la compréhension de la consigne (le sujet). Quels sont les mots clés ? Quel type de texte on me demande de rédiger ? Cette tache peut me prendre de 5 à 10 mn. Puis, je passe à l’étape suivante : la recherche des idées s’il s’agit d’un texte argumentatif (sur le thème de la violence, la force, l’éducation, les langues étrangères, les loisirs…), ou ce que j’appellerais ‘le scénario’ s’il s’agit d’un texte narratif (un souvenir d’enfance, une page de journal intime…). Cette étape peut s’étaler sur 15 à 20 mn. On peut utiliser le procédé du remue-méninge ‘en anglais le brainstorming). Comment ? J’écris le mot clé de mon sujet au milieu de la feuille de brouillon, je l’encadre et je mets des flèches autour. Je mo pose la question suivante : à quoi me fait penser ce mot ou cette idée. Je note spontanément tout ce qui me passe par la tête sans évaluer son importance. Exemple : le mot ‘famille’ ne me dit pas grand-chose au début, mais si je me ‘relaxe’ un peu et je libère mon imagination, je vais trouver des expressions comme : protection, amour, autorité, éducation, tendresse, foyer, bon citoyen, criminel, ‘sans famille’, le condamné à mort et sa fille Marie, son camarade à Bicêtre, Sidi Mohammed et son père absent…J’essaie toujours de trouver l’opposé du mot (pour notre exemple c’est le mot divorce) et explorer cette piste de recherche aussi (délinquance, drogue, vengeance déséquilibre affectif…) Ensuite, je passe au plan, c'est-à-dire aux axes de mon texte (son corps). Pour notre exemple, je peux traiter deux axes :
J’ai déjà les idées, il ne reste que la formulation des phrases (15mn). Reste maintenant la dernière étape : la rédaction de l’introduction et de la conclusion (15mn). Dans l’introduction, je dois :
Dans la conclusion, résumez ou récapitulez votre démonstration en la formulant autrement. Vous pouvez ouvrir de nouveau le sujet (évoquer une autre perspective possible du sujet). Enfin, je passe à la production finale en veillant à la cohérence de mon texte, à l’emploi des liens logiques (d’abord, ensuite, enfin, par ailleurs…). Bien il faut veiller à l’alinéa et aux majuscules. Entraînez-vous à traiter un sujet de votre choix. Donnez-le à votre prof pour vous faire corriger. Vous sentirez une nette amélioration. Bonne chance. Remarque : il ne s’agit pas d’une vraie dissertation, mais d’un texte argumentation de longueur moyenne, cohérent et bien enchaîné à l’aide des liens logiques adéquats. Récapitulations la démarche à suivre :
Attention :il ne s’agit pas de répondre par ‘oui’ ou par ‘non’ dès le début, mais d’analyser le sujet, de dire les idées opposées si possible (thèse défendue / thèse adverse). Exemple pour le développement : Mr CHARAFI Abderrahim chararose.e-monsite.com abdou_chara@hotmail.com 0677 84 31 42 Elaboration du plan Rédaction : Certains pensent que la peine de mort nécessaire pour la société, d’abord, ils déclarent qu’elle réduit le taux de crimes en faisant peur aux criminels. Selon eux, il faut donner l’exemple…Ensuite, cette peine venge la famille de la victime…Enfin, toutes les religions sont pour cette peine… Or, d’autres penseurs et intellectuels estiment qu’il faut abolir la peine capitale…D’une part, elle ne laisse aucune chance de repentir pour la condamné qui peut être, au fond un bon citoyen, qui a commis une erreur comme c’est le cas du personnage principal dans le roman de Victor Hugo…D’autre part, cette peine punit non seulement le condamné mais elle détruit toute sa famille. Ainsi, la mère du narrateur, sa femme ainsi que sa fille Marie sont restées ‘orpheline’. Une vie dure attend la fille qui grandira sans père, ni mère. Elle est menacée de délinquance…Par ailleurs, il ne faut pas oublier à ce sujet la possibilité de l’erreur judiciaire. En effet, plusieurs condamnés à mort se sont avérés innocents mais trop tard ! alors il est impossible de réparer cette erreur si on a déjà exécuté la personne… Sur ce modèle, traitez maintenant le sujet suivant (servez vous du schéma ci-dessous) : Faut-il maltraiter les prisonniers ? Ou la prison est elle un lieu de punition ou un espace de rééducation. D’après votre lecture d’Antigone, le courage est il toujours les bonnes solutions à nos problèmes. Faut il, a votre avis, accorder une grande liberté aux jeunes, ou, au contraire doit on la limiter ?
Exemple de plan possible pour le texte argumentatif : Les sports collectifs sont de plus en plus pratiqués aujourd’hui. Ils ont plusieurs points positifs ; mais une certaine conception de ces sports a des conséquences négatives. Les côtés positifs du sport collectif sont nombreux. D’abord, il contribue à l’épanouissement physique de l’individu. Ensuite, il crée le désir de se dépasser. Enfin, il favorise le développement de l’esprit de corps et de solidarité. Mais, une certaine conception de ce sport a des conséquences négatives. En premier lieu, l’esprit de compétition entraine souvent des comportements agressifs. En second lieu, certaines rencontres sportives dégénèrent en exaltation du chauvinisme. Enfin, le sport professionnel est souvent au service de l’argent. Certes, les stades se transforment parfois en arènes ; mais, le sport reste un moyen d’épanouissement individuel et collectif. Sur le même modèle, rédigez un texte argumentatif sur :
D’autres thèmes des œuvres au programme :
Consigne : Un jour tes parents étaient absents. Tu étais seul dans ta chambre et tu as ressenti une grande peur. Raconte ce qui s’est passé en décrivant ta peur. Je me souviens encore de ce soir-la comme si c’était hier. J’avais encore six ans quand mes parents me laissèrent dans ma chambre pour aller faire une commission et revenir rapidement. Mais à cause de la tempête, ils rentèrent tard. J’étais allongé dans mon lit en train de lire un conte de Mille et une nuits. Soudain, j’entendis un grand bruit qui me fit sursauter. Je me mis debout sans savoir quoi faire. Mes cheveux de dressèrent et j’avais la chair de poule. Mes jambes tremblaient. Mon cœur battait très fort. Je ressentis une panique incroyable. Après quelques secondes, je décidais de descendre l’escalier pour voir l’origine du bruit. Alors, je pris un balai et j’avançais à pas timides vers la cuisine. Quand je m’approchai de la porte, un chat miaula. Je fus soulagé. Le matou cherchait à manger dans le buffet et fit tomber une casserole. Je repris mon souffle et je revins dans ma chambre. Après un instant mes parents arrivèrent et je leur racontai l’histoire. Ils saluèrent mon courage et me donnèrent du chocolat. ‘Tu es devenu un homme Ahmed, je peux compter sur toi’. Je n’arrive jamais à oublier ce souvenir qui restera gravé dans ma mémoire. Décrire le souk Consigne : Tu as accompagné, ton père au souk pour acheter le mouton de l’Aïd. Décris ce que tu as vu. Samedi dernier, j’ai accompagné mon père au souk pour acheter le mouton de l’Aïd. En entrant dans le marché, j’ai vue une grand foule de paysans, venus de Ain Béni MATHAR et de DAHRA dans de vieux camions surchargés de moutons. C’étaient des gens de grande taille, vêtues de belle djellabas de laine blanche, la tête coiffée de turbans jaunes. Ils tenaient à la main une canne pour conduire le troupeau et pour lutter contre les voleurs. Chacun tenait une ficelle attaché à un ou plusieurs moutons. On entendait une grande clameur de voix hautes et aiguës d’hommes et de moutons mélangées. Une mauvaise odeur d’écurie se dégageait du lieu. On sentait le mélange de la sueur, du foin et de la crotte des bêtes. Mon père allait, venait, regardait attentivement toutes les bêtes. Il tâtait un gros mouton qui attira son attention par ses cornes monumentales et sa couleur brune. Il marchandait le prix avec le vendeur pendant une heure, avant de décider enfin de prendre la bête. Malgré la fatigue et la mauvaise odeur, j’étais fou de joie à l’occasion de la fête. Violence des ados : état des lieux Les ados sont-ils de plus en plus violents ? Un rapport de l’observatoire national de la délinquance semble montrer que les agressions et autres coups et blessures provoqués par les mineurs sont en hausse. Mais une étude de l’Inserm nuance ce constat : ce serait surtout les petits actes de violence ‘ordinaire’ qui se banalisent. Racket, tournantes, voitures brulées…les médias montrent aujourd’hui une recrudescence (accroissement) de la violence chez les adolescents. Mais qu’en est-il réellement ? Un rapport sur les violences dans les collèges et lycées nuancent quelque peu celui de l’observatoire de la délinquance. Ce travail a étudié les réponses de 16500 élèves sur la violence dans le carde de l’enquête (enquête marocain sur les addictions chez les jeunes). Résultat : la violence semble effectivement augmenter dans les collèges et lycées, mais ce sont essentiellement les petits actes de violence ‘ordinaire’ qui connaissent la plus forte augmentation :
En revanche, les actes de violence plus graves tels que frapper un professeur, mettre le feu, menacer d’une arme ne progressent pas véritablement. Le rapport souligne des différences d’évolution selon les sexes. Les violences les plus graves ont tendance à se masculiniser. Mais certains comportements progressent plutôt chez les filles : les bagarres, le vol (dans les boutiques…) certes il convient dans tous les cas de nuancer ces chiffres : ils restent basés sur les déclarations des élèves… Stigmatiser certains établissements, ou mener uniquement une politique répressive ne permettre pas de résoudre ces problèmes de violence. Il semble urgent de réfléchir concrètement aux besoins des écoles et des parents en matière d’outils pédagogiques, et aux demandes des ados, pour intervenir en amont et tenter d’apporter des solutions. La consultation des parents Depuis la nuit des temps, les parents jouent un rôle très important voire fondamental à l’égard de leurs enfants. Ainsi veillent ils à leur éducation, subviennent ils à leurs besoins, fournissent ils des efforts louables et draconiens de sorte qu’ils grandissent dans les meilleurs conditions. Une fois, ces enfants grandis, les parents désirent qu’ils les consultent avant qu’ils prennent certaines décisions liées aux études, mariage, amis, travail….Est il nécessaire que les enfants devraient consulter leurs parents ? Les parents veulent que leurs enfants les consultent avant de prendre des décisions parce qu’ils voient utile et pratique qu’on leur demande leur avis vu qu’ils sont plus âgés qu’eux, aussi ils ont une grande expérience personnel. C’est pourquoi, leur consultation pourrait sembler très bénéfique. Per exemple, un collégien voulant poursuivre des études techniques demandant un maitrise de français, l’élève s’est senti indécis. Alors, il consulte son père qui avait déjà fait des études techniques. Celui-ci lui a servi de bon consultant. Enfin, ces parents n’agissent qu’au profit et au bonheur de leurs enfants. Or, certains enfants rejettent cette attitude en avançant qu’ils sont majeurs et mûrs, instruits et capable de se décider eux-mêmes sans consulter aucune personne plus particulièrement, si cette personne veut imposer ses propositions. En somme, la consultation des parents par les jeunes s’avère fructueuse et primordiale pour vu que les parents respectent les opinions de leurs enfants et ne se décident pas à leur place. Production écrite : Souvenirs d’enfance Ma joie ne date pas d’hier. Je vois au milieu d’une chambre peinte de couleurs bariolées, un petit garçon bercé par sa mère, un bambin qui parcourt tous les endroits, court dans tous les sens. Dans le jardin, il monte à vélo, joue avec ses condisciples des heures et des heures. Le soir, il rentre tout épuisé, las, et tellement ravi… Nous habitions une maison bordée d’un jardin dans lequel un pommier, un olivier, un bananier étaient plantés ; les yeux de ma mère ne me quittaient jamais, elle veillait tellement sur moi. J’étais tellement apprécié, aimé, adoré par les membres de ma famille. J’étais le cadet, j’avais environ 6 ans, j’étais tellement gâté par mes parents. Je me rappelle bien quand je sanglotais, tout le monde se précipitèrent pour me consoler. Ma mère me dit : « ne pleure pas. Veux-tu quelque chose ? ah ! je vois tu veux les friandises que tu désires croquer tous les jours’. Je recevais chaque jour : des cadeaux, des jouets… Mon père, souvent, me prenait par les aisselles et disait :’ce môme grandit vite, il deviendra si Dieu le veut un brave homme et sera un grand médecin. Je sentis une grande fierté qui s’empara de moi et pour montrer ma grande joie, j’esquissai de très beaux morceaux de chansonnettes que j’avais apprises à l’école. Tous les soirs, avant de m’endormir, ma mère me racontait des contes trop séduisants qui m’emmenaient à des univers imaginaires, au pays des merveilles ou le héros se mesurait à un prince. Je me rappelle bien de ces récits que j’espère moi aussi les raconter à mon tour à mes enfants. J’étais tel un prince que tout le monde aimait, qui recevait les cadeaux et les bisous. Sincèrement, je reconnaissais, je reconnais et je reconnaitrai les faveurs et les bienfaits de mes parents qui me sont chers pour toujours, qui grâce à eux je me baigne dans cette tranquillité et ce bonheur. La violence, est elle une solution efficace pour résoudre un problème Certaines personnes, pour régler leurs problèmes, leurs conflits avec les autres usent la force pour en venir au bout. La question qui se pose : ‘ En est- elle vraiment le moyen le plus fiable ? La violence est l’usage de la force dans le but de régler certains problèmes familiaux, sociaux, politiques…elle est aussi présente dans les écoles. Aux commissariats ‘les investigations et les interrogatoires’. Les personnes, les instituts ou le gouvernement qui emploient de la force disent que c’est le moyen le plus efficace. Certes, elle a des effets immédiats. Ainsi parvient-on à opprimer et à étouffer une manifestation, à faire taire des élèves turbulents…or, il s’avère face avec le passage du temps voire terrible notamment quand elle en résulte des complications dangereuses. Par exemple : les parents qui recourent à la violence pour punir leurs enfants pour des bêtises commises ; eu moment ou ils reçoivent la bastonnade, ils y renoncent. Mais bientôt ils reprennent les mêmes ‘gaffes’ .En outre, la violence aggrave et complice la situation entre les protagonistes. A titre d’exemple, le président déchu ‘MOUBARAK’, avait utilisé de la violence excessive pour étouffer la protestation pourtant la réaction était torrentielle et démesurée si bien que le président a été chuté. Un autre exemple qui témoigne de la non efficacité de la violence est le cas d’un professeur voulant corriger un élève a dû le battre devant ses élèves, l’élève a cédé aux ordres de son professeur puis il a quitté la salle mais une fois le professeur est sorti. L’élève s’est vengé en frappant à la tête avec une pierre, il s’est évanoui sur le champ… En un mot, la violence ne provoque que la violence. Elle n’a jamais été la bonne solution pour que les gens résolvent leurs problèmes et conflits. Mr CHARAFI Abderrahim chararose.e-monsite.com abdou_chara@hotmail.com 0677 84 31 42 La consultation des voyants, des guérisseurs, des fqihs De nos jours, nombreux sont les gens qui fréquentent les fqihs, les guérisseurs, les voyants, les mausolées dans le désire de se soigner ou trouver des solutions aux problèmes qu’ils affront dans leur quotidien. Les gens qui se rendent chez ces personnes pensent qu’ils possèdent un pouvoir magique et des vertus extraordinaires qui les aident à détecter les maladies et les soigner, aussi croient-ils que les voyants ont des potions et des formules magiques et prodigieuse permettant d’éloigner les problèmes et leurs patients…Ils disent qu’il y a un grand nombre de ces des malades dont la médecine. Mais, grâce à ces personnes, leurs malades et leurs maux ont disparu. D’autres pensent le contraire…ils voient que se rendre chez ces charlatans constitue un grand danger constant. D’abord, c’est irrationnel car se soigner auprès s’eux pourrait engendrer et causer des effets dangereux voire des conséquences catastrophiques au cas ou ces derniers ne posséderaient pas des connaissances scientifiques, de plus les remèdes que conseillent-ils pourraient causé la mort de ces patient si les potions ou les substances qu’elles perçoivent sont toxiques ou administrent un dosage sur dépassé. De sursoit, ils trouvent que ces personnes profitent de la peur et de besoin de leurs patient qui veulent à tout prix se soigner éliminer leurs maux, qui sont aussi préoccupés de leur avenir. Recourir auprès des fqihs, des voyants, des guérisseurs semble an vain, futile puisque les moyens ; les remèdes, les traitements, les rites organisés sont reposée sur des pratiques superstitieuses tel est le cas qui utilise des pratiques illogiques superstitieuses pour séduire sa clientèle. La preuve quand elle réduit ses maux, et elle a commence à guérir, se plaindre et conjurer. En bref, il est temps qu’on change ces mentalités superstitieuses et ces pratiques archaïques et se pencher sur des solutions, des données rationnelles basées sur le savoir et la science. Mr CHARAFI Abderrahim chararose.e-monsite.com abdou_chara@hotmail.com 0677 84 31 42 L’argent dépensé lors des fêtes Pour célébrer un événement heureux, une occasion familiale : Mariage, baptême, circoncision… Les gens organisent des fêtes. Elles sont célébrées soient en famille ou en groupe. Un grand nombre y sont conviées d’où l’obligation de préparer des mets somptueux et parfois on convoque des groupes musicaux…ect. Le degré de festivité varie ‘une famille à l’autre. Certes. Les fêtes créent une atmosphère de convivialité, d’amusement et de joie puisque des fêtes datent a des événements qui ne se produisent qu’une seule fois. En outre, les convives jacassent, se taquinent, échangent des bavardages dans une ambiance de gaieté et festivité. Mais quand les fêtes se transforment à des cérémonies ou l’argent est dilapidé a tort et à travers, qu’elles deviennent de plus un symbole de fierté, d’admiration, d’arrogance et de frime par excellence. Nous devons remettre en question ces fêtes. Mr CHARAFI Abderrahim chararose.e-monsite.com abdou_chara@hotmail.com 0677 84 31 42 Le port de l’uniforme à l’école On parle beaucoup en ce moment de la nécessité de généraliser le port de l’uniforme cette mesure peut-elle contribuer à changer le visage de l’école d’aujourd’hui ? Peut elle avoir des répercussions positives sur nitre système éducatif ? Les uns pensent que même si l’idée est ancienne, elle mérite au moins que l’on prenne la peine d’y réfléchir pour eux, l’uniforme a eu ses vertus dans le passé, il les a peut-être toujours En premier lieu ils croient que le port de l’uniforme peut être un moyen de lutter contre la violence et le racket qui minent certains établissements scolaires et qui pourrissent la vie des adolescents une violence générée par l’envie de posséder le blouson ou les baskets de marque du camarade le port d’un uniforme permettrait donc de sauver la vie d’un élève auquel on veut voler son blouson En second lieu, ils notent que la course effrénée aux marques, qui transforme les enfants en mannequins, crée des tensions au sein même des familles et des clivages entre celles qui ont les moyens d’accéder aux désirs de leur progéniture et celles qui ne les ont pas D’autres, au contraire, estiment que la proposition de réintroduire une manière dans les écoles d’aujourd’hui n’a aucune portée éducative D’abord, ils affirment que l’uniforme est synonyme de négation de l’individualité en effet, les jeunes tiennent beaucoup à la diversité de leurs tenues vestimentaires, à leurs comportements et à leur gout du détail. Par conséquence, en leur imposant la blouse ou tout autre type d’uniforme, on irait contre leurs aspirations. Par ailleurs, ils assurent que vouloir imposer l’uniforme pourrait même se révéler contre productif. Ce n’est pas en occultant des différences sociales qu’on fera disparaitre la violence. Certes, l’école est confrontée à la montée des inégalités, des incivilités et de la violence. Mais, sa responsabilité est d’apprendre aux jeunes à vivre ensemble. De faire en sorte qu’ils se retrouvent dans des valeurs communes. Autrement dit, le vrai travail doit être éducatif. Il nécessite une réflexion de fond sur les savoirs et les compétences nécessaires pour construire une culture partagée par tous. Ainsi, il parait que si on commence par nier la diversité et l’individualité des jeunes, on n’aura aucune chance de les faire adhérer à un projet pédagogique dont l’objet est, précisément, l’acceptation des différences. La grâce La grâce est la remise de peine, c’est ce pardon dont bénéficie un prisonnier provenant d’un président d’état ou d’un roi. Actuellement, dans de nombreux pays des prisonniers sont absous à l’occasion des fêtes religieuses ou nationales tel est le cas au Maroc lors des fêtes du trône, de l’indépendance ou des fêtes religieuses comme Aïd el Kabîr…les avis divergent ! Les uns pensent que c’est une mesure louable alors d’autres le dénoncent. Les opposants rejettent la grâce parce que, d’après eux, elle incite les criminels de commettre à nouveau leurs forfaits. De plus, elle crée de la Heine entre les membres de la société ainsi les familles des victimes vont-ils réclamer vengeance. D’ailleurs, ils se demandent à quoi sert de condamner un accusé s’il va profiter d’une grâce ce qui port atteinte à l’image de la justice. Or, les partisans affirment, d’une part, que la grâce accordée au prisonnier est une occasion en or pour qu’elle puisse se repentir et retrouver la liberté et d’autre part elle offre à l’incarcéré de corriger et rectifier se idées ou ses actes. En outre, la grâce a sauvé des condamnés da la mort en allégeant leur verdict. Aussi, elle permet aux prisonniers libérés de mener à nouveau une vie saine et ordinaire. La grâce demeure une opportunité de vie pour tout incarcéré, on peut citer le cas du personnage du roman « le dernier jour d’un condamné » qui avait espéré la grâce jusqu’au dernier moment de son exécution et s’il avait eu cette faveur, il aurait pu soulager ses souffrances et ses peines qu’il avait subis lors de son détention. On aurait du le gracier vu qu’il avait avoué son crime, il s’était montré digne, docile et bon ; il s’était même repenti en regrettant son acte. Pour conclure, je soutiens le fait de gracier un prisonnier mais condition que cette personne mérite d’être graciée. Mr CHARAFI Abderrahim chararose.e-monsite.com abdou_chara@hotmail.com 0677 84 31 42 Le printemps arabe : des idées Le printemps arabe est une expression utilisée pour parler des révolutions qui ont lieu dans le monde depuis Décembre 2012. Le printemps est la saison du réveil de la nature ; c’est justement parce que ces révolutions ont pour ut un réveil, qu’on les compare au printemps. Après des années de souffrance, des milliers de personnes osent s’opposer aux dirigeants autoritaires pour réclamer plus de liberté et de meilleures conditions de vie. De nombreux citoyens protestent dans les rues contre la vie chère et le chômage, et réclament un changement. Leurs révoltes ont mené au départ du dictateur tunisien Ben Ali et du tyran égyptien Hosni Moubarak, ainsi qu’à la mort humiliante et honteuse du dictateur libyen Maamar Elkeddafi. Outre le départ des dictateurs et l’instauration d’une démocratie, les manifestants exigent un partage des richesses qui leur assure de meilleures conditions de vie, des emplois et la dignité. Lutter contre la corruption. Réclamer du travail et la baisse des prix des aliments. Les conditions de vie sont devenues difficiles : pas de travail et pas de droits de s’exprimer librement. La situation s’aggrave de jour en jour. Parmi les revendications des marocains : changement de la constitution et la libération des détenus politiques. Mais qu’avons-nous présenté à notre pays en contrepartie de ce que nous demandons ? Disons ce que nous faisons de notre journée ! Passer la majorité du temps devant facebook et les sites de Chat et soudainement nous nous réveillons pour réclamer un changement. Le changement du pays commence par celui de l’individu lui-même. Dieu ne change les conditions d’un peuple jusqu’à ce qu’ils changement eux-mêmes. On ne doit pas critiquer l’eau polluée tant qu’on y crache. La destruction des biens de l’état ne peut pas être justifiée par « la réclamation des droits » : changer ne veut pas dire « détruire ». La violence n’était jamais une solution pour le changement. La question qu’on doit se poser : quel est l’avenir des pays arabes après l’élimination de leurs présidents : sera-t-il un développement ou une vraie corruption ? En tant que jeunes qu’avons-nous faits pour participer à l’évolution de nos nations et nos chers pays ? Soyons patients le Maroc est sur une bonne lancée, mais en retroussant nos manches, car la grande volonté du roi seule ne suffira pas, il faut que tout le monde fasse son possible et chacun à son niveau pour faire avancer les choses. Il est trop facile de critiquer, trop facile de se plaindre de la corruption alors qu’on préfère donner 50dh au policier car les 400dh de la contravention (souvent méritée) sont trop chers…etc. Soyons honnêtes envers nous même. Mr CHARAFI Abderrahim chararose.e-monsite.com abdou_chara@hotmail.com 0677 84 31 42 Pourquoi les jeunes refusent-ils toute forme d’autorité ? Les revendications des jeunes se résument aux droits à la liberté et à la justice. Etant donné ceci, on peut déduire que les jeunes n’acceptent aucune forme d’autorité qui risque de leur mettre des « menottes » et les empêcher de se comporter en toute liberté. Alors, pourquoi les jeunes refusent-ils toute forme de commandement ? Tout d’abord, les jeunes, de nature, n’acceptent pas d’être opprimés, ils ne veulent pas obéir aux ordres et n’aiment guerre les jugements des adultes. Je cite comme exemple que les jeunes détestent entendre : « ne t’habille pas comme cela », « fais ceci ». Ils rejettent toutes les limites imposées par leurs familles. En outre ; les jeunes considèrent les lois comme moyen d’esclavage et de discrimination sociale. Ils n’ont pas participé à la formulation de cas lois et ne croient pas qu’elles leur conviennent. Ils refusent l’autorité judiciaire et la hiérarchie dans notre société. Passons aux loisirs, les jeunes adorent se promener en toute liberté, alors, ils refusent le respect exagéré des valeurs, imposé par leur communauté. Un jeune n’aime pas qu’on lui dise : »ne reviens pas à minuit, sais-tu ce que les voisins diront ? » et la liste est bien longue. En guise de conclusion, les raisons qui poussent les jeunes à refuser toute forme d’autorité sont nombreuses, mais le manque de maturité des jeunes joue aussi un rôle puisque ces autorités sont souvent pour leur bien. Mr CHARAFI Abderrahim chararose.e-monsite.com abdou_chara@hotmail.com 0677 84 31 42 L’internet Personne ne peut nier l’importance de l’internet dans la vie de chacun de nous. Pourtant, certains parents et éducateurs le considèrent comme un danger qui menace notre société. Faut ‘il donc dissuader les gens de l’utiliser ou les y encourager ? Tout d’abord, l’internet est devenue pour certains une obsession ou une drogue, beaucoup d’entre eux passe leur temps d’un site à un autre sans objectif précis. Ajoutons à cela ses lisent pratiquement plus, il est devenu la solution de tous leurs problèmes. Par ailleurs, les internautes ont, au bout de quelques temps, des douleurs dans le dos et des problèmes de vue puisqu’ils restent plantés pendant plusieurs temps devant l’ordinateur. Ces accusations sont fondées : mais il ne faut pas oublier les points forts de l’internet. De prime à bord, ce phénomène social constitue une source d’information inestimable, on peut l’utiliser dans le but d’améliorer le niveau des élèves qui ont des problèmes à l’école. Ensuite, il permet la communication entre les gens sans dépenser beaucoup d’argent. Il favorise le dialogue entre les cultures. Bref, le monde devient un petit village. De plus l’internet joue un rôle économique non négligeable, il est un espace pour la publicité pour les entreprises. Enfin, les chômeurs peuvent trouver des emplois qui les conviennent en publiant leurs demandes d’emploi dans un site spécialisé. Au bout du compte, je pense que l’internet est une invention bénéfique, un facteur d’agrément et d’enrichissement de la vie humaine mais pou dépasser ses méfaits, il faut éduquer les gens de bien utiliser cette nouvelle technologie. Mr CHARAFI Abderrahim chararose.e-monsite.com abdou_chara@hotmail.com 0677 84 31 42 Le rôle social de l’école |