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Sir William BARRETT Professeur à l’Université de Dublin Membre de la Société Royale ____________________ Au Seuil de l’Invisible Centre Spirite Lyonnais Allan Kardec http://spirite.free.fr TABLE DES MATIERES PREFACE DE L’AUTEUR 7 Pour l’édition Française 7 Pour l’édition Anglaise 9 PREMIERE PARTIE 13 Chapitre premier 13 Chapitre II 18 Chapitre III 21 DEUXIEME PARTIE 25 Chapitre IV 25 Chapitre V 30 Chapitre VI 36 Chapitre VII 40 TROISIEME PARTIE 45 Chapitre VIII 45 Chapitre IX 48 Chapitre X 53 Chapitre XI 56 QUATRIEME PARTIE 61 Chapitre XII 61 Chapitre XIII 68 Chapitre XIV 73 Chapitre XV 78 Chapitre XVI 84 Chapitre XVII 90 CINQUIEME PARTIE 95 Chapitre XVIII 95 Chapitre XIX 99 Chapitre XX 102 SIXIEME PARTIE 107 Chapitre XXI 107 Chapitre XXII 111 Chapitre XXIII 113 Chapitre XXIV 116 APPENDICE A 119 LA SUPERSTITION ET LE SURNATUREL 119 APPENDICE B 122 NOTE DU PROFESSEUR BALFOUR STEWART 122 APPENDICE C 124 EUSAPIA PALADINO 124 APPENDICE D 127 CONSEILS AUX EXPERIMENTATEURS 127 Dédicace A la chère mémoire de celle dont la foi radieuse obtint « l’assurance des choses espérées », sans avoir besoin de la preuve de l’invisible que ce livre donnera peut être à quelques âmes affligées, à tous les chercheurs de la vérité. Avertissement Sir William Fletcher Barrett est un des physiciens les plus distingués de l’Angleterre. Ancien assistant du célèbre professeur Tyndall, il fut nommé maître de conférences à l’Ecole d’architecture navale, puis professeur de physique au Collège royal de science, à Dublin, où il enseigna pendant trente sept ans, de 1873 à 1910. Il fut fait chevalier en 1912 et appartient à la Société royale de Londres, qui est comme notre Institut de France. Ses travaux portent principalement sur les flammes sensibles, la recalescence, les propriétés magnétiques du nickel et des alliages de fer. Il a en outre écrit quelques livres didactiques. Mais de bonne heure, le jeune physicien avait été attiré par les phénomènes de l’hypnotisme. Les expériences de la Société Dialectique, auxquelles fut invité Tyndall, l’exemple prestigieux de Wallace et de Crookes passionnaient alors les savants. En 1876, William Barrett fit une communication à l’Association britannique sur « Les conditions anormales de l’esprit ». En 1882, il contribua à fonder la Société des recherches psychiques, dont il prit la présidence, après Olivier Lodge, quelques années plus tard. Il participa aux grandes expériences qui furent faites, dès le début, sur la transmission de pensée. En 1897, il se livra à des investigations sur la baguette des sourciers. Elles furent l’objet d’une importante monographie qui est encore peut être l’ouvrage le plus complet sur la question. Il y joignit en 1905-07 des recherches sur la vision entoptique. Les nombreuses expériences de toute nature qu’il avait faites avec les médiums physiques ou intellectuels l’amenèrent à résumer ses impressions dans un libre qu’il appela : Au seuil d’un nouveau monde de pensée. Puis il publia successivement des études sur la Pensée créatrice, sur Swedenborg, sur la Recherche psychique. Enfin, vers la fin de la guerre, il refondit son premier travail qui devint le présent ouvrage. Un demi-siècle d’expérience y est enfermé. A ce titre, sur place était marquée dans notre collection. Barrett est un homme qui connaît admirablement son sujet parce qu’il n’a cessé de l’étudier dans toutes ses manifestations et d’y réfléchir. Il l’a fait avec la même indépendance d’esprit qu’un Charles Richet en France, avec plus de facilité toutefois, parce que l’Angleterre ne connaît pas le « hideux sourire » du vieil Arouet. Il s’est donc parfaitement rendu compte que la nouvelle science devait constituer à son usage des méthodes particulières et non les emprunter aux autres sciences, notamment aux sciences physiques. Il y avait d’autant plus de mérite à faire cette distinction que Barrett était physicien, par conséquent habitué à vivre dans un monde de pensée où règnent des lois inexorables et simples. Or la science psychique relève de l’esprit et, quoiqu’en pensent certains psychologues, l’esprit n’a jamais connu de loi inflexible. Mais il n’empêche qu’elle présente des faits, comme la chimie, et que les règles d’observation des faits sont à peu près communes à toutes les sciences. Un homme habitué à mesurer les longueurs d’onde au spectroscope ou à comparer des précipités dans des tubes à essai, sera encore mieux préparé qu’un psychologue à constater un mouvement à distance ou une matérialisation. En tout cas, il se trouve placé dans les conditions réclamées par Auguste Comte qui ne voulait pas qu’on s’occupât de prime abord des phénomènes compliqués avant d’avoir appris à connaître par l’étude des phénomènes les plus simples, « ce que c’est qu’observer ». Sir William Barrett, comme Crookes, comme Lodge, nous donne donc par sa formation scientifique, toutes les garanties que les sceptiques sont en droit de réclamer en une matière si étrange et qui bouleverse notre conception moderne de la nature. Nous insistons sur ce point pour répondre à l’objection, si naïve et inconsistante, de ceux qui parlent de « préjugés affectifs » comme étant susceptibles de vicier l’observation. La foi de Pasteur n’a pas porté atteinte à ses admirables découvertes. De même la foi religieuse de Barrett, dont on trouvera tant d’attestations le long de ces pages, n’enlève rien à la rigueur de ses recherches physiques ou psychiques. Nous ne sommes pas habitués, il est vrai, à voir la théologie biblique et la haute poésie entrer dans un ouvrage de science. Mais il ne faut pas oublier que les faits incontestables de la science psychique, en posant le problème de la survivance, rejoignent à la limite, les affirmations des religions et des philosophies spiritualistes. C’est le droit de tout psychiste croyant de trouver dans la révélation, par exemple, la confirmation d’une hypothèse qu’il induit des faits. De plus, il faut que le lecteur français, façonné par deux siècles d’agnosticisme, sache que les esprits continuent à subir en Angleterre, une discipline religieuse d’ailleurs extrêmement libérale mais qui imprime, à leur pensée comme à leur conduite, une marque caractéristique. « L’Anglais éprouve naturellement le sentiment de l’au delà, dit Taine. Pour lui, au delà de l’expérience humaine, si indéfiniment prolongée qu’on la suppose, il y a un abîme ; un grand je ne sais quoi, ténèbres et lumières ; là dessus les sectateurs les plus décidés de la pure expérience sont d’accord avec les croyants.. » En lisant ce livre d’une inspiration si élevée, le lecteur français devra rester convaincu que les sentiments de l’auteur touchant la vie future et les traditions chrétiennes en laissent intacte toute la vérité expérimentales. Ce n’est pas une œuvre d’apologétique mais une œuvre de science positive que nous avons fait entrer dans la Bibliothèque internationale. René SUDRE |
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