Mémorandum adressé au Conseil de Sécurité des Nations Unies








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7. 3 Qui veut la paix prépare la guerre!
Un document intitulé «Recrutement de renforcement» (REF/560/JL/206) témoigne de cette mauvaise passe traversée par le FPR. Voici la révélation qu'on peut lire dans cette note : «Suite à la résistance continue et inattendue des forces gouvernementales et des miliciens, UPDF doit être sollicité pour un renforcement, surtout pour les militaires en service qui veulent se porter volontaires d'autant que le package de rémunération est stipulé dans une réunion dont (REF/567/RPA/RW). La 4ème division est pressentie pour jouer un rôle important avec beaucoup de réserves qui cherchent à se joindre au combat, ce qui est un signe de fraternité. La 14ème recevra une liste des personnes pressenties, la logistique nécessaire et un rapport sera fait à ce sujet par le Col. James Kazini, Elly Tumwine, et David Tinyefuza. Copie pour information sera adressée à la délégation RPA Arusha, Maison Blanche de Nakasero » [Preuve n°063].



    1. Juvénal Habyarimana convié au Sommet de la mort !


Face à l'échec de plusieurs tentatives d'assassinat contre le Président Habyarimana à l'intérieur du Rwanda et devant la menace de plus en plus consistante d'une union sacrée entre l'opposition et la mouvance présidentielle, une situation qui aurait isolé le FPR, les alliés de celui-ci ont dû voler à son secours à travers l'organisation d'un sommet «improvisé» en Tanzanie. Ce sommet ne visait rien d’autre que de piéger le Président rwandais en s'assurant de l’heure exacte de son retour au Rwanda et d'abattre son avion avec des missiles à longue portée. Ces missiles avaient été importés de l’ancienne URSS par l’Ouganda d’où ils ont ensuite été frauduleusement entrés à l’intérieur du Rwanda avec la complicité de la MINUAR et la bénédiction des Etats-Unis et du Royaume-Uni.
Trois jours avant le Sommet de Dar es Salaam, une réunion de mise au point quant aux derniers préparatifs de l’assassinat du Président Habyarimana a eu lieu au camp militaire de Mwenge, à quelques kilomètres du centre ville de Dar es Salaam. Au même moment, les éléments du FPR et de la MINUAR chargés d’abattre l’avion présidentiel parachevaient leur entraînement au lance-missile dans le Nord de l’Ouganda, à Naguru. Leurs instructeurs étaient bien entendu des Russes car ces missiles étaient de fabrication soviétique [Preuve n°064]. Les Russes connaissaient donc parfaitement les missiles en question dont ils étaient par ailleurs les vendeurs directs à l’Ouganda. D’après l’enquête du juge Jean-Louis Bruguière*, le Parquet Militaire russe  lui a confirmé que les deux missiles, dont les références ont été relevées par Augustin Munyaneza, «faisaient partie d'une commande de 40 missiles SA 16 IGLA livrés à l'Ouganda dans le cadre d'un marché interétatique ».
Parmi les conclusions de la dernière réunion du complot ourdi contre le président rwandais, on peut noter la mise au point des stratégies de manipulation de l’opinion internationale au sujet des auteurs de l’attentat terroriste. Outre les mass médias manipulés pour faire converger les responsabilités de l’attentat sur le camp des extrémistes Hutu, le président Nyerere entre autres, fut désigné par la réunion pour mentir à l’opinion publique. Quant à Museveni et Kagame, ils avaient, au préalable et à travers une propagande d’incitation à la haine et à l'extermination des Tutsi, préparé les esprits au déchaînement de la violence que l’attentat n'allait pas manquer de déclencher.



    1. La France prise au piège


Le 10 juillet 2007, le président Paul Kagame a déclaré qu'une nouvelle enquête devait être menée sur l’implication éventuelle de hauts responsables français dans le génocide rwandais de 1994. Le général Kagame mettait les autorités françaises au défi d'étudier les documents qui venaient d’être publiés par Gérard Davet et Piotr Smolar dans le quotidien « Le Monde » du 24 décembre 2006. Ces documents déclassifiés et datés du 26 janvier 1993 au 7 décembre 1995 tendent en effet à montrer que les services du Président François Mitterrand avaient eu connaissance des préparatifs du génocide au cours duquel 800.000 personnes ont été tuées en 100 jours. Rappelant qu'une précédente enquête avait totalement blanchi l'action de la France au Rwanda, Paul Kagame n’a pas manqué d’observer : «Et voici maintenant des faits qui disent, -Non, vous n'êtes pas innocents finalement-, ne pensez-vous pas que ces gens (les enquêteurs) devraient se dire, -peut-être qu'il y a quelque chose que nous ignorions- ? ».
La France est ainsi placée continuellement en position de bouc émissaire idéal dans le drame rwandais. Elle avait pourtant déjà retiré ses forces du Rwanda bien avant l'attentat du 06 avril 1994. Mais il lui est toujours reproché ses coupables accointances avec un régime génocidaire! On lui rappelle sans cesse son opération «Turquoise», la seule action, bien que tardive, menée au nom de la Communauté internationale pour tenter de sauver des vies au Rwanda à feu et à sang. On la critique surtout pour n'avoir pas présenté ses excuses comme l'ONU, les Etats-Unis et la Belgique alors que le Royaume-Uni n'en a pas fait davantage. On lui reproche en somme d'avoir été du mauvais côté, celui des vaincus. Mais que savent donc exactement les services français et pourquoi la France tient-elle tant à garder le secret ? Afin probablement de préserver ses relations avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni face auxquels le Rwanda apparaît comme un détail somme toute négligeable.
Toujours est-il qu’on devra désormais se pencher sur les vainqueurs dont les responsabilités pourraient se révéler plus lourdes encore que celles des vaincus. L'ONU aura-t-elle le courage salutaire de rouvrir ses dossiers?


8. L'attentat du 06 avril 1994 ouvre la boîte de Pandore
A moins d'une enquête sérieuse pour en déterminer les auteurs et les poursuivre en justice, le ''mystère'' de l'attentat du 06 avril 1994 planera toujours sur la crédibilité des Nations Unies et hypothèquera encore pour longtemps les chances d'une réconciliation authentique au Rwanda.

Quel fut l'impact politique de la mort du Président Habyarimana sur la suite des événements? Quelles furent les circonstances réelles de cette mort? Pourrait-on comprendre la mécanique du génocide de 1994 sans élucider l'attentat du 06 avril 1994? Pourquoi l'ONU tente-t-elle de faire l'impasse sur un événement qu'elle considère pourtant elle-même comme l'élément déclencheur du génocide?
Premier Procureur du TPIR (1994-1996), le Sud-africain Richard Goldstone a affirmé en décembre 2006 au quotidien danois Berlingske Tidende que l'attentat commis le 6 avril 1994 contre l'avion du président rwandais Juvénal Habyarimana rentre bien dans le mandat de ce tribunal. Il réagissait ainsi à la publication en novembre 2006 par le juge français Jean-Louis Bruguière de son rapport qui a désigné l'actuel chef de l'état rwandais Paul Kagame comme le principal responsable de l'attentat et appelé le TPIR à se saisir de l'affaire. Le porte-parole du TPIR, le britannique Everard O'Donnell, a cependant, déclaré peu après que cet attentat n'était pas de la compétence du tribunal.
Richard Goldstone s'est pourtant montré précis en affirmant au quotidien danois : «Je ne comprends pas cela. C'est clairement lié au génocide». « Tous comptes faits, cela a été l'élément déclencheur du génocide et il aurait été très, très important d'un point de vue juridique et du point de vue des victimes, de tirer cela au clair », concluait le magistrat sud-africain. Et l'ancien conseiller juridique en chef au TPIR, le professeur danois Frederik Harhoff, de renchérir en répondant au même journal : «Il est clairement écrit dans le mandat du tribunal qu'il est compétent pour connaître des crimes commis au Rwanda par des citoyens rwandais du 1er janvier au 31 décembre 1994». Enfin, Michael Hourigan, l'ancien enquêteur australien du Bureau du Procureur du TPIR qui, lui aussi, avait mené une enquête sur l'attentat et qui s'était vu interdire par le successeur de Richard Goldstone, la canadienne Louise Arbour, va encore plus loin : « La seule fois où le procureur a dit que cela n'était pas dans son mandat, c'est lorsque j'ai impliqué Kagame ». Hourigan estime enfin que c'est comme si l'on prétendait enquêter sur l'attentat du 11 septembre 2001 sur le World Trade Center aux USA sans faire d'investigations sur al-Qaeda.
Prédécesseur du Procureur actuel Hassan Jallow, Madame Carla Del Ponte avait affirmé au journal danois Aktuelt en date du 17 avril 2000, que s'il était prouvé que l'attentat du 06 avril 1994 a été perpétré par le Front patriotique rwandais, l'histoire du génocide serait à réécrire. Mais le gouvernement rwandais, à travers un communiqué de son délégué au TPIR Aloys Mutabingwa, a balayé les suppositions de Carla Del Ponte en affirmant que les auteurs de l'attentat du 6 avril 1994 sont un «peloton de militaires français qui travaillait main dans la main avec les propres soldats de Habyarimana».
En tout état de cause, pourquoi l’ONU s’est-elle contentée d’investigations tronquées sur un sujet d’une aussi grande importance qu’un génocide? On le comprendra après lecture attentive du présent Mémorandum qui a pour ambition d’exposer brièvement les résultats de nos propres investigations et de demander l’ouverture d’une enquête globale, objective et impartiale sur le génocide rwandais, un génocide qui, pour nous, relève de la responsabilité des Nations Unies. En effet, au moins deux des membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU à savoir les Etats-Unis d’Amérique et le Royaume-Uni ont, consciemment ou non, joué un rôle très actif dans la conception, la planification et l'exécution de ce génocide qui est, comme nous le prouvons dans ce document, signé Yoweri Kaguta Museveni, Président de l’Ouganda, Commandant suprême de la National Resistance Army (NRA) devenue UPDF et son allié de toujours Paul Kagame, aujourd'hui Président du Rwanda et Commandant suprême de l’Armée patriotique rwandaise(APR) devenue RDF. La déclaration de l'ancien Secrétaire Général de l'ONU M. Boutros Boutros Ghali selon lequel «le génocide rwandais est à 100% de responsabilité américaine» n'aurait dû laisser personne indifférent. Quand un si haut responsable politique sort ainsi de sa réserve, c'est qu'il y a anguille sous roche.
A propos de la responsabilité américaine, le chercheur ougandais Mahmood Mamdani35 de la prestigieuse Columbia University in New York, disait aussi : «What the humanitarian intervention lobby fails to see is that the US did intervene in Rwanda, through a proxy. That proxy was the RPF, backed up by entire units from the Uganda Army. The green light was given to the RPF, whose commanding officer, Paul Kagame, had recently returned from training in the US, just as it was lately given to the Ethiopian army in Somalia. Instead of using its resources and influence to bring about a political solution to the civil war, and then strengthen it, the US signaled to one of the parties that it could pursue victory with impunity. This unilateralism was part of what led to the disaster, and that is the real lesson of Rwanda. Applied to Darfur and Sudan, it is sobering. It means recognizing that Darfur is not yet another Rwanda. Nurturing hopes of an external military intervention among those in the insurgency who aspire to victory and reinforcing the fears of those in the counter-insurgency who see it as a prelude to defeat are precisely the ways to ensure that it becomes a Rwanda. Strengthening those on both sides who stand for a political settlement to the civil war is the only realistic approach. Solidarity, not intervention, is what will bring peace to Darfur».


9.  Enquête tronquée sur le génocide rwandais
Sous l'étroite surveillance américaine notamment, l'enquête sur le génocide rwandais se limitera à un seul belligérant et donc aux effets dont les causes doivent être recherchées du côté de l'autre belligérant en l'occurrence le FPR, lui-même agissant avec la bénédiction du véritable agresseur à savoir l'Ouganda de Museveni. L'enquête a été détournée pour permettre au FPR d'exécuter impunément l'extermination des Hutu dont la planification ne fait désormais aucun doute. Bien que sous des formes encore plus sournoises, ce génocide continue sous nos yeux et a toutes les chances de se poursuivre encore longtemps tant que le FPR et ses alliés ne seront pas amenés à faire face à leurs lourdes responsabilités. Ce détournement d'enquête se poursuit à travers des procès politiques qui consistent souvent à pousser des accusés à faire des aveux en échange d'une hypothétique libération dans la mesure où celle-ci est loin de leur garantir une sécurité durable. Ceux qui n'ont rien à se reprocher et qui, de ce fait, se refusent à des aveux assistés, continuent de croupir en prison malgré le vide scandaleux de leur dossier ou carrément l'inexistence de celui-ci. Par de telles pratiques, le FPR et ses protecteurs entendent mentir par omission en prétendant que les Hutu avaient soigneusement planifié le génocide des Tutsi. Nous croyons, pour notre part, avoir largement prouvé que le génocide des Tutsi du Rwanda s'inscrit bien dans un plan criminel plus global. Un plan fomenté et co-exécuté par ceux-là mêmes qui, manifestement, tentent toujours de couvrir et/ou de minimiser leurs propres forfaits.


9.1 La stratégie de la tension par l'incitation aux violences comme une arme redoutable
On le voit assez bien, l'incitation intentionnelle à la haine contre les Tutsi et finalement à leur extermination par les radicaux Hutu obéissait à une stratégie d'exploitation des frustrations des Hutu face au risque de plus en plus réel de la conquête du pouvoir par le FPR (donc par les Tutsi) et par la force des armes. Ce précédent historique a été minutieusement monté par le duo Museveni-Kagame pour extirper à la racine tout risque de démocratisation du Rwanda. En fin de compte et tout comme les Tutsi, les Hutu du Rwanda sans oublier les Twa, du Nord au Sud et  de l’Est à l’Ouest du Rwanda, auront tous été victimes d’une seule et unique tragédie dont ils devraient être considérés comme les rescapés pour autant que les mots ''justice'' et ''honnêteté'' aient encore un sens. C’est par là même que l’article 14 de la constitution rwandaise justifie « un véritable génocide rwandais » commis du 1er octobre 1990 au 31 décembre 1994. Peu importe l’exécuteur, la planification de ce drame reste essentiellement l’œuvre d’un chef d'Etat bien connu en l'occurrence l'ougandais Yoweri Kaguta Museveni. Dans la préparation des esprits, la fin poursuivie par lui détermine les voies et moyens, c’est-à-dire les stratégies que tout acteur, collectif ou individuel, met en œuvre implicitement et/ou explicitement sur un horizon à court, moyen et long terme. La fin poursuivie par ce dernier dans son agression contre le Rwanda puis dans sa guerre de «libération régionale» qu’il a poursuivie en RDC justifie dès lors les moyens immenses mis en œuvre par lui en vue d'atteindre ses objectifs dont celui ultime de l’érection en Afrique d’un grand empire nilotique en passant au besoin par l'extermination des Hutu et d’autres groupes réputés opposés à son plan au Congo, au Burundi et Tanzanie et au Kenya. Non pas que les extrémistes Hutu qui, méthodiquement et presque dans la fête, se sont livrés à l'extermination des Tutsi et des Hutu modérés entre avril et juillet 1994 soient innocents. Il nous semblait néanmoins indispensable et légitime de clarifier l'impact réel des choix politiques, tactiques et stratégiques du FPR et de ses parrains tant sur le plan du déclenchement du génocide que sur celui de son accomplissement.

9.2 Un sacrifice prémédité
Le sacrifice des Tutsi de l'intérieur a été prémédité et conçu pour justifier le choix d’une solution militaire inévitable et dissimuler le rejet d’une solution politique négociée et le traité de paix. Pour Kagame et ses supporters, la révolution sociale de 1959 qui a aboli la monarchie pour instaurer la république a coïncidé  avec le génocide des Tutsi. C’est dans ce contexte que l’on pourrait expliquer la haine réputée « séculaire » entre les Hutu et les Tutsi, une haine sans cesse alimentée, attisée et surtout instrumentalisée par des politiciens en panne d’arguments. En déclenchant la guerre, Kagame et les siens entendaient-ils aussi se venger contre ces Hutu supposés les avoir condamnés à l’exil ?
S’agissant des Tutsi de l’intérieur plus précisément, Kagame et certains de ses proches collaborateurs les ont de tout temps qualifiés de  « traîtres » en les accusant de complicité avec le régime hutu qu’ils n’avaient pas fui. S'il est légitime de douter de l’intention de Kagame de « libérer » ces Tutsi de l’intérieur, il est clair par contre qu’en les mettant habilement en scène dans le contexte de rivalités politiques et ethniques assez complexes, Kagame a eu beau jeu de se présenter comme un sauveur. On a affaire ici à une stratégie politique et militaire particulièrement cynique. Il est sans doute difficile de l’admettre, mais tant les Tutsi que les Hutu de l’intérieur ont été manipulés avec succès par le FPR. Le FPR, faut-il le préciser, a d’abord manipulé le gros des réfugiés Tutsi dont trente ans d’exil avaient considérablement réduit la marge de manœuvre.
Il reste que, dans une certaine mesure, Kagame lui-même n’aura été qu’un pion au service d’intérêts géopolitiques et géostratégiques qui le dépassent très largement et l’intègrent dans une stratégie globale des puissances qui s’affrontent mutuellement pour contrôler les ressources de l’Afrique par Tutsi/Nilotiques et Hutu/Bantous interposés. Cela ressemble étrangement au conflit quasi éternel entre Arabes et  Israéliens, un conflit sous contrôle des Etats-Unis qui, sous le prétexte de protéger Israël, n'en défend pas moins ses immenses intérêts géostratégiques dans la région du proche Orient. Force est de constater en outre que ce projet d’une « guerre de libération régionale » n’a jamais été porté à la connaissance de l’opinion publique. Aux réfugiés Tutsi on a fait miroiter le retour tant attendu au bercail tandis qu’aux opposants au régime Habyarimana on a facilement vendu un discours très démocratique en phase avec leurs aspirations du moment.
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