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http://www.coe.int/t/dghl/monitoring/socialcharter/Theme%20factsheets/FactsheetChildren_fr.pdf Tous les jours, dans le monde, des enfants sont : exploités, violés, battus, ne mangent pas à leur faim, ne vont pas à l’école, travaillent se droguent, fument. Jour et nuit, certains travaillent dans des conditions dures pour peu d’argent. C’est pour éviter cela qu’a été créée la convention des droits de l’enfant. Le samedi 20 novembre 1999, nous avons participé à un forum à l’occasion du 10ème anniversaire de la convention. http://www.bice.org/fr/actions-de-terra in-du-bice/domaines-action-bice/enfants-travailleurs.html?gclid=CKO8xMDy_MICFZLLtAodlUIAIw Le contexte Le combat pour les droits des enfants est historiquement associé à la question du travail. Aujourd’hui, les normes internationales tracent une ligne claire entre les formes de travail des enfants qui sont acceptables et celles qui nuisent gravement à la santé, à la sécurité ou à la moralité de l’enfant, et qui doivent être éradiquées. A ce jour, ces pires formes de travail touchent encore 115 millions d’enfants dans le monde. Si globalement, le nombre de filles effectuant des travaux dangereux a baissé de 15 % entre 2004 et 2008, dans cette même période, il augmentait de 7% chez les garçons. Une différence qui se creuse avec l’âge. Les garçons de 15 à 17 ans sont deux fois plus nombreux que les filles à effectuer des travaux à risques. ![]() Le BICE agitLe BICE condamne fermement les délits que constituent les pires formes de travail des enfants. Ces activités doivent être éradiquées et leurs instigateurs poursuivis. C’est le respect des droits essentiels de l’enfant que nous défendons sur tous les continents, notamment en aidant les jeunes travailleurs eux-mêmes à s’organiser pour promouvoir et défendre leurs droits. De plus, pour lutter contre l'exploitation des milliers des enfants et des jeunes travailleurs, notre association, en partenariat avec les agences de protection de l’enfance, veille au respect des conventions de l’Organisation International du Travail concernant l’âge minimum et les pires formes de travail. http://www.humanium.org/fr/travail-des-enfants/ Travail des EnfantsLe travail des enfants dans le mondeAujourd’hui, près de 250 millions d’enfants travaillent dans le monde, dont plus de 150 millions dans des conditions dangereuses. Par ailleurs, chaque année, plus d’1 million de ces enfants seraient victimes de la traite d’êtres humains. Définition du travail des enfantsLe travail des enfants fait référence à tout travail ou activité qui les prive de leur enfance. En effet, ce sont des activités qui portent préjudice à la santé physique et mentale des enfants et qui entravent leur bon développement. Le travail des enfants comprend: ![]() ![]() ![]() Certaines activités ne sont pas considérées comme du travail ou de l’exploitation. Les activités qui consistent simplement à aider les parents dans l’accomplissement des tâches familiales quotidiennes, auxquelles les enfants peuvent consacrer quelques heures par semaine et qui leur permettent de gagner un peu d’argent de poche, ne sont pas considérées comme de l’exploitation infantile, car elle ne contreviennent pas à leur bien être. Les effets négatifs du travail des enfants![]() Ces enfants, issus de milieux défavorisés, de groupes minoritaires, ou enlevés de leur famille, ne bénéficient d’aucune protection. Les employeurs font le nécessaire pour les rendre complètement invisibles et de pouvoir ainsi disposer d’un contrôle absolu sur eux. Ces enfants travaillent dans des conditions avilissantes, bafouant tous les principes et droits fondamentaux reposant sur la nature humaine. Par ailleurs, un enfant qui travaille ne pourra pas suivre une scolarité normale et sera voué à devenir un adulte analphabète n’ayant aucune possibilité d’évoluer dans sa vie professionnelle et sociale. ![]() De surcroît, un enfant qui travaille sera davantage exposé à la maltraitance. Ces enfants sont très souvent victimes de violences physiques, mentales, et sexuelles. http://www.humanium.org/fr/convention/ http://www.konbini.com/fr/tendances-2/serie-photo-travail-enfants-bangladesh/ http://www.humanium.org/fr/travail-des-enfants/ http://blogs.mediapart.fr/blog/ben/051214/angels-hell-un-photographe-capture-le-travail-des-enfants-au-bangladesh La série Angels in hell du photographe GMB Akash, qui a capturé des images saisissantes et très fortes dénonçant le travail des enfants au Bangladesh. Des photographies révoltantes qui laissent sans voix, dévoilant les conditions de travail très dures des enfants, envoyés dans les usines à partir de 5 ans pour un salaire de misère… Selon l’UNICEF, plus de 7,4 millions d’enfants sont engagés dans l’activité économique au Bangladesh. Le photographe Bengali GMB Akash, qui a déjà remporté plus de 68 récompenses internationales pour son travail, vient de remporter pour cette série le grand prix décerné par les Neutral Density Photography Awards 2014. http://www.unicef.org/french/education/bangladesh_71830.html Découvrir pourquoi, au Bangladesh, les enfants arrêtent d’apprendreCette année – qui marque le vingt-cinquième anniversaire de la Convention relative aux droits de l’enfant (CDE) – l’UNICEF lance un défi au monde entier, celui de penser différemment la façon d’apporter des changements pour les enfants de la planète les plus isolés et les plus vulnérables. La célébration par l’UNICEF de la CDE démarrera le 30 janvier avec la publication de « La Situation des enfants dans le monde 2014 en chiffres ». Cette publication phare est la principale source de données et d’informations sur le bien-être des enfants dans le monde entier. À partir de 2014, les tableaux statistiques normalisés seront publiés une fois par an au mois de janvier, suivis, en novembre, d’un rapport descriptif pour célébrer la date d’adoption de la CDE. Les données statistiques ne changent pas le monde à elles seules mais elles rendent les changements possibles en apportant des éléments factuels favorisant l’action, les investissements et la prise de responsabilité. Les taux d’abandon scolaire au Bangladesh figurent parmi les plus élevés du monde et il est indispensable de bien comprendre les raisons pour lesquelles les enfants quittent l’école pour les y faire retourner.
DHAKA, Bangladesh, 28 janvier 2014 – Jibon est âgé de 12 ans et travaille sur un marché aux poissons de Dhaka, la capitale du Bangladesh. Il vit seul avec sa mère qui est employée dans une fabrique de vêtements. Le peu d’argent que gagne Jibon est indispensable à la survie de sa famille. À cause de cela, Jibon a abandonné l’école au bout de seulement la seconde année. En toute probabilité, il n’aura plus jamais l’occasion d’y retourner. « Je n’ai pas de père. Ma mère doit travailler mais son revenu n’est pas suffisant pour me permettre d’aller à l’école, dit Jibon. Oui, je veux aller à l’école mais je ne peux pas parce que nous n’avons pas assez d’argent. » Jibon connaît le même sort que des millions d’enfants en Asie du Sud. Selon une récente étude sur les enfants non scolarisés publiée par l’UNICEF et l’Institut de statistique de l’UNESCO dans le cadre de l’Initiative mondiale en faveur des enfants non scolarisés, 17 millions d’enfants en âge de fréquenter l’école primaire et 9,9 millions d’enfants en âge de fréquenter le premier cycle de l’enseignement secondaire ne sont pas scolarisés au Bangladesh, en Inde, au Pakistan et au Sri Lanka ; ceci place l’Asie du Sud au second rang parmi les régions du monde ayant le plus grand nombre d’enfants non scolarisés. Meilleures données, meilleure politique La pauvreté, l’appartenance sexuelle, les normes socioculturelles, les handicaps, les conflits, les catastrophes naturelles et l’inefficacité des politiques menées dans le domaine de l’éducation sont autant de facteurs qui maintiennent les enfants en dehors de l’école ou bien les incitent à la quitter rapidement. « Si nous estimons que l’Asie du Sud peut être une partie prospère de la planète où chaque enfant peut apporter sa contribution lorsqu’il devient adulte, alors l’enseignement est un sujet de première importance, » dit Karin Hulshof, Directrice régionale du Bureau régional de l’UNICEF pour l’Asie du Sud. L’objectif de l’Initiative en faveur des enfants non scolarisés est de recueillir des données pour savoir qui sont les enfants non scolarisés et quels obstacles socioculturels les empêchent d’aller à l’école puis d’utiliser ces données pour concevoir des politiques qui feront de l’éducation pour tous une réalité.
« Faute de données précises, nous ne pouvons pas mettre en place de bonnes politiques et favoriser des interventions appropriées qui permettent aux enfants de concrétiser leur droit à l’éducation, » explique Friedrich Huebler, Chargé de programme à l’Institut de statistique de l’UNESCO. Les gouvernements de la région commencent à développer et à consolider les alternatives en matière d’éducation pour les enfants. Par exemple, au Bangladesh, les autorités locales collaborent avec des organisations comme le BRAC, une ONG internationale de développement basée au Bangladesh dont l’activité porte sur les élèves défavorisés, ceux qui sont négligés par le système officiel d’éducation ou ceux qui ne peuvent même pas y entrer. Les écoles du BRAC sont gratuites et principalement situées dans les quartiers à faibles revenus. La chance d’étudier « Nous devons prendre conscience du fait que, spécialement dans les pays en développement, il est tout simplement difficile pour le Gouvernement, sinon impossible, de s’adresser à tous les enfants, de les faire retourner à l’école et leur dispenser une éducation de qualité, » dit Safiqul Islam, Directeur du programme pour l’éducation du BRAC. Mithila, 10 ans, est une des élèves à l’école du BRAC de Karail, l’un des plus vastes bidonvilles de Dhaka. En termes de chances scolaires, des filles comme elle figurent parmi les plus défavorisées de toute l’Asie du Sud. « Quand je vois d’autres filles comme moi, jeunes et qui ne vont toujours pas à l’école, je leur parle de cette école et je leur demande de venir ici, » dit Mithila. Grâce à ce programme d’éducation de la « deuxième chance » mené au Bangladesh, des milliers d’enfants peuvent avoir la chance d’étudier et la possibilité d’échapper au cycle de la pauvreté. « Si nous faisons des études, nous pouvons réussir dans la vie, nous pouvons avoir de meilleurs emplois, constate Mithila. Je veux étudier plus pour devenir plus tard enseignante. Je veux enseigner aux autres enfants pauvres, comme moi. » Lire l’étude sur les enfants non scolarisés en Asie du Sud (en anglais) http://www.unicef.fr/contenu/actualite-humanitaire-unicef/travail-des-enfants-au-bangladesh-lunicef-soutient-une-education-de-base-2006-06-12 Travail des enfants au Bangladesh : l'Unicef soutient une éducation de baseL'Unicef France soutient un programme destiné à donner un enseignement de base à des enfants citadins exploités dans des tâches dangereuses. Publié le dimanche 11 juin 2006 Dernière modification le mercredi 05 mai 2010
Enfants de 5 à 14 ans astreints au travail :
Au Bangladesh, 30 millions d’enfants vivent dans la pauvreté et n’ont accès ni à l’éducation ni aux services de santé de base. Malgré une initiative réussie lancée par le gouvernement en coopération avec l’Unicef dans l’industrie textile, on estime que 4,7 millions d’enfants ont un emploi au Bangladesh. Parmi eux, nombreux sont ceux qui se livrent à des travaux dangereux (dans les briqueteries, par exemple). Pour ces enfants, l’école reste une chimère ou un luxe. Ainsi les taux d’achèvement des études secondaires sont extrêmement faibles : 15% pour les garçons, 8% pour les filles. Ces six dernières années, grâce aux efforts conjoints des communautés, du gouvernement et de l’Unicef, un projet d’éducation de base pour les enfants travailleurs du Bangladesh a permis de prendre en charge plus de 346 000 enfants dont plus de la moitié sont des filles. Beaucoup d’enfants ont réussi à rejoindre l’enseignement classique. Parallèlement, un large programme de formation à un métier a été initié pour 500 enfants marginalisés diplômés à Dhaka, 250 à Barisal et 250 à Sylhet. Depuis 2004, la deuxième phase du projet porte sur six villes avec l’objectif d’offrir à 200 000 enfants quarante mois d’enseignement non formel. 8000 centres doivent être institués à terme sur ces six villes. Le projet porte sur des enfants de 10 à 14 ans, dont 60% de filles. Les enfants sont choisis en fonction du travail qu’ils exercent (un travail dangereux ou dans lequel ils sont exploités) et de leur coupure totale du système éducatif. Sur les 200 000 enfants, 10% bénéficieront de programmes de formation à un métier. Le projet est encadré par le Bureau de l’éducation non formelle du Gouvernement du Bangladesh. En 2005, le financement de l’Unicef France, en partenariat avec Casino, a couvert à hauteur de 50 300 euros les activités de communication de ce projet, afin notamment de sensibiliser la société civile aux droits des enfants et à la situation des enfants face au travail. Histoire de Razia, 13 ans« Travailler dans un institut de beauté : je n’aurais aucun moyen de m’y préparer. J’ai beaucoup de chance de pouvoir apprendre le métier ici », remarque Razia, elle qui a terminé ses deux ans d’éducation de base dans le cadre du projet soutenu par l’Unicef et qui suit maintenant le programme de formation à un métier touchant un millier d’enfants diplômés. Razia a treize ans et fait partie des 500 jeunes concernés par ce programme à Dhaka. Son père est maçon et sa mère femme au foyer. Elle a quatre frères et une sœur. Elle est l’aînée. Son père est le seul de cette famille nombreuse à gagner de l’argent. Ses parents voulaient qu’elle reçoive une formation dans la couture. Elle préférait se préparer à rejoindre un institut de beauté : « J’ai choisi cette formation parce qu’en ce moment il y a de la demande dans ce secteur ». Le projet fournit 4 à 6 mois de formation dans des domaines comme la couture et la confection de robe, la restauration, l’impression de batiks, la broderie, l’électricité, la réfrigération et l’air conditionné, le dépannage audio-vidéo, les instituts de beauté, le travail du rotin, le lettrage sur écriteaux. Razia s’est déjà vue offrir un travail dans un institut de beauté près de chez elle mais elle veut finir sa formation d’abord. « Ils voulaient que je les rejoignent dès maintenant, dit-elle fièrement, mais je les ai convaincus de me laisser le temps de finir mes cours ». En savoir plus : http://www.unicef.fr/contenu/actualite-humanitaire-unicef/travail-des-enfants-au-bangladesh-lunicef-soutient-une-education-de-base-2006-06-12#ixzz3NxCf3jyt http://www.carefrance.org/care-actions/programmes-monde/bangladesh-projet-education-formation-enfants-travailleurs.htm Avec 40 % de sa population vivant au dessous du seuil de pauvreté, le Bangladesh est un pays où le nombre d'enfants qui travaillent connaît une croissance permanente.18 % des enfants âgés de 5 à 17 ans travaillent [1] (soit environ 7,9 millions d'enfants) pour subvenir aux besoins de leur famille. Ils sont majoritairement employés dans des secteurs dangereux tels que la construction, l'industrie textile, le tri des déchets, etc. Les jeunes filles quant à elles sont souvent employées comme femmes de ménage où elles sont vulnérables à différents types d'abus. Ces enfants vivent au jour le jour et sans éducation, leurs perspectives d'avenir sont plus que réduites. L'élimination de ce problème nécessite une stratégie intégrale combinant l'accès à la scolarisation, l'apport d'une éducation de qualité, l'application stricte de la législation sur le travail des enfants et la sensibilisation des parents et employeurs. http://www.humanium.org/fr/bangladesh/ Travail des enfants En raison d’une grande pauvreté, les familles sont souvent obligées de faire travailler leurs enfants. Ceux-ci sont généralement employés dans la construction, le recyclage de batteries, les transports routiers, les ateliers de réparation de véhicules, les usines de tabac. ![]() Le Bangladesh est également confronté à la situation des jeunes garçons-jockeys. Ces derniers sont envoyés au Moyen-Orient, où ils sont employés dans les courses de chameau en tant que jockey. Ils sont bien souvent restreints au niveau de la nourriture pour éviter qu’ils ne prennent de poids. En outre, ils sont souvent sujets aux coups et aux abus sexuels. |
![]() | «maltraitance des enfants» n'ont pas été entièrement adaptées au contexte africain et certaines formes de maltraitance des enfants... | ![]() | «d’enfants rois», d’enfants auxquels on ne sait pas dire non», d’enfants passant leur temps devant les écrans… |
![]() | ![]() | «limitées» pour des raisons morales mais des observations ont été faites sur les comportements alimentaires des enfants hospitalisés... | |
![]() | «fraichement importés» à l’hôpital pour les besoins du projet venaient d’un monde le plus souvent méconnu | ![]() | «un pouvoir extraordinaire» entre leurs mains, celui de faire des enfants ou des jeunes dont elles ont la charge, de futurs adultes... |
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