Institut de Gérontologie Sociale – Université de Provence Jeudi 22 Avril 2010 Vendredi 23 Avril 2010 Résidence des Parents








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MASTER AGIS

DUGA
« Personnes âgées, personnes handicapées : approches de la sexualité »


Institut de Gérontologie Sociale – Université de Provence



Jeudi 22 Avril 2010
Vendredi 23 Avril 2010

Résidence des Parents



Centre Le Mistral – Impasse Flammarion

13001 Marseille















Résidence du Baou













Maison d’accueil pour personnes âgées du pays Salvagnacois

Au plan médico-social, comme social, les professionnels ont désormais pour mission d’accompagner les parcours de vie des personnes qui « subissent, dans leur environnement, des limitations d’activités et des restrictions de participation »(1) et ce à tous les âges de la vie ; ceci du fait d’altérations physiques, mentales, psychiques, cognitives, sensorielles ou résultant d’un trouble de santé invalidant.
Cette mission découle de la loi du 11 février sur « l’égalité des chances, la citoyenneté et la participation » des personnes en situation de handicap. Cette loi, a suscité une mobilisation et un travail inter-associatif sans précédent. Elle constitue un moment historique. Non seulement elle rénove une loi vieille de 30 ans mais élargit complètement sa portée en prenant en compte désormais et pour toutes les personnes en situation de handicap quelque soit leur âge, l’idée du parcours de vie en fonction des aspirations de la personne, de son projet de vie, lui reconnaissant par là un véritable droit aux choix et aux risques.
Tout d’abord, le texte introduit dans la définition même du handicap, l’approche situationnelle et environnementale de la nouvelle Classification Internationale du Handicap et de la Santé adoptée par plus de 68 pays après un travail de plusieurs années initié et conduit par l’OMS et près de 1800 chercheurs.

Ensuite, il précise que tous les âges de la vie sont concernés puisque d’ici à 2010 le législateur a prévu une convergence des dispositifs enfance, adultes et personnes âgées.
Cette convergence va bouleverser durablement l’ensemble des pratiques actuelles. En effet, c’est désormais la notion de projet de vie qui est au cœur même de la loi. Le projet de vie renvoie aux aspirations de la personne, à ses attentes. Il est personnel et constitue l’expression de la personne, sa parole. Formulé par la personne, ses parents s’il s’agit d’un mineur, avec son représentant s’il s’agit d’un adulte sous protection juridique, il fonde l’évaluation des besoins et détermine l’accompagnement à mettre en œuvre. (B. Dherbey, 2008)
Ainsi les enjeux liés à une approche du handicap à tous les âges en termes de projet et de parcours de vie sont ceux d’une personnalisation de l’accompagnement pour une réelle participation à la vie sociale des personnes en situation de handicap.

Dans le cadre de ce projet de vie, on retiendra plus spécifiquement à l’occasion de ce colloque que la sexualité relève également de cette dynamique.

Rappelons ainsi avec Ribes (2009), la définition de la santé sexuelle de l’OMS : « La santé sexuelle est l’expérience de bien-être physique, psychologique et socio-culturel relatif à la sexualité. La santé sexuelle est naturellement dans l’expression libre et responsable de ses capacités sexuelles, encourageant le bien-être personnel et social et enrichissant la vie individuelle et sociale….

Pour que la santé sexuelle soit atteinte et maintenue, il est nécessaire que les droits sexuels de chacun soient reconnus et maintenus… ». 

( Sexualité et vieillissement, ed Chronique Sociale -2009)
La problématique du droit voire de l’accès à la sexualité présente tant pour les personnes âgées que pour les personnes en situation de handicap des éléments convergents sans pour autant qu’ il ne soit fait, en la matière, une confusion des genres comme des vécus.

Il n’en demeure pas moins que « les risques d’annihilation de l’humanité des vieillards commencent avec une tendance au déni de leur identité sexuelle.

Le concept de maltraitance reste aujourd’hui flou et fluctuant. Il gagne à être articulé avec la question de la sexualité, parce qu’elle est intimement liée à la fois aux notions d’interdit et de liberté, mais aussi parce qu’elle imprègne et sert de trame à l’ensemble des rapports humains.

Au croisement de ces deux notions de maltraitance et de sexualité, se pose alors la question du pouvoir institutionnel ». (N Lépine – ed Chronique sociale – 2008)
Comme le note G. Ribes (2009), « la désexuation des aînés a marqué et marque encore le fossé entre le monde des « adultes » et celui des « vieux ». Le vieux serait celui qui n’a plus d’identité » sexuée, sa seule identité étant l’indifférenciation de la vieillesse, une forme d’angélisme l’excluant des sensations de son corps et du plaisir du dialogue des corps. Il n’aurait droit qu’à des plaisirs dénués de toute connotation sexuelle. Chaque individu est sexué et le reste, quel que soit son âge, quels que soient sa maladie, son handicap, le lieu où il se trouve.

Dénier cette potentialité, c’est aller bien au-delà du sexuel. C’est poser la question de l’humanité de ces âgés que l’on se voit dans la nécessité de dénommer « personnes âgées » comme s’il était nécessaire de se souvenir qu’ils sont une personne. »
Sujet tabou, s’il en est il y a encore quelques années, le questionnement auquel tous les professionnels d’établissements et de services, quelques soient leurs métiers et leurs fonctions, ont été confrontés, a permis de lever le voile peu à peu.
Pour G Ribes, « la personne âgée en institution devient un individu public exposé aux yeux des soignants, de sa famille, de ses enfants. Les établissements doivent se doter d’une stratégie pour répondre à la question de l’intimité et notamment encourager : les opportunités où les résidents peuvent se rencontrer et passer du temps ensemble ; les alternatives à l’expression de la sexualité comme les baisers et se serrer dans les bras, encourager aussi les résidents à cultiver les amitiés et les relations. Des salons de coiffure doivent être à disposition ; on fait d’abord l’amour avec l’image de soi. »
Les familles sont souvent sous le choc, le personnel indigné, le feu est donc dans la maison comme le dit R. Tremblay, il va falloir faire les pompiers, les questions au sujet de la sexualité dans les institutions sont abordées dans l’urgence et uniquement en terme de problématique. Les questions relatives à la sexualité doivent être anticipées afin de ne pas avoir à traiter ces situations de manière violente et sans recul.

Jusqu’à présent, peu de choses ont été dites ou écrites sur la vie sexuelle dans les maisons de retraite. Puisqu’il est déjà difficile de penser à la sexualité des gens âgés, il est encore plus malaisé de penser à celle des résidents en institution : « Le tabou est toujours fort, on accepte la sexualité des seniors fringants que l’on voit à la télévision, mais pas celle des personnes âgées avec des corps altérés, le vieux monsieur qui a des envies, cela reste un vieux cochon ».M. Barbry
Par ailleurs et dans le champ du handicap, «  nos sociétés naïves, semblent découvrir que les personnes handicapées mentales ont une sexualité.

Seules quelques rares personnes à qui l’idée paraît trop douloureuse la nient encore. Il faut dire que le grand public a été longtemps maintenu dans l’ignorance par un discours ambiant rassurant tenu par d’officiels représentants de la Science…….

Maintenant que la réalité de la sexualité est acquise, le droit de la vivre est revendiqué, comme quelque chose de naturel et d’évident. Allant dans ce sens, on entend de plus en plus fréquemment cette formulation : « les handicapés mentaux ont le droit de vivre leur sexualité, comme tout le monde ». (D Vaginay, ed Chronique Sociale – 2006)

Mais comme le souligne A. Giami (1983) « on voit se profiler le lien entre autonomie, responsabilité et sexualité. Un être difforme ou déficient suscite des images troublantes et contradictoires quant à la séduction et la procréation. Le handicap mobilise des fantasmes de sexualité monstrueuse, et provoque toujours un double mouvement d’horreur et de fascination. »
Dans cette continuité, nous dirons avec M.Nuss (Handicaps et sexualités, le livre blanc, Dunod, 2008) que la thématique de l’accès à la sexualité des personnes en situation de handicap, derrière sa formulation générale, pose à notre société plusieurs questions, tissées étroitement les unes aux autres. Des questions d’ordre technique et médical mais aussi et surtout d’ordre social, juridique et économique. Ces questions inscrivent la sexualité humaine dans la « chair du monde » qui nous fait nous sentir davantage hommes et femmes à mesure que nous expérimentons notre corps et notre esprit dans la relation à un autre corps et un autre esprit
Divers questionnements émergent de cette démarche réflexive ;
Comment les professionnels travaillant dans les structures (établissements ou services) pour personnes handicapées se situent-ils face à l’émergence de désirs amoureux chez les personnes dont ils ont la charge ? Comment font-ils face à des demandes de réalisation d’une vie de couple ou d’un désir d’enfant ?
Compte tenu de ces éléments, soulignerons avec JB Thierry que les relations sexuelles des personnes handicapées physiques, mentales ou psychiques, soulèvent de nombreux problèmes. Cette sexualité souvent cachée est généralement abordée sous l’angle psychologique, sociologique, mais peu sous l’angle juridique. Or le droit intervient pour interdire ou autoriser ces relations et en régit les conséquences, notamment en ce qui concerne la parentalité…….

L’éventuel recours à un tiers doit être également envisagé. Les enjeux éthiques, psychologiques, éducatifs et juridiques sont ici fondamentaux.
Globalement, reconnaître la sexualité des personnes en situation de handicap, c’est reconnaître leur humanité et la pleine existence de leur citoyenneté. Ce droit a été plus ou moins rejeté ou nié en raison de préjugés et d’idées préconçues et ataviques. (H.J. Stiker, 2007)

C’est ainsi que pour M. Nuss, « en attendant que l’accompagnement à la vie intime, affective et sexuelle devienne une réalité, ait un cadre juridique adéquat et clair, il faut savoir prendre des risques, il faut oser aller vers le délit d’humanité ».
L’accompagnement sexuel et affectif des personnes handicapées contraint (positivement) la société occidentale à changer son regard sur les personnes en situation de dépendance en leur reconnaissant une dimension humaine jusque-là évacuée ou négligée. (M. Nuss in Reliance n°29, 2008)
C’est de ce thème encore particulier de l’action sociale et médico-sociale dont il est question ici.

Les professionnels de ce secteur, acteurs de l’accueil en institution comme du soutien au domicile mais également les familles trouveront là un lieu de confrontation et de débats pour se pencher en retour sur leurs pratiques professionnelles comme sur leur engagement auprès de ces populations souvent privées d’une vie intime. 


PROGRAMME







Jeudi 22 Avril




8h30/9h Accueil, café

9h/9h15 - Introductions - M. le Président de l’Université de Provence, M. E. SANCHEZ, Directeur de l’Action sociale de Prémalliance, autres contributeurs……
9h15/9h30 - Introduction au séminaire - Ph. PITAUD, Directeur de l’Institut de Gérontologie Sociale, Professeur associé - Université de Provence , Directeur du MASTER-AGIS, et du DUGA.
Séance présidée par M. B ENNUYER,

Dr. en Sociologie, Directeur d’un service d’aide à domicile – Paris
9h30/10h00 - « Sexualité et intimité en institution gériatrique » - G . RIBES - Psychiatre, Professeur Associé - Université Lyon 2
10h10/10h30 - « Corps, affectivité et sexualité avec l'avancée en âge » - P. TAP - Professeur - Université de Toulouse


10h30/11h - Pause café

11h/11h30 - « Les représentations sociales de la sexualité, entre vieillissement et grand âge : interdits et dénis » - J.J. AMYOT – Psychosociologue, Directeur OAREIL – Bordeaux
11h30/12h - « À Tout Âge l'Amour Accueille et Dépasse la Sexualité » M. PEREIRA Regente de Curso à l'universidade Católica Portuguesa - Instituto de Ciências da Saúde, Lisboa
12h/12h30 Débats

12h30/14h Déjeuner sur place
Séance présidée par - B. DHERBEY,

Sociologue, Directrice SAMSAH TC - CL 13 - Aix en Provence

14h/14h30 - « La subjectivité dans l’amour. Réflexions sur la clinique de la séparation. » - A. GIOVANNONI –  Professeur Agrégé et Docteur en Philosophie – Marseille.
14h30/15h - « Appréhension juridique de la sexualité des personnes handicapées ; le droit a-t-il réponse à tout? » - J.B. THIERRY, Maître de Conférences, Université de Nancy 2

15h/15h30 - Pause café

15h30/16h - « Le médecin, le vieillard et la sexualité. » -

E. CATENACCI Chef de pôle Personnes Agées hôpital de Pertuis
16h/16h30 - « Sexualité, maladies, handicaps et autres : entre reconnaissance et méconnaissance ? » - A GIAMI – Directeur de recherche - Inserm : Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations (CESP) - Le Kremlin Bicêtre.

16h30/17h15 Débats

17h15/18h - Synthèse en vue des tables rondes du vendredi 23 Avril 2009 - M. BARBRY-AREVALO, Infirmière Clinicienne Sexologue, CASTRES et R. VALLES, Directeur, EHPAD , La Résidence du BAOU, Marseille



Vendredi 23 Avril




8h30/9h Accueil, café

Tables rondes organisées avec le concours de

l’Association des Gérontologues Ingénieurs Sociaux (A.G.I.S.).
9h/10h30 - Table ronde N°1 : « Vieillissement et sexualité » -

R. VALLES, Directeur, EHPAD, La Résidence du BAOU, Marseille

(15 minutes de présentation)

10h30/11 h -Pause café

11h/12h30 - Table ronde N°2 : « Vie Affective et Sexualité; Comment l'accompagner au quotidien? » - M. BARBRY-AREVALO, INFIRMIERE CLINICIENNE SEXOLOGUE, CASTRES (15 minutes de présentation)
12h30/13h00 Synthèse par S. GUYON, Ingénieur social en Gérontologie Sociale, Formatrice/Consultante
Clôture du Colloque

13h00/14h Déjeuner sur place

Vendredi après midi, visite des iles du frioul


O R G A N I S A T I O N

Philippe PITAUD

Professeur Associé

Directeur du MASTER-AGIS et DUGA – Université de Provence et Directeur de

l’Institut de Gérontologie Sociale - Marseille
Renseignements et Inscriptions : Lila BADRI

Coordinatrice

Institut de Gérontologie Sociale – 148 rue Paradis

B.P.2 – 13251 Marseille Cedex 20 – France

Tel. (00 33) 4 91 37 03 79 – Fax (00 33) 4 91 37 19 73

E-mail : igs-marseille@wanadoo.fr


D
Institut de Gérontologie Sociale – n° de formation continue 93130535213
roits d’inscription
 : - Professionnels → 200 €

- Professionnels et membres de l’association des

Gérontologues Ingénieurs Sociaux (cotisation 2010 à jour)

→ 80 €

- Etudiants, plus de 60 ans, retraités, personnes handicapées, bénévoles, sans emploi,

lycéens dont BTS

→ 20 € (sur justificatif)
L’inscription se fait exclusivement pour les deux journées.

Elle comprend l’accès au colloque et aux déjeuners des jeudi 22 avril et vendredi 23 avril 2010
Modes de paiement : par chèque à l’ordre de l’Institut de Gérontologie Sociale – par virement (uniquement pour les personnes résidant hors de France) – voir numéro de compte ci-dessous pour opération bancaire
Compte Courant n° 08799017318



I
FR76

1131

7990

0108

5000

879

1731

CEPAFRPP131
BAN BIC

 ________________________________________________________________________________________________________________

Bulletin d’Inscription


Au Colloque « Personnes âgées, personnes handicapées : approches de la sexualité »

Marseille –22 et 23 avril 2010




Nom : ………………………………………………………. Prénom : …………………………………………………….


Fonction : ……………………………………………………………………………………………………………………

Organisme / Etablissement : …………………………………………………………………………………………………

Adresse :…………………………………………………………………………………………………………………….

Code Postal : ………………………. Ville : ……………………………………. Tél. : …………………………………



Assistera et déjeunera au lunch le 22 avril Assistera et déjeunera le 23 avril matinée

N’assistera pas le 22 avril N’assistera pas le 23 avril matinée



A retourner avant le 12 avril 2010 à l’Institut de Gérontologie Sociale B.P. 2 – 13251 Marseille Cedex 20 - France

Hôtels conseillés




tarif Colloque négocié

Veuillez préciser l’intitulé du colloque au moment de la réservation




- Citadines Apart’Hotel- Résidence ***

Citadines Marseille centre – 4, place Pierre Bertas (11 rue Sainte Barbe – en face du Conseil Régional Paca à 15 min de St Charles à pieds mais également métro Colbert à une station de st Charles)

Tel.00 (33) 0496171211 – Fax. 00 (33) 0491919712

wwwcitadines.com

- Hôtel Kyriad Vieux Port ***

6 rue Beauvau ( à 2 mn du métro Vieux port)

13001 Marseille

Tél : 00 (33)4 91 33 02 33

Fax : 00 (33)4 91 33 21 34

kyriad.vieux-port@wanadoo.fr

http://www.hotel-vieux-port-marseille.com

Tarif préférentiel "université de Provence"

Autres hôtels non contactés : www.hotelmarseille.com





(1) Extrait de la définition du handicap – Loi du 11 février 2005 – Art L 114

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