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Stage Combat percussion et sécurité.

Stage PAF 2008
Approche didactique de l’activité

Boxe Française et sécurité.


1 - LA REPRESENTATION DES ELEVES :
C’est le point de départ des plus importants pour la gestion de la sécurité en boxe française car les représentations sociales déterminent principalement l’activité de l’élève.

D’après un questionnaire posé à des élèves de 6ème et 4ème et avant un premier cycle de BF :

(Selon P. GOULPIE, Collège Charles BIGNON – OISEMONT)

80% des élèves considèrent la BF comme un sport dangereux.

75% sont convaincus que le but est de frapper et de mettre KO son adversaire.

Dans la perspective de mise en place d’un cycle de BF :

60% ont un à priori assez négatif – 40% restant sont contents car ils vont apprendre à se défendre (20%) et n’ont pas d’opinion (20%).

Pour proposer un cycle de BF, il va falloir être en rupture avec la représentation sociale de l’activité (souvent venue de la Boxe Anglaise qui véhicule des images de violence), cette rupture sera d’autant plus radicale que nous proposons des touches et non des frappes.

L’enjeu (sécuritaire) va donc se situer sur la signification, le sens que l’on va donner à l’activité.

2 - LOGIQUE INTERNE DE LA BOXE FRANÇAISE :
Logique retenue pour la formation :

La Boxe Française est un duel de percussion codifié. Le boxeur ne peut frapper qu'en restant dans un face-à- face, avec des surfaces de frappe autorisées, sur des cibles autorisées, dans un espace défini, pendant un temps imposé. Ceci entraîne un ensemble de situations motrices codifiées qui permettent de toucher et/ou de frapper avec différentes surfaces des pieds et le devant des poings le corps de l'adversaire suivant un principe de base fixe et intangible qui veut que chaque mouvement technique soit éducatif, efficace et esthétique.
Selon G. ORSI (dossier N°26 revue EPS) :

Activité duelle de combat de percussion pied / poing dont le but est de toucher l’adversaire avec contrôle et précision dans un jeu permanent d’attaque / défense.
Selon C. LALES - UFRSTAPS Grenoble -

Système de confrontation qui se compose de deux individus inter-agissant sur l’autre selon un projet et en respectant les contraintes imposées par trois éléments extérieurs qui sont : un code, un espace délimité et restreint, une durée d’affrontement déterminée.
Selon le code fédéral :

Sport de combat utilisant des mouvements de percussion appelés coups qui permettent de frapper avec différentes surfaces de pieds et le devant des poings suivant des règles techniques précises et selon un principe de base fixe et intangible qui veut que tout mouvement doive être conçu pour être à la fois éducatif et efficace.
3 - ENJEUX EDUCATIFS EN BOXE FRANÇAISE :
Sollicitation des ressources et développement des compétences :
Complexité de la tâche  « boxer » :
L’interaction directe amène une grande quantité et diversité des actions motrices en BF.



Toucher le

plus possible





Ne pas se

faire toucher






La mise en évidence de la complexité de la tâche amène à considérer un nombre de principes fondamentaux en boxe française listant les connaissances techniques et tactiques nécessaires au boxeur :


  1. Etre à distance.

  2. Etre équilibré.

  3. Etre mobile.

  4. Boxer en continuité tout en cherchant à interrompre l’attaque adverse.

  5. Etre et rester protégé.

  6. Savoir utiliser ses ressources et être efficient.

  7. Etre précis.

  8. Préserver son intégrité et celle de son adversaire.

  9. Etre disponible.

  10. Varier les trajectoires et les lignes.

  11. Varier les segments.

  12. Gérer et varier l’espace.

  13. Gérer et varier les rythmes.

  14. Faire des liaisons, enchaîner.

  15. Créer et exploiter les déplacements de l’autre.

  16. Prendre ou reprendre l’initiative.



Ressources sollicitées et compétences spécifiques mobilisées :

(Selon le modèle de J. ROCHE)

A :


Affectif 

Maîtriser ses émotions et accepter l’affrontement physique direct.

Accepter d’arbitrer et de juger et de l’être.

B :

Biologique 

Savoir répartir ses efforts et contrôler sa dépense énergétique.

B :

Biomécanique 

Etablir un compromis entre placement réglementaire, économie et efficacité.

C :

Cognitif 

Elaborer une stratégie avant action, souple, adaptable et modifiable.

Connaître le règlement et l’appliquer.

K :

Kinesthésique 

Contrôler ses actions pour ne pas faire mal.

S :

Sensoriel 

Traiter les informations pertinentes pour anticiper.


Chacun de ces registres constitue autant de portes d’entrée possibles dans l’activité.


4 - LES ETAPES DE L’APPRENTISSAGE :

Usuellement la démarche d’apprentissage se centre sur l’activité décisionnelle et perceptive en situation d’affrontement pour développer par la suite un travail en anticipation.

Ainsi la démarche d’apprentissage est à envisager selon une certaine unicité. On essaiera donc de distinguer quatre étapes :


  1. Dans un premier temps, l’élève doit vivre une confrontation fonctionnelle et globale, où il doit découvrir des formes d’attaque, des gestes défensifs et multiplier ses actions.

  2. Il doit devenir de plus en plus précis pour toucher, plus équilibré pour enchaîner des actions offensives et défensives.

  3. Il s’oriente ensuite vers plus de tactique pour mieux « débattre » afin de battre.

  4. Enfin, il apprend à construire un projet d’ordre stratégique, et à le faire aboutir pour gagner.


Activité de l’apprenant :
Au regard des étapes décrites ci dessus on peut observer, en situation, les niveaux d’activité suivants :


  • N1 débutant : Une boxe d'action en opposition réactive :

L'élève s'organise par rapport à ses propres actions sans tenir compte des actions de son adversaire. les actions des deux antagonistes sont souvent synchrones. Pour le débutant le but prioritaire est de toucher la cible, avec un besoin de contrôle visuel de ses actions, le regard est orienté vers la cible à atteindre.

Observables : essoufflement rapide, beaucoup de fluctuation dans les distances, actions isolées, n’est pas à distance, pas de contrôle ( !).



  • N2 débrouillé : Une boxe de réaction :

L'élève débrouillé s'organise par rapport à son adversaire, en réagissant à ses actions. Les attaques s'effectuent en alternance et l'ambition première est la riposte sur parade, blocage ou esquive : ne pas se faire toucher et toucher. Le contrôle visuel des ses propres actions se décentre progressivement de la cible visée.

Observables : Encore un peu de stress essoufflement, problèmes de protection, est et maintient à distance, passivité en défense.


  • N3 confirmé : Une boxe d'action / réaction :

Prise en compte des réaction de l'adversaire, le tireur agit sur son adversaire après l'avoir fait réagir préalablement. Les actions sont souvent imbriquées l'une dans l'autre, en interaction. Le but prioritaire est la contre riposte : toucher sans se faire toucher et toucher de nouveau. Le contrôle visuel des actions est global, le regard est centré sur l'épicentre des actions adverses (tronc).

Observables : Gestion du combat et des repos, en déroute dès qu’il y a surcharge informationnelle, préfère jouer sur les actions isolées pour enchaîner, dans ce cas il investit clairement le statut d’attaquant.


  • N4 expert : Une boxe d’adaptation :

Prise en compte des actions et réaction de l’adversaire mais aussi de son potentiel morphologique, à son système défensif et offensif, à sa garde et aux comportements particuliers. Le tireur élabore, modifie et adapte sa stratégie à son adversaire. Toucher sans se faire toucher et créer des opportunités pour toucher à nouveau. Contrôle visuel et cognitif des actions dans la situation globale.

Observables : Lecture de l’activité adverse, anticipation, diversité des enchaînements et remise systématique, gestion de l’espace et cadrage.

La contradiction entre débuter et contrôler :
On le voit, le premier problème posé par la mise en situation d’opposition du débutant est le contrôle de la puissance (et des trajectoires) des coups. Cet obstacle, non surmonté, représente un échec moteur dans cette activité. Il faut savoir cependant que la boxe du débutant, non organisée ni contrôlée, révèle effectivement une incapacité temporaire de l’élève à prendre, traiter et exploiter les différentes informations car, comme nous l’avons vu, l’activité BF amène un haut niveau d’incertitude tant spatiale, temporelle qu’événementielle dans la situation globale d’affrontement et ce quel que soit le niveau de pratique.
Cela implique, dés la première étape de la démarche d’apprentissage et pour un travail en sécurité que l’apprenant ait une bonne lecture événementielle, que l’engagement affectif soit limité ou contrôlé afin de limiter les réactions émotionnelles et enfin qu’il ait une maîtrise gestuelle suffisante pour n’agir qu’en « touche » sur le partenaire.

5 - AGIR SUR LES VARIABLES DIDACTIQUES POUR SECURISER LA NECESSAIRE MISE EN SITUATION D’AFFRONTEMENT A DIVERSES ETAPES DU PROCESSUS D’APPRENTISSAGE:

- ADAPTATION DU REGLEMENT :
Nous vous invitons pour cette séquence à vous reporter au code fédéral de la Boxe Française Savate, qui donne une version complète des interdits dans ce sport de percussion, afin d’effectuer un geste éducatif, efficace et esthétique (assaut).

Cela dit, un code moral de la boxe française est proposé en annexe (ce qui est fondamental, ce qui est obligatoire, ce qui est interdit), il sert aux tireurs, aux juges, et aux arbitres pendant l’apprentissage, il s’agit pour nous d’un condensé des règles à instaurer.

Un dernier outil est disponible, il s’agit des règles d’or en boxe française, à connaître par les élèves pour agir et tenir tous les rôles.

De plus code fédéral de boxe française savate établit les règles méthodologiques de pratique de l’activité.

Nous retiendrons certains éléments favorisant des axes de travail particuliers pouvant être utilisés pour sécuriser la pratique en milieu scolaire.

A - Diversification des modes d’affrontement :
On distinguera trois formes de rencontres en BF :
- Le duo : c’est une forme de rencontre qui oppose des couples de tireurs (de même sexe ou de sexe différents : ce qui peut être une porte d’entrée particulièrement intéressante à une pratique en mixité) évoluant en coopération en présentant une prestation technique et esthétique utilisant la gestuelle spécifique de la boxe française (ou de tout autre sport de combat, à noter que ce mode de pratique peut donner lieu à un travail de créativité et de prospection, décontextualisé ou non de la pratique sociale de référence et aussi ouvrir sur l’appréciation d’un travail sur un pôle proche de l’esthétisme et la créativité)

Pose la question de référence culturelle… dérive par rapport à la logique de l’activité…aux compétences recherchées dans le groupe d’APSA…
- L’assaut : C’est une forme de rencontre qui oppose deux tireurs (tireuses) de même sexe (?) et qui se juge à l’aide d’une double notation tenant compte d’une part de la maîtrise technique et du style démontré par le tireur et d’autre part de la précision des touches dont toute puissance doit être exclue. Cette forme de rencontre est particulièrement riche en aménagements pédagogiques possibles : assauts à thèmes, situations d’opposition définie, aménagées…

Rappelons ici qu’en milieu scolaire, la pratique dans la mixité est généralement mise en place, elle reste possible si les morphologies et les poids sont proches.
- Le combat : C’est une forme de rencontre qui oppose deux tireurs (tireuses) de même sexe et qui se juge sur la technique, la précision, l’efficacité des coups et la combativité des tireurs.

On distingue le combat de 1ère et de 2ème série en fonction du niveau technique et compétitif des boxeurs.

Cette forme de pratique est à proscrire en milieu scolaire.
Les deux premiers sont exploitables dans le premier et le second cycle. A ce sujet, notre conviction est qu’ils sont deux moyens d’apprentissage intéressants, mais qu’il faut cantonner le premier (le duo) à un strict rôle d’outil dans l’apprentissage. Il ne peut, à notre sens, servir de support d’évaluation pour observer par exemple la maîtrise d’exécution, la performance et la maîtrise devant être évalués de façon imbriquée (cf. les textes d’évaluation au baccalauréat de 1995).

L’essence de ces modes de pratique renvoie à des concepts opposés qui reposent essentiellement sur :


  1. le sens, le pourquoi, le contenu, la fonction de l’opposition pour l’assaut (et le combat).

  2. le code, le comment, la forme gestuelle pour le duo.


Sans entrer dans la tâche complexe et difficile de classification des APSA on peut cependant avancer que selon les travaux sur les habiletés de B Knapp (1971) :

    • L’assaut correspond à une pratique requérant l’expression d’habiletés de type ouvert ;

    • Le duo comme un mode de pratique impliquant l’expression d’habiletés de type fermé.


Thèmes de réflexion :
Quelle part donner à l’une ou l’autre en milieu scolaire ?

Peut-on se permettre d’être uniquement sur l’un des deux pôles… si oui lequel ?
Moduler la difficulté de l’affrontement selon le niveau des élèves :
Le degré d’opposition entre les tireurs : le niveau d’agressivité entraîne une probabilité de contact, qui doit être inférieur au niveau d’acceptation des élèves !

  • le duo = la coopération = l’opposition est nulle, l’enjeu est de faire progresser son partenaire, il y a peu d’incertitude, donc une tension émotionnelle inexistante

  • l’opposition adaptée = assaut à thèmes avec des rôles définis par exemple = l’incertitude est légère, l’opposition est adaptée aux perceptions et aux réactions de l’adversaire, la tension émotionnelle est faible

  • l’opposition contrôlée = assaut libre = toute puissance est exclue, la touche est à contrôler ; investissement conséquent des tireurs.

L’écart de niveau des tireurs : un individu plus expérimenté que soi augmente la difficulté, donc les progrès ; tandis qu’un tireur moins expérimenté que soi entraîne la facilité.

La difficulté bio énergétique : le rapport entre intensité et durée de confrontation est à noter. De plus, selon l’enjeu, l’intensité est plus ou moins grande. Il faut adapter la durée aux possibilités des élèves pour éviter la dégradation des comportements.
Avec cette variété de types de situations, l’intérêt est de ne pas lasser les élèves, mais de ne pas se centrer non plus que sur du ludique. Il s’agit de fournir des outils techniques à dose « homéopathique », le strict nécessaire à ré-utiliser par l’élève dans des situations recontextualisées
Remarque sur la pratique de l’assaut :
Si la pratique de l’assaut est la seule forme d’opposition raisonnablement utilisable en milieu scolaire il ne faut pas pour autant en faire une pratique particulière de la boxe française. En effet il nous paraît fondamental que chaque coup soit présenté en étant conçu pour être efficace et orienté vers une pratique de combat, il faut donc respecter les critères qui favorisent une organisation motrice susceptible, par un complément d’information et de formation ultérieurs, de se révéler efficace dans le cadre d’une pratique orientée vers le combat.

Ainsi les précautions valables pour une pratique finalisée par l’assaut doivent cependant être illustrées et complétées par des principes d’efficacité. Pour cela l’enseignant doit les avoir à l’esprit pour informer utilement l’apprenant de la nécessité du contrôle des touches en assaut tout en garantissant une extension possible à la pratique du combat (qui ne sera bien évidemment abordé en scolaire mais qui reste malgré tout étroitement lié à la finalité de la pratique sportive de référence).

Le principe de contrôle de la touche :

Fondamental pour garantir la pratique en toute sécurité, il relève strictement de la mise en application des composants suivant de l’action/

  • La juste identification de la distance de touche.

  • La préservation de l’équilibre général du corps pendant l’exécution complète du mouvement.

  • Le passage indispensable par une phase d’armé.

  • L’imposition stricte de la phase de réarmé de toute touche.

  • La préservation de la disponibilité défensive à tout moment.



B - Introduction des techniques :
Le code fédéral rappelle que les coups de pied peuvent utiliser trois principes :

  • Le frappé par fouetté (mouvement de fléau), ces coups de pied ont une trajectoire circulaire.

  • Le frappé par jeté direct (mouvement de piston), ces coups de pied ont une trajectoire rectiligne.

  • Le frappé par balancé (mouvement de fronde), ces coups de pied ont une trajectoire circulaire.


Trois axes permettent donc de solliciter l’adversaire :

Un axe antéro-postérieur par les mouvements de jeté direct de type chassé latéral ou frontal et coup de pied bas de frappe.

Un axe latéral gauche avec des mouvements à trajectoires circulaire comme le fouetté jambe avant ou revers jambe arrière.

Un axe latéral droit sur les coups de pied à trajectoire circulaire comme le fouetté jambe arrière ou le revers jambe avant.
Le code fédéral rappelle aussi que les coups de poing peuvent aussi utiliser deux principes :

  • Le frappé par jeté direct (mouvement de piston), ces coups de poing ont une trajectoire rectiligne.

  • Le frappé par balancé (mouvement de fronde) ces coups de poing ont une trajectoire circulaire.


Thèmes de réflexion :
Comment et dans quel ordre introduire les techniques de pied et de poing pour s’assurer d’une pratique en sécurité aux différentes étapes de l’apprentissage ?

Y-a t-il des techniques à éviter en milieu scolaire, des choix à faire ?


- AMENAGEMENT DU MILIEU :


  • Avec ou / et sans protections.

  • Modification de l’espace de combat

Il peut être un rectangle (travail dans le couloir d’opposition direct), un carré (pour un niveau 2 dans le travail du cadrage), un rond (pour un niveau 1 dans le travail du cadrage), selon ce que l’on veut travailler ou faire apprendre…
Thèmes de réflexion :
Avec ou / et sans protections ?

Lesquelles et quand les introduire ou les rendre obligatoires ?

Modification de l’espace de combat.


- VARIABLES DIDACTIQUES SUR L’ACTIVITE DE L’ELEVE :


  • Incertitude temporelle = Quand le(s) coup(s) vont arriver ? Quel enchaînement ? Quel nombre de coups ? Quelle alternance de rôles ? Qui fait quoi ? Qui décide ? Y-a-t-il un meneur, un mené ?

  • Incertitude spatiale = Quelle hauteur de frappe ? Quelle cible ? = haut, médian, bas

  • Incertitude évènementielle = Quels segments utilisés ? = pied avant, pied arrière, poing avant, poing arrière. Quelles formes gestuelles des coups ? = coup de pied bas, fouetté, chassé, revers, direct, crochet, uppercut (+ croisé, tournant, sauté, swing)


Le volume d’incertitude évènementielle va varier de 1 coup, avec un segment à une hauteur, vers 4 segments possibles, sur 3 hauteurs, avec 7 coups possibles à délivrer.
Thèmes de réflexion :
Comment et pourquoi « jongler » avec ces variables en fonction du niveau de l’apprenant ?



Stage PAF 2008 – J.L. Fritsch § F. Simon

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