Note concernant les noms de personnes








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Les Mandalas:
Complément numéro Un = Livre Six

L’Homo Nexius.
Introduction :

Dans les cinq livres de la saga des Yantras, la période qui précède l’élection du Président Quaring, celle durant laquelle les humains commençaient à s’organiser afin de tenter les premières expéditions hors de notre système solaire, se trouva éludée volontairement car il me fallait entrer directement dans mon sujet. Pourtant, elle ne manque pas d’intérêt. Lorsque vinrent les années A.A. et l’organisation mondiale de la planète, il fallut trois bons siècles aux hommes pour qu’ils s’y adaptent pleinement. Puis, comme toujours, le nouveau système poussa les choses et leurs principes un peu plus loin que nécessaire et dut, juste avant Quaring, revenir en arrière pour éviter des troubles. Les historiens attribuent à cette période un peu glauque, et de façon ironique, la désignation de « L’ère des Homos Nexius » (contraction de Nextius de l’anglais next= proche).

Nous allons la visiter ensemble dans ce livre qui, le premier, complète la saga des Yantras. Je dois préciser, uniquement pour ceux qui on lu tout le cycle des Yantras, que la période considérée se place quelques années avant le voyage dans le temps que l’un des héros, Mat Ducerf, avait du entreprendre pour modifier d’un poil l’histoire de notre monde. J’aurais pu donner à ce livre la numérotation zéro pour le placer avant le premier tome. Pour ceux qui, par hasard, attaqueraient le Saga, juste par le tome 6, je leur précise qu’ils peuvent, allègrement, sauter le paragraphe qui suit.

Donc, ceux qui aiment les précisions enregistrerons que lorsque les mathématiciens commencèrent à parler du Quanda (La grandeur qui permet de mesurer le décalage de temps existant entre deux mondes parallèles - voir Mandalas tome 3 « le hop double ») ils prirent arbitrairement, comme Quanda Zéro de référence, le temps correspondant à ce qu’il advint APRES les modifications qu’amena Ducerf. Pendant très longtemps les historiens décidèrent de confondre les deux périodes, mais, mathématiquement, le temps « normal », celui du Président Quaring fut finalement confondu avec le temps très subtilement modifié par Ducerf. En un mot, les Terriens ne voulaient plus rien savoir de ce qu’avait été leur réalité d’avant la modification. Ils n’avaient pas changé de Quanda - opération impossible pour eux - mais ils purent habilement modifier la trame de leur évolution passée. La période qui existait « avant » se trouva désignée, abusivement, mais de façon commode pour l’esprit, par les termes de Quanda moins epsilon. Ce qui ne signifiait rien mais donnait, au moins, un repère.
Note concernant les noms de personnes :

Les lecteurs de cette saga savent qu’en ces années A.A. chaque individu portait une identité composée de trois groupes : un de cinq à six lettres, un de quatre à cinq chiffres et enfin un dernier groupe de cinq à six lettres. L’ordinateur Central, Nounou, fixait dès l’autorisation de naissance, ces précisions qui suivaient l’individu dans toutes ses démarches, officielles ou non. Souvent ces termes se montraient complètement imprononçables ou particulièrement « lourds » à retenir ou trop difficiles à mémoriser. Le lecteur ne s’étonnera donc pas, qu’entre eux, les individus se soient désignés sous des diminutifs ou des surnoms bien plus commodes à manier et clairs pour tous dans un environnement précis. Je décide d’adopter la même méthode et de me contenter d’appliquer un seul et unique nom à chaque individu rencontré. Lorsque je me trouve confronté à une homonymie, cas rarissime, je triche et je change le nom…

Je ne me voyais pas en train de parler de Zhgon 4521O Jlobuw durant des pages et des pages. D’ailleurs, ce premier ministre des Etats de L’Est ne paraît pas dans le présent récit. Mais, le cas échéant je me contente de le nommer : Jlob tout simplement car tous ses amis et collaborateurs emploient ce sobriquet.

PREMIERE SECTION : GIAROU

Une Cérémonie du souvenir.

Comme le voulaient les usages, seuls les parents proches et quelques amis intimes du défunt participaient à cet événement de courte durée. Voilà maintenant deux années que Hans dormait sous la terre. Son fils Robert, accompagné de son épouse et de leurs trois enfants se trouvaient tous là et attendaient en silence. Robert se devait de prononcer un petit discours qui, en quelques phrases, évoquerait un peu mieux son brave type de père.

Giarou, le plus jeune de sa génération, à peine sept ans, tête brune coupée en brosse, se souvenait avec tendresse du vieil Hans. Sa disparition laissait une blessure non encore cicatrisée en lui. Oui, il l’appréciait bien ! Cet homme l’aimait tendrement et lui consacrait beaucoup de son temps. Les autres retraités qui, comme Hans, ne rejoignaient pas encore leur Centre de regroupement, s’occupaient autrement. Ils cherchaient plus à se divertir entre eux qu’à donner le peu du temps leur restant à vivre à un gamin impubère habitant dans un « Bloc » qu’ils quitteraient eux-mêmes sous peu et à jamais.

Giarou était très ému de se trouver là, fort disposé à entendre quelques nouveaux détails concernant Hans, informations que son père allait certainement révéler au reste de la famille. Ainsi le voulaient les usages. Le groupe familial, comme tous les gens de l’immeuble ou des différents blocs emboîtés connaissaient peu ou prou Hans et ses facéties tardives. La parentèle la plus proche, sa famille au premier et second degré, avait toujours considéré le père de Robert comme un original (au mieux) ou comme un sauvage (au pire) !

Il y eut un brusque arrêt dans les échanges verbaux et Giarou tendit l’oreille pour ne rien perdre du laïus :

« Nous voici réunis aujourd’hui pour évoquer l’image de mon père « Hans » auquel je souhaite rendre hommage. Je veux d’abord dire que Hans fut le plus parfait des pères et qu’il veilla à ce que sa famille ne manque de rien, et ce, pendant toute sa vie active. Plus tard, il se laissa aller à étudier diverses philosophies dont certaines l’amenèrent à afficher des comportements un peu originaux, mais, et j’y insiste, il resta jusqu’au bout dans la légalité la plus stricte.

Certains diront que de quitter son bloc pour aller se perdre dans la nature au lieu de rejoindre son Centre de « Regroupement des Aînés » relève d’une sorte de folie comportementale et affiche un caractère asocial. Ils gardent le droit de le penser, mais qu’ils n’oublient jamais que Hans a vécu bien avant nous ! Cela se passait à une époque durant laquelle s’appliquaient d’autres règles que les nôtres et que tout choix de vie restait complètement libre s’il n’affectait pas les autres.

Je vois, parmi nous, l’un de ses amis, plus de ma génération que de la sienne. Il a choisi de participer à notre réunion d’évocation par pure fidélité. Il s’agit de Gambe qui occupe la case 6O2 de notre immeuble et qui, je l’espère, dira quelques mots sur mon père. En effet, il en sait plus que moi sur ses derniers jours parmi nous.

Hans, afin que nous, ses proches, disposions de plus de place, quitta notre cellule et habita à la case 603. Rien ne l’obligeait à effectuer ce déménagement et Hans, né dans les lieux comme les six générations précédentes, pouvait tranquillement y terminer ses jours. Mais, vous le savez, la surface dont dispose chaque famille diminuait de plus en plus au fur et à mesure que la population de la ville s’accroissait. De nos jours, ce phénomène se trouve stoppé par la limitation des naissances et aucun d’entre nous ne se trouvera amené à sacrifier ainsi son confort. Gardez bien cela en mémoire !

Grâce à ce sacrifice, notre famille réaménagea les lieux et un nouvel agencement permit aux parents de donner une cellule chambre à chaque enfant, comme le recommandent les psychologues. Giarou obtint dès son arrivée, un coin à lui, et même si certains disent que dix mètres carrés leur paraissent un minimum, vous savez tous qu’en cloisonnant en hauteur nous réalisons de véritable prouesses. Ainsi, le lit de Giarou est disposé au-dessus de l’espace de travail de son frère, sans que ce dernier ne perde aucun mètre carré au sol. La plupart d’entre vous appliquent de telles méthodes et je n’en dirai pas plus. Je veux souligner que sans la volonté de mon père de quitter les lieux derechef, aucune transformation de l’espace ne devenait possible avant les cinq ans durant lesquels Hans pouvait encore choisir de rester parmi nous.

Certains d’entre vous ne savent pas à quel point ces cellules du type 602 ou 603 sont inconfortables et restrictives. J’en dirai un mot pour que tous ici, et en particulier mes enfants, sachent ce qu’ils doivent à mon père. Ces cellules virent le jour au Japon dans les années qui précédèrent les années A.A. Plus que des chambres elles ressemblent à des cercueils aménagés ou à des alvéoles de ruches. On ne peut s’y tenir debout. Les dimensions « standard » n’ont pas variées depuis cette époque. Un homme ne mesurant jamais plus de deux cent vingt centimètres, cette dimension devint la longueur intérieure utile. La largeur totale du lit est fixée à quatre vint dix centimètres et on laisse un espace dit « libre » ou « ruelle » de quarante centimètres en plus pour que l’occupant puisse s’asseoir sur le bord de son lit. Ceci vous fixe la largeur, soit un mètre et trente centimètres. Pour choisir les dimensions verticales on décida que, sous le lit, existeraient des rangements pour les effets et les objets personnels. Le bas de la couche se trouva donc positionné à trente centimètres du sol. La literie, matelas et couvertures comprises, prenait vingt centimètres et ce qui séparait le lit du « plafond » permettait tout juste d’y ramper mais pas de prendre une position assise confortable, sauf à mettre les jambes dans la ruelle du lit. Bref Hans, comme ses voisins ou les anciens japonais de l’époque de la surpopulation, bougeaient comme ils le pouvaient dans une cellule de un mètre trente cinq de haut, au mieux. Voilà pourquoi, lorsqu’ils entrent dans leur cellule, ils ouvrent la trappe d’accès qui donne sur le couloir et se glissent sur leur couche en attendant la fermeture automatique. Ensuite ils dorment ou prennent une position assise pour consulter leurs écrans, utiliser leur médic ou se livrer à leur activité favorite. Certains écoutent de la musique, d’autres regardent les médias et se baladent sur la grande toile comme vous et moi. Mais, que de difficultés ils rencontrent pour laver leur visage ou leurs dents au réveil, vu l’exiguïté du petit point d’eau. Pour leurs ablutions corporelles ils doivent utiliser les cabines de leur étage et souvent attendre leur tour. Nous ne devons donc pas nous étonner qu’au bout de plus de trois années, Hans se soit décidé à abandonner l’immeuble. Mais lui, il n’alla pas rejoindre le Centre de Regroupement ! Non, comme vous le savez, il adopta un comportent original. D’aucuns prétendirent que cela constituait une sorte de fuite. Sincèrement, je ne le crois pas, car il faut du courage pour quitter la civilisation et ses avantages.

Oui, je dirai même qu’il montra un certain culot en abandonnant ainsi son immeuble, son bloc et sa ville ! Traversant les zones agricoles, il décida de terminer ses jours en pleine nature sauvage. Je ne peux me prétendre impartial, car il s’agit de mon père et que je l’aimais beaucoup. Mais pensez que durant plus de trois années, avant de nous quitter pour toujours, il passait deux ou trois heures chaque jour en compagnie de Giarou avec lequel il discutait comme s’il s’agissait d’un adulte ou d’un égal ! De quoi parlaient-ils ? Je ne possède aucune information là-dessus. Giarou est peu loquace à ce sujet et je respecte son attitude. Il s’agit de sa vie privée, après tout ! Le seul qui en sait plus là-dessus est celui auquel je passe maintenant la parole. J’appelle : Gambe de la « case » ou cellule 6O2. »

Giarou resta songeur en tentant de se rappeler le visage de son grand-père et ce qu’ils se disaient. Gambe allait maintenant fournir d’autres détails sur la fin de vie de Hans et le gamin, tenu jusqu’à ce jour à l’écart de cette partie de son histoire familiale, prêtait le maximum de son attention et fixait son regard sur Gambe. Ce dernier avança de quelques pas et s’adressa au public - somme toute assez restreint, puisque vingt personnes à peine le constituaient– pour leur préciser :

« Après son départ, Hans tint à me donner régulièrement de ses nouvelles. Il tenta durant les sept années de sa vie sauvage, de me persuader du bien fondé de sa position et de l’intérêt d’un retour en arrière, par rapport au « progrès ». Sa thèse tient en peu de mots : Hans prétendait que nous dépassions le seuil à partir duquel les progrès techniques n’engendrent plus de bienfaits mais au contraire deviennent producteurs d’inconvénients et, disait-il, d’un abêtissement de l’homme.… Une autre de ses antiennes concernait les communications qui, selon lui, débordaient le cadre des besoins et surchargeaient l’esprit humain. En clair, il se sentait excédé par les téléphones, les casques, les messageries plus ou moins sollicitées, les écrans, les caméras de surveillance et tout le reste ! Cela l’obsédait et le conduisit à décider de vivre directement, et en autarcie, de ses cueillettes, chasses et chapardages divers.

Dans la zone où il avait choisi de s’établir de manière fixe, il trouva une grotte de faibles dimensions qui restait sèche toute l’année. Deux ou trois sources coulaient dans un environnement proche et l’humidité permettait une vie sauvage à des animaux d’autant plus aisés à capturer que nul ne les chassait depuis plus d’un siècle. Lapins de garenne pris au collet, petits oiseaux victimes de trébuchets grossiers et poissons attrapés à la main dans les ruisseaux lui procurèrent les protéines indispensables.

La nature, redevenue sauvage auprès des anciens lieux habités par nos ancêtres, laissait croître quelques fruitiers dont les pommes, les poires, les noix par exemple, diminuaient de taille chaque année mais se rattrapaient en parfum et en goût. Il récoltait de nombreuses baies, mais devait, pour compléter ses provisions, se glisser vers quelques cultures industrielles, pas trop lointaines, et en prélever sa part en évitant l’œil des caméras de surveillance. Il piochait ou piquait au bord des champs, ramassait quelques kilos de pomme de terre ou d’épis de maïs et se constituait une réserve pour la mauvaise saison. Il devait, à son tour, éviter les rongeurs ou les voleurs qui pouvaient lui manger son butin. Il avait opté pour le système des sacs suspendus au bout d’une corde. Il faut croire que cela fonctionnait assez bien puisqu’il survécut tranquillement ainsi.

Il se portait à merveille, mais l’horloge biologique continuait à tourner et, un jour, il diagnostiqua - sur le médic qu’il gardait avec lui depuis son départ- , un infarctus qui le cloua dans sa grotte sur sa paillasse durant une petite semaine. Il accepta alors de solliciter mon aide et je vins le chercher en suivant ses indications. Je le conduisis ensuite au Centre de regroupement des anciens dont il dépendait. Il y reçut de bons soins et y termina sa vie un peu plus d’un an plus tard. Un soir, il se coucha le plus normalement du monde, et, le lendemain matin, il ne se réveilla pas. Voilà bien la plus belle mort qu’un homme puisse se souhaiter. Durant la période ou il vécut en ermite, il me téléphonait, malgré son aversion pour les appareils de communication, à raison d’environ une fois tous les deux mois ou alors, en cas d’urgence. Mais ces cas restèrent peu fréquents. Il s’agissait toujours de lui apporter quelques remèdes ou du petit matériel destiné à la confection de ses pièges ou pour améliorer sa pêche. Je ne vois rien d’autre à dire et j’éprouve pourtant, l’impression de trop m’étendre sur ce sujet. J’ajoute seulement, qu’à l’évidence, je représentais, pour lui, le lien, existant encore quoique ténu, entre sa famille et lui. Je donnais des nouvelles de l’un ou des autres à la demande des intéressés. En tant qu’ami comment aurais-je pu m’en abstenir ? Je dois également adresser une recommandation particulière à Giarou. Je précise que Hans voulait que je la lui transmette lors de la présente occasion. Je n’en comprends pas le sens, mais la voici : Hans recommande à Giarou de jouer aux billes en utilisant de gros calots. Il lui demande de s’entraîner à ce jeu aussi souvent que possible. Voilà ! Maintenant, la transmission de ce message est accomplie selon la volonté du défunt. »

Giarou restait songeur car, pas un instant, il n’avait envisagé qu’un message venant de son aïeul puisse lui parvenir, post mortem. Il se souvenait assez bien de quelques détails concernant leurs échanges verbaux et des balades qu’ils faisaient ensemble. Mais de ceci, rien ne restait très net dans sa mémoire puisque, en deçà de trois ans ou trois ans et demi, tous les souvenirs s’enferment dans ce qui deviendra la partie enclose de chaque individu. Pourtant, il adorait ce vieux qui lui accordait tant de son temps.

Puis, la question du jeu de billes que Gambe venait d’évoquer, l’interpellait quelque part ! Il venait tout juste de commencer à y jouer et s’y montrait assez malhabile, mais comment Hans le savait-il ?

Le lendemain, happé par ses activités scolaires et le sport, il cessa d’y songer. Mais, dans un petit coin de sa conscience, il se réserva la possibilité de contacter ce Gambe afin de lui soutirer d’autres détails.
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