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La dette : l’une des arnaques les plus ingénieuses de manipulation sociale jamais créée ! » Onglets principaux ![]() Soumis par Frédéric MetaTV le lun, 11/11/2013 - 17:56 ![]() La dette existe depuis bien longtemps. Cependant, peu d'entre nous en connaissent l'origine. Actuellement on parle beaucoup de la dette publique que les citoyens et pays doivent s'efforcer de rembourser. Elle est apparue à cause de nombreux facteurs complexes. Mais il existe un grand facteur qui a amorcé celle-ci. Elle ne fera que s'alourdir si on ne change pas radicalement de système bancaire. Tout d’abord il est intéressant de nous poser ces questions suivantes ; - Pourquoi travaillons-nous ? Pour avoir de l'argent pour se nourrir et acquérir des biens. - Mais qui détient et contrôle l'argent ? Les réserves fédérales et les banques commerciales. - Comment est apparu l’argent (=les billets de banques actuels) ? Lorsque les orfèvres du 17ème siècle ont proposé de rendre un reçu (= devenu les billets d’aujourd’hui) aux clients qui leur confiait leur or destiné au coffre-fort (de l’orfèvre). - Comment les réserves et les banques d’aujourd’hui créent cet argent ? Lorsque que l'on demande un emprunt. - A partir de quoi crée-t-elle cet argent ? A partir de rien ! (c'est là que le système bloque). - Que signifie donc alors l'argent ? C’est une dette, plus on fait d'emprunts, plus il y a dettes, plus l'argent circule, moins cet argent a de la valeur et la vie coûte plus cher. Tout cela fait apparaître l'inflation. - Et les intérêts demandés par la banque dans tout cela ? C'est un système frauduleux de la banque pour gagner encore plus d’argent, et il n'existe pas assez d'argent permettant de couvrir tous ces intérêts. (Les intérêts excèdent toujours l'argent mis en circulation). Pourtant il faut savoir qu’il n'existe aucune loi dictant que l'argent peut être créé à partir de rien. Ce n'est donc pas obligatoirement de l'argent qui appartient à une banque qui sera mise en circulation lorsqu'on demande un emprunt. Le système s'effondrerait directement si tout le monde reprenait l'argent des banques. De plus elle s'octroie le droit de nous saisir nos biens si l'on ne peut rembourser les intérêts. Alors que ces derniers proviennent d'un argent dont la banque n’a elle-même jamais eu en sa possession. C’est ce qu'on appelle « l'esclavage moderne ». Une proposition de loi a été soumise dans le passé proposant une monnaie indépendante, sans création de dette (la green back). Mais le système bancaire à cette époque (et encore aujourd’hui) préconisait que le capital doit contrôler le travail en contrôlant les salaires et donc l’argent. Il refusa alors cette demande. Les banques sont de véritables calomnies car elles nous soustraient à notre réelle liberté. Si tout le monde prend conscience de cette immense arnaque on pourrait faire changer les choses. L’argent est resté un sujet tabou trop longtemps il est temps que cela change. Je vous invite à en parler autour de vous, à vos proches et votre famille. ________________________________________________ ![]() ![]() Un écolo: «Vous savez le saumon d'élevage norvégien, c’est la nourriture la plus toxique du monde. ![]() Après l’enquête d’« Envoyé spécial », le lobby du saumon norvégien s’active. Dans cet excellent reportage diffusé jeudi sur France 2, on voyait confirmé ce qu’on commence à savoir depuis un bon moment : les poissons d’élevage sont bourrés de substances toxiques. Des produits chimiques utilisés dans leur nourriture et dans les substances avec lesquelles on les asperge. En surpopulation dans leur cage, les saumons d’élevage tombent en effet plus facilement malades, infestés par des poux de mer. Un militant écologique norvégien raconte ainsi à « Envoyé spécial » : « Dans les saumons, on trouve du diflubenzuron et toutes sortes de produits chimiques. C’est dégoutant, ces trucs. Vous savez le saumon norvégien, c’est la nourriture la plus toxique du monde. » ![]() Le reportage n’a pas plu au Centre des produits de la mer de Norvège (CPMN). En septembre, cette organisation a signé un accord de collaboration avec le ministère des Affaires étrangères norvégien. Objectif : « Soutenir l’internationalisation, l’innovation et le marketing des produits de la mer de Norvège ». C’est en vertu de ces ambitions que ce lobby a diffusé un communiqué en réaction à l’émission, signalé par une lectrice. On y apprend qu’en gros, il y a pas de problème de santé publique : « Des résultats récents informent que le saumon norvégien est parfaitement sûr et sain. » Mais aussi que l’élevage de saumon est « une activité transparente, réglementée et contrôlée » ou que « la priorité pour la Norvège est de produire des produits sains et sûrs à la consommation. » Une chercheuse poussée vers la porte Les arguments avancés par le document laissent cependant dubitatifs. Exemple : « Tous les tests effectués sur le saumon d’élevage norvégien sont faits en accord avec la législation européenne et norvégienne. Ils sont rendus publics sur le site web du Nifes. » Le Nifes est un institut de recherche étatique norvégien. Problème : on apprend justement dans le reportage qu’il a poussé vers la démission une chercheuse, qui avait étudié les effets sur la santé humaine de l’éthoxyquine, un additif présent dans la nourriture des poissons, . Elle avait découvert des choses gênantes, comme elle le raconte à « Envoyé spécial » : « J’ai découvert que l’éthoxyquine a le pouvoir de traverser la barrière hémato-encéphalique du cerveau. Or cette barrière a une fonction très importante. Elle sert à protéger physiquement votre cerveau contre les substances toxiques et aucune substance étrangère au corps humain n’est censée pouvoir la traverser. » Un poisson nettoyeur qui mange les poux Le CPMN a d’autres arguments pour défendre ses saumons. Au sujet des poux de mer notamment, le centre concède que « le diflubenzuron est parfois utilisé », mais tempère maladroitement : « Les statistiques de 2012 montrent que l’utilisation de diflubenzuron est rare, et que les autres moyens de maîtriser les poux de mer sont utilisés en préférence. La méthode de traitement la plus utilisée consiste à introduire un “ poisson nettoyeur ” (dit “ vieille commune ”) dans les bassins. Les poissons nettoyeurs mangent les poux présents sur la peau du saumon. » Miam miam tout ça. A lire le communiqué, on a presque l’impression de lire les arguments vintages des fabricants de tabac quand ils assuraient que le tabac était bon pour la santé. Difficile pourtant d’oublier qu’en juin, comme Rue89 le rappellait, le gouvernement norvégien a émis « une nouvelle recommandation, forcé de reconnaître – tardivement – que ce poisson gras est aussi bourré de produits toxiques ». Un lobby allié à la diplomatie norvégienne En même temps, fallait-il s’attendre une meilleure réponse du CPMN à des accusations aussi graves ? Le communiqué précise : « Le CPMN a été créé par le ministère norvégien de la pêche en 1991 afin de renforcer la notoriété des produits de la mer de Norvège de par le monde. Ses activités sont financées par le secteur de la pêche et de l’aquaculture via un prélèvement sur les exportations des produits de la mer. » Par e-mail, j’ai demandé à notre blogueuse en Norvège, Diane Barbain, de nous dire son avis sur la question. Secrétaire des Verts au conseil municipal de Bergen, elle critique l’accord signé en septembre entre le CPMN et le ministère des Affaires étrangères : « Le Centre est localisé avec les services de la diplomatie norvégienne à l’étranger, et bénéficie d’un statut de diplomate et de l’adresse de l’ambassade de Norvège en France. » C’est que la France est un marché essentiel pour les producteurs de saumons norvégiens. De l’aveu même du CPMN, dans son communiqué : « La France est le second marché d’exportation pour les produits de la mer de Norvège avec environ 671 millions d’euros par an, ce qui fait également de la Norvège son plus gros fournisseur en matière de produits de la mer. La France est également le premier marché d’exportation de saumon de Norvège avec 136 000 tonnes importées en 2012. » Le saumon est la deuxième ressource économique de la Norvège, après le pétrole. ![]() Ce que l'industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez Soumis par zitouni MetaTV le dim, 27/10/2013 - 11:33 ![]() Ce que l'industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez sur la chimiothérapie et les rayons Waking Times, 21 octobre 2013 Ils nous disent que la chimiothérapie sauve des vies, augmente le taux de survie à long terme et n'endommage pas les cellules saines. Toutes ces affirmations de l'industrie du cancer sont fausses. Un poison tue sans discrimination – il l'a toujours fait et le fera toujours. Tout en endommageant les cellules saines, la chimiothérapie y déclenche la sécrétion d'une protéine qui entretient la croissance de la tumeur et sa résistance à un traitement ultérieur. C'est exact... la chimiothérapie va en fait stimuler la croissance cancéreuse et le traitement des cancers est la cause majeure des cancers secondaires. Derrière les vaccins, médicaments, diagnostics et thérapies, soins dentaires, psychiatrie et pratiquement toute la recherche médicale, existe une industrie et une source de profit pour les sociétés. L'industrie du cancer fait preuve d'une ironie particulière car les produits cancérigènes sont fabriqués par des divisions des mêmes corporations multinationales dont les filiales construisent les scanners et l'équipement utilisé pour diagnostiquer les cancers, mettent au point les médicaments dont on se sert en chimiothérapie et ceux qu'on donne pour prévenir les récidives. Dans quelle réalité vivons-nous où les seuls moyens acceptables de traiter le cancer sont de trancher, empoisonner et irradier ? L'industrie du cancer détruit ou marginalise les remèdes sans danger et efficaces tout en encourageant ses propres remèdes brevetés, coûteux et toxiques qui font plus de mal que de bien. Aucun produit de chimiothérapie n'a jamais réellement guéri ou résolu les causes sous-jacentes du cancer. Les traitements par chimiothérapie considérés par la médecine dominante comme une "réussite" ne font que gérer les symptômes, au prix habituellement d'interférences avec les autres fonctions physiologiques précieuses qui engendreront tôt ou tard des effets secondaires. Il n'existe aucun médicament qui n'ait aucun effet secondaire. La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi La chimiothérapie regorge d'effets négatifs après traitement. Une majorité d'agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l'âge adulte. Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d'origine, mais liés au traitement. Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d'alkylation) sont réputés pour occasionner d'autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d'alkylation endommagent directement l'ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d'autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l'ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l'immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu'il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C'est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement. La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d'un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d'origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie. D'autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l'endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l'âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées. Des médecins dénoncent l'industrie du cancer Le Dr Robert Atkins raconta un jour qu'il existe plusieurs traitements pour le cancer, mais qu'il n'y a pas d'argent à gagner. Ils sont naturels, efficaces et bon marché, ils ne contiennent aucun produit coûteux mais nécessitent une grande autodiscipline de la part des malades. Il faut des millions pour financer les essais en laboratoire et cliniques nécessaires pour fabriquer un nouveau médicament anticancéreux qui pourra être breveté et vendu. Il a été dit que la clé de la réussite dans le commerce de la santé est de sortir un truc génial qui donnera des gens des malades à vie. Pensez à tous ces gens dont les analyses de sang étaient mauvaises, qui sont restés sous médicaments jusqu'à les tuer, alors qu'une prise brève de médicaments avec à côté des changements majeurs de régime alimentaire et de mode de vie, les auraient ramené à une santé sans médication. Selon le Dr John Diamond, "Une étude sur plus de 10.000 patients montre clairement que les soi-disant excellents antécédents de chimio sur maladie de Hodgkin (cancer des globules blancs ou lymphome) sont mensongers. Les malades qui ont subi de la chimio ont été 14 fois plus sujets à développer une leucémie et 6 fois plus enclins à développer un cancer des os, des articulations, des tissus mous que les patients n'ayant pas subi de chimio." Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, fut l'un des plus grands spécialistes du cancer aux États-Unis. Il utilisait des traitements alternatifs avec grand succès. Parlant du traitement du cancer dans ce pays, il disait : "Nous avons une industrie à plusieurs milliards de dollars qui tue les gens juste pour un gain financier. Leur idée de recherche est de voir si deux doses de ce poison valent mieux que trois doses de ce poison". Le Dr Alan C. Nixon, ancien président de la Société de Chimie américaine écrit, "En tant que chimiste formé pour interpréter les données, je trouve incompréhensible que des médecins puissent ignorer l'évidence, que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien". Et selon le Dr Charles Mathé, spécialiste français du cancer, "...si j'avais un cancer, je n'irai jamais dans un centre anticancéreux classique. Seules les victimes du cancer qui vivent loin de ces centres ont une chance." Le Dr Allen Levin déclarait : "Une majorité de malades du cancer de ce pays meurent par la chimiothérapie. La chimiothérapie n'élimine pas les cancers du sein, du colon ou du poumon. Ce fait est documenté depuis plus de dix ans, pourtant les médecins utilisent toujours la chimiothérapie pour ces tumeurs." Dans son livre, "Le Topic du cancer : quand on doit en finir avec la tuerie", Dick Richards cite plusieurs études d'autopsie montrant que les patients cancéreux sont morts en fait à cause des traitements conventionnels avant que la tumeur n'ait eu une chance de les tuer. Comment la chimiothérapie stimule la croissance du cancer Des chercheurs ont testé les effets d'un type de chimiothérapie sur des tissus prélevés sur des hommes avec un cancer de la prostate et ont découvert "une preuve de dommages de l'ADN" sur les cellules saines après traitement, ont écrit des scientifiques dans Nature Médecine. La chimiothérapie fonctionne en inhibant la reproduction des cellules à division rapide du type de celles trouvées dans les tumeurs. Les scientifiques ont découvert que les cellules saines endommagées par la chimiothérapie sécrétaient davantage une protéine appelée WNT16B qui stimule la survie de la cellule cancéreuse (voir article ICI du BBB sur ce sujet). "L'augmentation de WNT16B était complètement inattendue", a dit à l'AFP le co-auteur de l'étude Peter Nelson du centre de recherche sur le cancer Fred Hutchinson à Seattle. La protéine était absorbée par les cellules tumorales voisines des cellules endommagées. "WNT16B, quand elle est sécrétée, interagirait avec les cellules tumorales proches et les ferait grossir, devenir envahissantes et le plus important, les rendrait par la suite résistantes à la thérapie," a expliqué Nelson. Dans le traitement du cancer, les tumeurs répondent souvent bien au départ, puis s'ensuit une rapide prolifération et enfin une résistance à la chimiothérapie suivante. On a démontré que le rythme de reproduction des cellules cancéreuses s'accélérait entre les traitements. "Nos résultats indiquent que les réponses aux dommages des cellules bénignes... peuvent directement contribuer à accélérer l'activité de croissance des tumeurs", écrivait l'équipe. Les chercheurs ont dit qu'ils ont confirmé leurs découvertes sur des tumeurs cancéreuses du sein et des ovaires. Les malades avec un cancer incurable sont promis à accéder plus facilement aux toute dernières drogues qui pourraient leur offrir quelques mois ou quelques années de vie supplémentaire, pourtant de nombreux médecins ont été poussés à devenir plus prudents pour présenter un traitement à ces patients en phase terminale car la chimiothérapie peut souvent faire plus de mal que de bien, conseil soutenu par l'étude de Nelson. 90 % des patients qui reçoivent de la chimiothérapie souffrent d'effets fatals Le NCEPOD ( National Confidential Enquiry into Patient Outcome and Death) a déclaré que plus de 4 patients sur 10 ayant reçu de la chimiothérapie vers la fin de leur vie ont souffert d'effets fatals par les médicaments et que le traitement était "inapproprié" dans presque un cinquième des cas. Globalement, presque 90 % des malades à qui on a administré de la chimiothérapie meurent dans les 15 ans, soit de cancers secondaires ou d'une immunité compromise, conséquence directe du traitement. Chimiothérapie et rayons combinés sont les causes principales des cancers secondaires de par le monde. Il y a eu une augmentation de 68 % dans l'usage de produits de chimiothérapie depuis 2003 et malgré l'augmentation massive de l'incidence des cancers depuis, les facteurs de risque (selon l'industrie du cancer) pour des cancers primitifs et secondaires sont toujours dus au tabac, à l'alcool, aux expositions professionnelles et aux déterminants génétiques. Le traitement ou le diagnostic du cancer n'est jamais mentionné comme la cause de cancers primitifs ou secondaires. Le cancer est la cause principale des maladies et si on regarde pour l'avenir les récentes tendances au plan mondial des cancers majeurs, le fardeau du cancer s'augmentera de 22 millions de nouveaux cas chaque année d'ici 2030. Ce qui représente une hausse de 75 % comparé à 2008. Plus de la moitié de tous les malades du cancer souffrent d'une toxicité notable en lien avec le traitement. Ce dernier peut aussi engendrer des infections graves ou les malades peuvent simplement mourir de leur cancer. Quand on lui a demandé comment améliorer la réponse et le résultat du patient, Nelson a répondu "en alternance, il peut être possible d'utiliser des doses plus faibles, moins toxiques dans la thérapie". En résumé, la chimiothérapie détruit virtuellement toutes les cellules et l'organisme avant de s'occuper du vrai cancer. Ce qui veut dire que votre système nerveux central, les organes et le système immunitaire (pour n'en nommer que quelques-uns) sont tous compromis même des années après l'arrêt du traitement. Oubliez ce qui a été dit sur la chimiothérapie qui fait un meilleur travail sur le long terme en tuant le cancer. La chimiothérapie cause la mort des cellules cérébrales longtemps après la fin du traitement et pourrait être l'une des causes biologiques sous-jacentes des effets cognitifs collatéraux – ou "cerveau chimique" – qu'expérimentent de nombreux malades cancéreux. Le traitement conventionnel du cancer est une énorme et coûteuse tromperie – un non-traitement qui rend malade et tue plus de gens qu'ils ne les "guérissent". Il ne peut jamais guérir quoi que ce soit car il empoisonne le corps, ce qui ne fait qu'entraîner plus tard d'autres maladies. La question [de savoir si la chimiothérapie prolonge réellement ou non la vie, note de l'éditeur] ne peut probablement plus recevoir de réponse. Dans les études cliniques, les fabricants comparent toujours leurs nouveaux produits avec les précédents poisons cellulaires. Il n'y a pas de groupes de contrôle n'ayant reçu aucun traitement. Pour qu'ils soient autorisés sur le marché, il suffit d'obtenir un avantage "statistiquement significatif" dans un petit groupe de sujets- tests soigneusement sélectionnés comparé aux malades traités avec un poison cellulaire approuvé. http://youtu.be/EjZmZf5eJqg La sécurité alimentaire ![]() Chaque jour, des produits de consommation courante sont retirés en urgence des rayons par les autorités sanitaires, qui les jugent suspects ou dangereux à la consommation. Des alertes sont lancées quotidiennement à l'échelle européenne. Et les aliments bio ne sont pas épargnés par ces scandales, comme l'a montré l'affaire des graines germées en Allemagne, contaminées par l’Escherichia coli. En cause bien souvent, l'importation de composants produits dans des pays où les contrôles s'avèrent difficiles, et où les normes européennes ne s'appliquent pas, comme en Chine. Enquête sur les filières d'approvisionnement de l'industrie agroalimentaire, en compagnie d'experts qui veillent à la sécurité des consommateurs, surpris de trouver du colorant industriel dans certains antibiotiques et des salmonelles dans la charcuterie. 100 000 martyrs pour Genève 2, par Thierry Meyssan Haut du formulaire Bas du formulaire Plus ![]() ![]() Alors que la Conférence de Genève, en juin 2012, avait fixé les bases de la paix en Syrie, la guerre a repris durant un an et demi. 100 000 morts plus tard, les puissances étrangères qui ont planifié et alimenté le conflit ont fini par admettre leur défaite. Moscou et Washington envisagent donc de réunir une nouvelle conférence à Genève pour leur faire acter la victoire de la République arabe syrienne. La Conférence de Genève, en juin 2012, devait jeter les bases de la paix en Syrie. À l’époque, l’Otan avait renoncé à bombarder le pays comme elle l’avait fait en Libye, pour ne pas entrer en conflit avec la Russie et la Chine. La France de Nicolas Sarkozy avait négocié le retrait de ses conseillers militaires de l’Émirat islamique de Baba Amr et obtenu la restitution de ses officiers qui avaient été faits prisonniers. Logiquement, on pouvait estimer que l’État syrien avait gagné la partie et que le retour à la normale était proche. Pourtant, le soir du 30 juin, la France, qui venait d’élire François Hollande à sa présidence, émettait une réserve sur l’interprétation du communiqué final. Selon elle, le gouvernement de transition devant être accepté par toutes les parties, l’accord impliquait le départ définitif du président el-Assad. Une semaine plus tard, le président Hollande recevait à Paris la 3ème réunion des « Amis du peuple syrien » avec en guest star, Abou Saleh, le jeune journaliste de France 24 et d’Al-Jazeera qui avait fait régner la terreur à Homs. Finies les promesses de Sarkozy : puisque la guerre de 4ème génération (celle des mensonges médiatiques) avait échouée, on allait passer à la guerre de type nicaraguayen avec des dizaines de milliers de combattants étrangers. Ce revirement de la France s’explique à la fois par l’appétit de quelques personnalités de la classe possédante et par la corruption de la nouvelle équipe dirigeante. ![]() ![]() L’attaque fut lancée le 18 juillet 2012 par un attentat qui coûta la vie aux membres du Conseil de sécurité nationale. Il s’en suivit une guerre d’un an et demi qui fit plus de 100 000 morts. Il est convenu de dire aujourd’hui que cette guerre n’aura pas de solution militaire, les Contras étant remplacés au fur et à mesure de leur élimination. Moscou et Washington parlent aujourd’hui d’une Conférence de Genève 2. En effet, le Royaume-Uni a opportunément été contraint de se retirer par un vote de sa chambre des Communes ; l’émir de Qatar a été contraint par les États-Unis à abdiquer ; la France n’a pas pu maintenir sa pression militaire depuis son opération au Mali ; la Turquie est trop divisée pour mener des opérations de grande envergure. Il ne reste à vrai dire qu’un seul joueur : l’Arabie saoudite. Riyadh a établi son ministre-adjoint de la Défense à Amman pour y constituer une force de 50 000 mercenaires. Il avait été prévu que le bombardement chimique de la Ghoutta par les Contras avec du matériel turc donnerait le signal d’un retournement de situation. Les commandants alliés se réunirent à Amman pour mettre au point le changement de régime. Puis : rien. En réalité, de même que Washington a contraint l’émir du Qatar à quitter la scène, de même cette excitation n’avait d’autre but que de contraindre l’Arabie saoudite au retrait. Après avoir hurlé de douleur et annoncé vouloir se venger des États-Unis, les Séoud sont apparemment rentrés dans le rang lorsque John Kerry est venu leur rappeler qu’ils ne sont installés sur leur trône que par la volonté de l’Occident. Dès lors, la Conférence de Genève 2 devrait se tenir soit début décembre, soit fin janvier. Les Alliés des États-Unis devraient enfin y entériner l’accord secret conclu entre Moscou et Washington, il y a un an et demi. ______________________________________________________________ Fukushima : Un nouveau séisme au Japon de plus de 7 pourrait forcer l'évacuation de la côte ouest américaine ![]() David Suzuki a dressé un portrait effrayant de l'avenir du Japon si celui-ci devait à nouveau être touché par un tremblement de terre qui affecterait la centrale nucléaire de Fukushima. Un scénario catastrophe qui entraînerait l'évacuation de la côte ouest de l'Amérique du Nord et signerait la fin du Japon. «Bye bye Japan», a-t-il résumé lors d'un colloque sur l'écologie qui s'est tenu à l'université de l'Alberta les 30 et 31 octobre. «Fukushima est la situation la plus terrifiante que je peux imaginer», a-t-il dit, expliquant qu'un tremblement de terre de 7 ou plus sur l'échelle de Richter serait dramatique. Pour David Suzuki, il y a 95 % de chance qu'un tel tremblement de terre survienne dans les trois prochaines années. Il a également accusé le Japon d'avoir «trop d'orgueil» pour admettre la nécessité de l'intervention d'une équipe internationale pour régler le problème. Le spécialiste environnemental a rappelé que trois des usines nucléaires sur quatre ont été complètement détruites lors du tremblement de terre de magnitude 8,9 et du tsunami qui sont survenus en mars 2011. La quatrième ayant été fortement endommagée, pourrait elle aussi être détruite par un nouveau séisme aussi important. ![]() ENTREPRISES Des recommandations sont formulées pour éviter les conflits La religion, un droit à gérer Une écrivaine chinoise qui a voulu conservé l’anonymat », selon les organisateurs. UNION EUROPÉENNE Négociations budgétaires Les institutions européennes ont repris lundi leurs négociations pour tenter de boucler le budget 2014. Les Etats membres, le Parlement et la Commission européenne ont jusqu’à mercredi pour boucler un compromis, sous peine d’abandon du projet de budget annuel. 20 secondes Mardi 12 novembre 2013 Economie■■■ 13 Mathieu Bruckmüller Pas « de phénomène massif », «mais une hausse des situations problématiques ». Dans un projet d’avis présenté ce mardi, le Conseil économique social et environnemental (Cese) reconnaît que les «difficultés associées à l’expression religieuse » en entreprise sont aujourd’hui «plus répandues ». Selon une étude conduite en 2012-2013 par l’Observatoire du fait religieux en entreprise (Ofre), 28 % des managers en ressources humaines (RH) interrogés ont déjà été confrontés à ce type de problèmes, dont plus de 40 % dans la région Ile-de-France. « Liberté fondamentale » Le Cese formule sept recommandations, dont la première est de permettre «l’accès des employeurs et des salariés au droit applicable en matière de liberté religieuse sur le lieu de travail afin d’éviter des malentendus et des conflits ». Car, « en dehors des services publics auxquels s’applique en France le principe de laïcité, l’employeur ne peut imposer à ses salariés un strict devoir de neutralité religieuse. La liberté religieuse est une liberté fondamentale », rappelle le Cese. S’il interdit tout prosélytisme sur le lieu de travail, le Code du travail admet toutefois des restrictions aux libertés fondamentales, par exemple pour le respect des règles d’hygiène et de sécurité . ENCHÈRES Quelques grammes de richesse Onze truffes blanches ont été adjugées ce week-end pour 274 200 €, lors de la 14e vente aux enchères mondiale organisée à Alba, près de Turin (Italie). Un lot d’une paire de truffes pesant 950 g a été vendu pour 90 000 € à une « célèbre écrivaine chinoise qui a voulu conservé l’anonymat », selon les organisateurs. De l’UNION EUROPÉENNE Au Yémen, les ennemis d’hier œuvrent à la construction d’un nouveau pays LE MONDE | 29.10.2013 à 12h52 |Par François-Xavier Trégan (Sanaa, envoyé spécial) Réagir Classer |