La crise d’adolescence n’a rien d’une fatalité








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date de publication31.03.2017
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LA CRISE D’ADOLESCENCE N’A RIEN D’UNE FATALITÉ

Conseils et exemple de ce que l’on peut dire

Le sujet est le suivant :



MANIERE DE PROCEDER :

  1. Lire le sujet en détail et dégager le thème de l’article // Dégager les sous-thèmes ou les idées qui permettent de débattre et d’orienter une argumentation

La crise d’adolescence est en fait une idée reçue, car son existence n’a été prouvée que par des ado instables. Depuis le XVIIIè, on parle d’elle.

Sous-thèmes : il n’y a qu’ado révoltés ou déprimés / la biologie n’y est pour rien dans la soi-disant crise d’ado / opposition aux parents ou aux prof, aux adultes en général / il vaut mieux faire une crise jeune que plus vieux / pour étudier la crise, on se base sur des ado ayant des difficultés, donc on ne voit pas les autres, ceux qui n’ont aucun problème

  1. Rechercher ce qu’on a à dire sur ce thème : pour / contre

  1. Définir la crise d’ado : moment pendant lequel un « jeune », entre 12 et 17 ans, est instable émotionnellement et s’oppose à l’autorité en s’affirmant. Cela provoque des conflits entre parents et enfants, plus ou moins graves, qui vont plus ou moins loin suivant les enfants.

  2. Rechercher les causes : besoin de s’affirmer, instabilité physique qui se traduit par une fragilité morale, processus normal qui fait partie de la croissance et permet une véritable indépendance. C’est le moment où le jeune se rend compte que ses parents n’ont pas tjs raison, et même qu’ils ont svt tort.

  3. Chercher des exemples, des idées pour ou contre : regarder autour de soi, réfléchir à sa propre expérience, à celle de ses amis, frères et sœurs, parents, etc. Est-ce un phénomène qui a tjs existé, qui est nouveau, qui, comme le dit l’auteur de l’article, n’est qu’une fable ?

  4. Classer les idées : en deuxième partie, ce qui me semble vrai, en première partie, des contre-arguments à ma propre position. Mettre des numéros devant les idées.



  1. Préparer son plan

  1. Faire une introduction : on a maintenant une idée claire de ce qu’on va dire, donc on peut faire son intro : définition du thème (reformuler la question de l’énoncé), puis définition des termes-clés du thème (ds ce cas, crise d’ado), puis éventuellement, annonce du plan (dans un premier temps, nous verrons pourquoi on peut dire que la crise d’ado est un phénomène bien réel, puis nous montrerons comment, en réalité, cette manifestation n’est pas une fatalité, en nous appuyant sur des exemples concrets).

  2. Détailler ses arguments : analyser les exemples qu’on a pris pour voir si les personnes avec crise d’ado la font par « programmation biologique », et qu’est-ce qui permet de le dire, ou au contraire, la font parce qu’ils ont des problèmes pathologiques, et qu’est-ce qui permet de le dire. (exemple : un ami : il a causé de gros problemes a sa famille, a eu un accident grave qui a mis en danger sa vie et la stabilité émotionnelle de sa famille proche / Pourquoi a-t-il fait cela ? ses parents divorçaient / il se droguait / tous les jeunes ft cela / il lui manquait des limites à la maison / il était éduqué d’une manière trop stricte) – Réfléchir en tout cas si c’est pathologique ou non.

Préparer par écrit une phrase de transition entre chacune des idées pour montrer qu’elles ont un lien, qu’elles ne sont pas séparées les unes des autres.

  1. Préparer sa conclusion : en conclusion, résumer en une phrase tout ce qui a été dit, puis donner son opinion personnelle, en répétant rapidement son argument le plus fort, puis ouvrir le débat sur une question plus vaste, par exemple : est-ce qu’en Afrique, où la population subit des dommages corporels et psychiques graves, du au manque de nourriture, la crise d’adolescence est également présente ? On peut se demander si nos parents ou grands-parents ont vécu ce problème, auquel cas la crise serait un phénomène de société, provoqué non pas par une pathologie quelconque, mais plutôt par « l’air du temps ».

Il faut évidemment RELIER les idées entre elles par des CONNECTEURS LOGIQUES principalement.

Créé par Stéphanie Bartomeu


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