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À qui de droit et tous les lectrices/teurs : J'ai un excellent traité qui s'intitule : La Théorie de l'évolution : Faut-il l'accepter? qui se trouve à mon site Internet : www.egliseduchristquebec.com sous l'onglet : Les Documents Scientifiques ou sous l'onglet : Les Traités CEB sous la lettre T. Je vais tenter de coller ici le traité, en cas où, cela ne fonctionne pas ou en partie, vous pouvez aller au site pour le traité. Bonne lecture et étude.... examinez toutes choses.... 1 Thessaloniciens 5, 21, Cela est un esprit scientifique, n'est-ce pas? LA THÉORIE DE L'ÉVOLUTION : FAUT-IL L'ACCEPTER? «On n'ira pas vérifier ce dont on est intimement persuader, mais la remise en question est la règle en science. » « 1 Au commencement Dieu créa le ciel et la terre... 11 Et Dieu dit : Que la terre se couvre de verdure, d'herbe porteuse de semence, d'arbres fruitiers donnant sur la terre des fruits selon leur espèce... 20 Que les eaux se mettent à grouiller d'êtres vivants, et que la terre des oiseaux volent sous l'étendue céleste... 24 Que la terre produise des êtres vivants selon espèce, bétail, reptiles, animaux terrestres, chacun selon son espèce... 27 Et Dieu créa à l'image de Dieu, homme et femme il les créa. » (Genèse 1.1, 11, 20, 24, 27). « 11 Car en six jours l'Éternel a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s'y trouve » (Exode 20.11). L'ORIGINE ET LE RÉSUMÉ DE LA THÉORIE DE L'ÉVOLUTION PAR LA SÉLECTION NATURELLE « Charles Darwin (1809-1882) a publié sa théorie de l'évolution en 1859 dans le livre, L'Origine des espèces. Il proposait que, puisque la plupart d'espèces produisent beaucoup plus de petits que ne pourrait survivre et parvenir à la maturité, il se déclenchait inévitablement une lutte pour la survie. Dans une telle lutte, seuls les plus forts ou les mieux adaptés survivaient. Ces individus survivants, les mieux adaptés, transmettraient leurs qualités supérieures à leurs petits. Darwin tira la conclusion que de nouvelles espèces se produisent grâce à la survie et la reproduction des espèces qui sont les mieux adaptés à chaque environnement. » (Shelly, 85) « L'idée d'évolution (sous le nom de « transformation ») circulait déjà dans la communauté scientifique depuis longtemps, mais Darwin est le premier à proposer un mécanisme convaincant expliquant la transformation des espèces au cours du temps. Pour lui, tout repose sur la « variation » au sein des espèces et sur la sélection des individus. Qu'il s'agisse de mouches, de moutons ou d'humains, chaque individu est unique. Tous les membres d'une même espèce diffèrent les uns des autres par des « variations » de taille, de couleur, de résistance aux maladies ou de comportement. Dans l'environnement naturel des animaux, certaines variations sont avantageuses, d'autres non. Certains individus survivent et se reproduisent, d'autres non. C'est ce que Darwin a appelé ‘sélection naturelle’. « Le concept de la sélection naturelle était le fondement du darwinisme. Cette affirmation est même mise en évidence dans le titre du livre dans lequel Darwin expose sa théorie : L'origine des espèces, au moyen de la sélection naturelle... Il croyait avoir trouvé un mécanisme pour expliquer, sans avoir recours à l'idée de Dieu, l'origine de toutes les espèces de vie terrestre. « La sélection naturelle se fonde sur l'hypothèse que dans la nature il existe une lutte permanente pour la survie. Les plus forts, ceux qui s'adaptent aux conditions naturelles, arrivent à survivre. Par exemple, pour une horde de cerfs menacée par des 22 prédateurs, ceux qui sont les plus rapides parviendront à survivre. La horde de cerfs ne sera composée en fin de compte que des bêtes les plus rapides. » (www.findudarwinisme.com) « Les évolutionnistes citent la girafe, aussi, comme un exemple qui démontre l'action du principe de la survie des plus adaptés qui fut popularisé par Darwin. Les girafes mangent les feuilles d'arbres. À un moment dans le passé lointain, selon l'évolutionniste, à cause de sécheresses sévères et répétées, les feuilles les plus basses devinrent très clairsemées; elles furent toutes mangées ou moururent. À cause de cette catastrophe, seules les girafes ayant les cous les plus longs survécurent. Les girafes au cou long se reproduisirent ensemble et passèrent à leur progéniture ce trait – un cou très long. Ainsi, de nos jours, nous avons la girafe qui nous est familière. Toutes les girafes au cou court moururent de faim. » (Shelly, 85, 86). Les exemples du cerf et de la girafe sont valables pour toutes les espèces. Quelle que soit la population concernée, la sélection naturelle est censé éliminer les plus faibles ou ceux qui sont incapables de s'adapter aux conditions changeantes de leur habitat. Cela ne produit pas, pourtant, de nouvelles espèces, de nouvelles informations génétiques ou de nouveaux organes. Ce qui signifie que la sélection naturelle ne suffit pas pour qu'une espèce évolue. Darwin aussi acceptait ce fait, déclarant que « la sélection naturelle ne peut rien jusqu'à ce qu'il se présente des différences ou des variations individuelles favorables. » * C'est ce qui a poussé le néo-darwinisme à ajouter au concept de sélection naturelle, le mécanisme de la mutation comme facteur d'altération de l'information génétique. (* Charles Darwin, The Origin of Species by Means of Natural Selection, The Modern Library, New York, p. 127.) LA MACRO-ÉVOLUTION V. LA MIRCO-ÉVOLUTION Personne ne conteste le fait que ce qu'on appelle communément la « microévolution » (la variation au sein d'un type d'organisme), causée par la sélection naturelle, a lieu, et pourrait être responsable du grand nombre d'espèces au sein d'un type. Presque toutes les prétendues preuves de l'évolution (tels que « les pinsons de Darwin » et les bactéries qui deviennent résistantes aux antibiotiques) sont de cette catégorie. Nous voyons d'énormes différences entre les plus de 300 races de chiens, depuis le tout petit chihuahua et les très grands bergers allemands ou saints-bernards. Ces races ont été produites par la reproduction sélective opérée par des hommes. Il est important de souligner, pourtant, que « micro-évolution » ne convient pas comme appellation, car il suggère qu'un « peu » d'évolution a eu lieu. Il s'agit simplement d'accentuer par rapport aux autres tel ou tel trait déjà existant. Quant à la macro-évolution, il y a bien des scientifiques qui ne la reconnaissent pas comme une réalité. La mutation jointe à la sélection naturelle n'a pas réellement le potentiel de produire de changement à grande échelle d'un type d'organisme qui se transforme en un autre, la prétendue « macro-évolution ». Il n'y a absolument aucun cas, par exemple, d'une transition d'un phylum (embranchement) à un autre. Les partisans de Darwin reconnaissent ceci comme une question pour la recherche. D'autres, tels que 33 Benton et Behe, sont allés plus loin et ont écrit des livres qui fournissent les données incontournables qui montrent scientifiquement pourquoi de telles transitions sont impossibles. Leurs observations ne semblent pas, pourtant, bien connues en dehors des milieux spécialisés dans l'étude des origines. Dans l'étude présente, nous employons le terme « évolution » presque toujours pour nous référer à la macro-évolution. LES CONSÉQUENCES POUR LA FOI EN DIEU ET À LA BIBLE Si la théorie de Darwin ou l'une des nombreuses révisions de sa théorie étaient vraies, quel serait l'impact sur la foi en Dieu et en la Bible? Il est vrai que de nombreux croyants essaient de concilier la théories darwinienne et la foi en Dieu. On les appelle parfois des « évolutionnistes théistes ». Ils acceptent l'idée que la vie sur terre a commencé comme un organisme d'une seule cellule (ou même une forme de vie encore plus simple et primitive) et qu'elle a évolué lentement sur la terre depuis des milliards d'années. Le résultat de ce processus serait la variété infinie de plantes de d'animaux que nous voyons aujourd'hui, y compris les êtres humains. Mais les évolutionnistes théistes maintiennent que ce processus, loin d'être aveugle et aléatoire, fut guidé par Dieu. Ils affirment que Dieu créa toutes les formes de vie sur la terre, mais qu'il se servit du processus de l'évolution pour les créer. Ils traitent le récit de la création dans le livre de Genèse comme de la mythologie, comme des paraboles à ne pas prendre au pied de la lettre. Certains interprètent les six jours de la création en Genèse 1 comme étant six ères géologiques, chacune ayant une durée de plusieurs millions d'années. Nombreux sont ceux qui ne sont pas satisfaits par une telle approche. Ils ont la nette impression que Jésus et ses apôtres croyaient que Adam et Ève, Énoch, Noé et d'autres personnages mentionnés dans les premiers chapitres de la Genèse avaient réellement vécu (voir, par exemple, Matthieu 19. 3-6; Romains 5. 12-21; 1 Timothée 2. 12-14; 1 Pierre 1. 20). Ils se demandent pourquoi, si l'on doit renoncer à l'action miraculeuse de Dieu dans la création, on croirait à d'autres miracles racontés dans les pages de la Bible, y compris la naissance de Jésus d'une vierge et sa résurrection d'entre les morts. Ils remarquent que la Bible insiste en plusieurs endroits sur le fait que Dieu créa l'homme à son image (Genèse 1. 27; 9. 6; 1 Corinthiens 11.7; Colossiens 3. 10) et que l'homme est doté d'une âme éternelle (Matthieu 10. 28); ils se demandent donc à quel point dans la progressions de l'homme Dieu décida qu'il portait son image ou lui inséra une âme. Selon la Bible Dieu dit à l'homme et la femme « d'assujettir la terre et de dominer sur tous les animaux » (Genèse 1. 26, 28); ces personnes se demandent à quel moment exactement Dieu aurait donné l'autorité aux premiers êtres humains sur leurs parents, frères et soeurs qui étaient encore pré-humains et donc de simple animaux. Lewis Oldham a suggéré que les évolutionnistes théistes « ne font ni de bon chrétiens ni de bon évolutionnistes, car ils doivent continuellement rejeter des aspects de chacun des deux systèmes de pensée ». 44 Il faut reconnaître qu'en général, accepter la théorie de Darwin finit par affaiblir ou carrément détruire la foi en Dieu et à la Bible. Darwin lui-même a reconnu que, selon sa conception, Dieu n'était plus « nécessaire » pour expliquer les origines de ce monde et toutes les formes de vie qui le peuplent. Non seulement Dieu n'est pas nécessaire, mais pour un grand nombre de scientifiques il n'est pas bienvenu. Les scientifiques d'autrefois, quand ils écrivaient sur différents aspects de l'univers et de la vie sur cette planète, exprimaient souvent leur admiration à l'égard de l'intelligence infinie du Créateur. Par contre, évoquer Dieu aujourd'hui dans une discussion scientifique provoque presque toujours l'indignation de ceux qui affirment qu'on n'a aucun droit de mélanger la religion et la science. Cette astuce permet de rejeter d'office l'examen sérieux des arguments scientifiques avancés en faveur de l'idée que le monde fut créé par Dieu. La théorie de l'évolution et considérée par beaucoup comme la seule théorie compatible avec la science; il n'est donc pas permis de l'attaquer. On peut, à la rigueur, mettre en doute certains détails ou proposer des modifications, mais rejeter le système évolutionniste en bloc serait donner la possibilité au Dieu qu'on a banni de revenir sur la scène. Bref, personne ne peut nier que la théorie de l'évolution a amené des millions de personnes à ne pas croire en Dieu. LA FOI CHRÉTIENNE EST-ELLE INCOMPATIBLE AVEC LA SCIENCE? Beaucoup pensent que tous les vrais hommes de science épousent la théorie de l'évolution au point de la considérer, non pas comme une théorie, mais comme un fait scientifique qui est solidement établi par des preuves incontournables. En réalité, des milliers de scientifiques hautement qualifiés croient que les preuves scientifiques s'harmonise beaucoup plus facilement avec le récit biblique de la création qu'avec la théorie darwinienne. Ils acceptent la réalité de la micro-évolution, mais non de la macroévolution. Parmi les milliers de ces « scientifiques créationnistes », cinquante hommes et femmes, chacun ayant au moins un doctorat, ont contribué des chapitres à un livre intitulé In Six Days (En Six Jours) (John F. Ashton, Master Books) dans lequel ils défendent l'idée que l'origine de la vie sur terre est bien la création par Dieu en six jours comme la présente la Bible. Ils sont des diplômés d'universités agréées en Afrique du Sud, en Allemagne, en Australie, au Canada, aux États-Unis ou au Royaume-Uni. Parmi leur nombre on trouve des professeurs universitaires, chercheurs, géologues, zoologistes, biologistes, botanistes, physiciens, chimistes, mathématiciens, chercheurs médicaux et ingénieurs. Les partisans de l'évolution cherchent souvent à discréditer les scientifiques qui ne partagent pas leur point de vue. Ils disent, par exemple, que « les créationnistes cherchent aussi, pour convaincre, à se revêtir des habits de la science. » On les traite de « pseudoscientifiques ». Si un biologiste affirme, par exemple, que l'oeil est une structure biologique tellement complexe qu'il n'a pas pu apparaître par le seul jeu de la sélection naturelle, on parle « d'une démission de la pensée rationnelle. » En fait, la science moderne n'est pas la chasse gardée de l'athée et de l'évolutionniste. Ceux qui croient en Dieu et au récit biblique de la création sont aussi capables que quiconque d'employer correctement les méthodes scientifiques. La « science 55 créationniste » est tout simplement la pratique de la science avec la présupposition qu'il y a un Dieu Créateur, ce qui est le contraire de la présupposition habituelle du naturalisme (l'idée préconçue que la nature est « tout ce qui existe »). Le scientifique croyant ne prétend pas l'existence de Dieu est démontré par des expériences scientifiques; il sait qu'en ce qui concerne ses recherches, l'existence de Dieu est un présupposé. Le scientifique non-croyant devrait reconnaître ses propres présupposés comme tels. Il ne doit pas prétendre que la science a prouvé que Dieu n'existe pas ou que Dieu est incapable d'agir sur le monde physique que nous habitons. Le naturalisme n'est pas plus rationnel que la croyance en Dieu. Il est bien dit que la remise en question est la règle en science; « La question et/ou le doute est le moteur qui va initier la mise en place d'une expérience. On n'ira pas vérifier ce dont on est intimement persuadé... « La science en tant qu'institution est un vaste scepticisme organisé. » (Guillaume Lecointre, Musée national d'histoire naturelle, Paris). Qui pourrait donc s'opposer valablement à ce que nous remettions en doute la validité de la théorie de l'évolution? LES FAIBLESSES DE LA THÉORIE DE LA MACRO-ÉVOLUTION Considérons quelques faiblesses de la théorie de l'évolution. Il y en a plusieurs : 1. PAS DE MÉCANISME ÉVOLUTIF Il n'y a, au fond, que deux mécanismes qui sont proposés pour expliquer la supposée transformation des espèces d'organisme en formes de vie de plus en plus complexes et sophistiquées : la sélection naturelle et les mutations génétiques. Considérés séparément ou ensemble, ces processus sont loin de fournir une explication satisfaisante. LA SÉLECTION NATURELLE? LA SÉLECTION NATURELLE RÉDUIT LA VARIÉTÉ D'ESPÈCES AU LIEU DE L'AUGMENTER. Nous avons résumé tout à l'heure l'idée de la sélection naturelle à l'aide des exemples des cerfs dont seulement ceux qui étaient assez rapides pour échapper aux prédateurs et des girafes, dont celles ayant le cou plus long pouvaient atteindre les feuilles les plus hautes et ainsi survivre en temps de sécheresse. En réalité, ces facteurs peuvent expliquer la survie de certains individus au sein d'une espèce, mais la sélection naturelle ne peut pas expliquer l'origine des traits supérieurs de ces individus. En effet, « quel que soit le temps que prendra ce processus, il ne transformera pas des cerfs en une autre espèce. Les plus faibles sont éliminés, les plus forts survient, mais comme leurs données génétiques ne subissent aucune altération, aucune transformation de l'espèce ne se produit. Bien que le processus de sélection se poursuivre, les cerfs continueront à exister en tant que cerfs. » (www.findudarwinisme.com) 66 Les girafes également demeurent de simples girafes. « Même si l'on admettait cette explication du long cou de la girafe, l'évolutionniste n'aurait pas prouvé son idée concernant l'apparition de nouvelles espèces grâce aux changements chez les espèces plus anciennes. En d'autres mots, qu'est-ce que les girafes survivantes ont-elles produit de supérieur à elles-mêmes? Peut-on leur attribuer l'existence de vaches, de gorilles ou d'êtres humains? Non, un mâle et une femelle de la girafe n'ont jamais engendré autre chose qu'une petite girafe! Cette théorie n'explique nullement l'arrivée de nouvelles espèces sur la terre. » (Shelly, 86) Un autre exemple proposé par les évolutionnistes est celui des bactéries qui deviennent « immunisées » contre des antibiotiques. Mais s'agit-il d'exemples d'évolution, ou de reproduction sélective? Y a-t-il de nouvelles informations (génétiques)? Dans n'importe quelle population « normale » de bactéries, il y a quelques individus qui survivront aux mêmes médicaments qui tueront toutes les autres. Quand seules celles-ci restent pour se reproduire, vous vous retrouvez avec une nouvelle population de bactéries résistantes à ce médicament, mais aucune mutation ne s'est produite, contrairement à ce qui est généralement écrit. Dans quelques rares cas, il y a eu une mutation qui permet à une bactérie d'éviter les effets d'un antibiotique, mais seulement parce que la mutation a bloqué une fonction normale dont le médicament a été conçu pour profiter; encore une fois, ceci représente une perte d'information, et non pas un gain. (Lyttle, Chauve-souris) Un évolutionniste de grande réputation, Stephen Jay Gould, fait référence à cette impasse en reconnaissant : « L'essence du darwinisme ne repose que sur cette seule phrase, ‘la sélection naturelle est la force créatrice du changement évolutionniste’. Personne ne nie que la sélection jouera un rôle négatif en éliminant les moins aptes. « Les théories darwiniennes nécessitent qu'elle crée aussi les plus aptes. » Stephen Jay Gould, "The Return of Hopeful Monster", Natural History, vol. 86, June-July 1977, p. 28.) LA SÉLECTION NATURELLE EST LOIN D'ÊTRE UN PHÉNOMÈNE UNIVERSEL DANS LA NATURE. « Considérez les critiques suivantes de la théorie : Il y a de nombreuses situations dans la nature où l'on ne trouve pas de lutte pour l'existence. Il y a peu de compétition ou de lutte entre les membres d'une même espèce ou des espèces alliées. On trouve souvent qu'au lieu de se battre entre eux pour la nourriture disponible, ils travaillent ensemble et coopèrent en l'obtenant. En plus, ce ne sont pas toujours les plus forts ou les plus adaptés d'une espèce qui survivent. La survie est fréquemment une question de chance. Et il est fort possible que les plus forts de deux espèces en conflit seraient les plus aptes à se confronter et se battre, se tuant les uns les autres et laissant les “moins adaptés” comme seuls survivants. » (Shelly, 86) « À l'époque où Darwin proposait cette théorie, les idées de Thomas Malthus, l'économiste britannique classique, l'avaient fortement influencé. Malthus considérait que les êtres vivants luttaient systématiquement pour leur survie. Il fondait ses idées sur le fait que la population et les besoins en nourriture augmentaient de façon géométrique alors 77 que les ressources en nourriture n'augmentaient que de manière arithmétique. Selon lui, la taille de la population est inévitablement limitée par des facteurs environnementaux comme la faim et la maladie. Darwin devait adapter cette approche de la lutte féroce pour la survie des êtres humains à la nature toute entière, affirmant que la "sélection naturelle" est la conséquence de cette lutte. « Darwin était influencé par Thomas Malthus lorsqu'il a développé sa thèse sur la lutte pour la vie. Mais les observations et les expériences ont prouvé que Malthus était dans l'erreur... Suite à de vaste recherches sur des groupes d'animaux dans les années soixante et soixante-dix, V.C. Wynne-Edwards, un zoologiste britannique, parvint à la conclusion que les êtres vivants maintiennent les équilibres de leur population de telle manière qu'ils évitent toute compétition pour la nourriture. » « Les groupes d'animaux géraient simplement leur population en fonction des ressources en nourriture. La régulation de la population ne se faisait pas par l'élimination du plus faible en raison des épidémies ou de la famine, mais par des mécanismes de contrôle instinctifs. En d'autres termes, les animaux parvenaient à limiter leur nombre non pas par une compétition féroce, comme le suggérait Darwin, mais en limitant leur reproduction... Par ailleurs, des exemples de sacrifice observés chez des insectes tels que les fourmis et les abeilles montrent un modèle totalement opposé à la thèse darwiniste de la lutte pour la survie... Ces dernières années, la recherche a révélé qu'il existait de l'abnégation même chez les bactéries. Ces êtres vivants sans cerveau ni système nerveux, totalement dépourvus de la moindre capacité de réfléchir, se suicident pour sauver d'autres bactéries lorsqu'elles sont envahies par des virus... Il est vrai qu'il existe de la compétition dans la nature, mais il existe incontestablement des modèles d'abnégation et de solidarité. » www.findudarwinisme.com LA SÉLECTION NATURELLE NE PEUT PAS RÉPONDRE À DE NOMBREUSES QUESTIONS. Une personne rationnelle qui n'a pas peur de poser des questions difficiles trouve facilement d'autres objections à l'idée que la sélection naturelle explique l'origine des espèces. Revenons à notre exemple de la girafe. « Permettez-moi de soulever quelques questions qui sont parfaitement à propos concernant le long cou de la girafe. S'il est vrai que les feuilles plus près du sol disparurent – ce qui nécessita le développement d'un long cou – comment tous les autres animaux, n'ayant pas de long cou ont-ils survécu? Pourquoi les autres animaux mangeurs de feuilles n'ont-ils pas développé un long cou comme celui de la girafe? L'évolutionniste explique peut-être que les animaux plus courts migrèrent simplement vers une autre région où la nourriture était plus abondante. Pourquoi, alors, les girafes n'ayant pas de cou long ne migrèrent-elles pas avec eux? Une autre difficulté pour la théorie de l'évolution est le fait que le cou de la femelle de la girafe mesure généralement 60 cm de moins que celui du mâle. Pourquoi la femelle n'avait-elle pas besoin d'un cou aussi long que le mâle? Pourquoi ne moururent-elles pas, puisqu'elles ne pouvaient pas atteindre les feuilles les plus hautes, comme les mâles le faisaient? La théorie de la survie des plus 88 adaptés n'est pas crédible parce qu'elle laisse trop de questions sans réponse. » (Shelly, 86) THÉOPHILUS Évolution classique - Le lapin est un exemple classique de l'évolution. - Les chiens et les renards les attrapaient et les mangeaient. - Ils poussèrent des jambes plus longues afin de courir plus vite et s'échapper! - Pourquoi les chiens et les renards n'ont-ils pas poussé des jambes plus longues pour les attraper? LES MUTATIONS GÉNÉTIQUES? Les mutations génétiques constituent l'autre mécanisme évolutif qui nous est proposé par les évolutionnistes. Il est reconnu aujourd'hui que les caractéristiques acquises du vivant d'un organisme ne sont pas transmises à sa progéniture. On peut couper la queue de mille génération de souris; leurs petits naissent toujours avec des queues. Seuls les traits contenus dans le code génétique d'un individu passeront à la génération suivante. Comment ce code peut-il être modèle? Uniquement par une mutation, un « accident » au niveau moléculaire qui déplace ou supprime du code génétique contenu dans l'ADN d'un organisme. LES MUTATIONS SONT TROP RARES ET TROP NÉFASTES POUR PRODUIRE UNE ÉVOLUTION DES ESPÈCES. « Les mutations, dernière lesquelles se cachent fréquemment les évolutionnistes, ne transforment pas les organismes vivants en des formes parfaites et plus avancées. L'effet direct des mutations est nuisible. Les changements opérés par les mutations ne peuvent être que du type de ceux expérimentés par les gens à Hiroshima, Nagasaki et Tchernobnyl, la mort et l'infirmité. La raison en est très simple : l'ADN possède une structure très complexe et des effets aléatoires ne peuvent que l'endommager. « Tout d'abord, les véritables mutations sont très rares dans la nature. Deuxièmement, du fait qu'elles soient aléatoires la plupart des mutations sont nuisibles car elles n'obéissent pas à des changements ordonnés dans la structure des gènes. Le moindre changement aléatoire dans un système extrêmement ordonné se fera de la pire des façons. Par exemple, si un séisme devait secouer une structure telle qu'un bâtiment, cela entraînerait un changement aléatoire dans les fondations de l'édifice qui, selon toutes probabilités, n'apporterait aucune amélioration. « C'est sans surprise qu'aucune mutation bénéfique n'a été observée jusqu'à maintenant. Toutes les mutations se sont avérées être néfastes. Dans son commentaire sur le rapport du Comité sur les Effets Génétiques des Radiations Atomiques, un comité chargé d'enquêter sur les mutations provoquées par les armes nucléaires utilisées fors de la Deuxième Guerre Mondiale, le scientifique évolutionniste Warren Weaver déclare : 99 Beaucoup seraient étonnés d'apprendre que quasiment tous les gènes mutants sont nuisibles. Car les mutations sont une part nécessaire du processus d'évolution. Comment un bon effet – une évolution vers des formes de vie supérieures – peut-il résulter de mutations dont pratiquement la plupart sont nuisibles? « Depuis le début du 20ième siècle, les biologistes évolutionnistes ont recherché des exemples de mutations bénéfiques en créant des mouches mutantes. Mais ces efforts ont toujours abouti à des créatures malades et déformées. Tous les efforts déployés pour "obtenir une mutation bénéfique" ont échoué. Pendant des décennies, les évolutionnistes ont mené de nombreuses expériences pour produire des mutations chez les mouches des fruits. Comme ces insectes se reproduisent très rapidement, les mutations devraient apparaître rapidement. De génération en génération, ces mouches subirent des mutations, pourtant aucune mutation bénéfique n'a jamais été observée. Le généticien évolutionniste Gordon Taylor constate : Il est frappant que l'on en parle si peu, alors que les généticiens ont reproduit des mouches des fruits depuis plus de 60 ans dans les laboratoires à travers le monde – des mouches qui produisent une nouvelle génération tous les onze jours – ils n'ont encore jamais vu l'apparition d'une nouvelle espèce ni même de celle d'une nouvelle enzyme. « Un autre chercheur, Michael Pitman, fait ces commentaires sur l'échec des expériences menées sur les mouches des fruits : C'est également valable pour l'homme. Toutes les mutations observées chez les êtres humains ont eu des résultats nuisibles. Elles provoquent toutes les malformations physiques, des infirmités telles que la mongolisme, le syndrome de Down, l'albinisme, le nanisme ou le cancer. Il va sans dire qu'un processus qui laisse les gens infirmes ou malades ne peut être un "mécanisme évolutionniste" – l'évolution est supposé produite des formes qui sont plus adaptées à la survie. « Il est évident que les mutations ne sont qu'un mécanisme destructeur. Pierre- Paul Grassé, l'ancien président de l'Académie des Sciences Française, est très clair sur le sujet dans son commentaire sur les mutations. Grassé compara les mutations aux ‛erreurs typographiques lors de la copie d'un texte’. Tout comme dans le cas des mutations, les erreurs de lettres n'acceptent aucune information, mais ne font qu'endommager celle qui existe déjà. Grassé l'explique ainsi : « Les mutations se produisent de façon incohérente dans le temps. Elles ne sont pas complémentaires les unes des autres et ne cumulent pas leurs données, à travers les différentes générations qui se succèdent, vers un sens précis. Elles modifient ce qui préexiste de façon désordonnée, sans règle précise... Dès qu'un désordre, même mineur, fait son apparition dans un organisme, la maladie et la mort s'ensuivent. Il n'existe aucun compromis possible entre le phénomène de la vie et l'anarchie. C'est pour cette raison que Grassé reconnaît : "Peu importe leur nombre, les mutations ne produisent aucune sorte d'évolution." » (www.findudarwinisme.com) 11 LES MUTATIONS SONT INCAPABLES DE PRODUIRE DE NOUVEAUX ORGANES. « Les mutations n'ajoutent aucune nouvelle information à l'ADN d'un organisme. Les particules qui composent l'information génétique sont soit enlevées de leur environnement, soit détruites ou alors déplacées vers différents endroits. Les mutations ne permettent pas aux êtres vivants d'acquérir de nouveaux organes ou de nouvelles caractéristiques. Tout ce qu'elles provoquent ce sont des anomalies comme l'apparition d'une jambe dans le dos ou d'une oreille dans l'abdomen. » « La sélection naturelle n'a pas d'intelligence. Elle n'a pas la possibilité de décider ce qui est bon ou mauvais pour les êtres vivants. Par conséquent, elle ne peut expliquer comment ont pu exister les systèmes biologiques et les organes dotés de la caractéristique de "complexité irréductible". La même remarque s'applique aux mutations. Ces systèmes biologiques et organes sont composés d'un grand nombre de parties qui coopèrent et ne sont d'aucune utilité si la moindre partie manque ou est défectueuse (l'oeil humain, à titre d'exemple, ne peut fonctionner que si tout ce qui le constitue est intact). » « Ainsi, la volonté qui rassemble ces parties doit être capable de prévoir le futur et le bénéfice à en tirer à la fin. Mais comme la sélection naturelle n'a pas de conscience ou de volonté, elle ne peut le faire. Tout ceci démolit les fondements de la théorie de l'évolution et inquiétant déjà Darwin, qui écrivait : "Si l'on arrive à démontrer qu'il existe un organe complexe qui n'ait pas pu se former par une série de nombreuses modifications graduelles et légères, ma théorie ne pourrait certes plus se défendre." (Charles Darwin, The Origin of Species : A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 189.) » (www.findudarwinisme.com) Certains livres contiennent des photos d'une mouche des fruits ayant une seconde paire d'ailes comme résultat d'une mutation provoquée de façon voulue par des chercheurs. D'abord, il faut dire que cela ne correspond pas au processus évolutionniste que l'on veut prouver, puisque ce processus serait aveugle, aléatoire et sans direction de la |
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