Description des capa et cap accessibles aux élèves de segpa

Où le préparer ? Un lycée privé : Lycée des Châtaigniers, 11 bis rue Jean Jaurès, 78000 Versailles. Tél. 01 39 55 95 04 un lycée privé : Lycée Carcado Saisseval, 121 boulevard Raspail, 75006 Paris. Tél. 01 45 48 43 46 un lycée privé : Lycée Notre Dame, 49 rue Bobillot, 75013 Paris. Tél. 01 45 80 77 90 Et après : Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Carrières Sanitaires et sociales, passer le concours pour devenir auxiliaire de puériculture. Au programme : La formation générale comprend 12 heures de cours par semaine de français, mathématiques, sciences physiques, langue vivante étrangère, vie sociale et professionnelle et sport. La formation professionnelle comprend 15 heures de cours par semaine de techniques sanitaires et sociales, de techniques de services à l'usager, de biologie, de nutrition et alimentation, de sciences médico-sociales. 12 semaines de stages durant les deux années de formation sont obligatoire dans des services ou des établissements auprès d'enfants de 0 à 6 ans. La formation professionnelle Pour en savoir plus "Travailler auprès des enfants" (Avenir de l'ONISEP) en E 08 dans l'auto-documentation du CDI "S'occuper d'enfants" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 2) CAP Coiffure Un métier : coiffeur Pas facile de manier une paire de ciseaux ou de choisir le produit capillaire le plus adapté. Une coupe ratée et c'est la renommée d'un salon qui est remise en question. C'est la raison pour laquelle les jeunes titulaires d'un CAP sont d'abord recrutés comme assistants, c'est-à-dire qu'ils seront chargés des shampoings, de la pose des bigoudis ou des teintures. Il leur faudra du temps avant qu'on leur confie "une tête" pour une coupe ou une mise en forme. Aujourd'hui coexistent les petits salons de coiffure traditionnels et les grandes chaînes à la renommée internationale. On a pu constater que l'embauche de jeunes diplômés ne se déroulait pas de la même façon. Les premiers privilégient l'apprentissage et forment les candidats au CAP. Les seconds ont tendance à recruter au niveau du brevet professionnel. Placée sous le signe de la mode et de l'élégance, la coiffure réclame une parfaite maîtrise des techniques (coupes, brushings, permanentes…) et des produits. Cet art exige un grand sens de l'harmonie des formes et des proportions. Le coiffeur exerce le plus souvent dans les salons de coiffure, mais il peut aussi travailler dans des établissements de soin, de cure, dans le milieu du spectacle ou encore dans les entreprises de production ou de distribution de produits capillaires. Où le préparer ? au CFA de la Chambre des Métiers, 17-19 avenue du Général Mangin, 78000 Versailles. Tél. 01 39 55 15 23 au CFA IFPM, 4 boulevard du Levant, 92000 Nanterre. Tél. 01 41 20 90 00 au Lycée Poquelin, 72 rue Léon Désoyer, 78100 Saint-Germain-en-Laye. Tél. 01 30 87 44 00 Et après : Après ce CAP il est possible, tout en travaillant, de poursuivre en BP (Brevet Professionnel) de Coiffure, de faire une mention complémentaire Styliste-visagiste ou Coloriste-permanentiste après trois ans d'expérience professionnelle Au programme : En dehors des techniques directement liées à la coiffure, les élèves suivent des cours de biologie générale et appliquée (cellules, tissus, nutrition, peau, cheveux….). Ils abordent la technologie des produits : propriétés physiques, caractéristiques et rôle des produits ainsi que la technologie des matériels (séchoirs, appareils à permanente, outils et instruments de coupe, accessoires). S'y ajourent d'autres techniques telles que la couleur, le séchage, le coiffage mais aussi la vente let la communication, sans oublier les règles d'hygiène et la maintenance des équipements. Pour en savoir plus "Autour de la mode" (Cahier de l'ONISEP) en D 12 dans l'auto-documentation du CDI "Les métiers du textile, de l'habillement et de la mode" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 16) CAP Esthétique cosmétique Un métier : esthéticienne Le métier d'esthéticienne est loin d'être évident. Décider du soin à effectuer selon le type de peau ne se fait pas à la légère. Pratiquer et se former auprès de professionnelles aguerries, chercher à se perfectionner constamment sont les axes indispensables à la maîtrise des techniques utilisées en esthétique. Spécialiste des soins de beauté, l'esthéticienne met en valeur le visage et le corps. Pour cela, elle doit savoir adapter les produits aux besoins de chaque client. Si les soins du visage constituent une part importante de son activité, les soins du corps prennent une place de plus en plus importante. Les esthéticiennes assurent également l'entretien des mains et des ongles. Elle participent enfin à la vente des produits et conseillent la clientèle. Elles exercent majoritairement dans les instituts de beauté, les parfumeries, les salons de coiffure. Certaines d'entre elles choisissent de travailler en hôpitaux, dans les maisons de retraite… Où le préparer ? au CFA de la Chambre des Métiers, 17-19 avenue du Général Mangin, 78000 Versailles. Tél. 01 39 55 15 23 au CFA IFPM, 4 boulevard du Levant, 92000 Nanterre. Tél. 01 41 20 90 00 au Lycée, place Pierre Bérégovoy, 78200 Magnanville. Tél. 01 30 98 37 70 Et après : Après ce CAP les élèves entrent dans la vie active. En formation continue, il est possible de préparer le BP (Brevet Professionnel) Esthétique-cosmétique. Au programme : Embellir l'épiderme, mettre en valeur notre visage, entretenir notre corps,… c'est tout l'art de l'esthéticienne. Le métier ne se limite pas seulement aux soins du visage. C'est la raison pour laquelle, en biologie, il est étudié l'organisation cellulaire et tissulaire des êtres vivants, le système musculaire, le système nerveux, les fonctions de nutrition, la structure de l'épiderme, les différents types de peau… Sont étudiées aussi la nature et les caractéristiques des produits utilisés en cosmétologie (l'eau, les alcools, les vitamines), les parfums, les différents maquillages, les produits pour les cheveux et l'épilation. Une partie de la formation est consacrée à la présentation des matériels et aux techniques de soins : appareils à pulvérisation, à vaporisation, produits gommants, masques, techniques manuelles de modelage, d'épilation, de maquillage, de manucurie… Des cours d'enseignements artistiques, de techniques de vente et de connaissance de l'entreprise viennent compléter ce programme. Pour en savoir plus "Autour de la mode" (Cahier de l'ONISEP) en D 12 dans l'auto-documentation du CDI "Les métiers du textile, de l'habillement et de la mode" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 16) CAP Conduite routière (18 ans) Un métier : conducteur routier Même si la conduite de son véhicule occupe une grande partie de son horaire de travail, le routier n'est pas seulement un chauffeur. Il effectue également bon nombre de tâches commerciales et administratives. Responsable des marchandises à son bord, il en surveille le chargement et le déchargement, tient à jour ses carnets de bord, les bordereaux de livraison, les factures, les papiers pour la police et la douane. Il y a deux sortes de routiers : celui qui effectue des trajets limités à une région (conducteur poids lourd courte distance) et celui qui de déplace sur la France entière et à l'étranger (conducteur poids lourd grand routier). Le conducteur routier peut se spécialiser dans le transport de certains produits (produits réfrigérés, matières dangereuses en citerne, déménagements volumineux). Il peut évoluer vers des emplois de responsable d'exploitation, de chef de quai. Il peut aussi, plus tard, se mettre à son compte. Le plaisir de la route et l'indépendance dans le travail, ne doivent pas faire oublier les contraintes du métier : chargements pénibles, travail de nuit et horaires irréguliers, pannes éventuelles, intempéries. Mais cela reste un métier motivant. Un autre métier : livreur Le livreur, contrairement au routier, circule dans un petit périmètre, en général en zone urbaine. Il rentre donc tous les soirs chez lui. Il assure la conduite d'un véhicule automobile de transport en vue de livrer ou d'enlever des marchandises. Les travaux de manutention sont importants : chargement et déchargement de la marchandise, équilibrage de la cargaison pour en assurer le parfait état. Cet emploi demande un contact constant avec la clientèle et l'accomplissement de quelques formalités administratives (signature de bordereaux de livraison ou de bons de commande). Les déplacements sont continuels, ne dépassent pas une journée et s'effectuent dans un faible rayon. Le livreur doit, en outre, être capable d'effectuer les dépannages simples de son véhicule. Il peut évoluer vers la conduite de poids lourds. Où le préparer ? au CFA des métiers du transport AFT, 43 rue du Général de Gaulle, 78490 Le Tremblay sur Mauldre. Tél. 01 34 94 27 27. Internat possible. Alternance : 1 semaine au CFA pour 2 semaines en entreprise. Et après : Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Conduite et services dans les transports routiers. Il faut obtenir le permis B en première année et le permis C en seconde année. Il faut donc avoir 18 ans. Au programme : L'enseignement professionnel traite tout ce qui concerne le transport (la conduite, les itinéraires, les marchandises, la réglementation, la sécurité), la manutention (chargement, déchargement), la maintenance du véhicule (entretien, réparation). Il est complété par des notions de gestion et de communication pour mieux connaître l'entreprise et favoriser la relation avec la clientèle. Pour en savoir plus "Transports" (Cahier de l'ONISEP) en E 15 dans l'auto-documentation du CDI "Se déplacer : transports et tourisme" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 3) CAP Déménageur professionnel (18 ans) Un métier : déménageur professionnel Ranger, après emballage, un maximum d'objets dans un minimum de place (l'arrière du camion), démonter et remonter les gros meubles, acheminer le tout sur le lieu de destination et remettre en place, tel est le rôle du déménageur. Ses clients sont principalement les entreprises et, dans une moindre mesure, les particuliers. La profession est relativement hiérarchisée : le chef d'équipe coordonne les travaux et assure le contact avec le client : estimation du volume à déménager, établissement du devis. C'est généralement lui le chauffeur. Il est assisté de déménageurs professionnels qui emballent les objets fragiles, montent et démontent les meubles, chargent les camions. L'aide-déménageur assure des tâches de manutention. La grande majorité des déménageurs sont répartis dans des entreprises de moins de 10 salariés. Le travail est souvent saisonnier, les déménagements de particuliers s'effectuent surtout entre juin et septembre. Ce métier réclame beaucoup de force malgré l'utilisation de plus en plus fréquente de machines comme les monte-meubles, particulièrement appréciables lorsqu'il n'y a pas d'ascenseur, et qui permettent de déménager certains objets par les fenêtres de l'immeuble. De la force oui, mais pas seulement, car organisation, sens des responsabilités et contact sont aussi des qualités appréciées chez un déménageur : pour le client, le choix d'une entreprise de déménagement repose d'abord sur la confiance. Le déménageur peut évoluer vers des fonctions de responsable de garde-meubles, de conseiller en déménagement, de chef d'exploitation. Où le préparer ? au CFA des métiers du transport AFT, 43 rue du Général de Gaulle, 78490 Le Tremblay sur Mauldre. Tél. 01 34 94 27 27. Internat possible. Alternance : 1 semaine au CFA pour 2 semaines en entreprise. Et après : Après ce CAP il est possible de préparer un autre CAP du même secteur ou de poursuivre en BEP Logistique et commercialisation, en BEP Conduite et services dans les transports routiers. Avec de très bons résultats il est possible de préparer un Bac Professionnel Exploitation des transports ou logistique, ou Commerce. Au programme : La formation professionnelle porte sur toutes les opérations de déménagement (emballage, démontage, chargement), sur la connaissance des mobiliers, des matériels de déménagement, des grands services transporteurs (SNCF…), du développement du sens commercial et des relations avec le client, et bien entendu, du passage du permis de conduite de catégorie B. Pour en savoir plus "Transports" (Cahier de l'ONISEP) en E 15 dans l'auto-documentation du CDI "Se déplacer : transports et tourisme" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 3) CAP Agent d'entreposage et de messagerie Un métier : magasinier Dans un entrepôt, les marchandises ne dorment pas. Tous les jours, elles entrent, sortent et se déplacent à l'intérieur de l'entrepôt pour être contrôlées, stockées, déstockées… Un mouvement orchestré par le magasinier, chargé de la gestion des stocks. Il réceptionne les marchandises à leur arrivée, les classe et les range dans des rayonnages de manière à les retrouver facilement. Il prépare les commandes, sort les produits du stock pour les étiqueter, les emballer et enfin les expédier. Si les travaux manuels de manutention sont encore fréquents, le magasinage exige moins de capacités physiques qu'autrefois. Le magasinier travaille souvent debout et se déplace beaucoup dans l'entrepôt. Mais il participe également dans un bureau aux tâches de gestion pour établir des fiches de réception ou d'expédition, préparer les commandes, chercher des références (quantités disponibles, délais d'approvisionnement) en utilisant un ordinateur. En effet, l'informatique est maintenant omniprésente dans son activité : lecture des codes-barres au pistolet-laser, saisie des entrées et sorties, suivi du mouvement et de l'état des stocks… Il peut aussi utiliser des logiciels de simulation des flux, des systèmes automatisés effectuant la recherche des pièces dans le stock ou la facturation. Ordre, sens de l'organisation, méthode et précision, sont les qualités indispensables pour exercer cette profession. Selon les entreprises, le magasinier est réceptionniste, gestionnaire de stock, manutentionnaire, cariste, préparateur de commandes, emballeur, agent d'expédition… ou assure plusieurs ou toutes ces activités. Dans les grands entrepôts, il est sous l'autorité d'un chef d'équipe, et le travail est coordonné par un responsable d'entrepôt. Où le préparer ? au CFA des métiers de la Logistique IFTIM, 11 route principale du Port, 92230 Gennevilliers. Tél. 01 41 47 97 00 Et après : Après ce CAP il est possible de poursuivre en BEP Logistique et commercialisation. Il existe aussi un Bac Professionnel Logistique. Au programme : Les élèves apprennent à réceptionner les marchandises (décharger et contrôler les colis, enregistrer les entrées), les mettre en stock (grouper ou dégrouper les colis, les déplacer et les ranger dans les aires de stockage), préparer les commandes (repérer et prélever les produits du stock), assurer l'expédition (emballer, constituer des palettes, étiqueter, saisir les documents de livraison). Ils apprennent à conduire un engin de manutention (chariot automoteur) et passent le certificat de capacité professionnelle cariste. Egalement au programme, l'aspect plus administratif : suivi des stocks, informatique… Pour en savoir plus "Transports" (Cahier de l'ONISEP) en E 15 dans l'auto-documentation du CDI "Se déplacer : transports et tourisme" (Cédérom Itinéraires pour un métier n° 3)

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