Résumé La présente recherche a pour objectif d’étudier dans quelle mesure les projets de modernisation transverses, inscrits au Plan d’Action Stratégique 2003 de la Direction des Affaires Administratives et Générales (daag),








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1-1-2 L’environnement national

1-1-2-1 L’Administration publique marocaine et les nouveaux enjeux de la modernisation

a- les enjeux liés à l’environnement externe


L’Administration publique marocaine franchit une étape décisive, caractérisée par un certain nombre de défis qu’elle est tenue de relever, et qui sont dictés par les évolutions multiples et rapides de son environnement19 :

    • l’environnement politique, en rapide mutation et diffusant de nouvelles valeurs (démocratie, liberté, droits de l’Homme, …) et de nouvelles représentations théoriques (management, efficacité, innovation, changement…) qui ont affecté la société marocaine dans son ensemble et qui ont entraîné le remodelage de ses divers éléments constitutifs. Ces représentations ont ébranlé quelques valeurs traditionnelles axées sur l’équilibre, la stabilité et la permanence.

    • La pression économique et financière, qui conduit à une diminution des ressources et à la rationalisation de leur gestion à un moment où la demande s’accroît dans les secteurs à vocation sociale.

    • Les modifications dans les priorités politiques, l’accent étant mis de plus en plus sur la responsabilisation de la société civile, la poursuite des équilibres spatiaux, la défense de l’environnement, l’élargissement des espaces de décentralisation et de régionalisation.

    • Le développement d’une pensée gestionnaire, qui a pris un élan extraordinaire depuis quelques temps par l’apparition de revues ou de périodiques spécialisés, la diversification des enseignements et la formation en management des ressources humaines dans des écoles supérieures publiques et privées, le foisonnement des idées exprimées à l’occasion de manifestations scientifiques, de programmes de modernisation menés sous l’égide d’associations nationales et même d’organismes internationaux.

    • La pression démocratique : qui ne concerne pas uniquement le système politique, mais aussi l’appareil administratif dont il est l’instrument. La démocratisation de l’administration touche des aspects bien divers et notamment l’amélioration de ses rapports avec la société qu’elle est appelée à servir.

    • Le défi technologique qui paraît annoncer une nouvelle donne organisationnelle par l’association de plusieurs supports matériels et d’outils d’aide à la décision qui assurent transparence, efficacité, gain de temps et quiétude et qui amènent des changements radicaux dans les modes de la gestion administrative.

    • La légitimation des intérêts particuliers : l’intérêt général n’est plus une chasse gardée de l’administration. Le privé est étroitement associé à sa gestion par l’émergence d’une logique participative qui a conduit le public et le privé à trouver des secteurs de gestion commune sur la base de nouvelles formules de coopération.

    • Les changements intervenus dans l’espace mondial et régional, qui ont bouleversé la nature des marchés industriels et financiers, les fondements de la coopération inter-Etats et de la réglementation internationale, transnationale ou transfrontalière.


b- Les enjeux liés à l’environnement interne


Au niveau des structures administratives, les crises qui perturbent le fonctionnement de l’Administration portent sur quatre volets principaux20 :

  1. Une crise d’adaptation : aussi bien au contexte international qu’aux mutations internes.

Au niveau international, il importe de disposer de structures dynamiques capables de faire face aux effets induits de la mondialisation, la coopération internationale et l’insertion dans le nouveau contexte mondial.

Sur le plan national, il s’agit d’opérer une transformation profonde du rôle et de la place de l’administration publique au moment même où la crise économique et les difficultés financières réduisent rapidement la gamme de choix des possibilités de régler le rythme des réformes sur les réalités socio-économiques du pays.

  1. Une crise d’identité : le malaise social dans le service public constitue l’une de ses principales expressions. Ceux qui y travaillent sont loin de se faire une image rayonnante et dans l’ensemble, l’administration a une très mauvaise image d’elle même.

  2. Une crise institutionnelle : qui concerne directement les difficultés ou les insuffisances de rénovation. Les efforts déployés par l’Etat au cours de ces dernières années ont été orientés beaucoup plus vers ‘le gonflement’ des structures que vers leur amélioration. Bien plus, la répartition des compétences et des responsabilités accroît, de manière inégale, les interventions du niveau central. Les services extérieurs et les collectivités locales n’ont pas la maîtrise juridique de leur pouvoir de décision.

  3. Une crise de légitimité : le service public prétend dicter sa loi au milieu social sans être en retour influencé par celui-ci. Les circuits de communication sont dès lors construits de manière unilatérale. Il s’agit d’une crise de communication où les administrés ne peuvent entrer en contact avec l’administration que selon des modalités strictement réglementées et définies à l’avance par celle ci.


1-1-2-2 La réforme de l’administration publique marocaine

a- Les fondements du projet de réforme de l’administration marocaine


En 1981, les pouvoirs publics ont engagé officiellement un vaste débat national autour du thème de la réforme administrative pour faire face aux dysfonctionnements multiples qui paralysent l’action de l’administration21 .

« …en ce qui concerne les décisions relatives à la réforme administrative et l’amélioration du rendement de l’administration, le gouvernement envisage de prendre des dispositions tendant à réformer les structures administratives, à renforcer le contrôle et à simplifier les procédures et ce, afin d’améliorer les rapports entre l’administration et les citoyens »22.

Cette déclaration constitue une première au Maroc, puisque c’est la première fois que le rapprochement de l’administration des administrés est perçu avec beaucoup de réalisme. Le problème ne se pose pas seulement en termes techniques ou d’aménagement de compétences, mais des maux tels que la corruption, le gaspillage, le clientélisme, la nonchalance, l’irresponsabilité, l’absentéisme, la manque de respect pour l’usager…sont dénoncés avec beaucoup de vigueur.

Une prise de conscience est née devant la nécessité d’entamer progressivement une réforme profonde de l’administration marocaine.

La commission nationale chargée de la réforme administrative, composée de hauts responsables et de praticiens de l’administration publique, a été nommée en janvier 1982 par le 1er Ministre (à l’époque M. Maâti Bouabid), et a délimité le contenu de la réforme à projeter en cinq points. (Extrait de l’allocution du 1er Ministre à la chambre des représentants en réponse aux questions des députés sur le programme gouvernemental pour l’année 1982)23 :

    • Réforme des structures administratives ;

    • Simplification des procédures ;

    • Amélioration des moyens et des conditions de travail ;

    • Révision du statut du personnel dans le sens d’accroître sa productivité ;

    • Rôle de l’information et de l’orientation dans la réalisation de la réforme administrative.

A partir de 1989, et sous l’effet conjugué de plusieurs facteurs, d’ordre interne et externe, notamment la crise économique, l’évolution des exigences des partenaires et le Programme d’Ajustement Structurel, certains départements ministériels (Finances et Travaux Publics en particulier) ont engagé des projets de modernisation remarquables.

Vu de plus près, le projet de modernisation de l’administration marocaine s’articule autour de trois idées maîtresses : l’amélioration du système de gestion, l’ouverture sur la société et la réforme de la fonction publique.

  1. Amélioration du système de gestion : il s’agit de trois questions principales :

    1. La révision et la réadaptation de certaines dispositions légales régissant l’activité de l’administration publique marocaine, relatives notamment à la comptabilité et aux finances publiques ;

    2. L’introduction de systèmes d’information de gestion et du contrôle de gestion afin de suivre l’évolution des activités et le niveau de réalisation des objectifs fixés ;

    3. L’emploi des techniques de traitement de l’information et l’informatisation des services de l’administration.

  2. Ouverture sur la société : ceci implique, en plus de la poursuite des efforts de simplification des formalités administratives, engagées depuis plusieurs années :

    1. Le renforcement de l’action d’information des usagers qui s’est traduit par la création d’entités chargées des relations publiques, par la production de brochures, de communiqués ou la mise en place de centres d’appel ;

    2. L’amélioration des moyens de communication particulièrement avec les partenaires (entreprises, organismes) et la réalisation de stratégies de communication ;

    3. La rupture de l’opacité administrative dressée devant le citoyen et l’évolution vers la transparence et la reconnaissance du droit à l’information sur l’action des services publics à l’usager

  3. Réforme de la fonction publique : elle englobe :

    1. L’amélioration des relations de travail qui passe par la recherche de la compétence et la valorisation des Ressources Humaines ;

    2. Le développement des responsabilités et ce par le biais d’une déconcentration des procédures et d’une délégation des responsabilités.


L’année 1998 a connu la création de l’Observatoire Marocain de l’Administration Publique et le lancement de plusieurs actions en vue de relancer le chantier de la réforme administrative. Il s’agit notamment du lancement du Plan National de Développement, la tenue au Royaume de la deuxième Conférence Panafricaine des Ministres de la Fonction Publique, et enfin la mise en œuvre du Pacte de Bonne Gestion qui exprime l’engagement moral des pouvoirs publics de faire respecter les règles d’éthique, de rationaliser les dépenses publiques et d’établir des rapports de confiance et de respect entre l’Administration et le citoyen.

Enfin, lors du colloque tenu à Rabat en mai 200224, de nouveaux objectifs complémentaires afférents à la réforme administrative au Maroc sont déclarés, il s’agit de :

    • la modernisation relative aux attributions des services publics ;

    • la modernisation relative aux secteurs sociaux ;

    • la modernisation technologique ;

    • la modernisation relative aux systèmes et organigrammes ;

    • la modernisation dictée par les facteurs externes du pays.

Il s’agit plus concrètement25 :

    • de bâtir une culture gouvernementale visant à asseoir les bases d’une éthique du service public ;

    • d’appliquer le principe de la déconcentration administrative ;

    • d’instaurer de nouvelles valeurs dans la relation de l’administration avec ses usagers basées sur de nouveaux équilibres ;

    • de veiller à la mise à niveau des ressources humaines ;

    • de conduire la réforme du système de rémunération ;

    • de développer l’usage des nouvelles technologies de l’information et de la communication et de préparer l’insertion dans le modèle de l’administration électronique ;

    • de veiller à la simplification des procédures et des circuits administratifs.



b- Les principales réalisations du projet de réforme de l’administration marocaine :


i- Le pacte de bonne gestion

Le Pacte de Bonne Gestion exprime la volonté du gouvernement marocain de traduire la politique de changement en initiatives sectorielles, pratiques et continues. Cette volonté vise à instaurer une nouvelle approche de la gestion publique, à travers une administration moderne et efficace.

Le Pacte de Bonne Gestion interpelle l’ensemble des fonctionnaires et des responsables. Il fixe les grands principes qui doivent servir de base à toute action de service public dans le but de mieux servir le citoyen26.

Ce Pacte s’articule autour de trois axes :

    • L’engagement de veiller à la moralisation de la vie administrative ;

    • L’engagement d’optimiser et de rationaliser la gestion publique ;

    • L’engagement de l’administration à communiquer, à se concerter et à être réceptive.

Le pilotage et le suivi de la mise en œuvre des principes contenus dans le pacte de bonne gestion, ont été confiés au Comité Stratégique de la réforme Administrative, créé le 15 octobre 1998 et présidé par M. le Premier Ministre,.

Ce Comité avait pour mission de définir une vision stratégique du gouvernement en matière de déconcentration et d’organisation des services de l’Etat. Il lui était également demandé d’adopter une approche nouvelle en matière de recrutement et de gestion des carrières des fonctionnaires, avec un accent particulier sur la mobilité et le perfectionnement.

        1. La simplification des procédures et des circuits administratifs :

La finalité de la simplification des procédures et des circuits administratifs est de faciliter la vie quotidienne des citoyens et l’activité des entreprises27. Pour atteindre cet objectif, des modalités et des méthodes adéquates doivent être déployées afin de ne pas rendre vains les efforts de simplification. Le colloque organisé en mai 2002 sous le thème « l’administration marocaine et les enjeux de 2010 »28 avait porté sur la problématique de la simplification des procédures et des circuits administratifs.

Selon les actes du colloque, un ensemble de mesures a été pris. Il s’agit :

    • de mesures managériales : comprenant des actions de délégation de pouvoir et d’ordonnancement ;

    • de mesures réglementaires : comprenant essentiellement la promulgation de lois concernant les entreprises privées et permettant de minimiser l’intervention des pouvoirs publics ;

    • de mesures organisationnelles : comprenant essentiellement l’élaboration de guides des procédures et la simplification effective des composantes de certains dossiers administratifs relatifs notamment à l’investissement;

    • de mesures à caractère scientifique : comprenant la réalisation d’études et d’enquêtes sur le terrain afin de rechercher des solutions compatibles avec les réalités observées.

Il faut signaler également qu’un ensemble de mesures de coordination entre les différents Ministères a permis de réduire certaines complexités liées au système administratif marocain.
iii- Le développement de l’usage des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).

Une étude29 préliminaire réalisée à l’échelle de l’Administration marocaine, a révélé que le taux d’accès à l’outil informatique est de l’ordre de 35 fonctionnaires par ordinateur. Les techniciens en TIC (Ingénieurs et techniciens) constituent 0.3% de l’effectif des fonctionnaires et les programmes de formation continue en TIC sont quasi absents. Les budgets alloués aux investissements en TIC, ils ne dépassent pas 1% du budget global. De plus, des disparités considérables existent entre les différents départements et entravent une vue globale de la place des TIC dans l’administration marocaine.

Par conséquent, les objectifs tracés par la commission chargée du développement de l’usage des Technologies de l’Information et de la Communication visent à assurer30 :

    • La transition de la gestion basée sur l’usage du papier à la gestion informatisée et ce, en développant les systèmes d’information sectoriels et les technologies de base en matière de gestion administrative ;

    • La généralisation de l’usage des TIC à l’ensemble de l’administration publique marocaine ;

    • Le stockage et la mise en ligne de tous les documents administratifs à caractère public ;

    • La prestation de services électroniques via le réseau Internet.

Ainsi, la vision développée dans ce sens s’articule autour des axes suivants :

    • Prendre en compte l’élément humain comme moteur fondamental pour le développement de l’administration par rapport à ses dimensions administratives, intellectuelles et culturelles ;

    • Remettre en cause les services fournis à l’administration elle-même, au citoyen, et à l’entreprise et ce à travers la simplification des procédures ;

    • Encourager les initiatives innovatrices visant à réaliser le développement administratif et remettre en question les modes de gestion et de management public.

Cette vision prend en considération d’une part, les axes du Pacte de Bonne Gestion et fixe d’autre part, des objectifs particuliers liés notamment à la qualité du service public en terme de délais, d’accessibilité, de proximité, de coût et de transparence.

Par ailleurs, lors du Premier Colloque sur la réforme Administrative au Maroc tenu en 2002, un ensemble de propositions a été formulé, il s’agit de :

  • L’élaboration d’un schéma directeur général et la mise en place d’un cadre méthodologique pour développer et suivre l’usage des TIC dans les administrations publiques dans le domaine de la gestion publique ;

  • la création d’un fonds ou l’affectation d’un budget particulier pour le projet ;

  • l’élaboration d’un plan d’information pour sensibiliser à l’importance du rôle que jouent les TIC pour la mise à niveau de l’Administration ;

  • la mise en oeuvre d’un programme pour la mise à niveau des fonctionnaires des Administrations publiques en matière de TIC ;

  • la numérisation du patrimoine informationnel administratif et la création de banques de données transversales et générales. Il s’agit de la numérisation de tous les documents administratifs, les bibliothèques des administrations et les bibliothèques publiques suivant une stratégie planifiée ; l’élaboration de thésauri et d’outils linguistiques spécifiques à l’administration marocaine ; l’élaboration de banques de données réglementaires et administratives en arabe et en français et leur diffusion sur Internet avec la possibilité de recherche en arabe ; la mise toutes ces données en lignes sur le portail de l’Administration marocaine ;

  • L’automatisation des procédures administratives de base et généralisation des services électroniques ;

  • La mise en place de réseaux Intranet au sein des administrations, la connexion de ces institutions entre elles et le développement d’outils permettant la connexion au réseau Internet et l’Echange de Données Informatiques ;

  • La mise en oeuvre de l’administration électronique et la création d’un site portail Interactif relatif à l’administration marocaine ;

Dans ce sens, il faut signaler qu’un portail intitulé « IDARATI » ( Informatisation des Départements de l’Administration et leurs mises en Réseau Aplati via les Technologies de l’Information » a été mis en place et permet l’accès à un ensemble de services (URL : www.idarati.ma).

Par ailleurs, d’autres projets ont été lancés, notamment : « Le renforcement de l’éthique dans le service publique » ; « Le système de rémunérations dans la fonction publique » et « l’Amélioration des relations entre Administration et usagers ».

Avant de clore cette partie, il faudrait mettre l’accent sur le vide qui reste toujours à combler en matière de politiques documentaires au niveau de l’administration marocaine et qui concerne :

      • La quantité et la qualité des fonds documentaires et des outils de leur gestion au niveau des administrations marocaines ;

      • La gestion des documents administratifs (records management) et des archives définitives qui se situe en amont de l’automatisation des procédures et des documents administratifs ;

      • L’archivage électronique qui constitue la solution parallèle pour la codification et la sauvegarde du patrimoine administratif.

Sans parler de la nécessité d’intégrer le profil d’Informatiste dans l’ensemble du projet de la réforme étant donnée la place importante qu’occupent le traitement de l’information et sa diffusion dans les objectifs de ce projet.
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