Du même auteur, publiés aux Éditions T. G








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Je ne suis pas heureux. Même que je n'ai pas dormi de la nuit. Même que là je n'en peux plus de Sébastien, j'en ai plein mon casque. Il refuse de me voir, sort avec ses amis, hier souper au restaurant, ce soir une pièce musicale avec Marc, ça va finir dans le lit. S'il n'y avait que cela. Je suis seul, seul entre quatre murs. Un but à l'existence ? Aucun, néant absolu. Franchement, j'attends vraiment pour des jours meilleurs ? Mais lesquels ? Trouver un emploi sera le coup de grâce, rien ne pourra me rendre plus malheureux encore. Poursuivre mes études ? Plutôt mourir. J'hésite à sortir seul, peur de me faire rejeter, peur de revenir seul encore plus déprimé. Je n'ai pas dormi de la nuit hier, à six heures du matin je tournais dans mon lit, à huit heures je me suis levé. Mais levé dans une nouvelle chambre. Je suis déménagé à l'hôtel Isabelle, les murs sont beige jauni, mais c'est clair. Pour 10 dollars de moins j'ai maintenant une toilette et une douche dans ma chambre. Eh bien ça m'a rendu à la limite de ce que je pouvais supporter. Ça me coûte moins cher, mais ça ressemble trop à un vrai hôtel, ainsi j'ai atteint le summum de ma culpabilité. Comment puis-je vivre dans un hôtel, moi qui n'ai même pas l'argent pour me payer une bière ? Mon père qui me reprochait ce matin d'être passé dépenser 2000 $ à New York. C'était bien nécessaire qu'il me reproche cela. Je n'ai pas manqué de lui dire que selon mes plans initiaux, ce voyage à New York devait me conduire à Toronto où je devais trouver un emploi. Mais que je ne pouvais pas y rester, je suis donc retourné un mois à Jonquière. Or, je ne pouvais pas prévoir que, un, on me jetterait dehors de la maison, deux, que Rosario ferait sa crise pour que je ne vienne pas chez lui, trois, que Sébastien me laisserait et ne voudrait pas de moi dans son appartement. Allons donc tous chier gang de calice. Gardez-les vos hosties de maisons aux nombreuses chambres vides. Belle société qui arrive à la limite de ce qu'elle peut offrir à autrui. Le pire, c'est que l'on peut croire en Dieu comme c'est pas possible, aller à l'église, prêcher à tout le monde une morale de curé jusqu'à en assommer plusieurs, et après, être incapable de se contrôler son tempérament, incapable d'aider son prochain. Mon père m'aide pour ma survie. Comment je me sens ? Je ne veux plus demeurer à Toronto, je souffre trop ici. Je ne veux pas y travailler, il n'y a aucun avenir avec ce christ d'enfant qu'est Sébastien. J'en éprouve vraiment de la haine, je passe à travers les cinq étapes que traverse une grand-mère quand elle perd son mari. Je ne suis pas où je veux être, je ne suis pas avec qui je veux être, je ne fais pas ce que je veux, j'ai bien peur d'être pris à Toronto jusqu'à la fin de mes jours si j'ai le malheur de trouver un emploi. Or, sans Sébastien, Toronto, c'est sans intérêt. Une ville sans substance, colonie anglaise américanisée. C'est vide, laid, froid, plate à mourir. Aucune personnalité, franchement, peut-on être fier de vivre à Toronto ? Pardonnez-moi, dans le contexte je ne puis vraiment être objectif. Je n'ai plus rien à manger, plus l'argent pour acheter quoi que ce soit. Tant mieux, je vais me laisser mourir de faim. Je ne bouge pas de la journée, je regarde le plafond, peut-être qu'après quelques heures quelque chose surviendra, une idée, une folie, n'importe quoi. Là je sens que je serai à Montréal pour le week-end prochain. Je vais me trouver un emploi, n'importe quoi, même un restaurant. Je suis déterminé à partir, je vais partir. Je ne peux pas moralement exiger de mon père autant d'argent, sans Sébastien ça n'en vaut pas la peine. Je vais lui annoncer ma décision, dans l'espoir qu'il se réveillera, il aura une semaine pour prendre une décision. Si j'étais méchant, je souhaiterais qu'il regrette comme jamais il n'a regretté dans sa vie. De toute manière je sais qu'il va regretter. Mais de quoi me serviront ses regrets ? Il sera trop tard. Je n'ai plus motivation à rien. Je réfléchis, on m'emmènera à la place de la Concorde à Paris, je serais terriblement malheureux. S'il ne s'agissait que de Sébastien, ce serait bien, mais ma vie n'a plus de sens à tous les niveaux.

Quelque chose m'a poussé hors de l'appartement. La direction s'imposait d'elle-même, je marchais sans savoir où j'allais, mais j'y allais avec détermination. Je suis entré dans la Hudson Bay Center à Bloor & Yonge, j'ai trouvé un WH Smith, je me suis dirigé instinctivement dans la section philosophie-religion, j'ai pratiquement trouvé sans effort un livre de Richard Bach. Mes derniers vingt dollars, alors que je ne mange rien. Nourriture de l'esprit, il me fallait bien cela pour me maintenir en vie, puisque la bouffe ne sert à rien dans mon cas. J'ignorais qu'il avait écrit un nouveau livre, Best-seller du New York Times. Il faut dire que je suis vraiment déconnecté d'avec le reste du monde since I'm Running from Safety probablement davantage que Richard lui-même. Il a peut-être fait faillite dans son roman « Un », mais aujourd'hui il a dû refaire sa fortune avec Running from Safety. Eh bien, j'ai engraissé sa sécurité aujourd'hui et contribué à détruire la mienne. Il faut dire que Richard est mon guide spirituel par excellence, inconsciemment le titre de son livre m'indiquait la route à suivre : prend la première bouche d'égout et enfonce-toi sous la terre. Merci Richard. J'espère que ton livre m'éclairera sur ma situation, à savoir si j'ai raison de m'enfoncer ainsi davantage plus les jours avancent.

Alternons spiritualité et tendresse. J'ai besoin de sécurité. J'ai besoin de quelqu'un qui me prendra dans ses bras pour me faire oublier que Sébastien sera dans les bras d'un autre. Je vais sortir ce soir, si j'ai le malheur de ne rencontrer personne d'intéressant, j'ignore ce que je ferai. Ma vie est guidée par le sexe, c'est mes parents qui le disent. Je peux me contenter en pensant à Richard qui nous racontait ses nombreuses aventures avec des femmes à Key West, avant d'embarquer avec sa Leslie Parrish, une actrice qui n'est certes pas de ma génération, je n'en avais jamais entendue parler.

Oups, je crois que j'ai déjà lu ce livre. Je me suis fait avoir, c'était écrit 1994, mais je crois que c'est l'année de la réédition. À moins qu'il ne fasse qu'écrire la même chose encore et encore. Quel était donc le titre français de ce livre ? Eh bien, peut-être qu'il me fait le relire d'une lumière différente. Au stade de ma vie où j'en suis, peut-être m'apprendra-t-il l'avenir ? Qu'est-ce que le vieux Richard irait dire au jeune Richard pour l'aider à traverser sa vie et le motiver à exister ? Tout ce que le vieux a à offrir est d'une négativité étouffante : divorce, faillite, trente-six ans d'attente avant de marier Leslie, l'amour de sa vie. Ainsi mon vieux moi dans le futur n'aurait que de la bull shit à me communiquer ? Eh bien, il peut la garder sa bull shit, je la connaîtrai bien assez tôt. En tout cas, mon moi actuel irait bien signifier à son jeune moi qu'il peut bien se tirer une balle dès maintenant, sa vie des années plus tard ne signifiera pas grand-chose. D'une dépression à une autre, d'un calvaire à l'autre, c'est ça ma vie.

Tient, ça devient intéressant au chapitre trois. Il parle d'un livre qu'il aurait écrit à son jeune moi : Réponses- Quelques indices afin de vivre une vie réussie. Et il pointe la table des matières : Famille, École, Études, Aller au travail, Argent, Responsabilité, Obligations, Service, Prendre soin des autres. C'est extraordinaire, c'est la première fois que je me rends vraiment compte que je suis un vrai marginal. Là, noir sur blanc, c'est écrit les points importants de la vie de chacun, et voilà qu'aucun ne semble me concerner. Je suis en marge de tout, ma famille s'est envolée, l'école c'est abandonné, les études ne m'ont pas appris grand-chose d'intérêt, je ne travaille pas, l'argent pour moi est un concept très vague, je semble vivre sans avoir aucune responsabilité ou obligation, le service, j'ignore ce qu'il entend par là, l'armée peut-être, loin de moi tout cela, et faire attention aux autres, ça ne me ressemble guère, je n'ai même pas d'amour de ma vie pour lui faire attention. Est-ce que je pourrais vraiment stabiliser tout cela d'ici la fin de l'année ? Ou alors c'est ça que ça signifie de fuir la sécurité ? Sans doute il croit que je suis sur la bonne voie ?

Tout ce que vous faites reflète sur votre famille. Avant de faire quoi que ce soit qui pourrait les embarrasser, réfléchissez : Est-ce que ma famille sera heureuse si je suis surpris à faire ces choses ? Oh mon Dieu, je les rendrais malheureux longtemps, moi, d'autant plus que je n'ai pas d'amour propre, je me fous de tout. Dieu nous surveille. Le temps viendra où il demandera : As-tu été un bon citoyen ? Dites-lui qu'au moins vous avez essayé. Suis-je un bon citoyen ? Non. Est-ce que j'ai essayé ? Non. Alors que puis-je espérer en retour ? Rien. Mais je ne connais aucun autre bon citoyen, alors… Sacrifiez-vous pour les autres, et ils seront gentils avec vous. Je me sacrifierai pour les autres le jour où une seule personne se sacrifiera pour moi, c'est-à-dire jamais. Je n'ai pas besoin de m'inquiéter avec ces idées stupides parce que Richard lui-même avoue que ce n'est qu'une masse de « vapid slurry », peu importe ce que ces mots signifient.

Je dois admettre, toute la journée je pensais au suicide, mais maintenant, à ma deuxième bière, je suis fort psychologiquement. Prêt à tout confronter, prêt à sauter dans les bras du plus beau. Du pou misérable qui ne méritait même pas la vie, me voilà maintenant au centre du monde, antéchrist qui va tout changer des mœurs humaines, du petit quotidien boiteux et plat du peuple. Qui suis-je ? Je suis la conscience tourmentée du peuple, je réfléchis ici l'éternel malaise de tous. Tout mon entourage est malheureux, il n'y a plus personne qui arrive à se comprendre, une vie pourtant si simple, je puis la résumer un mot : néant. Comment pourrais-je être heureux dans un monde qui ne connaît ni la joie ni la plénitude ? Car moi je crois au bien-être absolu, pour l'avoir expérimenté à quelques occasions. Chaque fois j'étais seul, à l'extérieur au grand air, et malheureusement, j'avais un walkman sur les oreilles. Comme si la musique était nécessaire à un tel état. Mais en ces temps je suis si bien, si heureux, je flotte dans les airs, j'aime toute chose, en particulier la nature et la planète. Une vraie jouissance bien plus passionnante que le sexe. Mais je dois avouer encore qu'il me faut être dans un état euphorique et que souvent l'alcool facilite l'avènement de tels moments. Parfois sur les pistes de danse, cette plénitude me parvient. Jamais il ne m'est arrivé d'entrer au Caméléon de Chicoutimi, maintenant The Times, sans que cet état me vienne, que j'aie bu ou non. La musique, cet étrange médium capable de te transporter vers l'ailleurs, te faire voir d'un coup tout ce qu'il y a de positif dans ta vie. Oh oui, parfois je suis si heureux de vivre, j'en ai des larmes qui me viennent aux yeux. Si toutes mes journées pouvaient être ainsi ! Si j'arrêtais d'attendre après les autres pour un quelconque bonheur qu'ils ne peuvent m'offrir, étant eux-mêmes incapables de le trouver pour eux. Trois bières, The Smith, le voilà mon état euphorique. Je suis le maître de l'Univers, ce soir je sors et je serai quelqu'un qui aura quelque chose à offrir à autrui, considérant la vie tel un jeu, où tout le monde gagne. Quand j'y pense, la dépression est si stupide, la preuve en est que lorsque les événements se tassent et que l'on peut analyser, le cours des événements est si logique que cela nous surprend que nous ne l'ayons pas compris et que nous en sommes tombés malades juste à attendre la suite. Il me faudrait vraiment faire attention de ne pas me suicider dans un moment de déprime trop fort, car ces temps se terminent, surtout lorsque je bois un peu d'alcool, et alors, je regretterais peut-être d'avoir passé à l'acte. Bien que si j'avais agi, je ne serais plus là pour regretter, encore que, qui sait ? Oh Dieu, si la bière n'existait pas, il faudrait l'inventer. Je suis si heureux ! Qui aurait pu imaginer cela ? Au diable le monde entier, je ne suis peut-être rien, mais l'important est de croire que je suis tout. Dieu sait que vous pouvez faire une différence, et je vais faire une différence. Ce soir, Toronto m'appartient. (Puisque je suis à Toronto, mais je n'en suis plus certain, peut-être suis-je à New York ? Qui sait...) Je suppose que je ne puis pas cracher ainsi sur Toronto sans me faire crucifier ensuite. Eh bien crucifiez-moi, moi j'endure bien Mordicai Richler, vous pouvez certainement m'endurer. Moi je suis juif, québécois et homosexuel. Tout cela est du pareil au même. Je déraille, laissez-moi dérailler, je suis un Juif ! Qu'est-ce que cela implique ? Je serais bien curieux de le savoir. Je ris tout seul, c'est merveilleux. Pourtant j'aurai pleuré toute la journée. Vive l'alcool ! Je vois tellement clairement tout à coup. Ce soir je sortirai au Boots, je vais rencontrer quelqu'un, nous ferons l'amour. Sinon, je vais au sauna, bon dieu, j'aurai bien ce que je veux.

Voilà, Julian est venu dormir chez moi, nous avons fait l'amour cette nuit pendant deux heures, ce matin nous avons recommencé. Maintenant il est allé porter sa mère à la messe, ils sont très catholiques chez lui, comme tous les Irlandais. Il dit que sa mère parle beaucoup, ainsi, lorsque j'appellerai, elle me posera quantité de questions. Alors je lui répondrai :

-Bonjour, la nuit dernière j'ai fait l'amour avec votre fils, deux fois, c'était incroyable. Êtes-vous arrivé à l'Église sans problème ?

Mais l'histoire de Julian est plus complexe qu'on ne le croit. Premièrement, lorsque l'on s'est rencontré hier, il s'était préparé une échappatoire. Il venait de terminer une journée de travail et il me racontait qu'il devait rentrer travailler vers les 23 heures pour quelques heures supplémentaires à quinze dollars de l'heure. Croyez bien que je ne l'ai pas cru, mais je me suis tait, car sans doute voulait-il me connaître un peu avant d'aller au lit. Alors nous avons bien parlé, bien ri, et il m'a lancé comme cela que c'était rafraîchissant de rencontrer quelqu'un d'intelligent. Eh bien, si ça ne lui prend qu'une petite conversation politique pour affirmer que les gens sont intelligents, je n'aurais pas manqué mon coup. Puis soudainement il regrettait un peu d'aller travailler. D'autant plus qu'il allait me perdre, car moi j'allais sortir et rencontrer quelqu'un d'autre. Alors après plusieurs téléphones à son travail, une femme supposément n'aurait pas rappelé son service pour confirmer qu'il travaillait, ainsi il n'y allait plus. Alors je l'invite à venir chez moi, il accepte, mais il veut que l'on se rende chez ses amis avant. Alors il commence son discours sur la drogue, est-ce que j'avais quelque chose contre le pot.

-Eh bien, oui, non, j'ai déjà essayé, mais... tu sais...

-Bien, j'avais peur que tu veuilles partir à courir.

Alors j'avais tout compris. Il voulait probablement aller fumer du pot avec ses amis, voilà pourquoi il ne pouvait plus me rencontrer. Puis, changeant d'avis, de peur de me perdre, il m'invite chez ses amis. Un grand risque, mais somme toute, valait mieux que je le sache qu'il fumait couramment du pot, ça ne se cache pas ce genre de chose, surtout dans une relation. Alors, je me suis retrouvé dans un salon, avec quatre autres gars dont trois m'auraient fait l'amour là sur ma chaise. Le quatrième était trop saoul ou gelé. Les deux plus vieux, de vraies queens. L'autre jeune, un vrai petit AC-DC en puissance, un petit Voïvod-Métallica heureux de respirer. Un peu gros avec ses cheveux longs, mais attirant sexuellement, avec ses yeux insistants. Nous avons donc fumé un joint. Aujourd'hui je prends la décision nécessaire de ne plus jamais prendre de drogues. Mon système ne le supporte pas. Une cigarette me fait déjà tellement d'effet, le joint m'a carrément gelé bien dur. Pendant une heure je luttais pour ne pas perdre connaissance. En marchant pour revenir, il y a de longues secondes où j'ai dormi en marchant. Cela ne m'est jamais arrivé avant. J'ai tout de même invité Julian à venir, lui disant que je ne lui garantissais pas que nous allions faire l'amour. Mais j'avais tant besoin qu'il me prenne dans ses bras, puis j'ai bandé très rapidement. La drogue me rendait incontrôlable dans le salon. Mes mains tremblaient, je n'en avais pas la conscience. Je savais que je devais m'abstenir de prendre ma tasse de café, j'aurais tout tiré par terre. J'étais incapable de terminer une phrase, ça ne faisait aucun sens, en plus, lorsque quelqu'un me parlait, j'oubliais le sujet de la conversation qui avait pourtant été mentionné trente secondes avant. Rien de pire que de parler avec quelqu'un alors que tu as envie de t'effondrer et que tu es incapable de suivre une phrase. Enfin, il fallait voir la tête de Julian lorsqu'il a vu le livre écrasé qui tient la fenêtre ouverte : La Sainte Bible. Je me suis défendu comme j'ai pu :
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