4.Le ciel de tous les horizons du globe Où que l’on se trouve à la surface de la terre, c’est le même soleil avec les mêmes caractéristiques définies ci-dessus que l’on peut observer.
1)Le flux lumineux reçu sans nuages La température que l’on estime à partir du flux lumineux reçu sur terre conformément aux règles énoncées ci-avant (chromosphère) vaut quant à elle 3156°K, cela correspond à un flux solaire perpendiculaire sans nuages d’environ 1500 W/m2 qui correspond aux caractéristiques du soleil définies ci-dessus. Ce flux lumineux suit approximativement les caractéristiques des couleurs de l’arc-en-ciel et du prisme standard. L’intensité relative de ces différents spectres peut être approchée en prenant l’approximation de Planck définie ci-avant. Le flux reçu dépend de l’heure de la journée et de la saison. Ces deux paramètres influent sur le Coefficient Angulaire de l’incidence des rayons solaires sur un point de la terre. Celui-ci peut être défini comme moins une fois le produit scalaire entre le vecteur venant du centre du soleil vers la terre et la verticale provenant du centre de la terre. On retrouve ainsi la formule suivante pour le flux incident net :
net = * CA.
avec 1500 W/m2
0 (nuit) CA 1 (Zéniths, jour)
2)L’influence du relief, de la latitude et des effets de proximité (vents) La latitude influe sur le coefficient angulaire défini ci-dessus. C’est ce qui permet de donner une cartographie du globe des températures sans nuages. En modifiant fictivement légèrement l’angle de l’orientation de la terre sur l’écliptique solaire de 23°26 à 4°1, on peut réaliser l’approche d’une carte climatique saisonnière. Ces paramètres ne tenant pas compte de l’effet de refroidissement par évaporation de lac comme il existe dans le Nord de l’Amérique. Le deuxième paramètre influent est le relief, celui-ci est plus que l’altitude représentatif de l’équilibre de flux rayonné. Le flux rayonné en retour est infrarouge, celui-ci est proportionnel à la déclivité relative soit ext = Q * ( (12 + (0.01 * pente(%))2)) On peut approcher le paramètre Q en considérant l’approximation de Planck pour sa répartition fréquentielle notamment. Le paramètre Q défini ainsi la température locale par la formule suivante : T(K) = 4 Q / avec terre = 4.4 10-8 W / m2 K4
bois = 4.4 10-8 W / m2 K4
glace = 3.6 10-8 W / m2 K4
acier mat = 5.4 10-8 W / m2 K4
corps noir = 5.67 10-8 W / m2 K4
surfacique eau pure = 5.67 10-8 x 1/250 W / m2 K/m
surfacique eau de mer avec algues = 5.67 10-8 x 1/1 W / m2 K/m
surfacique verre =~= 4 x surfacique eau pure
suie = 5.3 10-8 W / m2 K4
Toutes ces approximations sont cependant à tempérer du fait qu’il existe encore deux paramètres importants : les nuages et les vents. L’influence des nuages sera étudié ci-après. Quant aux vents, ceux-ci seront également fixés ci-après mais on peut déjà remarquer que ceux-ci réalisent un mélange de température à distance.
5.La haute atmosphère vue écologiquement
1)La diminution de température par effet atomique Par mesure de la température dans la haute atmosphère, on a remarqué dans l’histoire de l’aéronautique que ces températures variaient de –30°C à –50°C à une altitude de 10000 m et plus haut, pour des températures terrestres au sol de 15°C à 0°C. C’est ce que la norme International Standard Atmosphere détermine en interpolant linéairement entre ces températures et en définissant comme moyen l’aire entre ces limites. En remarquant que la haute atmosphère est constituée principalement de molécules
d’oxygène et d’azote, on peut considérer un modèle atomique d’absorption et d’émission d’infrarouge qui prend comme base les dimensions du noyau. En estimant la quantité de noyaux présents, on retrouve à peu près l’absorption de 1 % estimée pour les rayons solaires pour la haute atmosphère. Ce modèle donne de très bons résultats approchés par l’estimation scientifique selon la formule approchée de Eddy Heyden : Taltitude (K) = T mer (K) / 4 2 En voulant plus loin voir si les noyaux voient le soleil de face, on arrive à une imprécision qui ne peut être corrélée qu’avec la couronne solaire et son imprécision. Soit dit en passant en appliquant cette belle formule à la haute atmosphère de la belle planète Vénus, on arrive à T(K) = 369 / 4 2 = 310 soit 37° C. En considérant la très probable présence d’eau à cette haute altitude, on peut en tirer la conclusion que c’est là probablement qu’il existe de vrais petits extra-terrestres qui en fait seraient de petites cellules élémentaires qui vivent en altitude dans un environnement très perturbé d’eau chaude.
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