Petit atlas de science moderne








titrePetit atlas de science moderne
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date de publication03.04.2018
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5)Durée de vie, « Big Bang » théorique et nécessité humaine d’ensemble


Classiquement, en fiabilité prévisionnelle, il est toujours fait usage d’une durée de vie nominale d’un équipement, d’un organisme. Cela permet de cerner mentalement une réalité que l’on veut la mieux estimée possible. Pour cette raison et pour celle du cerveau de tout savoir, les scientifiques ont déterminé ou plutôt fixé plausiblement, mais arbitrairement il me semble, des échelles de durées de vie pour les étoiles, les planètes, les reliefs et ce jusqu’aux animaux préhistoriques. Il faut donc bien se dire que c’est peut être faux, qu’il peut se dire quelque chose de faux qui est faux en réalité totale, qu’il peut se prédire que quelque chose est faux alors qu’il est vrai selon un esprit scientifique actuel fin, bref ce chapitre n’est pas très intéressant pour la science car il sort des limites du vérifiable.
Un point de vue réaliste peut dire que l’on peut appréhender une vrai réalité jusqu’à 4000 ans d’ancienneté en s’associant avec des historiens et autres personnes des sciences humaines. Pour ce qui va plus loin, il me semble que ce ne sont qu’extrapolation de durées théoriques plausibles mais qui peuvent être sans fond réellement scientifique. Je ne prendrai comme exemple de démesure que celui du Carbone 14. Celui-ci émet des particules à haute énergie - (électrons)en fonction d’un âge de demi-vie de 5730 années. Cette date est donc posée en considérant qu’à un début il y avait homogénéité de des particules - dans les corps comprenant du carbone. En pratique, ce n’est qu’une hypothèse qui n’a aucune raison d’être vrai. En allant plus loin dans la technique de détection et de réalisation pratique de ces capteurs de mesure de rayonnement  et , on peut remarquer que c’est presque n’importe quoi dans la mesure de date mais que ce n’est qu’une approximation plausible comme il ne reste plus rien d’autre à faire.
En allant plus loin et en regardant le « Big Bang »que les physiciens ont créer de toute pièce, on peut remarquer qu’intellectuellement il existe une volonté de connaître l’ensemble, le tout. A mon point de vue, il faut dire stop et reconnaître que l’on ne peut et que l’on na sait pas savoir cette réalité passée. Sans pouvoir être critiqué dans le fond, je dirai scientifiquement que d’autres hypothèses sont aussi plausibles et qu’il faut les écouter et les critiquer sans plus. En conséquence, les étoiles sont où elles sont et elles peuvent être considérées comme des sources d’énergie pure sans origine de temps et sans temps ultime de fin de vie. Le « Big Bang » quant à lui n’est qu’un point de départ mais le point d’arrivée n’est plus qu’un Univers complet refroidi et glacé à 0 °K.
En ce qui concerne Einstein, les médias l’ont poussé et son modèle quantique du cristal est bien peu connu. Seul subsiste son intuition qu’il devait y avoir un lien commun à chaque entité élémentaire. Il a été jusqu’à écrire que la masse devait se transformer en énergie selon sa formule m = U/c2 . Cette formule n’a cependant aucune application directe et doit être remise à sa place : modèle théorique intéressant en physique mais qui n’est pas une généralité comme le veulent des physiciens théoriques. Selon moi, l’hypothèse comme quoi l’univers des étoiles serait un immense cristal à dimension intrinsèque (entre nœuds du réseau) non unique mais figée (non variable dans le temps) est très défendable. Il suffit pour cela de posséder une carte des étoiles et de voir que c’est la Terre qui tourne sur elle-même (autour du pôle Nord que l’on associe à l’étoile polaire que l’on voit toujours fixe) et autour du soleil par son écliptique pour comprendre que les étoiles forment un réseau fixe qui est immuable et que les astronomes ont fini par identifier en observant le ciel de nuit pendant des centaines d’années consécutives. Cependant, selon mes dernières observations récursives et chronologiques, il me semble, ce qui provoque intellectuellement étonnement et attention mais pas de pessimisme dislocationniste, que l’Etoile Polaire est bel et bien passée dans un autre système de constellations et n’est donc plus jamais visible. La constellation en similitude avec le passé la plus copiable est selon mes observations la Grande Ourse.


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