Ton corps sais-tu ce qu'il te dit ?








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Que faire alors ?

  • Donnez-vous le droit d'avoir des limites aux plans physique, émotionnel et mental.

  • Quand vous vous sentez stressé ou angoissé, demandez-vous ce qui vous ferait plaisir, si vous aviez le temps de le faire. Devenez ainsi conscient de vos besoins et de vos désirs pour arriver à les écouter de plus en plus.

  • Vivez l'expérience, au moins une fois par jour pour commencer, de ne pas réviser un travail et faites-vous confiance.

  • Acceptez l'idée que, si quelqu'un vous critique, il n'est pas en train de vous dire qu'il ne vous aime pas, il ne critique pas ce que vous ÊTES, mais bien ce que vous venez de FAIRE et que cette critique peut être constructive pour une prochaine fois.

  • Au lieu de tout faire pour ne pas refaire la même erreur, utilisez vos erreurs pour vous améliorer. Voyez l'utilité de l'erreur.

  • Prenez au moins 3 occasions chaque jour pour vous faire un compliment ou vous féliciter.


Sachez qu'il n'y a personne sur cette Terre qui puisse arriver à la perfection imaginée par l'humain, dans ce qu'il fait. Il y a toujours de la place pour de l'amélioration. Sinon, en croyant que vous avez atteint la perfection dans un secteur, vous vous fermez à de nouveaux moyens qui pourraient vous aider à atteindre une plus grande excellence dans ce domaine.

Lise Bourbeau

Est-ce que les jeunes d'aujourd'hui sont assez responsables?



Voilà une question que les parents d'aujourd'hui se posent fréquemment. Les jeunes d'aujourd'hui semblent avoir la réputation d'être beaucoup moins responsables que les jeunes de la
génération précédente.

Combien de fois entendons-nous les plaintes suivantes venant de parents:

  • "Quand deviendras-tu mature? Moi, à ton âge,
    je travaillais déjà!"

  • "Je me demande où les jeunes d'aujourd'hui s'en vont! Ils ne s'intéressent à rien de sérieux! Ils ne veulent que jouer avec leurs jeux vidéo!"

  • "Que vais-je faire avec mon jeune? Seulement 15 ans et il ne veut plus aller à l'école! Il est devenu paresseux!"

  • "Ma fille de 16 ans ne sait même pas cuisiner ou faire le ménage! Moi, à 10 ans, je faisais tout cela!"

  • "Ma fille ne s'intéresse qu'aux garçons et à sa musique qui nous casse les oreilles! Moi qui espérais avoir une fille qui deviendrait quelqu'un. Quelle sorte d'avenir l'attend?"

  • "Je suis continuellement inquiète! Mes deux adolescents prennent de la drogue et je trouve cela épouvantable que le système laisse ces choses-là arriver!"

  • "Comment se fait-il que les enfants d'aujourd'hui soient aussi impolis? Dans mon temps, nous n'aurions jamais osé parler ainsi à nos parents!"

  • "Les jeunes d'aujourd'hui ne savent pas du tout économiser! Comment pourront-ils fonder une famille?"


Je suis convaincue que vous pourriez facilement continuer cette liste de plaintes.

Nous leur en mettons beaucoup sur le dos ces pauvres adolescents! Les plaintes énoncées ci-haut viennent de parents qui ne comprennent pas la notion de responsabilité et c'est d'ailleurs la raison majeure pourquoi ils ont tant de difficulté avec leurs enfants.

Les jeunes d'aujourd'hui aspirent à prendre la responsabilité de leur vie très tôt. Déjà à deux ans, l'enfant veut s'habiller seul, veut s'occuper de sa nourriture seul, etc etc. Ses parents lui disent qu'il est trop petit. Et voilà! Beaucoup de problèmes vécus à l'adolescence commencent dès la jeune enfance. L'enfant se sent lésé, ne se sent pas respecté. Il faut se rappeler souvenir que les nouveaux enfants ( enfants d'aujourd'hui) ont des besoins différents.


Voici une liste, par ordre d'importance, des besoins
des enfants traditionnels:

  1. La sécurité

  2. L'affection

  3. La communication

  4. Le respect


En ce qui concerne les enfants nouveaux, cet ordre
est inversé:

  1. Le respect

  2. La communication

  3. L'affection

  4. La sécurité


Avec des parents qui veulent tout diriger, les jeunes d'aujourd'hui
sont continuellement frustrés. Les parents font exactement le contraire de ce qui est requis pour préparer leurs enfants à voler de leurs propres ailes.

Si ces parents étaient plus conscients de la notion de responsabilité, nos jeunes d'aujourd'hui pourraient voler de leurs propres ailes beaucoup plus tôt que les jeunes d'autrefois.

Malheureusement c'est encore une petite minorité qui y parviennent puisque peu de parents connaissent la loi de la responsabilité.

Afin qu'un enfant devienne un adulte responsable, il doit l'apprendre quelque part. En général, cette notion de responsabilité lui est enseignée par ses parents. L'enfant apprend également beaucoup plus avec le parent du même sexe que lui.


Quelle est la vraie responsabilité d'un parent?

  • Le parent doit s'occuper des besoins matériels de son enfant jusqu'à ce qu'il atteigne ses 17 ans inclusivement. Je ne parle pas ici de caprices ou désirs de l'enfant mais bien de ses besoins, ceci tout en respectant ses propres limites en tant
    que parents.

  • Le parent doit considérer son enfant comme un être qui a choisi de revenir sur cette planète et que ses parents faisaient partie de son choix. Le parent doit arrêter de croire que l'enfant ne connaît rien, ne sait rien et ne peut rien. Il doit respecter les capacités de l'enfant en lui permettant de vivre des expériences. Le parent doit arrêter de tout décider pour l'enfant et dès son jeune âge. Exemple: Décider ce qu'il va porter, ce qu'il va manger, qui devraient être ses amis, les études qu'il devra faire, etc. Le parent doit accepter que les goûts et besoins de l'enfant peuvent être tout à fait différents des siens. Le parent doit aussi arrêter de projeter sur son enfant ses propres désirs qui n'ont pas été comblés. Exemple: "Mon enfant ne souffrira pas comme moi, je vais lui donner tout ce que je n'ai pas eu".

  • Le parent doit enseigner à son enfant la notion de responsabilité par son exemple, c'est-à-dire de comprendre que chaque être humain doit subir ou assumer les conséquences de ses choix et de ses décisions. Il n'y a pas une personne sur cette planète qui peut être responsable des actions de quelqu'un d'autre. Ainsi, le parent arrêtera de se sentir coupable quand il ne l'est pas. Chaque personne récolte ce qu'elle sème.

  • Le parent doit se servir de son enfant afin d'apprendre à se connaître à travers lui; il peut ainsi devenir conscient de ce qu'il n'accepte pas de lui-même. Chaque fois qu'un enfant fait réagir son parent, l'univers utilise ce moyen ou cet incident pour que ce parent devienne conscient qu'il ne se donne pas la permission de vivre ouvertement l'attitude qu'il juge dérangeante chez son enfant. Le parent se contrôle, c'est pourquoi il vit de la colère lorsqu'il voit que son enfant, lui,
    ose le faire.

  • Le parent doit apprendre à aimer davantage avec son enfant. Aimer signifie "donner le droit à l'autre d'être ce qu'il veut être, l'accepter dans ses opinions". Comment l'enfant peut-il vouloir communiquer si son parent a toujours raison? Comment peut-il apprendre à exprimer ses émotions s'il n'a pas le droit d'être négatif, de vivre des colères, de pleurer? Comment peut-il apprendre à sentir si, aussitôt qu'il avoue une peur, le parent lui dit: "Mais non voyons, tu te fais des idées" ou "ça ne fait pas peur" ou "tu as peur pour rien!"

  • Le parent doit apprendre à lâcher prise avec son enfant. Comment ? En lui donnant des conseils, en le guidant au meilleur de sa connaissance tout en sachant que la décision finale appartient à son enfant; le parent doit aussi laisser l'enfant subir les conséquences de cette décision finale.

  • Le parent doit apprendre à être vrai avec son enfant. Il doit lui exprimer franchement ses inquiétudes, ses doutes, ses hésitations, ses espoirs, ses attentes, ses limites tout en précisant que l'enfant n'en est aucunement responsable. Être vrai avec son enfant requiert d'abord et avant tout une bonne dose de franchise avec soi-même. Une démarche quelque peu exigeante à court terme mais combien salutaire à long terme.


Lorsqu'un enfant vit ce genre de relations avec ses parents, il lui est alors très facile de faire la coupure lorsqu'il décide que le temps est venu pour lui de quitter le foyer familial.

Lorsque les parents sont possessifs, contrôlants, irrespectueux envers leur enfant, cet enfant aura davantage de difficulté à être responsable. Pourquoi? Parce que depuis qu'il est tout jeune, il reçoit et apprend de ses parents qu'il ne peut penser pour lui-même et agir par lui-même. Il se fait sans cesse dire quoi faire ou quoi ne pas faire, comment être ou ne pas être d'abord par ses parents et par d'autres adultes plus tard.

Ce genre de parents sont les premiers à se plaindre et à dire à combien ils trouvent cela pénible d'être parents, qu'ils ont donc hâte que leur jeune soit assez mature pour voler de ses propres ailes! Ils le disent mais leur comportement prouve le contraire.

On rencontre dans le règne animal de bons exemples de comportement de parents responsables. Au point de vue de la responsabilité, c'est souvent mieux que chez les humains. Exemple: La mère oiseau, après avoir bien nourri son petit oiselet, décide, le moment opportun arrivé, de le lancer hors du nid, voilà le petit oiseau volant de ses propres ailes et apprenant à vivre par lui-même!

Le jeune qui ne quitte pas la maison des parents au moment opportun est généralement retenu par l'un ou l'autre de ses parents parce qu'il n'est pas prêt à le laisser aller. Le lâcher prise doit venir du parent en premier, l'enfant lui suivra.

Si en grandissant, l'enfant agit d'une façon difficile à supporter par ses parents, plus cette attitude est en train de leur dire qu'il est urgent qu'ils arrêtent de vouloir tout contrôler. La vie de leur enfant n'est pas la leur.

Plus l'enfant est révolté, plus il tente d'exprimer le fait qu'il trouve ses parents irrespectueux et voire même souvent "niaiseux", non intelligents. Graduellement, cet enfant perd le respect des parents ainsi que des adultes en général. C'est d'ailleurs souvent la principale raison qu'un enfant craint de devenir lui-même adulte. Ce monde ne l'attire pas. Cet enfant aura donc plus de difficulté à se prendre en mains puisqu'il n'a aucune raison intelligente de le faire.

Il est donc impératif, pour un parent qui veut sincèrement aider son enfant à voler de ses propres ailes, de décider dès maintenant de prendre la responsabilité de sa propre vie et d'arrêter de croire qu'il est responsable du bonheur ou du malheur de son enfant. Après avoir présenté à son enfant les conséquences possibles de ses choix, ce parent doit lui laisser vivre ses propres expériences. Ce faisant, le parent développe sa capacité d'aimer de façon inconditionnelle, surtout lorsqu'il n'est pas d'accord avec le choix de son enfant.

Cette relation d'amitié entre parent et enfant n'est possible que si le parent est prêt à se remettre en question en tant qu'individu. Le parent doit être assez souple pour constater que certaines des valeurs qui ont servi à sa propre éducation ne sont plus ajustées aux besoins des enfants d'aujourd'hui. Faire du ménage à ce niveau est des plus important si le parent veut créer et maintenir une ligne de communication ouverte, vraie et satisfaisante.

Lise Bourbeau

Est-il possible de faire plaisir à tout
le monde ?




Les questions suivantes me sont souvent posées par des personnes de différents sexes, âges et cultures.

  • « Comment puis-je me faire plaisir quand je sais que cela déplaît à mon mari ? »

  • « Comment écouter mon besoin alors que les besoins de mes proches me semblent plus urgents ? »

  • « Pourquoi ai-je de la difficulté à être bien quand l'autre est malheureux ? »

  • « Pourquoi ai-je si peur de passer pour égoïste ou sans-coeur ? »


Avant de répondre à ces questions très communes, voici une petite histoire très symbolique :

Un jour, il y a longtemps, un père et son fils de 12 ans eurent un long trajet à parcourir et ne possédaient qu'un âne. Le père décida de laisser son fils s'asseoir sur l'âne pendant qu'il marchait à côté. Ils rencontrèrent un étranger qui dit au fils : « Comment peux-tu être aussi égoïste et laisser ton père marcher à côté de toi? Tu es jeune et plein de vigueur, tu devrais être celui qui marche. » Le père et le fils décidèrent de changer de place et maintenant, le fils marchait à côté de l'âne. Un peu plus loin, ils rencontrèrent une autre personne qui dit au père : « Comment pouvez-vous être aussi sans-coeur et laisser votre jeune fils marcher de la sorte! Après tout, vous êtes le père et un adulte; vous devriez marcher à côté de l'âne. »

Ils se regardèrent tous les deux et décidèrent de s'asseoir tous les deux sur l'âne. Après un certain temps, ils rencontrèrent un autre individu qui leur dit : « Comment pouvez-vous être aussi ingrats tous les deux et faire autant travailler ce pauvre âne qui me semble bien fatigué! N'avez-vous pas honte d'être assis ainsi tous les deux et de laisser ce pauvre âne faire tout le travail? » Le père et le fils, ne sachant plus trop quoi faire et se sentant coupables d'avoir fatigué leur âne, décidèrent de marcher tous les deux à côté de l'âne pour que ce dernier puisse se reposer. Un peu plus loin, ils rencontrèrent une autre personne qui leur dit : « Quelle sorte d'idiots êtes-vous? Vous avez un âne et vous ne l'utilisez même pas! »

La morale de cette petite histoire :
IL EST IMPOSSIBLE DE FAIRE PLAISIR À TOUT LE MONDE.

Si chacun d'entre nous peut se souvenir de cela, quelle vie agréable nous aurions! Comme il sera plus facile d'être heureux! Hélas, le contraire se produit. Notre éducation familiale et religieuse nous a appris que nous devons nous oublier pour les autres sinon, nous ne sommes que des égoïstes et des sans-coeur. Par conséquent, nous avons appris à ignorer nos vrais besoins. Les seules occasions où nous nous accordons le droit de les écouter sont lorsque ceux-ci répondent aux besoins des autres et correspondent à leurs croyances.

Nous avons également intégré la notion que, lorsque nous faisons plaisir à ceux que nous aimons, ils nous aiment davantage. Nous n'avons jamais appris la différence entre FAIRE PLAISIR À QUELQU'UN et AIMER QUELQU'UN. Ce sont deux concepts tout à fait différents. Nous pouvons faire plaisir à quelqu'un sans l'aimer véritablement et nous pouvons aimer quelqu'un sans lui faire plaisir.

Prenons l'exemple d'un couple où madame veut aller au cinéma toutes les semaines tandis que monsieur préfère regarder la télévision dans son fauteuil préféré à la maison. Madame croit que lorsque monsieur accepte d'aller au cinéma, il lui confirme qu'il l'aime et monsieur, de son côté, croit que lorsque madame regarde un film à la télévision avec lui, elle lui prouve son amour. Un couple qui s'aime véritablement accepte d'avoir des préférences différentes et l'un comme l'autre accepte de se faire plaisir seul si l'autre n'en a pas envie au même moment. Pour que ce soit de l'amour véritable, quand l'un des deux décide de faire plaisir à l'autre en faisant ce dont il n'a pas vraiment envie, cette décision doit être prise par amour pour l'autre et non par peur de lui déplaire ou par peur d'une dispute.

Aimer véritablement signifie accepter la différence de l'autre sans vouloir le changer. C'est aussi accepter d'avoir des préférences ou des croyances différentes de l'autre et de ne pas ignorer nos besoins de façon à plaire à l'autre. Je répète : lorsqu'une personne CHOISIT de faire plaisir à qui que ce soit, ce choix doit être fait pour le plaisir de faire plaisir. Souvenons-nous de ce que stipule la loi du retour : si nous aimons que les autres choisissent de nous faire plaisir, il n'en tient qu'à nous d'agir de la même façon le plus souvent possible.

Comme la petite histoire du début le démontre, nous devons toutefois nous rappeler qu'il est impossible de faire plaisir à tout le monde en même temps. Le plus difficile à accepter s'avère les choix que font les autres, surtout nos proches, avec lesquels nous ne sommes pas d'accord. Parce qu'ils savent ce qui nous ferait plaisir et qu'ils disent nous aimer, nous croyons qu'ils devraient toujours agir en fonction de ce que nous aimons. CETTE CROYANCE ENGENDRE UNE ATTENTE COMPLÈTEMENT UTOPIQUE.

  • Un enfant peut choisir de vivre l'expérience de prendre de
    la drogue et ceci ne signifie pas qu'il n'aime pas ses parents;
    il a tout simplement quelque chose à apprendre à travers
    cette expérience.

  • Une personne peut être très impatiente avec un collègue de travail et elle n'est pas en train de dire qu'elle ne l'aime pas : elle ne sait tout simplement pas comment exprimer ce
    qu'elle vit.

  • Un homme peut vouloir sortir avec les copains un soir par semaine et cela n'a rien à voir avec l'amour qu'il a pour
    sa partenaire.

  • Une femme peut décider qu'elle a besoin d'être seule pendant quelques jours. Cela ne veut pas dire qu'elle n'aime plus son partenaire et ses enfants : elle répond à son besoin, c'est tout.

  • Un couple peut vouloir partir seul en vacances sans les enfants sans que ce geste signifie qu'ils n'aiment pas leurs enfants.


Plus une personne se sent responsable du bonheur des autres et plus elle éprouvera des difficultés à écouter ses besoins, surtout si elle croit que ses proches ne seront pas d'accord. L'attitude à développer est alors la suivante :

  1. Avant de prendre une décision, vérifie si c'est bien ce que tu veux en imaginant que cela ne dérange personne autour de toi.

  2. Quand tu crois que cela pourrait déranger quelqu'un,
    vérifie auprès de cette personne si c'est bien la réalité.
    Très souvent, nous supposons qu'il en est ainsi sans une vérification préalable.

  3. Si l'autre dit que cela le dérange, vérifie à l'intérieur de toi si tu lui enlèves véritablement quelque chose qui lui appartient du fait d'écouter ton besoin. Dans l'exemple du couple cité ci-dessus, si monsieur disait à madame que cela le dérangeait qu'elle aille au cinéma seule ou avec une amie, est-ce qu'elle lui enlèverait véritablement quelque chose en le faisant? Non, elle ne fait que ne pas lui donner ce qu'il veut. Sa partenaire ne lui appartient pas.

  4. Rappelle-toi qu'être égoïste consiste à enlever quelque chose à quelqu'un qui ne t'appartient pas, et ce, pour ton strict plaisir. L'égoïsme ne correspond pas à NE PAS DONNER À L'AUTRE ce qui lui ferait plaisir.

  5. Apprends à exprimer ce que tu veux pour toi, incluant ce que tu ressens, et énonce à quel point ce que tu veux pour toi contribuera à te rendre heureux.

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