Ton corps sais-tu ce qu'il te dit ?








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Lorsque vous êtes confronté à la colère de quelqu'un d'autre :

  1. Prenez trois bonnes respirations.

  2. Dites à l'autre calmement mais avec fermeté que vous n'avez pas l'intention de parler avec une personne qui n'est plus
    elle-même.

  3. Préférez attendre qu'elle se ressaisisse et se recentre. Vous pouvez lui suggérer de prendre plusieurs bonnes respirations.

Il est dans votre plus grand intérêt de choisir de reconnaître et d'exprimer vos colères si vous voulez arriver à en vivre de moins en moins. Vous pourrez ainsi récupérer toute l'énergie qui vous était nécessaire pour entretenir cette colère et l'utiliser pour vous créer une vie de paix et d'harmonie plutôt qu'une vie remplie d'émotions désagréables telles que la colère.


Lise Bourbeau

Comment dédramatiser ?



Selon le dictionnaire, une personne dramatise lorsqu'elle donne un tour dramatique à un événement et à une situation en exagérant sa gravité.


Par exemple, les gens dramatisent souvent quand:

  • Une salle de bain est en désordre.

  • Un enfant s'approche trop d'une piscine.

  • Quelqu'un est en retard pour un rendez-vous.

  • Ils voient une souris, une araignée, etc.

  • Ils ont pris 5 kilos.

  • Un contretemps dérange leurs plans.

Vous pensez peut-être que ces situations ne sont pas vraiment dramatiques comparativement à perdre son emploi, faire faillite, apprendre que son adolescent se drogue, avoir une maladie grave, votre conjoint vous quitte pour quelqu'un de plus jeune, un être cher décède, etc. Comment pouvez-vous affirmer que ces situations sont des drames? Pourquoi dans les mêmes circonstances, certains demeurent très calmes alors que d'autres en font des drames?

Ces réactions dépendent des limites de chacun tant aux niveaux physique, émotionnel et mental.


Voici le portrait type d'une personne qui dramatise facilement

  • Elle est hyper-émotive

  • Son imagination est telle qu'elle perd le contrôle

  • Ses peurs la font paniquer

  • Elle a un grand besoin d'attention.

Il existe une différence entre dramatiser et exagérer. Prenons l'exemple d'un couple en vacances au bord de la mer. Monsieur décide de nager très loin et en le voyant aussi loin, madame commence à imaginer toutes sortes de scènes qui lui font peur. Même si elle sait que son mari est un bon nageur, son imagination est plus forte que sa raison. Si elle est dans tous ses états quand son mari revient parce qu'elle vit des émotions, elle dramatise.

Si elle lui dit seulement: "Avais-tu pensé aux requins avant de t'éloigner ainsi?" et qu'elle ne vit pas d'émotions, c'est seulement
de l'exagération.

Quand nous dramatisons, nous craignons de subir les conséquences d'une situation donnée ou d'en être tenus responsables.


Pour illustrer ceci, reprenons les exemples du début:

  • Une salle de bain en désordre: la mère croit que les enfants profitent d'elle, qu'ils sont indifférents au fait qu'elle a d'autres choses à faire que de toujours nettoyer. Elle ne se sent pas aimée.

  • Un enfant qui s'approche trop d'une piscine: le parent a peur d'être traité d'irresponsable si quelque chose arrivait à son enfant.

  • Quelqu'un est en retard pour son rendez-vous: avoir peur de perdre l'estime de l'autre, un emploi, avoir peur de se faire juger, etc.

  • Voir une souris ou une araignée: peur de se faire envahir. L'animal n'est qu'un rappel de la peur vécue face aux humains.

  • Avoir pris cinq kilos: peur de ne plus être désirable et de se retrouver seul.

  • Un contretemps qui dérange vos plans: avoir l'impression de ne pas être respecté ou avoir peur de ne pouvoir faire face aux conséquences.

Une personne qui dramatise tient l'autre responsable de son bonheur ou de son malheur. Elle se croit aussi responsable des autres. Sans s'en rendre compte, elle ne pense qu'à elle-même.

Une personne responsable assume les conséquences de ses propres choix et actions et non celles des autres.


En reprenant les exemples plus tragiques du début, voyons ensemble comment une personne responsable réagirait.

  • Perdre un emploi : elle ne traite pas son patron d'injuste. Elle accepte plutôt le fait que le hasard n'existe pas. En vérifiant au plus profond d'elle-même, elle s'aperçoit qu'elle n'avait plus rien à apprendre avec ce travail et qu'elle avait un désir secret de passer à autre chose. L'univers s'en est occupé pour elle.

  • Faire faillite : elle n'accuse pas le système ou la situation économique. Elle se dit plutôt que cela lui donne l'occasion
    de vivre de nouvelles expériences en créant du nouveau.
    Plutôt que de devenir déprimée, elle se renforce grâce à
    une telle attitude.

  • Adolescent qui se drogue : elle n'accuse pas son enfant et ne s'accuse pas en tant que parent en se sentant coupable de la décision de l'adolescent. Elle sait que cette décision appartient
    à l'adolescent et que ce dernier aura à en assumer les conséquences tôt ou tard. Elle partage avec lui comment elle
    se sent dans cette situation et lui dit qu'elle n'a aucune intention d'en subir les conséquences pour lui. Par contre, elle lui offre
    de l'aider dans la mesure du possible selon ses limites et
    ses capacités.

  • Maladie grave : plutôt que de paniquer, elle utilise sa maladie pour tenter de reconnaître l'attitude intérieure qui a déclenché cette maladie. Elle est ensuite reconnaissante pour ce que cette maladie lui a permis de conscientiser.

  • Conjoint qui quitte l'autre : plutôt que d'accuser le conjoint,
    elle prend contact avec sa peur d'être abandonnée. Elle
    réalise qu'elle s'est elle-même créé cette peur et elle l'assume afin d'être moins dépendante de quelqu'un d'autre pour
    son bonheur.

  • Un être cher qui meurt : elle ne voit aucune injustice et ne se sent pas abandonnée. Elle accepte sa décision de retourner dans le monde de l'âme. Elle respecte le choix de l'autre même si elle s'ennuie de sa présence physique.


Être ainsi responsable aide à demeurer centré. Toute personne centrée sait qu'il y a toujours une solution à tout et en étant plus calme, plus observatrice des événements, elle prend nécessairement les bonnes décisions.

La personne qui perd le contrôle et dramatise est décentrée et se crée nécessairement des problèmes. Elle en vient même à avoir plusieurs malaises et maladies tels des problèmes nerveux, des maux de tête, des indigestions, des problèmes d'intestin, de foie et de pancréas. C'est surtout le système digestif qui est le plus affecté. Plus une personne dramatise et plus elle devient victime. Plus elle est victime, plus elle s'attire des maladies graves, surtout des maladies rares.

Pourquoi?

Parce que la victime obtient beaucoup d'attention avec des événements ou maladies tragiques. Elle finit par croire que sans ces drames, elle n'aura plus d'attention. Heureusement que rien dans notre monde matériel n'est permanent. Tout est temporaire. Seul celui qui croit qu'une situation désagréable est permanente la recrée sans cesse avec son pouvoir créateur, se donnant ainsi raison.


Dans la vie, nous avons tous le choix entre:

  • L'amour inconditionnel et l'amour conditionnel (Je t'aime si...)

  • L'amour et la peur

  • La foi ou la peur

  • Lâcher prise ou vouloir contrôler.


Ces choix nous permettent d'accéder ou non au bonheur, à l'harmonie ou à une vie misérable.

Pour terminer, voici en résumé ce que je suggère aux personnes qui sont portées à dramatiser facilement et qui veulent changer cette attitude.

  1. En devenir conscient en vérifiant auprès de vos proches si nécessaire.

  2. Se donner le droit d'être ainsi pour le moment en reconnaissant les peurs vécues.

  3. Avoir de la compassion pour soi et pour les autres en se plaçant dans la peau de l'autre.

  4. S'excuser auprès de la personne que vous avez accusée tout en voyant la partie de vous qui a peur.

  5. Apprendre à en rire et à lâcher prise. Reconnaître que vouloir tout contrôler vous demande beaucoup plus d'efforts que de lâcher prise.

  6. Se souvenir que plus vous dramatisez, plus vous vivez d'émotions. Vous malmenez votre système et vous vous créez des maladies.

  7. Se poser les questions suivantes: "Cette situation est-elle si tragique? Si je mourais dans quelques instants, serait-ce aussi important? Comment puis-je grandir en tant qu'être humain à travers cette expérience?"


Vous vous rendrez vite compte que le fait de dédramatiser vous aidera à être beaucoup plus maître de votre vie ce qui vous aidera à créer ce que vous voulez vraiment.


Lise Bourbeau
Comment faire respecter son espace?



Tout ce qui vit sur terre a naturellement besoin d'espace vital. Lorsque l'être humain a l'espace vital qui lui est nécessaire, cela le rend plus vivant, énergisé et créatif. Un être humain sans son espace vital est comme un animal sans territoire. C'est contraire aux lois biologiques et naturelles.

L'être humain a besoin d'espace physique, d'espace émotionnel et d'espace mental. Sans cela, il a le sentiment de n'être rien, de manquer d'amour. Votre espace physique, c'est l'endroit où vous habitez, votre chambre, votre lit, vos biens, votre espace au travail, vos outils de travail et tout ce qui vous appartient. C'est aussi votre corps : votre santé, la nourriture que vous ingérez, les odeurs et les touchers des autres. C'est également votre vie et votre mort. Votre espace émotionnel est formé par vos désirs, vos buts, vos choix quotidiens, votre horaire, votre temps, vos amis, votre travail, votre ressenti ainsi que la beauté présente dans votre vie. Votre espace mental quant à lui est défini par votre choix d'études, vos connaissances, vos pensées, croyances et peurs, votre courrier, vos engagements et vos moments de solitude pour réfléchir.

Votre capacité à délimiter et faire respecter votre espace physique, est le reflet de votre capacité à délimiter et respecter votre espace émotionnel et mental. C'est le reflet de votre capacité de vous affirmer, de vous respecter et faire respecter les besoins de votre être. Observez si vous vous respectez et si vous vous faites respecter dans tout ce qui concerne votre monde physique et vous saurez à quel degré vous respectez votre espace émotionnel et mental.

Vous aspirez probablement - comme tout le monde - à avoir tout l'espace voulu, mais peut-être pensez-vous que c'est impossible en vivant et travaillant avec d'autres personnes ayant elles, des besoins différents. Par exemple :

  • Vos enfants crient en s'amusant alors que vous voudriez du silence pour vous reposer;

  • Vous n'aimez pas les amis de votre conjoint ou vice-versa;

  • Votre conjoint aime accumuler de vieux objets alors que vous préférez vous en débarrasser;

  • Vous aimez et voulez sortir souvent alors que votre conjoint préfère rester à la maison.


Vous vous demandez probablement: Comment arriver à avoir mon espace vital si précieux et pourquoi certaines personnes y arrivent-il plus facilement que d'autres? Si vos parents - surtout le parent du même sexe que vous - ne vous a pas montré par l'exemple à délimiter et respecter votre espace, vous aurez plus d'efforts à faire pour y arriver. La plupart des parents ne sont pas structurés et disciplinés, ils ne savent pas se respecter. Ils sont soit trop dans le " laisser-faire " ou trop dans le contrôle et la retenue des enfants. C'est la raison pour laquelle la plupart d'entre nous avons à apprendre à délimiter l'espace dont nous avons besoin.


Voici quelques indices permettant de vérifier si vous avez de la difficulté à délimiter et respecter votre espace :

  • Vous ne respectez pas l'espace des autres : vous voulez les contrôler et les changer. Si c'est le cas, les autres agissent sûrement de la même façon avec vous;

  • Vous croyez au " vivre et laisser vivre " dans le monde du " avoir et faire "; par exemple, les autres membres de la famille font ce qu'ils veulent dans votre espace et vous croyez que c'est de les aimer que de les laisser faire.

  • Vous vous sentez coupable de réclamer votre espace. Exemple : Quelqu'un vous crie dans les oreilles, vous l'arrêtez fermement et vous vous sentez coupable par la suite d'avoir été aussi ferme ou direct;

  • Vous avez peur qu'on vous traite d'égoïste lorsque vous ne voulez pas prêter quelque chose ou donner de l'argent à quelqu'un, ou lorsque vous osez faire vos demandes. Exemple : Vous n'osez pas demander d'éviter de fumer dans votre auto.

  • Vous faites des pirouettes pour ne pas être rejeté ou abandonné.

  • Vous développez une maladie - que vous avez créée inconsciemment - pour avoir la paix et récupérer l'espace dont vous avez besoin.


Moins vous respecterez et ferez respecter votre espace, plus les autres vous envahiront. C'est comme un animal qui ne délimite pas son territoire avec sa senteur, les autres animaux vont empiéter son territoire. Souvenez-vous que ce que les autres vous font est un reflet de ce que vous vous faites à vous-même et de ce que vous faites aux autres. Les accuser et vouloir que les autres vous donnent de l'espace ne vous amènera nulle part. Ça doit d'abord venir de l'intérieur de vous. Voici quelques suggestions pour y arriver.

  • Devenez conscient de ce que vous voulez vraiment en prenant quelques minutes pour tout noter. En revoyant les définitions de l'espace physique, émotionnel et mental, précisez ce qui serait l'idéal pour vous.

  • Décidez ensuite que vous seul pouvez établir votre espace. Discutez-en avec les personnes qui vous entourent. Demandez-leur ce que serait l'idéal pour eux au niveau de leur espace. Voyez ensemble comment chacun pourrait trouver satisfaction. Il existe toujours des solutions gagnantes pour chacun.

  • Vous n'arriverez probablement pas à respecter et faire respecter votre espace complètement du premier coup. À la fin de chaque journée, vérifiez si vous vous êtes senti étouffé, si vous sentez avoir manqué d'espace ou si vous ne vous êtes pas senti respecté par vous-même ou par quelqu'un d'autre. Si c'est le cas, notez dans quelle situation et réfléchissez sur ce que vous pourrez faire différemment la prochaine fois.

  • Donnez-vous le droit de ne pas être capable de faire respecter votre espace tout à fait encore, sachant qu'un jour vous y arriverez.

  • Chaque jour, notez ce qui vous a fait vous sentir dans votre espace et félicitez-vous de l'avoir fait.

N'oubliez pas que vous avez le droit d'avoir des besoins différents des autres. Souvenez-vous de ces besoins, ils sont importants. Personne au monde ne peut délimiter votre espace à votre place. C'est votre responsabilité de le faire et c'est seulement ainsi que vous arriverez à vivre dans votre propre espace vital tout en respectant l'espace des autres. Sachez que tout comme il y a suffisamment d'air pour tous, il y a suffisamment d'espace sur cette planète pour tout ce qui y vit !

Lise Bourbeau

Comment gérer le stress au quotidien ?



Malgré les différents aspects de la société qui ont évolués au fil du temps et qui allègent nos tâches quotidiennes, j’entends régulièrement les gens dire que le stress augmente d’année en année et ce, peu importe le pays où je suis.

Il va sans dire que tout le monde vit un certain degré de stress. Ce degré est plus ou moins élevé dépendamment de la sensibilité et de la capacité émotive de chacun à gérer son moment présent ainsi que les changements qui en découlent. Cela dit, un des aspects de l’Ère du Verseau, dans laquelle nous sommes présentement, est qu’elle apporte beaucoup de changements dans nos vies, souvent inattendus, ce qui peut nous faire vivre plus de stress qu’à l’accoutumée.

Afin de déterminer votre degré de stress, je vous suggère de prendre quelques instants pour répondre aux questions suivantes. Lorsque vous aurez terminé d’y répondre, attribuez à chacune de vos réponses une cote entre 0 et 10, 0 représentant la situation la moins stressante. Puis, additionnez les chiffres pour connaître votre pourcentage de stress.

 

  • Qu’est-ce qui vous cause le plus de stress ?

  • Êtes-vous perfectionniste au point d’aller au-delà de vos limites pour atteindre votre but ?

  • Croyez-vous que vous êtes responsable du bonheur des autres?

  • Avez-vous si peu d’estime de vous-même que vous vous trouvez toujours nul, quoi que vous fassiez ?

  • Avez-vous sans cesse besoin de l’attention des autres pour vous sentir aimé, ce qui vous pousse à faire constamment des pirouettes pour y arriver et vous fait vivre du stress ?

  • Vous imaginez-vous des malheurs ou des malchances qui pourraient survenir dans votre vie ?

  • Votre stress est-il causé par de l’insécurité financière ou la peur de perdre votre emploi ?

  • Avez-vous peur de vous retrouver seul ?

  • Tentez-vous sans cesse d'être à la hauteur des attentes des autres ?

  • Trouvez-vous que vous manquez toujours de temps ?

Si vous considérez que votre résultat est trop élevé, cela signifie que ce que vous avez fait jusqu’à présent ne vous apporte pas les bénéfices escomptés. ACCEPTEZ-VOUS tel que vous êtes pour le moment et réalisez qu’il serait important pour vous de vous ouvrir à d’autres alternatives.  Acceptez que vous vous en faites trop, que vous êtes trop exigeant envers vous-même ou que vous dramatisez parfois.

Lorsque vous êtes stressé, prenez un certain recul et observez-vous comme si vous regardiez un film, SANS VOUS JUGER. Gardez à l’esprit que ce que vous vivez n’est ni bien ni mal, que vous préféreriez demeurer calme et serein, mais que ça vous est impossible POUR LE MOMENT. Restez en contact avec votre besoin et avec ce que vous voulez ÊTRE dans ce genre de situation et trouvez un autre moyen que celui que vous utilisiez pour y arriver. Ne vous attardez pas sur ce que vous ne voulez pas être (par exemple, stressé, énervé) mais concentrez-vous plutôt sur ce que vous voulez être, soit calme et centré.
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