Ton corps sais-tu ce qu'il te dit ?








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Plus votre pourcentage est élevé plus votre degré de confiance l'est aussi.

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Pourquoi certaines personnes ont-elles beaucoup plus confiance en elles que d'autres ?

Est-ce héréditaire ? Est-ce un hasard ? Est-ce appris ? Est-ce un acquis ? Suffit-il d'être encouragé pour développer cette confiance ?... Voilà beaucoup de questions que se posent souvent ceux qui n'ont pas confiance en eux !

6 points clés pour situé une personne qui a confiance en elle !

  • Elle demeure confiante et elle vit dans la certitude que tout
    va s'arranger

  • Elle ne se dévalorise pas suite à un échec

  • Elle ne s'identifie pas seulement à ses performances

  • Elle connaît sa valeur, elle reconnaît qui elle est

  • Elle sait que ce n'est que dans l'expérience que l'on peut apprendre réellement

  • Elle peut se confier et se révéler même si les autres ne sont pas d'accord car elle sait qu'on ne peut pas être d'accord en tout. Elle sait de plus qu'elle peut être aimée et appréciée même par ceux qui ne sont pas d'accord avec elle.

Je suis assurée que d'atteindre un jour ce niveau de confiance en soi est le plus grand désir de tous. Pourquoi est-ce donc si difficile d'y parvenir? La cause principale du manque de confiance est la quantité de croyances erronées, c'est-à-dire ce que nous avons appris et cru comme étant vrai depuis notre enfance.

4 différentes expériences ayant bloqué votre confiance.

  • Suite à l'exemple d'un ou des deux parents qui n'avaient pas confiance en eux

  • Suite à des expériences, étant jeune, où l'on s'est fait dire qu'on ne faisait rien de bon

  • Suite à toute expérience dévalorisante qui a pu provoquer un complexe d'infériorité

  • Suite à une réprimande, critique ou rejet pour avoir osé, étant jeune, avoir eu confiance en soi.

Quelle que soit l'origine de la croyance, plus cette dernière est forte, plus elle a du pouvoir sur celui ou celle qui l'entretient. Cette croyance a pour effet de maintenir cette personne dans la peur.

Vivez-vous l'une de ces 3 peurs ?

  • Peur de prendre trop de place si on se permet d'avoir confiance en soi, pouvant engendrer la peur d'être critiqué ou jugé d'orgueilleux, donc D'ÊTRE MOINS AIMÉ

  • Peur d'avoir à prendre des décisions et de ne pouvoir aller jusqu'au bout, pouvant engendrer la peur d'être jugé d'incompétent, donc D'ÊTRE MOINS AIMÉ

  • Peur de se tromper ou de faire fausse route, pouvant engendrer aussi la peur d'être critiqué, donc D'ÊTRE MOINS AIMÉ.

Plus une personne croit que se permettre d'avoir confiance en soi équivaut à être moins aimée, moins elle s'autorise à être elle-même; Elle croit que manquer de confiance en elle, avec les conséquences que cela engendre, est moins douloureux à vivre que le fait de ne pas être aimée.

À partir du moment où les conséquences du manque de confiance en elle la feront souffrir davantage que l'idée de ne pas être aimée, elle sera mûre pour décider que sa croyance et sa peur de ne pas être aimée ne sont plus nécessaires ou ne sont plus vraies pour elle. Dès lors elle pourra changer son attitude intérieure.

On peut vérifier le degré de confiance d'une personne par sa capacité de se révéler, de se confier sans avoir peur d'être jugée par les autres.

Voici une carte routière pour augmenter votre degré de confiance :

Commencez par décider de vous révéler un peu plus chaque jour. Par contre, il est important de bien faire la différence entre "se révéler", "se plaindre" ou "vouloir changer l'autre". Se révéler, c'est se confier, s'ouvrir, parler de soi, de ce qu'on ressent sans chercher la pitié, l'accord ou l'approbation de l'autre. Certaines personnes croient que lorsqu'elles parlent de leurs problèmes aux autres, elles se révèlent automatiquement. Bien souvent ces paroles sont dites dans l'intention de changer l'autre, de vouloir les manipuler ou les contrôler. Elles sont basées sur la peur. Une personne qui se confie vraiment le fait sans peur, sans arrière-pensée.

Décidez, de plus, de toujours être vrai. Plutôt que de ne pas dire la vérité, choisissez de ne rien dire en étant conscient de la peur qui se cache et qui vous empêche de dire la vérité. Donnez-vous le droit d'avoir encore cette peur ici et maintenant en sachant que tout se transforme avec l'acceptation.

Ouvrez-vous et acceptez la vérité des autres. N'oubliez pas que lorsque vous dites à quelqu'un d'autre : "Je veux la vérité", il est fort probable que cette vérité ne fasse pas votre affaire. Surtout ne condamnez pas cette personne car elle ne voudra plus vous dire la vérité. Plus vous encouragez les autres à vous faire assez confiance pour vous dire une vérité qui vous déplaît, plus vous développez la confiance en vous.

Lorsque vous réalisez que vous manquez de confiance en vous dans un certain domaine, donnez-vous le droit, osez l'avouer et vous verrez que vos limites s'élargiront.

Lorsque vous avez de la difficulté à avoir confiance ou faire confiance à quelqu'un, osez lui avouer en réalisant que vous vous basez sur le connu et qu'il vous est impossible pour le moment d'y arriver. L'autre personne vous respectera pour votre franchise. Les termes "avoir confiance" et "faire confiance" sont utilisés en général de la façon suivante :

  • " Avoir confiance " en soi ou en quelqu'un est proche d' " être confiant ". Quand on est confiant, on se fie à l'énergie divine en soi ou en l'autre, on sait que ça va s'arranger, qu'on va s'en sortir d'une manière ou d'une autre.

  • " Se faire confiance " ou " faire confiance " à quelqu'un est plutôt basé sur le connu, sur une expérience du passé.
    Exemple : " Je ne peux plus lui faire confiance après tout ce qu'il m'a fait ". On peut dire aussi : " Je ne suis pas capable d'avoir confiance en cette personne ". Ce genre d'expression est plus basé sur une intuition que sur une expérience du passé.


Osez risquer et vous donner le droit de ne pas réussir en sachant que tout n'est qu'expérience; Ne vous laissez plus arrêter par les " supposés échecs " du passé. Ces derniers vous ont servi, il ne reste qu'à découvrir comment.

Ne vous valorisez plus par vos performances, mais plutôt par ce que vous "êtes". Ne croyez plus que vous êtes "spécial" seulement lorsque vous avez les résultats escomptés. N'attendez plus les résultats pour être heureux; Soyez plutôt heureux de toute la créativité que vous développez (à tout moment dans tous les domaines de votre vie).

Vous verrez qu'en reprenant confiance en vous, vous retrouverez votre puissance intérieure et votre vie en sera de beaucoup améliorée.

Vous vous ouvrirez à l'abondance au même degré que votre ouverture à la créativité. Plus vous créez votre vie selon vos besoins, plus vous êtes dirigé dans la bonne direction.

Vous développerez davantage d'amour pour vous-même et attirerez donc plus d'amour vers vous.


Lise Bourbeau

Comment bien vivre sa colère ?



Êtes-vous une personne colérique ? Ne répondez pas trop vite à cette question ! La plupart des gens ne se croient pas colériques mais en réalité, tous les humains vivent de la colère à des degrés différents, de façon différente et pour des raisons différentes.


Comment vivez-vous les situations suivantes ?

  • Quelqu'un vous fait une promesse, s'engage à faire quelque chose et ne le fait pas.

  • Vous prêtez un objet ou de l'argent et l'autre ne vous le remet pas, ou vous remet l'objet endommagé.

  • Quelqu'un vous ridiculise ou vous humilie devant d'autres personnes.

  • Votre conjoint(e) oublie votre anniversaire.

  • Vous êtes sûr(e) d'avoir raison alors qu'une autre personne vous obstine.


Les situations précédentes impliquent au moins une autre personne. Que se passe-t-il en vous lorsque vous vivez une des situations suivantes ?

  • Vous oubliez quelque chose d'important.

  • Vous avez dit oui à quelqu'un alors que vous auriez voulu dire non.

  • Vous avez trop mangé de chocolat ou abusé de tout autre aliment ou substance.

  • Quelque chose que vous n'auriez pas dû dire revient contre vous.

  • Vous voulez exprimer quelque chose à quelqu'un et vous n'y arrivez pas.

  • Vous avez laissé quelqu'un profiter de vous.


La majorité des gens vivent de la colère face à eux-mêmes dans ces situations. Cette colère est plus ou moins consciente et vécue à des degrés différents par chacun.


Pourquoi vivons-nous autant de colère alors que nous préférons le calme dans notre vie?


À chaque fois que la colère prend le dessus, nous ne sommes plus nous-mêmes. Nous nous laissons envahir par une partie de nous qui souffre et qui est là pour nous indiquer une blessure non réglée. Cette blessure vient d'une situation douloureuse vécue étant jeune avec un parent et où le pardon n'a pas été encore fait.

Cinq blessures principales sont à la base de cette colère : La trahison, le rejet, l'abandon, l'humiliation et l'injustice. Tant et aussi longtemps que les blessures ne seront pas réglées par le pardon véritable, elles demeureront des plaies ouvertes qui feront mal à chaque fois que quelqu'un ou une situation viendra réveiller ou toucher cette vieille blessure. Plus la blessure est importante, plus la plaie est ouverte, et plus la colère est forte.

Lorsque nous croyons vivre de la colère envers une autre personne, c'est une illusion. En réalité, c'est toujours face à soi-même. Inconsciemment, nous nous en voulons de ne pas nous être occupé de nos blessures. Nous nous en voulons de nous être laissé avoir, de n'avoir pu nous exprimer ou faire nos demandes clairement ou de n'avoir pu nous affirmer sans accuser l'autre. Lorsque nous sommes dans notre coeur, nous n'accusons pas l'autre et nous pouvons nous exprimer calmement en nous plaçant dans la peau de l'autre. Au niveau de l'âme, nous savons que nous attirons ces personnes et ces situations pour nous aider à devenir conscients de ce qu'il nous reste à régler. En fait, nous sommes en colère parce que nous nous en voulons de ne pas demeurer dans notre coeur, c'est-à-dire d'être vraiment nous-mêmes. C'est seulement lorsque nous sommes réellement nous-mêmes que nous nous sentons bien.

Il est intéressant de constater que nous ne nous mettons pas tous en colère pour les mêmes raisons et dans les mêmes circonstances. Cela vient des croyances développées par chacun, par peur de souffrir, et selon la personnalité de chacun. Voici plusieurs exemples:

  • Le perfectionniste trop idéaliste veut tellement que tout soit parfait, qu'il est en général un perpétuel insatisfait. Il vit beaucoup de colère, mais surtout face à lui-même, car il se critique beaucoup. Il essaie de contrôler sa colère le plus possible car pour lui, colère est synonyme d'imperfection. Chez le perfectionniste, la colère se traduit par une attitude tendue, stressée et nerveuse. Le contrôle qu'il s'impose est très exigeant et néfaste pour son système nerveux.

  • Les personnes ambitieuses qui recherchent sans cesse le succès vivent de la colère lorsqu'il y a perte de temps. Elles ne se donnent pas le droit de perdre du temps et vivent donc de la colère envers elles-mêmes si cela se produit. Elles ne tolèrent pas non plus ceux qui leur font perdre leur temps et vivent de la colère envers eux lorsque cela se produit. Ces personnes manifestent leur colère par de l'impatience et de l'intransigeance. Elles ne s'arrêtent pas trop à leur colère car cela leur ferait perdre du temps.

  • Les personnes à caractère contrôlant vivent surtout de la colère envers ceux qui ne gardent pas leurs engagements et ceux qu'elles jugent irresponsables. Elles se permettent de montrer leur colère car elles aiment bien montrer leur force, leur pouvoir. Par contre, elles s'en veulent ensuite car elles voudraient être assez fortes pour ne pas se laisser déranger.

  • Les personnes plutôt rigides sont championnes pour se faire croire que tout va bien, que tout est merveilleux et qu'elles ne vivent pas de colère. Elles préfèrent ne rien sentir, ainsi elles évitent de souffrir. Ce sont des personnes à qui on a souvent demandé de performer étant jeunes et qui continuent de croire qu'en ne sentant pas, elles performeront mieux. En général, elles semblent au-dessus de tout, calmes et impassibles.

  • Les personnes dépendantes vivent de la colère surtout envers les autres. Elles recherchent de l'attention à tout prix. Elles vivent donc de la colère principalement avec ceux qui devraient, selon elles, leur donner de l'attention ou avec ceux qui semblent l'abandonner. Cette colère se manifeste surtout par des problèmes ou des maladies pour attirer l'attention. Elles jouent souvent à la victime. Toutes les maladies qui finissent par "ite" sont des manifestations de la colère. Le foie est l'organe le plus touché par le refoulement de la colère. On observe aussi des problèmes de blocage aux intestins lorsque la personne se retient trop, surtout au niveau de ses désirs.

  • Ceux qui se sentent facilement rejetés vivent une colère profonde mais choisissent de fuir plutôt que de montrer leur colère. Ils fuient la situation ou la personne en se réfugiant dans l'alcool, la drogue ou les médicaments. Cette colère est une émotion indésirable qui bloque le corps émotionnel, c'est-à-dire le corps des désirs et de la capacité de sentir la joie, le bonheur et l'amour. C'est d'ailleurs la cause de toutes sortes de malaises et maladies au niveau du corps physique.

Cette colère est une émotion indésirable qui bloque le corps émotionnel, c'est-à-dire le corps des désirs et de la capacité de sentir la joie, le bonheur et l'amour. C'est d'ailleurs la cause de toutes sortes de malaises et maladies au niveau du corps physique.


Lorsque vous vous apercevez que vous vivez de la colère :

  1. Prenez trois bonnes respirations.

  2. Ensuite " et le plus important " donnez-vous le droit de vivre cette colère. Acceptez l'idée que vous êtes humain, que certaines blessures intérieures ne sont pas encore réglées et que cette colère peut vous permettre de les découvrir pour enfin les guérir.

Ces deux premières étapes vous aideront à vous recentrer.

  • Reconnaissez ensuite que c'est en réalité envers vous-même que vous êtes en colère. La plupart des gens s'en veulent de ne pas avoir bien précisé ou bien communiqué quelque chose, de s'être laissés avoir, d'avoir agi sans réfléchir ou de ne pas avoir écouté leur intuition par exemple.

  • Lorsque votre colère implique une autre personne, il est important de lui exprimer ce que vous avez vécu en lui avouant la colère que vous vivez face à vous-même. Il ne doit y avoir aucune accusation envers l'autre.

  • Ne vous en voulez surtout pas car vous continueriez ainsi à entretenir cette colère envers vous-même. Sachez qu'il est tout à fait normal pour un humain de réagir lorsque quelqu'un vient toucher une de ses plaies, qu'elle soit physique ou psychologique.

  • Je recommande également de faire le miroir avec la personne concernée. Cette technique est formidable pour vous aider à vous connaître davantage et devenir plus conscient(e). Notez de quoi vous accusez l'autre d'être et ensuite vérifiez si ça vous arrive d'être comme ça des fois. Cet exercice n'a pas comme but de vous sentir coupable d'être comme ça mais plutôt pour vous aider à prendre conscience pourquoi vous êtes comme ça à certains moments. Ceci vous aidera à avoir plus de compassion pour vous-même et pour les autres.

  • Par la suite, allez encore plus loin et vérifiez à quel moment vous avez, dans le passé, accusé un de vos parents de la même chose. Ce parent est généralement celui du même sexe que la personne avec qui vous avez vécu une colère. Cela peut vous aider à faire le pardon avec votre parent.

  • Le mieux est de faire ce travail intérieur le plus vite possible. Si vous attendez, si vous refoulez la colère, la blessure s'en trouvera grossie et aggravée et il vous sera de plus en plus difficile de l'exprimer. Vous avez toujours le choix!

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