Epoque de l’émergence du sujet moderne








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Le géocentrisme : avant la révolution copernicienne, le système qui s’impose à tous est le système ptoléméen. L’application de ce système place la terre au centre de l’univers en ce qui concerne le statut de l’homme.

*Le monde est perçu comme un monde rond clos et centré. Les gens cultivés savent que la terre est ronde mais pensent que la terre est immobile au centre du monde et que le système s’organise autour d’elle dans un cercle concentrique. Ptolémée parle d’un système avec des épicycles. Cette idée s’explique par le fait que le cercle est le symbole de la perfection céleste, le cercle n’a pas de fin (Ronsard : image du sein de la femme). Ce cercle définit un espace absolu, il n’y a qu’un monde et en dehors de lui il n’y a rien. Face à ce système , la révolution copernicienne provoque un décentrement du monde par deux hypothèses :

-L’hypothèse de l’héliocentrisme

- L’hypothèse qui dit que la terre tourne sur elle-même autour du soleil

Le système de Copernic ne s’impose pas avant 1633 (procès et abjuration de Galilée). Les écrivains du 16e pensent et rêvent à l’intérieur d’un système géocentrique. La théorie de Copernic n’est pas perçue comme un bouleversement tout de suite : c’est une révolution après coup. Le passage du géocentrisme à l’héliocentrisme met en avant la nécessité de mettre en place une nouvelle physique : Galilée et sa théorie du mouvement + les idées de Newton et de la gravitation universelle. L’annonce de cette lente évolution du monde clos à un univers infini est progressive.

*Un monde vu comme cloisonné et hiérarchisé : présence d’une limite entre le ciel et la terre (orbite de la lune). Au dessus de la lune zone supra lunaire : c’est le monde la permanence, de la perfection, de l’immortalité, le monde des astres, le monde de Dieu. Sous la lune, la zone sublunaire est elle marquée par le changement, tout bouge et est amené à se transformer. C’est la zone régie par les quatre éléments qui se mélangent pour donner naissance à tout ce qui existe. La seule permanence de cette zone, c’est la succession ininterrompue des naissances et des morts. Le cosmos est assimilable à un « O » où la zone sublunaire représenterait le bas du monde.

*La situation de l’homme est ambigüe : au centre du monde l’Homme est un contemplateur privilégié. La bible suppose que le monde a été crée pour lui. Il est au sommet de la hiérarchie de toutes les créatures. Sa supériorité se situe dans le fait que l’Homme est doué de Raison. Cette tradition médiévale relève tout ce qui distingue l’homme des animaux (ex : le rire, la stature debout). Par sa nature il participe a la zone sublunaire et la sur lunaire c’est l’intermédiaire entre la terre et le ciel : on l’appelle le trait d’union du monde.

D’autre part il est aussi au bas du monde puisqu’il vit sur terre : la condition de l’Homme est par essence mortelle. Elle est soumise au changement. Les Hommes de la renaissance sont fascinés par les limites humaines et par la capacité de l’homme à transcender ses limites. Naissance d’une passion pour les phénomènes météorologiques.

La notion d’harmonie : dans ce système géocentrique on développe la notion d’un monde harmonieux parfaitement ordonné et cohérent. Deux aspects :

  • La notion de macrocosme/microcosme : ex : sein de Ronsard analogie entre la rondeur du sein et la rondeur du ciel ou analogie entre la rondeur de la coquille d’œuf (ciel), et sa pesanteur (terre), et le reste de l’œuf représente les trois autres éléments. L’homme est vu comme un microcosme : relation d’analogie avec le cosmos : médecine : les 4 éléments du monde sont similaires aux 4 humeurs (sang=air, bile jaune=feu ; bile noir=terre, flegme =eau) de l’homme (Gallien) / Domaine politique : système monarchique justifié par une analogie avec le système astronomique / Société analogie avec le corps humain : les 3 mondes corporels : social, humain et cosmique (chapitre 28 Pantagruel)

  • L’influence des astres : à la Renaissance la distinction est floue entre l’astronomie et l’astrologie : on croit en l’influence des astres sur les Hommes. Mais, il existe un problème d’ordre religieux. La religion chrétienne fait de l’Homme un sujet libre et responsable de ses actes. L’influence astrale pose problème. Les Hommes de la renaissance revendiquent alors une influence corporelle et non spirituelle des astres.

Dignité humaine : Le système géocentrique ainsi que l’intérêt de l’humanisme pour la philosophie du monde explique la définition de la dignité humaine

Misère ou dignité de l’homme ? Insignifiance terrestre, misère physique et culturelle. La Renaissance ne rejette pas cette tradition pessimiste mais volonté d’un équilibre par un approfondissement de la notion de dignité humaine. Hésitation entre misère et grandeur de l’homme .Humanisme : pensée partagée oscillant entre optimisme et inquiétude.

=> misère de l'homme. => tradition pessimiste. L'homme n'est rien face aux dieux, il sagit d'écraser son égo.

Mais au 16è siècle, on essaie de nuancer ce pessimisme. Tantôt grandeur de l'homme, tantôt petitesse.

=> L'homme n'est que le songe du monde mais il s'élève par son intelligence et sa volonté.
=> néoplatonisme florentin : redécouverte de Platon : Marsile Picin, Pic de la Mirandole... cours des Médicis à Florence.

Pic de la Mirandole : Discours Sur la Dignité de l'homme : sorte de plaidoyer ou d'éloge qui propose une nouvelle définition de la dignité de l'homme. Il réécrit le texte de la Genèse dans une fable : il insiste sur le fait que l'homme a été créé en dernier : l'homme est le dernier servi. Pic compare l'homme au caméléon : être changeant. L'homme peut tirer vers l'animalité (être sensuel) ou le céleste (philosophe), il est de la responsabilité de l'homme de se tirer vers le céleste et non pas vers l'animal.

Bien que la thèse de copernic paraisse en 1543, les hommes du 16è siècle pensent encire au monde en terme géocentrique. L'une des pensées principales de l'époque : la dingnité de l'homme => on cherche à définir l'homme. L'homme est un être indéfinir selon Pic de Mirandole. L'homme vit sous une condition : l'absence de conditions : c'est à dire la liberté, l'absence de contrainte. => s'affranchir des contraintes. L'homme est le résultat de son propre acte.

Pic de la Mirandole (1463/1494) : intérêt pour l’ésotérisme. De la dignité de l’homme : Optimisme en faveur de l’Homme, plaidoyer qui propose une nouvelle définition de l’Homme. Apport qui consiste en une sorte de fable dans lequel il réécrit la genèse. L’homme a été crée après toutes les autres créatures.

Vives imagine lui aussi un mythe de l’Homme : il décrit une fête d’anniversaire chez les dieux. Ces derniers contemplent un spectacle : la Terre est le théâtre du monde .Les dieux sont charmés par l’acteur Homme, qui interprète tous les Hommes. Les dieux invitent alors l’Homme à les rejoindre : sens optimiste du théâtre du monde. Vives célèbre l’Homme dans son talent d’acteur .

Conclusion: Les hommes du 16e vivent encore dans un géocentrisme. Notion d’harmonie : homme = petit monde. Contribution à la définition de l’homme : Pic de la Mirandole ; le présente comme un être indéfini. Chaque réalité existent possèdent une nature propose qui le conditionnent mais l’homme se construit dans l’action. L’homme a une seule condition l’absence de conditions, la liberté, sa contrainte est la contrainte d’être libre, de choisir son destin, de construire les chaines de sa condamnation. L’homme est tout car il peut être tout. L’homme est lui-même sa propre cause, il est la cause de son devenir.

Humanisme et modernité 6

Fous et folie autour d’Erasme, Eloge de la folie(1509)

La folie n’est pas quelque chose de nouveau : longue tradition de l’excès, rage, fureur, dérèglement des humeurs … dans toutes les cultures. Renaissance fasciné par le désordre des esprits auquel elle reconnait une fécondité paradoxale

  • Fou : proche parent du paysan et de l’homme sauvage : massue, mage du fromage (pensée analogique renaissance : fromage est comme un cerveau, tout mou qui se pourrit avec l’avancée de la folie), tondu. Le fol est l’anti chevalier. Folie : lieu de la perte de la raison. La folie se construit sur un manque. En latin : fou : « insipiens » (qui ne sait pas), amens (pas de raison). Follis verbe latin qui désigne le vide. Cerveau du fou creux. Mais, différence durant le moyen âge entre une folie culturelle intégrée dans la vie de tous les jours, codifiée (ex carnaval) et une folie personnelle (fous furieux). + tradition médicale de Gallien : folie = dérèglement des humeurs : excès de bile jaune : frénésie, folie furieuse. Cure pour la folie : chirurgie (trépanation : extraire la pierre de folie : très courant.), les herbes, le régime de santé (mode de vie, alimentation).

  • Fin 15e : on voit apparaitre la démythification de la folie du monde : la folie pathologique devient l’emblème d’un monde à l’envers. Représentation d’une inquiétude de la fin des temps (famine, épidémie, crises religieuses) : Michel Foucault « La folie prend la relève de la peste » « grande menace montée à l’horizon du XVe ». Selon Foucault : « la dérision de la folie prend la relève de la mort et de son sérieux ». L’effroi devant la mort devient dérision devant la folie. « la folie c’est le déjà la de la mort ». Présence de la mort dans la folie. Le rire de fou est celui qui rit par avance de la mort. Toujours question du néant de l’existence : éprouvé de l’intérieur, comme une folie continue et constante dans l’existence humaine.




  • Renaissance : deux visages de la folie. Une phase négative qui associe le fou a la mort, a la maladie, à l’instabilité du monde. Une phase positive qui s’explique par le rire et la fête. Le fou incarne les joies de la vie, l’amour l’audace (carnaval, fête des fous, iconographies : bonnet oreille d’âne, marotte…figure du fou souvent en train de boire). +le fou critique qui dénonce les faits et travers de la société. N’a pas peur de parler, dénonce les méfaits de la société : importance dans la satire sociale.


CCL : Dans tous les cas la figure du fou incarne le support d’une grande fécondité créatrice.
La nef des fous (Das Narrenschift), Brandt : raconte l’embarquement de tous les fous du monde dans une nef, destinée à faire naufrage. Chaque page est consacré à un type de fou particulier (ex : le fou des livres qui s’embrasse d’un tas de livre qu’il ne lira jamais). Cet ouvrage appelle à la conversion chrétienne : seule solution pour ne pas couler avec la nef.

Progression de l’angoisse au fil de la lecture, angoisse devant ce monde qui court à sa perte .Marquée par une vision eschatologique (fin des temps).

Importance du rapport entre textes et images : Permettre de vous identifier à l’un ou l’autre fou, pour être certain que vous courrez a votre perte si vous ne vous convertissez pas.

Motif de la nef : reprise d’un motif antique. Reprise de la mer du monde. Mais aussi motif biblique : nef = allégorie de l’existence humaine. Motif qui annonce le naufrage comme conséquence du pêché.

Discours, eschatologique, satirique et prophétique.
L’éloge de la folie, Erasme :

Erasme : conseiller de Charles Quint, François Ier. Ami des peintres, confident de Thomas Moore. Adversaire de Luther dans la question protestantisme/catholicisme. Grand polémiste dans l’Europe de cette époque.

Adages (1500/1536)

Novum Instrenmentum (1516)
Eloge de la folie : amusement : mais grand succès. Publié dans le contexte du carnaval. Mais texte savant dédié à Thomas Moore (mauria=folie en latin). Déclamation, exercice d’école : c’est la folie qui déclame et qui exprime un éloge paradoxal d’elle-même (genre très présent renaissance)

Fiction énonciative, c’est la folie qui parle, accompagnée de ses amis. Description de sa tenue. Dans cette prosopopée : la folie s’adresse aux Hommes pour leur révéler leu folie. LE discours tenu est ambigüe, à double entente. Peut-on la prendre au sérieux ? La folie invite a réfléchir a la question : doit on et en quel sens faire l’éloge de la folie ?? Eloge d’une folie de l’évangile.
Analyse, Eloge de la Folie :
-L’homme est fou par définition : L’éloge de la folie dresse un tableau de la folie universelle. Folie à la base de toute action humaine : lien entre audace et folie. Satire du sage : personnage rébarbatif. Quand le sage tombe amoureux, lorsqu’il veut devenir père : risque la folie. Ridiculise les prétentions de l’homme à la sagesse. Toute la vie humaine vient de la folie. Elargissement progressif de la folie à tous les Hommes. La folie est elle source de misère ou source de dignité pour l’homme ? Deux cotés de la folie (ridicule mais inhérente à la dignité de l’Homme) , il faut savoir accepter sa part de folie .


  • L’homme est un être d’illusion : sature du théâtre du monde. Tableau de la folie universelle au service d’un renversement. Définition de l’homme comme d’un être de folie ou d’illusion : mise en œuvre d’une satire féroce mais invite à dépasser les apparences pour s’ouvrir à une vraie sagesse. Homme = être d’illusion : utilisation des motifs des silènes (petites figurines fabriqué pour s’ouvrir : extérieur moche mais intérieur beau) Erasme y puise sa méthode. Tout ce qui est excellent est ce que l’on ne voit pas. Travail d’inversion silénnique : critique audacieuse des pouvoirs temporels et de l’Eglise (ex : Eglise désigne de l’extérieur : prêtre évêques … mais cette apparente humilité cache en réalité des abus). Le bon sens appartient aux fous et non au sage. Le fou est celui qui sait jouer la comédie de la vie. Les illusions sociales (sagesse, savoir, pouvoir) qui défont l’objet d’une satire sociale : Texte truffé d’éléments satirique de la cour. Pareil pour pouvoir ecclésiastique. Progressivement la satire évolue : on passe de la dérision des illusions sociales à la dénonciation de véritables impostures (ex : le prince qui se comporte en tyran ou le clergé qui oublie sa mission: costumes de théâtre). Erasme dénonce par exemple la justification de la guerre eu nom de dieu. LE chemin qu’indique Erasme pour une vraie sagesse : aider le lecteur à dépasser les apparences pour découvrir la sagesse suprême d’une folie supérieure : logique de renversement qui joue dans les deux sens. Elle est au service d’une sature dénonciatrice mais aussi un idéal de sagesse qui se cache sous le masque de la folie. La folie supérieure, sagesse définitive est celle de la foi chrétienne.

  • Une leçon évangélique : l’homme appelé à la folie de Dieu. L’éloge d’une piété intériorisée : l’évangélisme. La foi se vit dans une relation entre le croyant et Dieu : Pas d’intermédiaire de l’Eglise ou de pratiques superstitieuses. Les hommes ne doivent pas rendre de compte à la folie : culte véritable. L’éloge du message évangélique : Erasme opposé les gloses des théologiens aux évangiles. La folie accuse les théologiens d’oublier de feuilleter l’évangile ou l’épitre de fol. L’éloge de la folie de Dieu : Explicitement opposé à la folie humaine. La sagesse de Dieu n’est pas celle des Hommes. La folie se livre à une relecture de la bible pour condamner l’orgueil du sage et pour faire l’éloge d’une folie qui est la sagesse des humbles.


CCL : Eloge de la folie : discours paradoxal dans lequel la folie personnifiée est son propre ennemi. Erasme reprend les débats misère/dignité : satire des travers humains+leçon évangélique. Etre homme c’est assumer la folie humaine pour mieux se tourner vers la folie de Dieu.

Humanisme et modernité 7,

Le renforcement d’un sentiment de l’enfance (âge particulier du point de vue pédagogique, âge qui doit être formé) : responsabilité du pédagogue.

Sentiment d’urgence des pédagogues.

Travail de la mémoire : tradition des arts de mémoire.

S’adapter aux élèves (classes de niveau) et à la nature de l’enfant.

Le langage est au fondement de l’éducation.

Outils dont se servent les pédagogues humanistes :

-Traités de pédagogie : par exemple ceux d’Erasme De pueris (1529) : pours les enfants de 4 à 7 ans : l’apprentissage de la langue se fait en même temps que l’initiation des sciences naturelles, capacité de mémorisation et d’observation / Pour les enfants de plus de 7 ans De ratione studii : grammaire simplifiée qui aide à l’art de la conversation

- Les colloques scolaires (parler ensemble) : d’abord un genre mineur pratiqué par quelques humanistes allemand. Ecoliers qui sollicitent : mise en scène de personnages d’enfants qui discutent entre eux : apprentissage des règles de socialisation. Corpus intéressant lorsque l’on s’intéresse à l’enfance. Derrière ces colloques scolaires (Erasme, Vives) : chasser la barbarie des écoles (jeux de rôles + rudiments de la grammaire). Colloques familiers (1518-1522) d’Erasme : idiomes latins + expression populaires : propose des dialogues et mises en scène qui touchent à tous les épisodes de la vie d’un enfant, autre que l’école. De plus, il glisse quelques idées philosophiques : art pour prôner la réforme de l’Eglise : accusé d’utiliser un genre scolaire pour promouvoir des idées vicieuses. Il se défend en disant qu’il ne faut pas cacher à l’enfant les choses de la vie + formation de l’enfant en tant qu’homme en devenir. Derrière l’apprentissage de la langue il y’a l’apprentissage de la sociabilité.

- Les civilités : De civilitate d’Erasme (1530) . Ouvrages qui traitent de la façon de se tenir (traité de politesse). La culture n’est pas seulement de l’ordre d’un savoir, mais de l’ordre d’un être ensemble. L’enfant ne devient homme qu’en apprenant le langage et en se maitrisant soi même. Le savoir vivre est le complément de l’instruction et de la piété. Erasme fonde un genre, il fait le tour de toutes les situations de la vie d’enfant (manière de s’habiller, manière de se tenir à l’Eglise, manière de se comporter dans la chambre à coucher, façon de se tenir à table…). Il analyse ‘l’individu (connaissance du corps, aspect extérieur). Donne lieu à d’autres traités de civilités. Succès de ce genre : prestige de sont auteur, on fait comme Erasme. Mais il est aussi un livre de lecture de part leur forme. Il devient le code européen des usages, des règles de conduite universelle.

Colloques scolaires et civilités : très représentatif par leur utilisation / contenu d’une idée maitresse de l’humanisme. L’homme acquiert sa formation par le langage : être capable de communiquer avec les autres, de vivre ensemble. Apprendre à parler c’est apprendre à vivre en société. Bien vivre en société : forme du savoir vivre.

Barthélémy Hanno : fonde le collège de la trinité, pédagogue. L’imagination poétique (1552). Ecrit des vers à partir d’une gravure.

Ex : le mythe de Calypso : à partir de ce mythe, il réfléchit sur la pédagogie.

Dans son livre il loue l’entraide entre les enfants.

Chez Montaigne s’ajoute l’apprentissage de l’esprit critique.

Humanisme et modernité 8
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