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Heidegger à l’écoute des discours d’Hitler et la soi-disante concurrence entre Juifs et Nationaux-socialistes: Même l’idée d'une entente avec l'Angleterre au sens d'un partage des „prérogatives“ des impérialismes manque l’essentiel du processus historial dont l’Angleterre, au sein de l’américanisme et du bolchevisme, c'est-à-dire également du judaïsme mondial, joue maintenant le dernier acte. La question du rôle du judaïsme international n'est pas raciale, c'est la question métaphysique du type d'humanité qui de façon absolument libre de toute attache peut assumer comme „tâche“ dans l’historialité mondiale le déracinement de tout étant hors de l’être.18 Cette citation est tirée de la dernière des Réflexions XIV. En commentaire vous écrivez entre autre: Heidegger avait une oreille pour les discours d’Hitler. […] La „machination“ peut réaliser „la déracialisation complète des peuples“ parce que les Juifs aspirent „de façon absolument libre de toute attache au déracinement de tout étant hors de l’être“.19 Et votre remarque 31 sur la même page: Qu’est-ce que, ou qui est „l’Angleterre“? (…) Sans que cela n’épuise le contenu de ces énoncés sur l’Angleterre, l’affirmation que la destruction de l’Allemagne serait, pour l’Angleterre, une „gigantesque affaire“, traduit sans doute dans ce contexte, une tendance antisémite.20 En écrivant que „Heidegger avait une oreille pour les discours d’Hitler“, vous voulez dire que cette réflexion de Heidegger se réfère probablement à un discours d’Hitler. Mais vous ne dites pas lequel précisément. Ce discours, Hitler l’a tenu le 22 juin 1941. La troisième des Réflexions XIV (en partant de la fin) y fait explicitement référence. Je suppose que les deux réflexions suivantes font aussi référence à ce discours de Hitler et que nous devons donc les lire ensemble. Je cite en entier les trois dernières des Réflexions XIV: Le déclenchement de la guerre contre le bolchevisme a enfin soulagé beaucoup d’Allemands inquiets d’un supposé rapprochement trop étroit avec la Russie. Seules des époques plus tardives pourront apprécier à sa valeur le „document“ qui a été présenté à l’opinion publique mondiale le matin du 22 juin 1941. La première phrase déjà offre un aperçu des moments qui ont précédé immédiatement le déclenchement de la guerre: „Empli d’inquiétude, condamné au silence pendant des mois, l’heure est aujourd'hui venue où je peux parler ouvertement.“ En même temps éclate au grand jour la „duplicité“ de la politique bolchevique. Le Juif Litwinow réapparaît. Pour son 60e anniversaire, le rédacteur en chef du journal moscovite „Iswestija“, le communiste notoire Radek, a écrit la phrase suivante: „Litwinow a prouvé qu’il sait de manière bolchevique, ne serait-ce que temporairement, chercher des alliés là où ils sont effectivement“. Pourquoi reconnaissons-nous aussi tard que l'Angleterre est et ne peut être que sans tenir à l’occident ? Parce que ce n’est que dans l'avenir que nous comprendrons que l'Angleterre a commencé à installer et organiser le monde des Temps nouveaux, mais que les Temps nouveaux, conformément à leur manière d’être, s’orientent en direction du déchaînement de la fabrication dans le globe terrestre tout entier. Même l’idée d'une entente avec l'Angleterre au sens d'un partage des „prérogatives“ des impérialismes manque la pleine essence du processus historial dont l’Angleterre, au sein de l’américanisme et du bolchevisme, c'est-à-dire également du judaisme mondial, joue maintenant le dernier acte. La question du rôle du judaïsme mondial n'est pas raciale, c'est la question métaphysique qui s’enquiert du type d'humanité qui de façon absolument libre de toute attache peut assumer dans l’histoire vraie du monde la „tâche“ du déracinement de tout étant hors de l’être. Interpréter ce passage demande selon moi de remplir deux tâches. Premièrement interpréter les réflexions précédentes par rapport à leur contenu philosophique. Deuxièmement interpréter d’un point de vue psychologique les 3 réflexions en rapport avec le discours de Hitler à l’occasion de l’entrée en guerre contre l’Union soviétique. Je suis bien conscient que les interprétations psychologiques n’avancent toujours que des conjectures, passent la plupart du temps à côté du problème et sont égarantes. Pourtant, du fait de plusieurs décennies d’expérience professionnelle dans ce domaine, j’aime à croire que mes interprétations vont parfois au fond des choses. Premier point (en rapport au contenu philosophique): Heidegger commence la réflexion avec la thèse: l’Angleterre n’adopte pas une attitude „occidentale“ - autrement dit elle est focalisée sur le lever de soleil et ne prête pas attention à la pleine essence du Ponant, c’est-à-dire du mouvement où le soleil descend et disparaît, qui selon la pensée historiale de Heidegger rend seul possible le lever. Une interprétation possible: l’attention de l’Angleterre ne se porte pas sur tout ce qu’elle peut laisser se perdre, afin que lui reste ce qui lui est essentiel ; son attention se porte donc sur ce dont elle a besoin, sur un toujours-plus, encore-et-encore, sur le „soumettez-vous le monde“ - au sens du colonialisme aussi bien - et ce de manière déchaînée. Mais impérialisme et colonialisme ne sont qu’une conséquence qui mène à terme l’attitude anglaise fondamentale. Le rôle de l’Angleterre dans l’historialité mondiale est fondateur: c’est celui de pionnier des Temps nouveaux, de la conquête comptable et de la pénétration du globe tout entier. Si le rôle de la Grèce fut de maîtriser philosophiquement l’émergence de l’étant, celui de l’Angleterre fut d’être la première à se lancer dans la pénétration mathématique de l’étant grand ouvert. C’est parce qu’elle assuma la tâche qui lui avait été confiée qu’elle a pu grandir et se propager sans jamais avoir le Couchant philosophiquement en vue. Mais son rôle touche désormais à sa fin, elle perd sa prétention à guider. L’Angleterre a rempli sa tâche de précurseur des Temps nouveaux, et donc aussi son rôle impérialiste de conquérante et maîtresse du monde. La graine de la pénétration mathématique de tout étant, de la conquête comptable du monde et donc aussi le toujours-encore-et-encore a particulièrement bien germé dans l’américanisme et le bolchevisme. On manque l’essentiel de l’impérialisme moderne et le rôle qu’y joue l’Angleterre quand on essaie de distinguer un bon impérialisme, à savoir anglais et américain, d’un mauvais, c’est-à-dire bolchevique. Dans la mise en relation entre Angleterre et judaïsme mondial, qu’effectue Heidegger, il s’agit également du rôle de l’Angleterre comme précurseur de la pénétration mathématico-comptable généralisée de l’étant, qui a encore pour conséquence nécessaire un déchaînement de la fabrication sur le globe entier. Tout comme la philosophie anglaise et la conception physico-mathématique du monde se réalise dans l’américanisme et le bolchevisme, le judaïsme mondial s’impose également (remarque: par opposition au judaïsme religieux). Heidegger attribue certes liberté d’attaches et déracinement au judaïsme mondial sur la base de son absence de sol et de monde, et aussi la tenace aptitude pour le calcul, le trafic et le mélange. Cependant toutes ces attributions ne sont pas vraies seulement pour le judaïsme mondial ; elles sont en vérité une description de l’homme des Temps nouveaux tel qu’il est en et pour soi. Il ne s’agit pas de qualités spécifiques réservées aux Juifs. C’est la question des singularités possibles de l’homme en et pour soi quand il se trouve dans une certaine situation historiale du monde. La question vise l’homme qui ne se sent plus lié à rien, à aucune religion, à aucun Etat, à aucun peuple, à aucune communauté. Il a perdu ses racines en l’être, il n’est plus touché par aucune entièreté supérieure. Etre ne lui importe plus, seulement avoir. Ainsi se termine cette dernière réflexion, avec la question: qu’en est-il de l’homme qui du fait de sa position dans l’historialité mondiale a la possibilité d’assumer, absolument libre d’attaches, le déracinement de tout l’étant hors de l’être? Deuxième point (en relation au discours d’Hitler à l’occasion de l’entrée en guerre contre l’Union soviétique d’un point de vue psychologique): Le point décisif est: comment doit-on comprendre la première des trois réflexions? Le discours en question justifie l’assaut allemand contre l’Union soviétique malgré l’existence d’un pacte de non-aggression. Je comprends la réflexion comme suit: Heidegger pensait qu’Hitler, malgré toutes ses dénégations avait depuis longtemps projeté une guerre contre l’Union soviétique - la première phrase du discours trahissant plus ou moins volontairement ses intentions belliqueuses et leur dissimulation délibérée. Heidegger accusait ainsi Hitler de mensonge. - Une entreprise très risquée, même si, dans cette réflexion, il formule son attaque contre Hitler de façon plus ou moins cryptée. Par la suite, il prend peur, et dans les deux réflexions suivantes il se réfère encore une fois au discours de Hitler qui déborde d’attaques diffamatoires contre Bolcheviques, Anglais, Américains et Juifs. Heidegger dans l’avant-dernière réflexion relève la duplicité de la politique bolchevique. Elle était pour lui bel et bien hypocrite, tout autant que la politique hitlérienne. Pour continuer à cacher sa critique d’Hitler, cryptée mais tout de même peut-être trop ostensible, il ajoute aussitôt un „méchant“ Juif. Ensuite, dans la dernière réflexion, Heidegger cible les quatre peuples ou Etats diffamés par Hitler pour voiler encore davantage son jugement sur celui-ci. - Mais il ne s’agit que d’une explication psychologique et donc de rien d’autre - comme toute explication psychologique – que d’une conjecture. La physique mathématique - les Grecs - les Juifs: De quelque façon qu’on réponde à cette question, il est aberrant de rapporter l’„aptitude pour le calcul“ seulement à la philosophie des Temps modernes. (…) Le Juif apparaît comme sujet dominé par la „machination“, calculateur et sans monde, qui par la computation est sensé s’être „procuré un abri dans l’„esprit“. (…) En ce sens c’est alors très précisément cet „abri“ dont on peut affirmer qu’il représente la cible de „l’attaque“ de Heidegger. Ce que sait aussi Heidegger quand il écrit : „L’idée du savoir mathématique au début des Temps modernes – elle-même comme antique en son fondement.“ (…) On peut d’autant plus se demander pourquoi il n’a pas fixé et élaboré cette idée.21 Puis-je vous signaler, monsieur Trawny, que Heidegger pensait bel et bien que la mathesis, au sens mathématique du terme aussi bien, tirait son origine de la pensée grecque. Il ne fit pas que le penser mais l’exposa en détail dans le cours du semestre d’hiver 1935/1936 intitulé Questions fondamentales de la métaphysique. Ce cours fut publié du vivant de Heidegger sous le titre „Qu’est-ce qu’une chose ?“, en 1962. La 3ème édition parut en 1987. Soit dit en passant: pas une remarque de tout le cours sur les Juifs ou le Judaïsme. Je vous conseille en particulier de lire jusqu’au bout les pages 49 à 83. Des Juifs peuvent-ils en même temps être allemands? On trouve pour le moins deux formulations qui laissent penser qu’il a fait des exceptions quand il s’agissait de Juifs. L’une de ces formulations concerne Hanna Arendt dont je parlerai dans le chapitre suivant. L’autre concerne Lessing qu’il appelle ostensiblement un „penseur allemand“ - ce par quoi il souligne de fait qu’il est juif.22 Permettez-moi à ce sujet de citer Hanna Arendt. Elle dit expressément dans l’interview avec Günter Gauss: Je ne crois pas, par exemple, m’être jamais considérée comme allemande - au sens d’appartenance à un peuple et non d’appartenance à un Etat, si je puis me permettre cette distinction. Je me souviens d’avoir eu autour de 1930 des discussions à ce sujet avec Jaspers par exemple. Il me disait: „Bien sûr que vous êtes allemande!“ et je lui rétorquais: „mais non, et cela se voit bien!“ Mais ça n’a joué aucun rôle pour moi.23 J’aimerais avoir votre opinion, monsieur Trawny! Lessing n’était-il pas un penseur allemand? Etait-il un penseur juif? Qu’est-ce qui selon vous différencie un penseur allemand d’un penseur juif? Qui en décide? Lui-même? A-t-on le droit d’une manière générale de parler de „penseur allemand“ ou de „penseur juif“? - Hanna Arendt était-elle une philosophe allemande ou une philosophe juive? Ou bien était-elle une philosophe américaine voire germano-judéo-américaine? Ou bien était-elle plutôt une philosophe européo-américaine? Comment a-t-on le droit de dire cela sans être antisémite? On dit aussi bien: Sartre était un philosophe français, Wittgenstein autrichien, Kant allemand - et Arendt? … Votre livre me laisse sans voix … Son contenu n’a rien à voir, mais alors vraiment rien avec la pensée de l’histoire de l’être! Epilogue Laissons de nouveau la parole à la femme qui ne fit pas qu’apprécier la philosophie de Heidegger mais entretint une liaison amoureuse avec lui - un amour qui surmonta plusieurs décennies de hauts et de bas: Car la tempête que fait lever le penser de Heidegger – comme celle qui souffle encore contre nous après des millénaires de l’œuvre de Platon – n’a pas son origine dans le siècle. Elle vient de l’immémorial et ce qu’elle laisse derrière elle est un accomplissement qui, comme tout accomplissement, fait retour à l’immémorial.24 Bien à vous, Karl Payer Lettre envoyée le 21 juin 2014 par courriel à Peter Trawny. Pour cause de droits d’auteur les passages de son livre ne sont pas reproduits dans leur intégralité. (Traduction française : Joseph Plichart) 1 2 3 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, S. 58-60. 4 Martin Heidegger: Gesamtausgabe, II. Abteilung: Vorlesungen 1919-1944, Band 38: Logik als die Frage nach dem Wesen der Sprache. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 1998, S. 65. 5 „rassisch“ / „rassig“ 6 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, S. 44. 7 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, S. 67. 8 Martin Heidegger: Gesamtausgabe, IV. Abteilung: Hinweise und Aufzeichnungen, Band 95 Überlegungen VII-XI (Schwarze Hefte 1938/39). Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, S. 97. 9 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, S. 33-36. 10 Martin Heidegger: Gesamtausgabe, III. Abteilung: Unveröffentlichte Abhandlungen, Band 65: Beiträge zur Philosophie (Vom Ereignis). 3. unveränderte Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2003, S. 321. Traduction française par F.Fédier : Apports à la philosophie: de l'avenance, Gallimard, Paris 2013. 11 Günter Gaus: „Seule demeure la langue maternelle», Esprit, juin 1980, pp. 33-34-36. Traduction française : Sylvie Courtine-Delamy. 12 Martin Heidegger: GA IV. Abteilung: Hinweise und Aufzeichnungen, Band 95: Réflexions VII-XI (Carnets noirs 1938/39). Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, p. 96-97. NdT : réflexion rédigée par Heidegger vers 1937. 13 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, p. 53-56. 14 Martin Heidegger: GA IV. Abteilung: Hinweise und Aufzeichnungen, volume 96: Réflexions XII-XV (Carnets noirs 1939-1941). Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, p. 257-258. 15 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, p. 67. 16 NdT : allusion à Nietzsche qui parle de l’homme comme étant « l’animal qui n’est pas encore fixé. » (Cf. Par-delà bien et mal §62) 17 Martin Heidegger: GA IV. Abteilung: Hinweise und Aufzeichnungen, volume 96: Réflexions XII-XV (Carnets noirs 1939-1941). Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, p. 44-47. 18 Martin Heidegger: GA IV. Abteilung: Hinweise und Aufzeichnungen, volume 96: Réflexions XII-XV (Carnets noirs 1939-1941). Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, P. 243. 19 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, p. 48. 20 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, p. 48. 21 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, p. 37-39. 22 Peter Trawny: Heidegger und der Mythos der jüdischen Weltverschwörung. 1. Auflage. Vittorio Klostermann, Frankfurt am Main 2014, p. 83. 23 Günter Gaus: „Seule demeure la langue maternelle», Esprit, juin 1980, p. 33. Traduction française : Sylvie Courtine-Delamy. 24 Hannah Arendt, „Martin Heidegger ist achtzig Jahre alt“, in Merkur, xxiiie année, 1969, p. 900. Réédition: Menschen in finsteren Zeiten, p. 183 f. Traduction française dans Vies politiques, Gallimard, „Tel“, 1974, p.320. |
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