L’expression de ma plus profonde gratitude va à Monsieur le Professeur Alain Cozic, sans lequel ce projet serait resté au fond de ma mémoire








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ROSE AUSLÄNDER : UNE POETESSE JUIVE EN SURSIS D’ESPERANCE
MEMOIRE DE DEA
Sous la direction de Monsieur ALAIN COZIC

Professeur
UTM

Département d’Etudes Germaniques

CERAM

SABINE AUSSENAC

Septembre 2005
L’expression de ma plus profonde gratitude va à Monsieur le Professeur Alain Cozic, sans lequel ce projet serait resté au fond de ma mémoire.

Je remercie aussi Messieurs les Professeurs Alain Montandon et Robert Pickering, qui m’ont permis de donner naissance à ce travail.
Enfin, merci à Monsieur le Professeur Jean-Marie Valentin pour ses encouragements réguliers.

A mes trois enfants.

A Dominique Iehl, dont le regard sur la littérature allemande a éclairé mes vingt ans.

A Gil Pressnitzer, l’autre ami de Rose dans la ville rose.

« Toute vie est traversée du désert, poursuite d’oasis, passage d’un infini, d’un inconnu à l’autre ; toute voix aussi est mouvement, mais dans le sens vertical, entre deux abîmes. Souvent, l’homme presque imperceptible et pourtant rempli de sang et de violence, est anéanti par l’immense ; quelquefois il s’en éblouit et boit à l’univers comme à une mamelle dont le lait lumineux est le monde. »

Philippe Jacottet, préface aux poèmes de Giuseppe Ungaretti.



Rose Ausländer : une poétesse juive en sursis d’espérance.
Ou : « Un cheminement séculaire du mot au mot »
(« Vielhundertjahre gewandert von Wort zu Wort »)
Avant-propos
C’est un matin de 1995, à la bibliothèque du département d’Etudes Germaniques de l’université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand, que je plongeais pour la première fois dans l’œuvre bouleversante de Rose Ausländer, grâce à la plume sensible de Jacques Lajarrige dans son article : Persistance de la mémoire : le mal d’être dans la poésie de Rose Ausländer.1
Le « Phénix de la Bucovine » était alors encore quasiment ignoré du monde universitaire français. Dans une Allemagne encore confrontée à ce « deuil impossible » de l’après-Shoah, la poétesse était certes choyée et reconnue par la presse et le public, mais, comme le constate Mireille Tabah dans son article consacré à la réception de Rose Ausländer, celle-ci était surtout symbole de résilience, adulée pour sa survivance à la barbarie et pour son escapisme dans les arcanes d’une langue-refuge, aux accents de plus en plus celaniens : La réception de Rose Ausländer en Allemagne a longtemps été caractérisée par un «  intérêt quasi exclusif et presque obsessionnel (…) pour la biographie de Rose Ausländer et pour le message de bonheur et de paix que semblent transmettre sa vie et son œuvre. » 2
Dix ans après, le chemin parcouru est impressionnant. Rose Ausländer est aujourd’hui incontournable. Son œuvre a non seulement les honneurs d’un public fidélisé par le remarquable travail d’édition de Helmut Braun, mais aussi du monde universitaire international. En France, il convient de rendre hommage à Jean-Marie Valentin, dont les initiatives ont permis une meilleure connaissance de la poétesse de la Bucovine. On ne compte plus les colloques, tables rondes, manifestations, ouvrages critiques, recherches universitaires consacrés à celle qui a enfin été reconnue comme l’égale d’autres grandes poétesses juives de langue allemande. Le Président du Jury de l’agrégation externe d’allemand, en choisissant de mettre Rose Ausländer au programme 2006, s’inscrit bien dans cette même direction. En ces heures où le pape Benedikt der Sechszehnte se rend dans une synagogue pour achever la démarche de réconciliation, où l’Allemagne prête son concours logistique afin de faciliter le concert de Daniel Barenboïm à Ramallah, les temps prédits de la bonté sont encore loin, mais perceptibles, et le judaïsme a, plus que jamais, droit de cité sur la scène allemande.
Quant à moi, finalisant ce travail de recherches longuement mûri, ayant trouvé en Rose Ausländer l’écho de mes propres blessures et silences, j’ai choisi d’analyser ses poèmes par le biais du judaïsme. Longtemps, celle qui se prétendait agnostique et qui ne fréquentait pas la synagogue de la maison de retraite « Nelly Sachs »à Düsseldorf, où elle passa les dernières années de sa vie, fut considérée comme le symbole d’un judaïsme plus que libéral, comme le chantre d’un logos et d’un thanatos intimement liés, mais dénués de religiosité.

De récents travaux ont cependant démontré le lien vernaculaire et définitif de la poétesse à ses origines, à sa foi, à ses racines judaïques. C’est donc en ce sens que j’articulerai ma réflexion centrée sur le lien entre judaïté et écriture.

Introduction
« Jacob et poésie ont le même destin ; être juif ou poète, c’est tout un. » 3

Pourquoi ce choix de la « Question Juive » ? Point n’est le lieu ici de nous épancher sur les sentiments éprouvés par une descendante du peuple des « bourreaux » et de ce devoir mémoriel, ancré en nous depuis l’enfance. André Combes nous a dit un jour qu’on ne fait pas un troisième cycle en lieu et place d’une psychanalyse, et nous lui savons gré de nous avoir aidé à nous distancier d’une certaine approche émotionnelle.
Nous ne nierons pas avoir abordé l’œuvre de Rose Ausländer en étant tout d’abord aveuglée par l’empreinte de ce linceul lancinant de la Shoah, décryptant dans le suaire des mots, dans cet ossuaire testimonial, l’itinéraire ce cette « Juive errante qui n’eut qu’un seul espace, celui du verbe. » 4 Cependant, au fil de la découverte plus pointue de l’œuvre abondante de cette poétesse atypique et de la familiarisation avec la littérature secondaire, d’autres perspectives d’analyse prirent corps, en particulier l’absolue certitude d’un indispensable travail sur l’hétérogénéité de cette langue éclatée et polymorphe, allant de la célébration rilkéénne des débuts à l’indicible pneuma caractérisant les dernières productions poétiques.
De façon délibérée, nous avons circonscrit notre mémoire à certaines thématiques, nous « réservant » une plongée dans l’œuvre de Rose Ausländer de plus ample portée, à la fois plus variée et plus précise, dans le cadre de l’éventuelle poursuite d’un doctorat.
C’est ainsi que nous n’aborderons que de façon succincte et allusive les problématiques de la « mère », de la Bucovine, de cette « langue-mère » (« Mutterland Wort »), ainsi que certains topoï liés à la nature, ou encore la thématique d’Eros. Seules les grandes lignes de la biographie de la poétesse seront ébauchées, et ce afin de nous démarquer de cette obsession citée par Mireille Tabah, de cet intérêt presque mortifère pour le vécu de Rose Ausländer. Traversant de part en part un siècle houleux et meurtrier, elle demeure effectivement un témoin incontournable de son époque. Mais notre propre travail de recherche, s’inscrivant dans la lignée de récentes études universitaires, se fondera entièrement sur cette osmose quasi intemporelle entre judaïté et poésie.
Après avoir fait le point sur l’état de la question, nous entreprendrons donc, en nous basant sur l’ensemble du corpus, de définir cette problématique de l’empreinte d’un peuple et d’une foi sur une œuvre poétique immense et complexe, trame langagière constellée des motifs ancestraux de cette judaïté qui fonde la personnalité de l’auteur.

Sans verser dans une spiritualité ici hors de propos, il a bien fallu composer avec les éléments de la structure religieuse. Consciente de nos limites quant aux connaissances de la « Loi » et de l’histoire millénaire des diasporas et études juives, nous avons tenté de porter un regard critique et universitaire sur une question sensible et souvent impalpable, puisque touchant à la sphère très « personnelle » de la foi de Rose Ausländer. Oscillant entre pudeur spirituelle et rigueur doctorale, nous avons essayé de rester humble devant les schibboleths (messages) mémoriels, et souveraine quant à l’analyse de cette « poétique de la respiration » dont parle Marc Sagnol. 5
En effet, c’est bien dans le verbe poétique que se bousculent ou s’éparpillent chroniques et récits bibliques, que se profilent les motifs toujours renouvelés des éléments fondateurs du judaïsme : Rosalie Scherzer, qui, toute sa vie et malgré son divorce, tiendra à conserver le nom de son mari, « Ausländer », est vraiment demeurée jusqu’au bout cette « Etrangère » dont la diaspora intérieure se fait écho de l’errance d’un peuple. Les thématiques de l’exil et de la dispersion se profilent tout au long de l’œuvre. De même que les images et motifs bibliques émaillent d’innombrables poésies, sans oublier, bien sûr, la blessure toujours béante de l’indicible, de cette parole suffoquée de la Shoah.
On a souvent évoqué le silence ausländerien, cette insoutenable légèreté de l’essence poétique d’une femme brisée, mais digne, d’une survivante chantant encore le lilas de l’enfance malgré « le lait noir de la mémoire ». C’est justement cet équilibre entre l’être et le néant, cette force de survivance qui sous-tend toute son oeuvre et que le programme d’agrégation met en exergue : « Ecrire, c’était vivre.C’était survivre. »

Tout notre travail s’articulera sur cet instinct de vie puisé au coeur même de la mémoire juive, sur les racines d’une langue-source (« Springbrunnensprache ») qui jaillit, oasis mémorielle, au coeur des déserts affectifs et des traumatismes engendrés par la barbarie, et qui fait reverdir les champs calcinés de l’après-Shoah.
« Il est inespéré qu’à travers tant de nuits

Le matin puisse encore imaginer de poindre

Que d’un monde sans porte tel un printemps s’échappe (...)

Il est miraculeux qu’il reste la lumière. » 6
Ces paroles d’un autre grand poète juif, Claude Vigée, font écho à la lumière qui baigne les poésies de Rose Ausländer, de l’éclatante clarté de l’astre, de la Lux Dei, aux timides persistances stellaires. Poétesse héliophage, celle qui compte les étoiles de ses mots se refuse à rester adscripta glaebae dans les nuits de la désespérance. Et c’est vers cette lumière que tendra toute notre recherche, vers l’aboutissement des lumières de la fête de Hannouca, victoire de la petite lampe juive sur la lumière grecque, victoire de la persévérance et de la fierté.
Hannouca, c’est aussi le rassemblement d’un peuple derrière sa tradition la plus vivante, celle de l’espérance et de la confiance retrouvées. Cette étude tentera donc de définir le lien conscient ou inconscient qui relie Rose Ausländer aux traditions hébraïques, en partant de cette oscillation entre l’identité juive et l’identité poétique qui caractérise cette quasi « damnation » à la judaïté, à laquelle se réfèrent même les contempteurs de Dieu :
« Loué sois-tu, Personne.», dit Paul Celan, le grand compatriote de la Bucovine. (« Gelobst seist du, Niemand. ») 7
Des psaumes élégiaques de la Torah aux poètes israéliens d’aujourd’hui, la judaïté fait partie intégrante du moi lyrique, et nous analyserons cette omniprésence des thématiques sémitiques dans une perspective comparatiste, avant de passer de la «  langue révélée » au verbe poétique, en définissant le dialogisme et la parole testimoniale qui sous-tendent l’oeuvre de Rose Ausländer. Il faudra se demander si cette orthorexie scripturale est réductrice, synonyme de ghettoïsation intellectuelle et/ou d’escapisme, ou si au contraire elle se fait passerelle.
Car comment ne pas évoquer, de façon quasi obsessionnelle, les thèmes de l’exil et de la Shoah ? Ecrire dans cette « langue de personne », pour reprendre l’ouvrage que Rachel Ertel a consacré aux poètes yiddish de l’anéantissement, c’est bien pour Rose Ausländer la seule façon de vivre, de survivre. Entre la terre promise du souvenir vernaculaire et la langue bâillonnée des ghettos et des camps, la poétesse va passer de l’élégie au murmure. Après la césure de l’exil et du mutisme, elle abandonnera l’insouciance et le lyrisme de sa jeunesse pour ciseler une langue-joyau de plus en plus subtile et éthérée, véritable silex taillé du souvenir.
« Poésie : cela peut signifier un tournant du souffle. » Paul Celan. (« Dichtung : das kann eine Atemwende bedeuten. ») 9
Le relecture attentive des poèmes de Rose Ausländer nous permettra d’affirmer que cette poésie se fait lieu et lien, qu’elle est terre promise et alliance, et surtout vecteur de résilience. A travers les différents motifs vétérotestamentaires et chrétiens, au vu des allusions répétées aux rites et commandements, aux thématiques et symboliques juives, nous nous efforcerons de décrypter les interactions conscientes qui jaillissent de cette poésie comme une source dans le désert.
« C’est pour ainsi dire un processus de mémoire volontaire, à la différence de la mémoire involontaire proustienne. », affirme Marc Sagnol.8
Nous démonterons donc le processus de plus en plus travaillé de l’anamnèse qui se fait naissance, la mimésis se muant en alliance fertile, comme en témoigne la présence symbolique de la thématique chromatique de l’arc-en-ciel. L’écriture devient pneuma, le verbe se fait vie. Rose Ausländer, poétesse juive en sursis d’espérance, plonge ses racines dans le terreau de la judaïté pour atteindre ces étoiles qui la guident envers et contre toutes les ténèbres.
Nous clôturerons notre analyse en décryptant ce lien dialogique qui relie la poétesse non seulement à la foi de ses ancêtres, mais aussi à l’empreinte sociale et au devenir. Sa poésie, chargée du rituel millénaire pourtant refusé par la femme libre et quasiment agnostique, a malgré tout valeur de Mitsva, de commandement, puisque l’enjeu mémoriel se confond avec l’écriture.
« Un buisson ardent offrit ses services; déjà à l’horizon nous étions terres arides. »
Les Juifs, Yves Chammah. 10
La poésie de Rose Ausländer se fait ainsi Table de la Loi. Et pour cette  « orpheline du monde », pour reprendre le titre de la thèse de Marie Reygnier sur Peter Turini, pour cette héritière vagabonde d’une Mitteleuropa perdue, pour celle qui, sans attache matérielle ou familiale aucune, ne posa ses valises que d’hôtel en hôtel, la poésie se fera Mila, deviendra ce rite initiatique et rémanent intégrant l’individu au groupe social, à la tradition et au monde juif. La poésie devient circoncision de l’âme, acte d’allégeance qui permet un enracinement dans l’espérance et la confiance.

« Ein Lied

erfinden

heisst

geborenwerden

und tapfer singen

von Geburt zu Geburt.”11
(“ Inventer

un poème

signifie

être mis au monde

et courageusement chanter

d’une naissance à l’autre »)

Enfin, c’est bien dans l’apothéose de la fête des lumières de Hannouca que se scellera le pacte de la confiance retrouvée. Rose Ausländer, par l’alchimie d’une écriture rédemptrice, transcende le traumatisme de l’étoile jaune de la barbarie nazie par le scintillement des lumières du chandelier à sept branches de Hannouca. La poétesse, après avoir sa vie durant récité le Kaddish, la « prière des morts », rejoint la terre promise du Verbe. Sa langue, apaisée, délivrée, « sauvée » comme celle de Canetti, se fait colombe.
Nous préciserons encore que cette étude se fonde sur l’ensemble du corpus textuel de Rose Ausländer. Sauf mention contraire, les poèmes cités renvoient à l’édition complète établie par Helmut Braun, Gesammelte Werke in sieben Bänden, Fischer Verlag, Frankfurt am Main. Nous indiquerons chaque fois l’abréviation G.W., suivie de la référence du volume et de la page.

La plupart des poésies n’étant pas encore traduites en français, nous avons pris la liberté d’effectuer nous-même ces traductions, d’autant que nous souhaitons proposer ces poèmes traduits à des éditeurs français.

I. La réception de Rose Ausländer.

« Aus einem heissen Schlaf

bin ich erwacht » 12
(“D’un brûlant sommeil

me suis éveillée”)
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