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AUTRES RIVAGES 15ème FESTIVAL NOMADE DES MUSIQUES DU MONDE EN PAYS D’UZES GARD 15 au 31 JUILLET 2010 ![]() Contact : AUTRES RIVAGES T/ 04 66 22 79 21 Directeur : Christian Florentin 06 20 26 28 77 Assistante : Thévanna Pichon 06 77 39 72 29 L’Autobus. Association Loi 1901 – BP 93128 - 30703 Uzès Cedex N° Siret : 380448670 00022 - APE 923 A - Licence n° 2-1030181 n°3-1030182- Agrément Jeunesse et Education Populaire N° 30/JEP/191/95 Mail : autres.rivages@wanadoo.fr Site internet : autres-rivages.com AUTRES RIVAGES 15ème FESTIVAL NOMADE DES MUSIQUES DU MONDE EN PAYS D’UZES GARD 15 au 31 JUILLET 2010 EDITO En marge des habituelles têtes d’affiche des festivals d’été, l’Edition 2010 d’Autres Rivages s’affranchira de toute velléité commerciale en invitant des ensembles inconnus sous nos latitudes. Edition donc spécialement dédiée aux « Chasseurs de singulier » qui considèrent encore que festival et prise de risque artistique sont deux noms qui vont très bien ensemble… Aux antipodes de la globalisation, Autres Rivages se reflète dans ces pensées. Christian Florentin Directeur Artistique et fondateur du Festival Autres Rivages Autres Rivages est soutenu par la Direction Régionale des Affaires Culturelles du Languedoc Roussillon, Le Conseil Régional Languedoc Roussillon le Conseil Général du Gard, la Communauté de Communes de l’Úzège, les Communes d’Accueil du festival et bénéficie du Label de l’Année Européenne 2008 du Dialogue Interculturel « Vivre Ensemble la Diversité » L’Autobus. Association Loi 1901 – BP 93128 - 30703 Uzès Cedex N° Siret : 380448670 00022 - APE 923 A - Licence n° 2-1030181 n°3-1030182- Agrément Jeunesse et Education Populaire N° 30/JEP/191/95 Mail : autres.rivages@wanadoo.fr Site internet : autres-rivages.com AUTRES RIVAGES 15ème FESTIVAL NOMADE DES MUSIQUES DU MONDE EN PAYS D’UZES GARD 15 au 31 JUILLET 2010 Programmation définitive Concerts en extérieur JEUDI 15 juillet 2010 A ST-SIFFRET Jardin de la Péran – 22H JUGALBANDI D’INDE DU NORD Chant Kyal Duo de chant et sitar accompagné au tabla La musique savante de l’Inde est essentiellement un système fondé sur l’art mélodique et la science rythmique. Elle est un art de soliste (chanteur ou instrumentaliste) accompagné par une percussion (le tabla dans le Nord). Les musiciens doivent développer pas à pas le raga choisi pour en faire ressortir la personnalité dans toutes ses couleurs avant d’aborder les compositions qui suivent l’introduction non rythmée (alap). La forme du duo mélodique accompagné par une percussion (Jugalbandi) est d’origine récente. Des maîtres légendaires tels Bismillah Khan (shanai) et Vilayat Khan (sitar ont été les premiers à les populariser au début des années 60 tandis que les disques gravés par le célèbre duo de Ravi Shankar (sitar) et Ali Akbar Khan (sarod) qui ont fait le tour du monde n’ont pas pris une ride. Ils sont encore une source d’inspiration pour qui désire jouer en duo. L’art du Jugalbandi implique l’effacement de l’ego et une écoute attentive du partenaire qui peut par son talent relancer son complice dans une direction inattendue. D’où le suspense qui caractérise ce genre et la richesse musicale qui en découle. Ici, le chanteur Debapriya Adhykary, né en 1983 et le sitariste Samanwaya Sarkar, né en 1981 présentent depuis quelques années un duo voix et sitar qui est une rareté, les Jugalbandis étant essentiellement des duos entre instruments. La présence de la voix est ici emplématique, étant le fondement de la culture musicale en Inde comme dans tout l’orient. Ces musiciens considèrent leur Jugalbandi comme une conversation entre deux artistes et la confluence de deux âmes et deux esprits qui servent la musique seule. L’enseignement traditionnel très complet que les duettistes ont reçu depuis leur plus tendre enfance auprès de grands maîtres (Manilal Prasad Mukherjee) joint à leur fine sensibilité, présnet une combinaison séduisante d’où ressort une connivence et une esthétique qui porte à la méditation, à l’éveil des sens et à l’harmonie. Ces musiciens prometteurs entièrement voués à leur art se sont distingués très tôt en recevant maints premiers prix dans différents concours à travers l’Inde, dont le plus prestigieux, celui décerné en Europe (France, Portugal, Espagne, Angleterre) et aux USA. Ils sont accompagnés au tabla par leur benjamin Madhurjya Barthakur, né en 1986. Le programme débute traditionnellment par l’interprétation d’un raga classique que les musiciens choississent juste avant de se produire, selon leur état d’esprit. C’est bien souvent ce qu’ils captent du public en arrivant sur scène qui les fait choisir un raga plutôt qu’un autre. Ils développent le raga pas à pas, plongeant les auditeurs dans une atmosphère particulière à la personnalité du raga, qui est considéré comme un être vivant et non comme une mode. Cette phrase peut-être interprétée avec ou sans l’accompagnement du tabla. ![]() http://www.youtube.com/watch?v=gP47a7kuMHI http://www.youtube.com/watch?v=KzuPs--8S6Q&feature=related DIMANCHE 18 juillet 2010 A UZES Jardin de l’Evêché – 22H CONFRERIE RKEB AL FILALI DE MEKNES Chants Soufis Aïssawas (Maroc) Il fait nuit. Dans une ruelle de la médina de Meknès, une litanie chantée s’élève, répétéé par un chœur. Elle est douce, elle berce. D’un coup, un bendhir (tambour à une face) claque et une avalanche de bendhirs, de t’bels (tambours à deux face joué avec des baguettes) et raïtas (sorte de bombarde berbère) lui répondent immédiatement. Précédés de grandes bannirères, les musiciens processionnent dans la rue avant d’entrer dans une maison. Cest la Confrérie Aïssawa Rkeb al Filali qui entame une lila (littéralement, la nuit, ce terme désigne aussi les cérémonies Aïssawas). Au son des percussions et des raïtas, les membres de la confrérie, invitant aussi les gens à les rejoindre, vont danser durant une demi-heure. Lentement, les polyrythmies complexes vont entraîner les corps, puis le tempo va s’accélérer, faisant ainsi monter l’intensité. Puis, les musiciens s’installent tranquillement en cercle et entonnent le Hizb, chant collectif et récitatif, poèmes parsemés de citations du Coran, attribués au fondateur des Aïssawas, Sidi Mohammed Ben Aïssa (aussi appelé Cheik al Kamel, le maître parfait. A la fin du Hizb, le moqadem (maître de la confrérie) lance le dikhr, éloges de saints chantés par un soliste auquel répond le chœur, soutenu par des percussions comme toujours très puissantes. Le dikhr occupe une place importante dans le déroulement d’une lila. C’est lui qui, avec ce long dialogue entre le maître et le chœur, va ouvrir le chemin de l’extase. Puis suivent le horm et haddoune. Là, les danseurs reprennent place (ceux de la confrérie, comme les simples participants à la lila). On attribue à ces danses des vertus thérapeutiques très fortes. Au Maroc, comme en Algérie, en Tunisie ou en Lybie où la confrérie, depuis Meknès, s’est répandue au cours des siècles, les Aïssawas sont souvent appelés pour aider à résoudre un problème dans une famille ou une communauté. On fait aussi appel à eux pour des événements plus heureux, comme les mariages ou les circoncisions. La cérémonie atteint son point culminant avec le jilaliya, danse extatique au caractère physique très fort, communiquant une transe joyeuse à l’ensemble de l’assemblée, et le m’jred, danse de prédilection des Aïssawas, danse des initiés car de rythme (10 temps) et de figure compliqué. Après ces moments de musique et de danse très intenses (il n’est pas rare de voir des danseurs partir en transe, en transe extatique comme en transe de possession), les membres de la confrérie entonnent un dernier chant, louant Dieu. C’est ce chant qui permet à tout le monde de recouvrer le calme et la sérénité. Connue dans le Maroc entier, la confrérie Rkeb al-Filali jouit d’un grand prestige auprès de la population de Meknès, ville où naquit l’ordre soufi des Aïssawas au XVI° siècle et où la tradition aïssawa reste particulièrement vivace. Les origines sociales des membres de la conférie sont vatiées, mais sa base reste majoritairement populaire. Menée par Abdelali Lamrabet, tandis que son père âgé, le moqadem Driss Lamrabet, reste l’autorité morale, la conférie est reconnue pour être l’une de celles qui est restée la plus fidèle à la tradition. Lors d’une lila, ce qui frappe imméditement, c’est l’incroyable contraste entre la poésie des chants et la phénoménale puissance des percussions. L’énergie développée par les musiciens enivre rapidement l’auditeur. Doté, comme son jeune frère Fouad, d’une voix chaude et douce, maîtrisant l’art subtil de l’ornementation, Abdelali Lamrabet fait vivre sa poésie, la poésie de ses pères avec force et passion. ![]() JEUDI 22 juillet 2010 A AIGALIERS Cour de la Mairie – 22H HAMID KHEZRI (Iran) Musique du Khorassân - Dotâr et Chant classique Perse Hamid Khezri est un de ces musiciens que l’ouverture et l’intégrité artistique conduisent à renouveler le langage instrumental sans renoncer pour autant à la tradition qui les a nourris : il en résulte une élégance dans l’intention, une virtuosité sans tapage et surtout une finesse de la ligne mélodique qui sont les marques d’un vrai maître. Hamid Khezri nous offre un voyage à travers la province du Khorassân, berceau de la culture perse. Accompagné de son dotâr (luth iranien), il met en musique avec finesse et sincérité ces histoires séculaires, des épopées guerrières, en passant par les airs spirituels des régions désertiques du Sud. Le Khorassan, « Terre du soleil levant » en français, perpétue ce formidable brassage culturel qui caractérisa l’Asie intérieure tout au long de son histoire. Dans cet ancien carrefour des routes de la soie, Kurdes, Persans, Turkmènes et autres Turcs se côtoient, se marient, contribuant ainsi à la préservation d’une culture à la fois diverse et métissée dont la musique, qui ne va pas dans la poésie même lorsqu’elle est instrumentale, est peut-être l’un des symboles et le luth dotâr, l’instrument roi. Après plusieurs tournées mondiales avec la chanteuse Sima Bina, il s’installe en Allemagne puis en France en 2008. Hamid voue aujourd’hui sa virtuosité et sa musicalité au service des traditions qui ont, de par le temps, traversé et façonné la culture de son pays. ![]() ![]() http://www.myspace.com/hamidkhezri http://www.youtube.com/watch?v=7o4XZl7Fue0 SAMEDI 24 JUILLET 2010 A ST QUENTIN LA POTERIE Place de la Liberté – 22H ANTONIO ZAMBUJO Fado Homme de Lisboa La nouvelle voix du Fado ! ![]() Coup de coeur unanime de la presse et du public, Antonio Zambujo est incontestablement devenu en quelques mois, une voix incontournable du fado, un genre qu’il réinvente en l’associant à des rythmes de jazz cool et de bossa nova. Un artiste à découvrir de toute urgence ! Portrait![]() António Zambujo est né à Beja, dans la région de l’Alentejo qui se trouve dans le sud du Portugal. Il a grandi en écoutant les chants d’hommes traditionnels, ces fameux « Cante Alentejano ». A huit ans, il étudie la clarinette puis il tombe définitivement amoureux du fado en découvrant la grande Amália Rodriguez, Alfredo Marceneiro, Maria Teresa de Noronha et João Ferreira Rosa. Et à seize ans, il gagne un concours régional de fado. Sa carrière professionnelle commence lorsque le producteur renommé Mário Pacheco l’invite à chanter dans un club de Lisbonne. Un peu plus tard, on le voit dans un spectacle musical jouer le rôle du premier mari d’Amália Rodriguez. Plus tard, il racontera que c’est à cette occasion qu’il a senti pour la première fois ce plaisir unique d’être sur scène… Ses deux premiers disques commencent à faire parler de lui dans les cercles des initiés. Mais c’est en 2007 qu’il enregistre l’album qui va le faire accéder à un statut d’artiste au potentiel international : « Outro Sentido », que l’on pourrait traduire par « une autre direction », obtient en 2008 le prix d’un des meilleurs albums de l’année décerné par « Songlines », le magazine anglais prescripteur des musiques du monde. En écoutant ce très bel album, on pense à quelques grands chanteurs brésiliens comme João Gilberto et Caetano Veloso, ainsi qu’à Chet Baker. Et effectivement, la bossa historique du Brésil et un certain jazz cool ont toujours compté parmi les influences de Zambujo, au même titre que le fado, un style séculaire qu’il renouvelle aujourd’hui avec talent et intelligence. Beaucoup de critiques le décrivent d’ailleurs plus comme un chanteur que comme un fadiste, et lorsqu’on voit les endroits où il s’est déjà produit, de Londres à New York, de Paris à Moscou, on se dit vraiment que l’on assiste là aux premiers pas d’un artiste dont on va longtemps parler. Billet de Caetano Veloso sur son blog : obraemprogresso.com.br , October 2008 "...o que se ouve em Zambujo é algo já que vai mais fundo. É um jovem cantor de fado que, intensificando mais a tradição do que muitos de seus contemporâneos, faz pensar em João Gilberto e em tudo que veio à música brasileira por causa dele." "Ce que l’on entend chez Zambujo est quelque chose qui va trés profond. C’est un jeune chanteur de fado qui, en donnant plus de valeur à la tradition que beaucoup de ses contemporains, fait penser à João Gilberto et à tout ce que la musique brésilienne a reçu grâce à lui." http://www.antoniozambujo.com/home.asp?zona=1&template=7&precedencia=0&idioma=1http://antonio_zambujo.mondomix.com/fr/artiste.htm http://www.youtube.com/watch?v=Q7v_qPYM9RQ MARDI 27 juillet 2010 A ARPAILLARGUES Place du Château – 22H PROYECTO SANLUCA Tango Progresivo Le trio du PROYECTO SANLUCA (harmonica, percussions et guitare/chant), a été fondé par Raul Carnota, considéré comme le « Piazzolla » du folklore argentin et compositeur préféré de Mercedes Sosa. A ses côtés, on retrouve le prodige de l’harmonica Franco Luciani, jeune artiste héritier naturel de Hugo Diaz (et musicien de Mercedes Sosa), et le percussionniste Martin Bruhn. Le Groupe est basé à Buenos Aires (Argentine), où il a commencé à donner des concerts en mai 2007. Ce fut le début d'un projet musical qui a sillonné toute l'Argentine et reçu des invitations pour jouer au Canada (août 2008), en Egypte et en Europe pour la première fois en mars et avril 2009. Entre jazz et folkore, PROYECTO SANLUCA rompt avec toutes les formes de prévisibilité dans la musique, pour un voyage inoubliable au sein des cultures sud-américaines. Le trio propose un concert de couleurs avec un répertoire qui aborde un large éventail de genres et de rythmes de la musique populaire d'Argentine, parmi eux Chacarera, Zamba, Rasguidos Dobles Gato, Waltz, Chamamé, Candombe, Tangos, Cuyanas Tunes, Huaynos et Vidal, pour n’en citer que quelques uns. ![]() http://www.myspace.com/proyectosanluca http://www.proyectosanluca.com.ar/ SAMEDI 31 juillet 2010 Aux ARENES de REMOULINS – 22h00 SEPTETO NABORI « Raices del Son » de Santiago de Cuba Considéré par beaucoup comme un des groupes de musique traditionnelle des plus démoniaques de ces dernières années, NABORI constitue un véritable exemple de la manière dont les jeunes intègrent la valeur de la tradition musicale ; l’assimilent et la revitalisent. Né dans le giron de l’institut supérieur polytechnique, aujourd’hui siège de l’université d’Orient, le Septeto a su maintenir et développer l’enthousiasme des premières années. Les représentations du groupe se transformaient en « descargas » coutumières dans les centres universitaires, puis très sollicitées par d’autres lieux de la ville ; comme la célèbre « Casa de la Trova » de Santiago, temple de la tradition, l’union nationale des écrivains et des artistes, la galerie d’art universel, la maison des Caraïbes, le théâtre Heredia, etc.. , les principaux établissements culturels de la ville. Les centres touristiques n’ont pas échappé à l’enchantement musical du groupe. Les hôtes les plus distingués de la capitale des caraïbes gardent un souvenir impérissable du Septeto. Cette diversité de talents a permis au groupe de participer à de multiples concours locaux, régionaux et nationaux dont ils restèrent systématiquement victorieux de 1994 et 1998. Ils ont aussi gagné le respect du milieu musical par leur professionnalisme élevé au-delà des jeunes groupes qui les entourent. Le plaisir de les écouter ne varie pas, c’est le résultat du sérieux dont ils font preuve lors de leurs rendez-vous avec le public, juge irrévocable habitué à sanctionner chaque présentation du groupe par un éloquent critère : ils séduisent ![]() http://nabori.chez.com/france.htm http://www.myspace.com/septetonabori http://www.youtube.com/watch?v=Ff-EAumKed8 Contact : Association L’Autobus T/ 04 66 22 79 21 32 rue Xavier Sigalon BP 93128 30703 Uzès Cedex Directeur : Christian Florentin 06 20 26 28 77 Assistante : Thévanna Pichon 06 77 39 72 29 L’Autobus. Association Loi 1901 – BP 93128 - 30703 Uzès Cedex N° Siret : 380448670 00022 - APE 923 A - Licence n° 2-1030181 n°3-1030182- Agrément Jeunesse et Education Populaire N° 30/JEP/191/95 Mail : autres.rivages@wanadoo.fr Site internet : autres-rivages.com |
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