Le salaire est le paiement du travail convenu entre un salarié et son employeur








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PRINCIPALES DEFINITIONS DE CHAPITRE 2 : Des agents économiques en interaction

Secteur institutionnel

Un secteur institutionnel regroupe un ensemble homogène d’agents économiques selon qui remplissent la même fonction principale dans la vie économique et dont les ressources principales sont de même nature
Unités résidentes

L’économie nationale est l’ensemble des unités résidentes, càd des agents économiques un centre d’intérêt sur le territoire économique, càd qui exercent une activité économiques depuis au moins un an sur le territoire national.
Territoire économique




Ménage

Un ménage, au sens statistique, est défini comme l’ensemble des occupants d’une résidence principale, qu’ils aient ou non des liens de parenté. Un ménage peut ne comprendre qu’une seule personne.

 Les ménages comprennent donc :

    • les ménages ordinaires

    • les ménages collectif lorsqu’ils concernent des personnes vivant dans un établissement commun à caractère solidaire (maison de retraite, prison, foyer de travailleurs...);

Attention : le SI des ménages intègre aussi les EI.




Revenu primaire

Il est composé du revenu dont disposent les unités résidentes du fait de leur participation directe à des processus de production et des revenus de la propriété. Il détermine le revenu global de la nation ou revenu national, contrepartie du produit national, qui est la somme des revenus primaires perçus par les différents secteurs de l’économie.

Rémunération des salariés

Elle correspond à tous les versements effectués (salaires et cotisations sociales, primes) et avantages fournis par les employeurs au titre de la rémunération du travail.
Revenu salarial

Il correspond à la somme de tous les salaires perçus par un individu au cours d’une année donnée, nets de toutes cotisations sociales, y compris contribution sociale généralisée (CSG) et contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).
Salaire brut ou net

Le salaire est le paiement du travail convenu entre un salarié et son employeur.

Le salaire brut correspond à l’intégralité des sommes perçues par le salarié au titre de son contrat de travail, avant toute déduction de cotisations obligatoires. Il intègre les participations.

Le salaire net (de prélèvements sociaux) est le salaire que perçoit effectivement le salarié. Il est net de toutes cotisations sociales, y compris CSG (contribution sociale généralisée) et CRDS (contribution au remboursement de la dette sociale). Il ne comprend pas les participations (qui ne sont pas imposables).
Salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic)

Salaire horaire minimum légal en France métropolitaine ainsi que dans les départements d’outre-mer (DOM) et dans la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon.

Il a été institué par une loi du 2 janvier 1970 et il a pris, avec le minimum garanti, la succession du Smig (salaire minimum interprofessionnel garanti), créé en 1950.

→ Conséquence de la loi du 3 décembre 2008, la revalorisation du Smic intervient désormais au 1er janvier de chaque année.

→ Le Smic est revalorisé :

    1. en tenant compte de l’évolution de l’indice des prix à la consommation (hors tabac) des ménages urbains dont le chef est ouvrier ou employé

    2. augmentée de la moitié de l’évolution du pouvoir d’achat du taux de salaire horaire de base ouvrier (SHBO)

    3. avec possibilité, pour les pouvoirs publics, de décider d’une revalorisation supplémentaire lorsque l’indice national des prix à la consommation atteint un niveau correspondant à une hausse d’au moins 2 % par rapport à l’indice constaté lors de l’établissement du Smic immédiatement antérieur.


Décomposition de l’évolution du salaire moyen

L’évolution du salaire moyen peut être décomposée en :

    1. un effet de structure

    2. et une évolution à structure constante.

L’évolution à structure constante est obtenue en calculant l'évolution du salaire moyen sans modification des effectifs des groupes homogènes qui ont été distingués, selon les variables sexe, tranche d'âge, catégorie socioprofessionnelle et secteur d'activité.

L’effet de structure est la résultante de deux facteurs :

  1. les changements de groupe des personnes présentes les deux années (le plus souvent suite à des promotions)

  2. et les mouvements d'entrées et de sorties (embauches ou départs).



Revenu mixte

Solde du compte d’exploitation pour les entreprises individuelles.
Répartition secondaire

La répartition primaire peut être modifiée par l’action d’institutions, en particulier étatiques; qui procèdent à une répartition secondaire. Cette répartition secondaire corrige la répartition primaire issue du fonctionnement des marchés par une action redistributive.
Revenus de transferts

Revenus qui sont la contrepartie de droits reconnus par la société, et qui transitent par le système de protection sociale.
Prestations sociales

Transferts versés (en espèces ou en nature) à des individus ou à des familles afin de réduire la charge financière que représente la protection contre divers risques.

Les prestations sociales sont des allocations (revenu en espèce) ou des fournitures (revenu en nature) versées à un assuré social ou à un ayant droit conformément à la réglementation.

  1. Certaines prestations sont contributives, c’est-à-dire que leur versement et/ou leur montant sont liés au paiement préalable de cotisations.

  2. D’autres sont non contributives, c’est-à-dire qu’elles sont versées aux individus même s’ils ne peuvent pas se couvrir contre les risques sociaux par le paiement de cotisations ou de primes d’assurance. Ces dernières relèvent en général de l’aide sociale.


 Elles sont associées à six grandes catégories de risques :

  1. la vieillesse et la survie (pensions de retraite, pensions de réversion, prise en charge de la dépendance)

  2. la santé (prise en charge totale ou partielle de frais liés à la maladie, à l’invalidité, aux accidents du travail et aux maladies professionnelles)

  3. la maternité-famille (prestations familiales : prestations liées à la maternité, allocations familiales, aides pour la garde d’enfants)

  4. la perte d’emploi (indemnisation du chômage) et les difficultés d’insertion ou de réinsertion professionnelle

  5. les difficultés de logement (aides au logement)

  6. ainsi que la pauvreté et l’exclusion sociale (minima sociaux : revenu minimum d’insertion – RMI, minimum vieillesse, etc.).


Retraite

Ensemble des prestations sociales que perçoit une personne au-delà d’un certain âge du fait qu’elle-même ou son conjoint a exercé une activité professionnelle et a cotisé à un régime d’assurance vieillesse. Il existe deux sortes de pensions : celles de droits directs (droits acquis par un individu en contrepartie de ses cotisations passées) et celles de droits dérivés ou pensions de réversion qui profitent au veuf, à la veuve ou à l’orphelin du cotisant après le décès de celui-ci.
Aide sociale

Destinée aux personnes dont les ressources sont trop faibles pour faire face aux besoins liés au handicap, à la maladie, à la vieillesse et à des difficultés sociales ou économiques, elle dispense des prestations et des services répartis en trois secteurs principaux : l’aide aux personnes âgées, l’aide aux personnes handicapées et l’aide sociale à l’enfance. Depuis le 1er janvier 1984, la quasi-totalité de l’aide sociale a été transférée aux départements.


Revenu disponible des ménages 

Le revenu disponible brut (RDB) est la part de revenu qui reste à disposition des ménages pour la consommation et l’épargne une fois déduits les prélèvements sociaux et fiscaux. Le RDB comprend :

  1. les revenus d’activités (salaires et traitements bruts des ménages, augmentés des bénéfices des entrepreneurs individuels)

  2. les revenus du patrimoine hors plus values latentes ou réalisées (dividendes, intérêts et loyers)

  3. les transferts (notamment les indemnités d’assurance nettes des primes) et les prestations sociales (allocations familiales, minima sociaux, pensions de retraite, indemnités de chômage…).

Le RDB est diminué :

  1. des impôts directs (impôts sur le revenu, taxe d’habitation, CSG, CRDS…)

  2. et des cotisations sociales versées.

En revanche, les droits de succession ne figurent pas dans ce décompte.

Revenu disponible des ménages = (revenus primaires + revenus de transferts) — (impôts directs + CSG + cotisations sociales)
Prélèvements obligatoires

Ils correspondent à l’ensemble des contributions obligatoires (impôts, taxes, cotisations sociales) collectées auprès des agents économiques par les administrations publiques (administrations publiques centrales, de sécurité sociale, collectivités locales) et l’Union européenne.
Revenu arbitrable

Différence entre le revenu disponible brut et les dépenses de consommation pré-engagées (dépenses liées au logement, services de télécommunications, frais de cantine, services de télévision, assurances et services financiers).
Consommation

Elle consiste, sur un plan strictement économique, à faire disparaître, par son usage, un bien ou un service.
Epargne

Elle est très généralement définie comme la partie non consommée du revenu.

Il ne faut pas confondre épargne et patrimoine :

    1. la première est un flux

    2. le deuxième un stock

L’épargne est un flux qui permet d’alimenter le stock de patrimoine.

Le patrimoine est l’ensemble des actifs financiers et non financiers détenus par les agents économiques résidents et qui sont susceptibles de transaction (les monuments historiques n’en font ainsi pas partie).

On distingue habituellement :

    1. l’épargne non financière comprenant la formation brute de capital fixe des ménages (acquisitions de logement)

    2. et une épargne financière (se partageant en avoirs liquides et placements).


Taux d’épargne

(Epargne brute/RDB x 100)
Biens matériels

Biens dont la production et la consommation sont séparées dans le temps, sont palpables et stockables.

En fonction du rythme de disparition des biens, l’INSEE distingue trois formes de biens :

    1. non durables (alimentation essentiellement)

    2. semi-durables (par exemple les vêtements ou les chaussures)

    3. durables (biens d’équipement ménager, automobile, …).



Services

Biens immatériels, ils sont impalpables et non stockables, impliquant une production et une consommation simultanées.

Ils sont classés en :

  1. services marchands (dont le prix couvre les coûts de production comme le commerce, le transport privé, …)

  2. et les services non-marchands (dont le prix ne couvre pas les coûts de production, services collectifs appelés également biens collectifs comme l’éducation nationale, la santé publique, …).


Biens de consommation

Les biens de consommation servent à la satisfaction directe des besoins des agents économiques puisqu’ils sortent définitivement du circuit productif, leur consommation est dite finale.

Par convention, les ménages sont supposés consommer immédiatement les biens qu’ils achètent ou qui leur sont fournis gratuitement, y compris les biens durables (automobiles, électroménager).
Biens intermédiaires

Les biens intermédiaires sont les biens ou les services détruits ou transformés au cours d’un cycle de production; leur consommation est dite intermédiaire.
Consommation finale des ménages 

La dépense de consommation des ménages se limite aux dépenses que les ménages supportent directement. Elle comprend la part des dépenses de santé, d’éducation, de logement, restant à leur charge, après remboursements éventuels. On y inclut aussi les loyers imputés, que les ménages propriétaires de leur résidence principale se versent implicitement à eux-mêmes.
Consommation finale des administrations

Elle comprend la valeur des services non marchands produits par les administrations publiques et privées, déduction faite des paiements partiels effectués par les ménages pour la fourniture de ces services.

Parmi les services non marchands, on distingue :

  1. les services purement collectifs (police, justice...)

  2. des services individualisables, c’est-à-dire dont le bénéficiaire peut être précisément défini (enseignement, santé).


Dépense de consommation 

Dans le système de comptabilité nationale, deux concepts de consommation finale sont distingués :

– la « dépense de consommation finale » ou « dépense de consommation des ménages » qui recouvre les seules dépenses que les ménages supportent directement. Elle exclut ainsi les remboursements de sécurité sociale et certaines allocations (logement). Par exemple, pour la santé, seule la partie non remboursée des médicaments et des consultations est comprise dans cette dépense ;

– la « consommation effective » qui recouvre, elle, l’ensemble des biens et services qu’utilisent effectivement (ou consomment) les ménages, quelle que soit la manière dont ils sont financés.
Dépenses pré-engagées 

Dépenses supposées réalisées dans le cadre d’un contrat difficilement renégociable à court terme. Elles comprennent :

– les dépenses liées au logement, y compris les loyers imputés et les dépense relatives à l’eau, au gaz, à l’électricité et aux autres combustibles utilisés dans les habitations ;

– les services de télécommunication ;

– les frais de cantines ;

– les services de télévision (redevance télévisuelle, abonnements à des chaînes payantes) ;

– les assurances (hors assurance-vie) ;

– les services financiers (y compris les services d’intermédiation financière indirectement mesurés).
Entreprise

L’entreprise est une unité économique autonome combinant différents facteurs de production, produisant pour la vente des biens et services marchands.

L’entreprise peut être :

– une unité légale « indépendante », i.e. non rattachée à un groupe. On distingue l’entreprise individuelle (qui ne possède pas de personnalité juridique distincte de celle de la personne physique de son exploitant) et la personne morale, le plus souvent sous forme d’entreprise sociétaire, par exemple Société Anonyme (SA) ou Société à Responsabilité Limitée (SARL) ;

– une entreprise issue du profilage d’un groupe, en abrégé et par abus de langage « entreprise profilée ».
Sociétés non financières

Ensemble des unités institutionnelles qui sont des producteurs marchands dont la fonction principale consiste à produire des biens et des services non financiers.
Entreprise individuelle

L'entreprise individuelle a un propriétaire unique, et ne possède donc pas de personnalité juridique distincte de celle de la personne physique de son exploitant. Ainsi, il n’y a pas de séparation entre le patrimoine privé du chef d’entreprise et son patrimoine professionnel.
SA

Société anonyme composée d’au moins sept propriétaires, qui ne sont pas responsables sur leurs biens propres. Le capital social est subdivisé en actions.
SARL

Société à responsabilité limitée. Le capital social est subdivisé en parts sociales, et les propriétaires ne sont pas responsables sur leurs biens propres.
Travail

Il se rattache à tous les apports d’origine humaine, au sens le plus large du terme, qui entrent dans le processus de production.

  1. À l’échelle microéconomique, il correspond au nombre de salariés ou d’heures travaillées.

  2. À l’échelle macroéconomique, il équivaut à la population active.

Il est nécessaire de compléter ces renseignements par des données plus qualitatives : niveau de qualification et de formation du personnel, âge, sexe, secteur d’activité
Capital technique

Le capital technique (ou physique) désigne l’ensemble des moyens matériels (terrains, bâtiments, machines, matières premières, énergie...) utilisés pour produire.

Au sens technique, le capital se décompose en :

  1. capital fixe (permettant de concourir à plusieurs opérations productives). La comptabilité nationale définit le capital fixe productif comme l’ensemble (le stock) de matériel et de constructions utilisé afin de produire des biens et des services.

  2. et en capital circulant (détruit au cours du processus productif).



Formation brute de capital fixe (FBCF)

Acquisitions moins cessions d’actifs fixes réalisées par les producteurs résidents. Les actifs fixes sont les actifs corporels ou incorporels issus de processus de production et utilisés de façon répétée ou continue dans d’autres processus de production pendant au moins un an.

La FBCF inclut désormais une fraction des investissements immatériels : les logiciels et les œuvres artistiques et littéraires destinés à entrer dans un circuit commercial. En revanche, la recherche-développement et les dépenses de formation du personnel restent exclues.
Taux d’investissement

[FBCF/VA] x 100
Combinaison productive

Quantité de facteurs de production capital et travail associés pour réaliser un certain niveau de production
Fonctions de production

Elles établissent une liaison quantitative et causale entre une production et les facteurs utilisés afin d’obtenir cette production.
Facteurs de production

Ils correspondent aux ressources utilisées par une unité productive pour produire des biens et des services. On parle de facteurs de production pour faire référence à une ressource qui n’est pas détruite au cours de la production. Par exemple, les travailleurs utilisent des machines à coudre pour faire des chemises à partir de tissu ; les travailleurs et les machines à coudre sont des facteurs de production, mais pas le tissu. Une fois que la chemise est fabriquée, un travailleur et une machine à coudre peuvent être utilisés pour faire une autre chemise ; mais le tissu utilisé pour faire une chemise ne peut pas être utilisé pour en faire une autre. En gros, les principaux facteurs de production sont le travail et le capital. Le travail est l’ensemble des travailleurs de l’économie et le capital fait référence à des ressources « créées » telles que des machines et des bâtiments.
Coefficient moyen de capital

C’est le rapport entre le capital et la production; il représente la quantité de capital nécessaire à la production d’une certaine quantité de produit.
Facteurs complémentaires et substituables

On distingue deux grandes familles de fonctions de production reposant sur des hypothèses économiques différentes :

    1. les fonctions à facteurs complémentaires où les technologies utilisées imposent une combinaison donnée de facteurs de production et ne permettent pas de substitution entre les facteurs; la production est alors limitée par le facteur le moins abondant. Elles sont utilisées dans les modèles de croissance d’inspiration keynésienne;

    2. les fonctions à facteurs substituables où un même volume de production peut être obtenu par des combinaisons différentes de facteurs. Elles sont utilisées dans les modèles de croissance d’inspiration néoclassique.


Rendements factoriels

Les économistes utilisent la notion de rendement factoriel pour décrire l’évolution de la production lorsqu’est modifiée la quantité de facteur de production employée.
Valeur ajoutée

La VA mesure la richesse réellement créée par l’entreprise. Elle se calcule de la manière suivante :

VAB = valeur de la production vendue – Consommations intermédiaires
Taux de marge

[EBE/VA] x 100

Institutions financières

Une institution financière (ou société financière) est un secteur institutionnel qui regroupe l’ensemble des organisations productives qui ont pour fonction de produire des services financiers et d’assurance.


Administrations publiques
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