Introduction a l'analyse economique








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SECTION 1: du circuit classique au circuit keynésien simplifié
Keynes: né en 1883 (Marx meurt en 1883). Un anglais avec une personnalité extravagante. Il vient d'un milieu intellectuel et bourgeois, il a fait des études d'éco, de philo... brillantes. Il a occupé des fonctions publiques de plus en plus importantes, il est intervenu dans de très nombreux débats de théories éco: le 1er sur le règlement éco de la 1ère guerre mondiale, il faisait partie de la délégation anglaise.             le 2nd

sur le question du retour à l'Etat Aurore: dans l'entre 2 guerres , de nombreux gouvernements anglais, pour restaurer même symboliquement la puissance passée, ont voulu retourner à l'Etat Aurore.          le 3ème sur le financement de la 2nde guerre mondiale.                              le 4ème il présidait la délégation anglaise à l'origine du système monétaire internationale à l'issus de la 2nde guerre mondiale, son plan n'a pas été retenu, mais son plan Whrigt a été retenu.

Il est mort en 1946.
Son oeuvre théorique repose sur 2 ouvrages "the treatise on money" 1930 et "la théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie" en 1936. Il fait partie de ces auteurs (Ricardo, Marx) qui ont proposé une théorie avec l'idée que cette théorie éco devait aboutir à une action de politique éco. Avec un auteur comme Keynes, l'oeuvre théorique est un détour d'abstraction pour comprendre puis pour agir.

Le principal débat de politique éco dans lequel Keynes est intervenu, est la question du chômage massif.   En 1930 une grande crise donne un chômage très important. Si la théorie keynésienne a un intérêt en elle-même, il faut voir qu'elle est d'abords et avant tout née, et peut renaître, dans une période de chômage massif.

L'objet essentiel de la théorie keynésienne est le sous emploi, le chômage Quand Keynes écrit en 1920-30 la théorie éco ce qui domine dans les mentalités et les gouvernements, est une théorie libérale qui ne peut pas faire place au phénomène de chômage massif, plus précisément la théorie classique est une théorie pour laquelle tout chômage est volontaire mais il faut commencer par partir d'une théorie dans laquelle le chômage massif aura sa place.

Si la théorie éco a pour objet le sous emploi, c'est parce que in fine, en voulant saisir ce qu'est le sous emploi, la théorie a pour objectif final de proposer une politique éco adaptée à la réduction du chômage. Keynes était en quelque sorte un pragmatique raisonné, quelqu'un qui ne faisait pas une théorie pour en faire mais qui considère que la théorie n'est pas inutile.
1: le circuit classique
On fait ici allusion au circuit de la fin  de la 1ère section du 1er chapitre

Rappel de 3 conceptions essentielles: le produit (P), le revenu (R), la dépense (D)

Cette Y° est permise par l'emploi de facteurs de Y°

Production = P, travail = N ou L, capital = K

Le R est essentiellement un R salarial (W) et d'autre part le R est versé au propriétaire des moyens de P, c'est à dire le profit (µ), la D est dépensé en biens de C° et en biens de P (en biens d'équipement, d'I)

Lecture de ce circuit:

Au départ dans la vision spontanée, il y a la P, la circulation commence avec elle (1er pôle = produit), s'il n'y a pas de P donc pas de R donc pas de D de ce R.

On part  de P, on va vers le 2nd pôle: le R. La rémunération des facteurs de P est en effet en grande partie l'effort productif fourni par les facteurs.

Du point de vu des Ent, les R sont des coûts de P. Du point de vu des Men, les R sont des R primaires.
C'est un 2nd pôle car qu'est ce qu'un R sinon un droit à valoir sur la P. En comptabilité nationale, le PIB (la somme des VA) est la valeur crée (dérivée de la P) qui donne lieu à une distribution sous forme de salaire et de µ. Le µ, en comptabilité nationale, est un excédent brut d'exploitation.

Ces R on les dépense donc le 3ème pôle = D. Les R peuvent être dépensés directement ou indirectement: si  directement on est dans la configuration de la C° (fréquemment), la partie non dépensé de ce R est l'épargne (E) mais épargner est mettre à disposition pour autrui d'un R. Autrui va dépenser ce R. Un Men  E en souscrivant un titre d'une Ent, ce titre est utilisé pour acheté des biens de production (indirectement). Le R est dépensé soit en biens  de C° soit en I.
La dépense est le pôle qui boucle le circuit car dépenser les R c'est avoir prise sur la P dont on est parti initialement. On peut résumer cela par: PN = RN = DN

ex: le PIB, si on ignore l'Etat, donne lieu au paiement d'un salaire et a une distribution de µ. Si le PIB est de 100, il peut donné 60 de salaire et 40 de µ, les salariés vont consommer 50 des 60 et épargner 10. Ceux qui touche un µ, ils en consomment 25 (sur 40) et en épargne 15. La C° totale est de 75 et l'E de 25.

PN/ PIB  =    RN    =  DN

      =  W + µ  = C + E

  100       = 60 + 40 = C + I

     C°      = 50 + 25 = 75

        E      = 10 + 15 = 25     E = I
Il se passe globalement dans le circuit que si le produit a une valeur de (x) frs, cela va générer une distribution de R à hauteur de (x) frs.

Ces (x) frs de R vont permettre l'achat du produit initial pour (x) frs.

La P va engendrer un R équivalent, qui va engendrer une D équivalente, l'offre macro-éco crée sa propre demande, l'offre globale crée sa demande globale via les R distribués et dépensés. En théorie éco, on parle de la loi de Say ou loi des débouchés.
Dans ces circonstances, il n'y aura pas de crises de surproduction, toute la P crée un R équivalent qui crée des dépenses, toute la P sera absorbée par le mouvement qu'elle a elle-même engendré. Cette loi est quelque chose d'essentielle à la théorie des classiques, un point que Keynes va remettre en cause en proposant d'abandonner cette loi au profit d'un autre principe éminemment Keynésien: le principe de la D effective.
Conclusion: 1: cette loi n'est pas évidente car il y a des tas de fuites possible, ex: la thésaurisation si jamais une partie des R reste dans la poche de ceux qui l'on touché, ces R ne vont pas donner lieu à une dépense et le circuit ne sera pas bouclé, une partie de la P ne trouvera pas acquéreur.

La théorie classique qui met plutôt la monnaie de côté est une théorie dans laquelle la loi de Say prévôt car s'il n'y a pas de monnaie, il n'y a de thésaurisation. Alors que chez Keynes la monnaie aura un rôle essentiel et la loi de Say tombera.

           2: un problème logique: dans le cas des salaires, ils sont distribués pendant le processus de P donc avant la vente alors cela ne pose aucun problème, bien que en fait ce fait là implique que les Ent aient suffisamment  de ressources pour avancer l'argent. Mais le point le plus délicate est les µ ne sont réalisés et distribués qu'après la vente et après la dépense. Les µ sont donc un résultat, une conséquence de la dépense. Le schéma (on va de la P au R et le µ est dépensé)  dit que les µ sont une cause de dépense, donc les µ sont à la fois cause et conséquence (condition et résultats).

Le problème logique à propos du µ est en fait un problème général dans la mesure ou de façon générale, se sont les D des uns qui forme le R des autres, ex: si un salarié a un R sous forme de salaire, c'est bien qu'un chef d'Ent a dépensé. A ce titre les D précède les R, en même temps ce que l'on dépense est un R.

Entre D et R: les D semble précéder et suivre le R suivant le point de vue. Il y a une contradiction dans ce circuit qui parait parfait. Ce paradoxe est levé par le circuit Keynésien.
2: le circuit keynésien

a: l'objet
Ce que Keynes cherchait a représenter c'est une éco monétaire de P.

Eco monétaire de P veut dire une éco dans laquelle une monnaie sera d'emblée présente et à ce titre le monétaire s'oppose au réel, ce n'est pas une éco réelle dans laquelle on a un flux constant. C'est aussi une éco de P qui s'oppose à l'échange, la P est primordiale comme la monnaie chez Keynes. Parler de Keynes sans la monnaie et la P, ça n'a pas de sens. L'éco monétaire de P de Keynes s'oppose à une éco réelle d'échange, c'est à dire une éco dans laquelle l'objet essentiel est l'échange; et non la P; une éco dans laquelle se seraient les biens qui l'emporteraient.
Cette idée d'éco réelle d'échange tirerait plus vers une représentation de l'éco en terme de marché plutôt que dans le cadre du circuit que nous évoquons.

Cette éco keynésienne est initiée, mise en mouvement par les décisions d'une catégorie d'agents particuliers, les entrepreneurs (rôle essentiel dans la mise en route du circuit). Ces décisions sont celles d'I, de P d'embaucher, elles sont fondées sur des anticipations, c'est donc une image, une représentation de demain qui fonde les décisions d'aujourd'hui. Le futur tel qu'il est présent dans la pensée de Keynes est difficile à connaître, c'est "incertitude radicale".

Ces décisions sont concrétisées, grâce à la monnaie, en particulier dans l'univers keynésien, la P doit être financer avant que les recettes rentrent. On a dans notre circuit keynésien un temps du circuit irréversible et fléché. Cette temporalité qui rythme le développement du circuit met en évidence une hiérarchisation entre les types d'acteurs qui vont de pair avec les fonctions éco.
Les salariés sont soumis aux décisions d'embauche des Ent (la salarié < l'entrepreneur). Le financement des projet des Ent est conditionnés aux décisions des banques qui accordent ou non le crédit (Ent < banque). On a à la fois une temporalité et une hiérarchisation

Banque                Ent                     Salarié    (catégorie d'acteur)

Financement           P              R      (catégorie de financement)

Les décisions se prennent en 1er à droite vers la gauche.
b: monnaie et circuit
Un problème: ) l'origine de la monnaie avec laquelle les Ent vont rémunérer les facteurs de P°, la réponse dans le cadre du circuit Keynésiens: cette monnaie est crée ex nihilo (à partir de rien), la monnaie est crée par la banque en contre partie des crédits accordés aux Ent.

Pour un crédit il y a une croyance, accordé un crédit est croire en la possibilité antérieure de la somme prêtée. Ce circuit est monétaire, ce qui l'ouvre est la décision des banques qui ratifie ou non la demande de l'Ent. L'Ent propose (je veux un crédit..) et la banque dispose.

Réponse à la monnaie: quand des crédits sont accordés cela va de pair avec la création de la monnaie, la mise à disposition des Ent qui va verser (par ex) un salaire au Men. Cette monnaie quand elle est crée ne vaut que son pouvoir d'achat à venir, elle vaut la P° qu'elle permettra de réaliser, et ce scénario de l'ouverture du circuit keynésien est décisif.

Tout part des anticipations  des Ent, sur cette base, les Ent ont des projets de P°, ces projets sont financés ou non par les banques en accordant ou non le crédit donc les projets des Ent sont réalisés ou non. A partir  de là tout le circuit se déroule: le circuit effectif de P), les R...

Sur cette base là, on a plusieurs futur possible, 3 scénario possibles correspondants à différents types de conjonctures:

        1: scénario de croissance saine, il faut aussi que les anticipations et les décisions qui en découlent soient largements suivie par les banques (accord de crédit), on aura donc un développement de l'activité qui pourrait entraîner une baisse de chômage.

        2: scénario de dépression éco, elle pourrait avoir 2 origines, a: les anticipations sont pessimistes, donc la baisse d'activité pointe.                           b: les décisions des banques sont strictes, cela limitera l'exécution des projets. Dans ce cas baisse d'activité et reprise du chômage. Si le problème vient de ratifications trop strictes, sous la liquidité des banques.

        3: scénario de la surchauffe: les anticipations des Ent sont trop optimistes ou les banques trop laxistes. On risque d'arriver à des Ent en faillite ou en difficulté, ce qui pourrait amener l'inflation qui pourrait aller avec une sur liquidité, trop de monnaie veut dire qu'une partie n'a pas de contre partie réelle.
c: le circuit keynésien simplifié
Le circuit a pour pôle 3 catégories d'agents: les banques, les Ent et les Men. Les banques financent, les Ent produisent et I, les Men travaillent et consomment. La monnaie part des banques vers les Ent (flux de financement, net), il part de la fonction de financement vers la fonction de P°. Les Ent vont rémunérer le travail et être à l'origine d'un flux vers les Men (W) le salaire (donne lieu à de l'autofinancement). Les Men vont utiliser leur R pour C (flux vers les Ent) et épargné (flux vers les banques).


Même si cette représentation est simple, une chose apparaît qui vient contredire la thèse classique (vu plus haut) et l'idée commune: idée que si les Ent ont des problèmes de financement c'est parce que l'épargne n'est pas assez importante. Dans ce circuit keynésien, c'est le contraire, car si les Ent ont des problèmes de financement c'est à cause de l'épargne, si elle est nulle, il ne peut y avoir de financement.

On est plus dans une vision commune ou classique, le problème de financement viendrait d'une épargne trop abondante. Si F (flux de financement) est définie comme le flux net de financement, c'est tous les salaires versés moins la C°, c'est donc l'épargne des Men. Si l'E est grande, plus le flux que l'Ent doit rembourser à la banque est important.

L'endettement des Ent sont des crédits non remboursés ou la différence entre les prêts et les remboursements.

F = W - C = Sm

Dans ce schéma ce n'est pas parce que les Men épargnent que les Ent peuvent se financer, au contraire c'est parce que les Men ne consomme pas assez que les Ent sont durablement endettés.

Dans ce schéma, l'I est bouclé parce que c'est une dépense et une recette des Ent, elles consomment entre elles. Pour les modalités de fermeture du circuit en question: en toute logique le circuit se ferme par le remboursement des crédits c'est à dire la des truction de la monnaie crée à l'ouverture du crédit. Dans le circuit, c'est par le dépôt de monnaie des Ent auprès des banques que se clos le circuit car la monnaie est rendue à la banque.
d: le statut du µ
Supposons que les Ent versent pour 1000frs de salaire, au mieux pour les Ent, tout le salaire (W) sera consommé (toutes la monnaie reflue). Pour les Ent, les recettes totales seront les consommations et le coût total est le salaire. Donc le µ macro-éco est nul.

Le flux de dépense de C° compense exactement le flux de paiement des salaires. Les Ent ont aussi affaire aux Ent.

Conclusion: le µ macro-éco ne peut pas provenir des dépenses des salariés donc ce * ne peut provenir que des dépenses faites par des non salariés (pour l'essentiel se sont les Ent) donc le µ profit ne peut venir que de l'I.

A côté des dépenses d'I, un commerce extérieur excédentaire et un déficit public budgétaire financé par création monétaire peut avoir le même effet.

"Le profit ne peut venir que des Ent" Michaël Kaleck, dépense des Ent auprès des Ent et revenu des Ent.

"Les capitalistes gagnent ce qu'ils dépenses alors que les salaries dépensent ce qu'ils gagnent."

Le profit est une fonction de l'i: plus les Ent investissent, plus elle feront du profit,     µ = f(I)

La C° dépend du salaire     C° = f(Sal)   Le salarié pour connaître son niveau de C° doit savoir son niveau de salaire.

Cette  phrase (plus haut) n'est valable qu'au pluriel, elle est fausse en micro-éco, mais est exacte en macro-éco;

Au niveau de la causalité, il y a une inversion car pour une Ent plus il y a de µ et plus elle fera d'I. Pour une Ent c'est plutôt son µ qui va déterminer son I. Au niveau global (macro-éco) la causalité devient inverse: toute les D d' I des Ent donnent lieu à des recette à une autre Ent.

Alors que dans le cas des salariés la C° augmente quand le W augmente, la causalité est inverse pour les capitalistes: leur µ augmentent quand leur I augmentent.

Pour que ce processus paradoxal s'enclenche, il est nécessaire que d'abords les Ent dépensent sans rien gagner, c'est possible grâce aux crédits bancaires, le circuit keynésien ne peut pas s'initier s'il n'y a pas les traitements. Les crédits permettent à une catégorie particulière, les Ent de dépenser d'abords et de gagner en fin de circuit. Cette dépense initiale des Ent s'adresse d'abords aux salariés et à ce titre les D des capitalistes font les R des W. Ces dépenses initiales que font les Ent sont aussi des dépenses auprès des Ent. Quand une Ent i, sa dépense à lui fait la recette d'une autre Ent au titre de l'I, c'est pour cela qu'ils gagnent ce qu'ils dépensent. Plus l'I est élevé, plus le  est élevé (macro-éco seulement)

Le profit macro-éco brut:    µ brut = RT - CT

                      = (Ib + C) - W

                          -(W- C)           W - C = Sm

Le profit est l'écart entre les R total - le coût total

Les recettes que font les Ent sont les dépenses de C° des Men et dépenses des Ent entre elles.

Donc R total au niveau macro c'est l'I brut plus la C° moins le coût en salaire (ct).

(W- C): R sal - C° sal : E sal
µb = Ib- Sm        Sm = E des Men

     =Ib- F         Ib = enrichissement des Ent            F = appauvrissement des Ent
On a l'idée que le µ est l'écart entre l'enrichissement des Ent - l'appauvrissement des Ent.

Comment se concrétise l'enrichissement des Ent par l'Ib ?

L'appauvrissement des Ent est leur endettement. il n'est pas surprenant de retomber sur l'idée que le µ, à une période (macro-éco), est l'enrichissement net des Ent (écart entre enrichissement et appauvrissement).
Conclusion: 1: il faut bien voir que dans notre circuit keynésien se sont les décisions initiales des Ent ratifiées ou non par les banques qui sont déterminantes du niveau d'activité (de l'emploi et du chômage) = objet de Keynes.

            2: l'analyse de Keynes, dans ce schéma, met au centre l'Ent, les Ent; d'une certaine façon il serait faux de dire que c'est l'Etat est au centre car l'Etat sera présente, en particulier, si l'initiative privée est défaillante.
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