Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français








télécharger 221.69 Kb.
titreMembre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français
page1/8
date de publication31.03.2018
taille221.69 Kb.
typeDocumentos
p.21-bal.com > documents > Documentos
  1   2   3   4   5   6   7   8
LE DOPAGE EN QUESTIONS

par

Claude-Louis GALLIEN

Président de la Commission Nationale de Lutte contre le Dopage

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français

______

 

Le dopage sportif ne doit pas être appréhendé seulement en référence à la santé. Il ne faut pas non plus se limiter à une approche qui ne concernerait que le haut niveau. A travers le problème du dopage sportif et de la lutte anti-dopage se pose en réalité la question de la conception même du sport. Et cette question renvoie directement à un débat beaucoup plus large et beaucoup plus grave qui est celui d’un choix de société.

En présentant les choses d’une façon certes réductrice et manichéenne, nous sommes placés devant l’alternative suivante :

- Ou bien on admet que la société libérale, qui tend à s’imposer dans la plupart des pays du monde, puisse glisser rapidement vers une logique toute entière fondée sur le profit et la réussite individuelle.

Dans cette logique, on admet que le sport lui-même s’oriente de plus en plus vers le spectacle et le profit, aux dépens de ses valeurs éducatives et ludiques; et que le mouvement sportif institutionnel classique puisse être amené à céder une part importante de ses prérogatives aux structures privées qui disposent du pouvoir de l’argent. Le dopage devient alors admissible et même recommandé, en dehors de quelques aménagements règlementaires destinés à éliminer les déviances les plus extrêmes et les conséquences les plus voyantes.

- Ou bien on souhaite privilégier un modèle de société qui ne s’abandonne pas complètement à une logique de profit et qui s’attache à préserver les notions de partage et de solidarité. Dans ce modèle, la dimension humaniste et éthique du sport peut et doit évoluer, certes, pour rester en adéquation avec l’évolution de la société, mais il convient de rejeter absolument les compromissions qui aboutiraient à dénaturer fondamentalement la notion même de sport. Ceci implique que le mouvement sportif choisisse d’assumer totalement ses responsabilités, et sache s’imposer face aux marchands de spectacle.

Une responsabilité majeure est alors de refuser le dopage, et de lutter contre cette pratique de façon claire et déterminée, en éliminant les incohérences et les ambiguïtés.

C’est le deuxième terme de cette alternative qui est délibérément privilégié dans la rédaction de ce document, destiné à tous ceux qui ont en charge des sportifs, à tous les niveaux de pratiques: entraîneurs, éducateurs, formateurs, professeurs d’éducation physique et professeurs de sport, mais aussi médecins du sport et professionnels de la santé, responsables fédéraux et présidents et animateurs de clubs. Toutefois, pour que ce texte n’apparaisse pas comme un "prèt à penser" verrouillé, un appareil de notes et de commentaires contradictoires permet de mieux appréhender la diversité des faits et des positions susceptibles d’enrichir le débat.

Claude-Louis GALLIEN

 

 

 

 

LES QUARANTE QUESTIONS QUE VOUS VOUS POSEZ

1/ Quelle définition peut-on donner du dopage sportif?

2/ Qui se dope dans le milieu sportif?

3/ Pourquoi les sportifs se dopent-ils?

4/ Pourquoi faut-il lutter contre le dopage des sportifs?

5/ Le dopage est-il compatible avec l’éthique sportive?

6/ Pourquoi les sportifs sont-ils les seuls auxquels le recours au dopage soit interdit?

7/ Quels sont les procédés ou les produits considérés par le mouvement sportif comme susceptibles d’augmenter artificiellement les possibilités physiques d’un sportif en vue ou à l’occasion de la compétition, et quels en sont les effets?

8/ Neuf questions sur l’érythropoïétine

9/ Dix questions sur la nandrolone

10/ Qu’appelle-t-on "hormone de croissance"?

11/ Le dopage sportif est-il réellement efficace?

12/ Le recours à des procédés et/ou à des produits dopants est-il réellement dangereux pour la santé des sportifs?

13/ Les risques encourus du fait du dopage sont-ils les mêmes pour tous les sportifs?

14/ Tous les produits et procédés dopants sont-ils également dangereux et condamnables?

15/ Peut-on mettre sur le même plan le dopage sportif et la toxicomanie?

16/ Est-il logique de classer le cannabis parmi les produits dopants interdits aux sportifs?

17/ On entend souvent dire que les dopeurs ont toujours "une molécule d’avance" sur ceux qui luttent contre le dopage; est-ce bien exact?

18/ Existe-t-il des substances dopantes indétectables?

19/ Pourquoi ne recherche-t-on les traces de substances dopantes que dans les urines?

20/ Dans le cas d’un sportif français contrôlé positif à la nandrolone, on a dû effectuer un test ADN, pourquoi?

21/ Est-il possible d’établir clairement où finissent l’entraînement et les soins médicaux, et où commence le dopage sportif?

22/ Lorsqu’ils sont malades les sportifs ont-ils le droit d’utiliser des médicaments figurant sur la liste des produits dopants interdits?

23/ Le sport est de plus en plus souvent associé au dopage ou à la médecine; peut-on encore croire que la pratique sportive est bonne pour la santé?

24/ Peut-on envisager l’éventualité d’un dopage autorisé, sous contrôle médical?

25/ Faut-il réduire la liste des produits interdits?

26/ Faut-il renoncer à la lutte contre le dopage dans le sport?

27/ Le principe même de la lutte anti-dopage est-il toujours bien accepté dans le monde du sport?

28/ Les sportifs sont de plus en plus nombreux à contester devant les tribunaux les sanctions qui leurs sont infligées par le mouvement sportif dans le cadre d’affaires de dopage; cette démarche est-elle légitime?

29/ Les sportifs dopés sont plutôt considérés comme des "victimes" que comme des "coupables", est ce bien justifié?

30/ Les sportifs convaincus de dopage encourent-ils des sanctions pénales, ou relèvent-ils uniquement de sanctions prononcées dans le cadre du mouvement sportif?

31/ Quelles sont les responsabilités respectives des employeurs, des médecins d’équipes et des sportifs professionnels dans la pratique du dopage?

32/ Les sponsors et les médias ont ils une responsabilité, directe ou indirecte, dans le dopage des sportifs?

33/ Y a-t-il des filières de pourvoyeurs pour les produits dopants à usage des sportifs?

34/ Quelle place la France occupe-t-elle dans le contexte international, en ce qui concerne la lutte contre le dopage sportif?

35/ Quelles sont les procédures suivies en France dans les contrôles anti-dopage?

36/ Les pourcentages de sportifs contrôlés positifs sont toujours trés faibles, cela reflète-t-il vraiment la situation?

37/ Les autorités administratives et les dirigeants du mouvement sportif sont directement intéressés par les résultats obtenus par les athlètes de haut niveau; dans ces conditions peut-on leur faire confiance pour gérer en toute équité la lutte anti-dopage?

38/ Le traitement des affaires de dopage peut apparaître complètement incohérent aux yeux du public, les incohérences sont elles réelles? quelles en sont les causes?

39/ Peut-on parvenir à harmoniser la lutte anti-dopage au niveau international?

40/ Sur quels points essentiels le nouveau projet de loi qui doit être voté en novembre 1998 est-il innovant par rapport à la loi du 28 juin 1989 relative au dopage?

 

 

1/ Quelle définition peut-on donner du dopage sportif?

 

Il n’est pas si simple de définir correctement ce que l'on entend par "dopage" en milieu sportif. Le Comité International Olympique (C.I.O.) lui-même ne propose pas de définition "officielle" de référence, se bornant à publier une liste (régulièrement mise à jour) des produits ou des pratiques interdites.

En France, la loi n°89-432 du 29 juin 1989 indique dans son article 1er:

Il est interdit à toute personne d’utiliser, au cours des compétitions et manifestations sportives (...) ou en vue d’y participer, les substances et les procédés qui, de nature à modifier artificiellement les capacités ou à masquer l’emploi de substances ou de procédés ayant cette propriété, sont déterminés par arrêté conjoint des ministres chargés des sports et de la santé.

Une définition - au demeurant assez ancienne, puisqu'elle fut rédigée en 1963 lors du Colloque européen d'Uriage sur le dopage - est classiquement retenue:

"Est considéré comme dopage l'utilisation de substances et de tous moyens destinés à augmenter artificiellement le rendement en vue ou à l'occasion de la compétition, ce qui peut porter préjudice à l'éthique sportive et à l'intégrité physique et psychique de l'athlète".

Au total, les points essentiels paraissent être les suivants:

- Il existe des produits et des procédés considérés comme "dopants", dans la mesure où ils sont susceptibles de modifier artificiellement les capacités d’un sportif.

- Ces produits ou procédés peuvent être utilisés au cours des compétitions elles-mêmes, ou en vue d’y participer.

- L’usage de ces produits porte préjudice à l'éthique sportive.

- L’usage de ces produits porte préjudice à l'intégrité de l'athlète.

 

Commentaires

Alexandre de Mérode, Président de la Commission médicale du Comité International Olympique (Le Figaro - 17/08/98)

 

Toutes les définitions scientifiques (du dopage) ont toujours été contestées par le monde juridique qui en dénonce le caractère incertain, la science n’ayant jamais rien d’absolu. Au C.I.O., nous avons construit notre système sur trois principes fondamentaux: la protection de la santé de l’athlète, la défense de l’éthique médicale et de l’éthique sportive, le maintien des chances égales dans la compétition. Ce qui nous a permis d’établir cette fameuse liste qui est elle-même la définition du dopage. Tous les produits qui y figurent sont dopants dés lors qu’ils servent contre l’un des trois principes. C’est une définition pratique qui nous défend contre les agressions du juridique... qui fait son métier.

2/ Qui se dope dans le milieu sportif ?

Il est tout à fait essentiel d’avoir toujours en mémoire le fait que le dopage concerne deux populations bien distinctes: les sportifs de haut niveau (environ 2000 en France, toutes disciplines confondues) dont on se préoccupe beaucoup et auxquels on fait généralement référence quand on aborde les problèmes posés par le dopage, et la masse des pratiquants sportifs (environ 13 millions) que l’on tend à ignorer bien qu’elle soit tout aussi concernée.

Il est impossible de mettre en place une politique cohérente relative aux problèmes de dopage sans prendre en compte ces deux populations, dont les comportements face à la pratique sportive et au dopage sont trés fortement liés bien qu’ils soient par nature extrêmement différents.

 

Notes

Chiffres - Le dopage est trés loin de ne concerner que les sportifs professionnels ou de haut niveau. En France, en 1997, sur 221 contrôles positifs, 27 concernaient des sportifs de haut niveau, tous les autres concernaient des sportifs évoluant au niveau départemental ou régional.

Commentaires

 

Dr Patrick Laure (Le Journal du Dimanche - 09/08/98)

Au plan international, 5 à 15% des sportifs amateurs reconnaissent utiliser des produits dopants, toutes disciplines confondues. En France, un amateur sur dix reconnaît se doper et 38% des sportifs interrogés disent connaître des dopés.

Une étude internationale publiée en 1997 révèle que prés de 5% des enfants sportifs reconnaissent user de produits dopants. Aux Etats-Unis, l’âge moyen de la première prise de stéroïdes anabolisants est huit ans. En France, entre 12 et 14 ans. C’était le cas en Amérique du Nord il y a quelques années, la moyenne s’est donc considérablement rajeunie? La prise de dopants s’est aussi féminisée. (...) En réalité, on s’aperçoit aussi qu’un quart, voire un tiers des enfants qui prennent des produits incriminent leurs parents...

3/ Pourquoi les sportifs se dopent-t-ils?

Les motivations, en ce qui concerne le dopage sportif, peuvent être trés diverses, mais essentiellement les sportifs qui se dopent, le font par besoin d’ "exister", de se dépasser, de se montrer meilleurs que les autres, de gagner, et ceci que ce soit au niveau du quartier, du club, dans les compétitions les plus modestes ou dans les plus grandes épreuves internationales.

Chez les jeunes le goût de la transgression vis à vis des règles sociales établies, associé paradoxalement à la tendance à "faire comme les autres" au sein de sa catégorie d’âge ou de "clan" peut jouer un rôle déterminant. Les jeunes les plus défavorisés, les plus démunis, les plus frustes, sont aussi les plus faciles à influencer, à séduire et à berner. La pression du milieu familial doit encore être prise en compte.

Le dopage peut constituer pour quelques sportifs une quasi nécessité professionnelle, le seul moyen de rester au contact du haut niveau, fut-ce pour jouer les utilités en assurant malgré tout un salaire, même médiocre.

Les champions appartenant à l’élite peuvent être tout à la fois crédules, astreints par contrat à des efforts physiques qu’il ne peuvent assumer sans artifices, ou bien encore indifférents aux conséquences à long termes d’un comportement qu’ils revendiquent cyniquement comme un facteur librement accepté de leur réussite sportive.

 

4/ Pourquoi faut-il lutter contre le dopage des sportifs?

Si l’on choisit de ne pas prendre en compte les considérations relevant de l’ "éthique sportive", qui peuvent être sujettes à des critères d’appréciation très diversifiés, il existe deux raisons majeures de lutter contre le dopage des sportifs. La première touche à la santé, la seconde est d’ordre social et éducatif.

 

Santé: Le dopage met en péril la santé de chaque sportif en particulier, quel que soit son niveau de pratique et quel que soit la nature des produits et/ou des procédés utilisés.

 

Haut niveau - La pratique de haut niveau moderne est une pratique de l'extrême: les entraînements, les déplacements, les compétitions poussent l'organisme aux limites de ce qu'il est capable d'assumer. Les produits et les procédés dopants administrés dans le cadre d’une préparation médicalisée visent à donner artificiellement à l’organisme les moyens de résister à des charges extraphysiologiques. Le dopage aboutit donc à perturber encore davantage les équilibres physiologiques naturels et à "gommer" les réactions de défense de l'individu (fatigue, douleur, anxiété...), pour lui permettre d'aller au delà de lui même. L'organisme peut en apparence supporter, pour un temps au moins, les tensions auquel il est soumis, mais il n'oublie rien, il enregistre tout, et à terme il apparaît que les altérations subies sont irréversibles.

Les "traitements" mis en œuvre sont souvent de longue durée (avant la compétition, pendant la compétition, après la compétition) et les doses délivrées sont considérables, infiniment supérieures à celles qui seraient administrées à des malades dans un cadre thérapeutique, sans qu’on connaisse les effets à moyen ou long terme de telles prescriptions totalement arbitraires. Par ailleurs, la plupart des stratégies de dopage impliquent plusieurs types de molécules dont l’association illégitime peut conduire à des effets contradictoires et dangereux.

Enfin, il existe une "hiérarchie" dans cette pratique du dopage chez les sportifs de haut niveau.

- Dans les sports les plus médiatisés, une petite élite de champions accède à un "dopage scientifique" très surveillé par une équipe médicalisée utilisant des procédures sophistiquées et des produits de bonne qualité, par ailleurs fort coûteux. Dans ce cas, les risques d’accident à court terme sont relativement limités, même si les risques à moyens ou long terme, qui sont inévitables , demeurent extrêmement lourds.

- Les sportifs qui restent en marge de l’élite internationale, ou qui pratiquent dans des disciplines moins médiatisées où les moyens financiers sont plus limités, ne peuvent prétendre bénéficier d’un tel niveau de suivi dans le cadre des pratiques de dopage. Les procédures de traitement et leur surveillance, les doses administrées, la nature et la qualité des produits, sont alors très aléatoires, ce qui peut entraîner des accidents dans le court terme, sans préjuger des risques plus tardifs, toujours inévitables et très importants.

 

Pratique sportive générale - La pratique sportive générale est, elle aussi, concernée par le dopage, quel qu’en soit le niveau et qu’il s’agisse de sport de compétition encadré et réglementé ou de sport de loisir pratiqué hors de tout contexte réglementaire.

Dans ce cadre les procédures de dopage sont le plus souvent anarchiques. L’adéquation entre les substances (ou les procédés) utilisés et la pratique sportive est complètement fantaisiste, de même que les doses administrées et les associations réalisées. L’origine des produits, leur nature exacte et leur qualité sont trés sujettes à caution. Dans ces conditions le dopage entraîne des risques d’autant plus élevés que l’absence de tout suivi médical (dans la plupart des cas le fait d’avoir recours à des produits dopants est dissimulé au médecin) conduit à ne prendre conscience que tardivement de la nature réelle des accidents brutaux ou des pathologies développées.

 

 

Valeurs socio-éducatives: On peut s'interroger sur la validité des valeurs prêtées au sport, dénoncer les aspects négatifs du phénomène sportif et gloser sur l'hypocrisie ou le cynisme des institutions qui le gèrent, il n'en reste pas moins que l'image (ou l'imaginaire...) du sport est un des trop rares bons reflets que nos sociétés ont d'elles mêmes, et qu'elle peut être utilisée non seulement comme vecteur d'épanouissement personnel, mais aussi comme outil d'éducation, de socialisation et d'intégration. Il est donc essentiel de veiller à ce que cette image ne soit pas dénaturée, ni en définitive brisée par des pratiques irresponsables, telles que le dopage.

A travers la représentation qu’en projettent les médias, les jeunes sont confrontés à une société matérialiste libérale qui élève l’argent et le profit au niveau de l’éthique, valorise à outrance la réussite individuelle au détriment des notions de partage et de solidarité, et se montre trés permissive sur les moyens d'y accéder. L’école est en partie impuissante à contrebalancer cette image travestie de la réalité de notre société, en particulier chez les jeunes issus de milieux où le lien social est fragile.

Il se trouve que le sport, s"il fait trés normalement place à l’argent, ne fait pas du profit une ambition prioritaire, qu’il est porteur d’objectifs qui impliquent que l’effort individuel s’inscrive dans un contexte de solidarité et de partage, qu’il impose le respect de soi et le respect des autres dans un cadre règlementaire contraignant mais librement accepté. Il se trouve aussi que le sport fait encore rêver les jeunes, qui accordent aux champions une extraordinaire valeur d’exemplarité.

Le sport est donc un outil éducatif puissant; soutenu par le charisme des sportifs de haut niveau il peut contribuer à diffuser chez les jeunes un esprit de citoyenneté et d’humanisme sans lequel notre société risque l’éclatement. S’il devait être banalisé, ravalé au rang d’une activité essentiellement lucrative où toutes les dérives - dont le recours au dopage - sont justifiées par le profit, alors il cesserait de faire rêver... et un moyen essentiel de socialisation des jeunes serait perdu.

 

Le dopage est dangereux pour la santé des sportifs, il constitue une menace pour le rôle d’outil éducatif que peut jouer le sport dans notre sociéte. Pour ces deux raisons au moins il est impératif de lutter contre le dopage sportif.
  1   2   3   4   5   6   7   8

similaire:

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français iconDr. M. A. Derdour : Dr. N. Oudjani : Dr. M. Djabour Comité d’Organisation national

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français iconVous êtes élu au Bureau de l’A. P. E. ou au Comité et vous ne savez...

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français iconQuestionnaire a remplir comite :   I structure  club  Comité...

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français iconComité National pour la Bientraitance et les Droits des Personnes...
«tout cas de mort qui résulte directement ou indirectement d’un acte positif ou négatif accompli par la victime elle-même et qu’elle...

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français iconOlympique de grande amicale canine

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français iconSelon un récent rapport de l’Institut national de la jeunesse et...
«pression» et de la fatigue psychique dans les comportements de violence et la défiance vis-à-vis des dirigeants politiques sont...

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français iconMembre privilégié du centre

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français iconArticle 3 : perte de la qualite de membre

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français icon1- les origines des sports modernes en Angleterre au 19ème siècle
«Olympique de la République» sur le Champ de Mars à Paris (course à pied et course de chars)

Membre du Bureau du Comité National Olympique et Sportif Français iconDocteur en médecine Membre du E. F. V. V. (European Forum for Vaccine Vigilance)








Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
p.21-bal.com