I-qu’est ce que la sociologie ?








télécharger 319.67 Kb.
titreI-qu’est ce que la sociologie ?
page2/8
date de publication30.03.2018
taille319.67 Kb.
typeDocumentos
p.21-bal.com > documents > Documentos
1   2   3   4   5   6   7   8

1- Genèse de la sociologie : les conditions de son émergence

Plusieurs éléments enchevêtrés, difficilement localisables en termes de chronologie, ont contribué à bouleverser profondément les mentalités et les modes de pensée et ont suscité un développement des réflexions sociologiques qui a abouti à l'institutionnalisation de la discipline tel que nous le connaissons aujourd’hui. Parmi ces éléments/variables socio-historiques : la révolution française, la révolution industrielle et la révolution intellectuelle (triomphe du rationalisme14 , de la science et du positivisme).

Ici on va mettre en évidence, ne serait-ce que brièvement, l’importance majeure, sinon décisive, de ces trois révolutions- qui avaient pour corolaire une grande instabilité et un gigantesque processus de bouleversement de la vie humaine, dans tous ses aspects, dans toute l'Europe- dans l’émergence de la sociologie en tant que discipline scientifique.

 Bref, on va expliquer comment ces révolutions ont pu provoquer la naissance de la sociologie.

2-La sociologie : la fille des révolutions

Si la sociologie naissante n’a pas été un travail de seule réflexion construite sur des concepts sans relation établie avec des faits sociaux ; elle peut être présentée comme « la fille des révolutions », selon la formule de Jean Duvignaud. Car on voit bien que suite à ces révolution, l'économie, les rapports du pouvoir, les régimes politiques, les rapports sociaux, les représentations culturelles, les conceptions du monde, les idéologies politiques, sont tour à tour entraînés, et de plus en plus rapidement, dans le tourbillon du changement radical. En effet, la multiplication des troubles et des revendications, l'acuité des conflits que ces révolutions ont provoqué a détruit toute évidence : le social et ses formes deviennent problématiques et, par là, objet de réflexion.
2.3-Révolution intellectuelle ou le triomphe du rationalisme, de la science et du positivisme : Le siècle des Lumières
Le mot Lumières définit métaphoriquement15 le mouvement culturel et philosophique qui a dominé, en Europe et particulièrement en France, le XVIIIe siècle (1715-1789), (auquel il a donné, par extension, son nom de siècle des Lumières. Un mouvement qui a met en cause la monarchie absolue, la division de la société en ordres immuables et l’emprise totale du pouvoir religieux.

Ce qu’on appelle aujourd’hui le « siècle des Lumières » fut en fait l’aboutissement d’un processus entamé par des esprits libres, isolés, usant, souvent avec ruse, tantôt de la poésie avec François Villon ou Jean de La Fontaine, tantôt de la farce avec Rabelais, tantôt de la réflexion philosophique avec Montaigne, Locke, Spinoza ou Descartes.

Ce qui différencie les philosophes des Lumières de leurs prédécesseurs des siècles précédents, isolés, c’est la conscience qu’ils ont d’appartenir à un même courant de pensée. Ils se définissent eux-mêmes comme tels au point que Kant

publie en 1784 un essai intitulé « Réponse à la question : qu'est ce que les Lumières ? ». Ainsi il y apporte la réponse suivante :
« les Lumières c’est la sortie de l’homme de sa minorité dont il est lui-même responsable. Minorité, c’est-à-dire incapacité de se servir de son entendement (pouvoir de penser) sans la direction d’autrui, minorité dont il est lui-même responsable (faute) puisque la cause en réside non dans un défaut de l’entendement mais dans un manque de décision et de courage de s’en servir sans la direction d’autrui. Sapere aude ! (Ose penser) Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières ».
Ainsi, dans toute l’Europe, des philosophes remettent en question la servilité : celle de la pensée et celle des hommes.  La raison humaine doit se libérer et penser la société comme une réalité compréhensible et transformable en fonction d’un ordre naturel fondamental. Puisque l’ignorance est l’instrument premier de l’asservissement, c’est le savoir qui permet de briser les chaînes du despotisme et de l’obscurantisme. Tel est l’essentiel du message.

Ensuite, les Lumières luttent contre les superstitions attachées à la pratique religieuse et s’attaque à l'absolutisme et au régime de Droit Divin16, c'est à dire que le roi est le représentant de Dieu sur Terre et qu'il a, par conséquent, tous les droits sur les hommes. Personne ne peut donc le contredire aux risques d'être tués. De plus, le roi a tous les pouvoirs, ceux-ci ne sont pas séparés. Ainsi, les Lumières dénoncent au nom de la Raison et de valeurs morales les oppressions qui perdurent à leur époque. Ils contestent la monarchie absolue en revendiquant un contrat social comme fondement de l’autorité politique et une organisation plus démocratique des pouvoirs dans une monarchie constitutionnelle avec une séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire.

Cela dit, et même si les philosophes des Lumières varient sur les modes possibles d’organisation de la société parce qu’ils viennent d’horizons différents, force est de constater qu’on peut dégager facilement leurs idées fortes qui peuvent être considérées comme les traits dominants de ce mouvement.

En effet, ses idées fortes s’inscrivent dans le droit fil de la pensée des Lumières, six traits marquants d’une pensée moderne s’y affirment et peuvent être retenus :

1- Le libre esprit critique : C’est le primat conféré à la raison sur la superstition, sur les vérités révélées, sur les dogmes. L’affirmation de la raison, en tant que source d’émancipation individuelle et collective, et son corollaire, l’esprit critique, bien plus même, l’exigence critique à l’égard des traditions, des pouvoirs, des idéologies qu’ils inspirent et de ceux qui les servent.

 2- Le volontarisme : les Lumières affirment que l’ordre établi, foncièrement injuste et totalitaire, n’est pas immuable et que l’homme peut prendre son destin en main et faire de la quête du bonheur pour tous l’objet de la politique. À ce propos Voltaire a écrit : « le présent est affreux s’il n’est point d’avenir, un jour tout sera bien voilà notre espérance ; tout est bien aujourd’hui voilà l’illusion ». De fait,  la quête du bonheur se substitue à l’attente du salut. Un autre monde que celui que nous connaissons est envisageable et désirable. Le monde tel qu’il est n’est pas une fatalité.  Les maux sociaux dont souffrent les peuples ne sont pas des phénomènes naturels.

Par conséquent, la tâche de l’homme est de prendre en main sa destinée, d’améliorer sa condition, d’assurer, d’embellir sa vie par la science, l’industrie, les arts et par une bonne « police » des sociétés.

Toutefois, cette tache ne s’accomplit que par le biais de savoir. C’est pourquoi,

les philosophes des Lumières veulent "éclairer" leurs concitoyens en luttant contre l’ignorance, et vulgariser le savoir pour améliorer le genre humain, en se reposant sur le progrès des mathématiques, de la physique (Newton ordonne le cosmos selon des lois générales).

Ainsi, pour diffuser les connaissances et de mettre le savoir à la portée de tous, par exemple en multipliant les illustrations, à une époque où la majorité des Français ne savent pas lire, Denis Diderot, Jean Le Rond d’Alembert, et Georges-Louis Leclerc de Buffon, aidés par plusieurs co-rédacteurs et collaborateurs, vont réaliser l’Encyclopédie. Cet emblème du siècle des Lumières, dont la publication s’étend de 1751 à 1772, rassemble toutes les connaissances scientifiques et artistiques de l’époque sous forme de classement (dictionnaire), et cherche à placer l’Homme au centre de l’Univers. Elle comprend des articles sur des thèmes très variés : les sciences, l'économie, l'histoire, les arts, la morale, les techniques, etc. Mais de nombreux articles critiquent la monarchie absolue, la noblesse, la justice et la religion.

Certes, la vraie volonté de Diderot et de tous les écrivains de l'Encyclopédie était de se battre contre ce qu'ils appelaient l'Obscurantisme religieux. C’est pourquoi, l’Encyclopédie a été censurée et Diderot, Accusé de propager des idées dangereuses, est emprisonné pendant plusieurs mois.

3-La liberté : à ce sujet si Diderot a écrit : « Aucun homme n’a reçu de la nature le droit de commander aux autres. », voltaire l’attachement de Voltaire à la liberté d’expression serait illustré par la très célèbre citation qu’on lui attribue17 : « je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. ».

4-L’égalité : La révolution  des Lumières, c’est le refus des privilèges. « N’avoir que ses égaux pour maîtres » avait affirmé Montesquieu. En effet, Tout être humain est pourvu de la même dignité, quels que soient sa couleur, sa croyance, son sexe, sa langue, son degré d’éducation, son niveau social.

5-La tolérance religieuse :

Force est de rappeler que si Diderot, dans sa Lettre sur les aveugles (1749), s’interroge sur le principe organisateur du vivant et semble rejeter l’existence de Dieu, le christianisme, dont il souhaite la disparition, n’est pour Voltaire que superstition et fanatisme. Mais la condamnation du christianisme chez Voltaire porte donc d'avantage sur l'idéalisme exclusif et l'aspect rituel (ou superstitieux) qui peut s'en emparer (et le desservir)- que sur les enseignements de Jésus-Christ en eux-mêmes.

De fait, Voltaire se proclame Déiste18, en dehors des religions constituées, mais anticlérical, c'est à dire croyant en un Etre Suprême organisant le monde mais il refuse les rites et dogmes attachés à la religion. Ainsi, il est l’un des instigateurs d'un civisme équidistant envers toutes les attitudes religieuses et opinions métaphysiques (athéisme compris), civisme qui allait de pair avec son combat pour la liberté d'expression. C’est pourquoi il a pris, en se servant de son immense notoriété, la défense de victimes de l’intolérance religieuse et de l’arbitraire dans des affaires qu’il a rendues célèbres : Jean Calas, Pierre-Paul Sirven, chevalier de La Barre, comte de Lally.

En effet, face au fanatique et à l’intolérant aveugle , Voltaire oppose la figure de l'homme laïque19 , nommé « Citoyen », vu comme l'ami de tous et du bien public, policé et ne manquant jamais d'humour pour faire valoir le droit commun à s'entre-tolérer au sein d'un État qui défend la culture philosophique et poétique, tout en refusant de promouvoir telle ou telle profession de foi.

6- La démocratie : En se libérant, par l’instruction, du pouvoir religieux, en rejetant les superstitions, les dogmatismes et les intégrismes, en privilégiant la raison critique, les hommes se dotent de la capacité d’agir sur le cours des choses en vue du bonheur de tous.

 Il faut donc que s’organise la délibération de tous et la décision par tous. Un principe fondamental est énoncé : la souveraineté populaire. Tous les pouvoirs émanent non plus du roi, ni de dieu, mais du peuple.

 De l’union entre des citoyens égaux naît la société unie par le pacte social qui confirme le lien entre tous. Pour Rousseau, - l’un des figures emblématiques de la philosophie des Lumières et auteur de « du contrat social » -  des règles nouvelles doivent régir les rapports entre les hommes parce qu’ils sont inégalitaires, qu’ils spolient les hommes des fruits de leur travail et qu’ils asservissent des hommes au profit d’autres hommes. Il faut donc créer des règles

qui fassent l’objet d’un contrat social et qui ne dénaturent par les lois de l’homme ; celles qui viennent de son humaine nature.

Selon Rousseau, il existerait une loi naturelle qui s’imposerait avant tout pacte entre un souverain et ses sujets et qui ferait de cet acte un pacte bilatéral assurant aux deux parties le droit à la révolte contre toute violation de la loi morale dont on peut dire qu’elle comprend le droit issu du travail et le pouvoir paternel.

Le contrat social sera, pour Rousseau, une forme de pacte scellé entre des hommes « libres et maitres d’eux-mêmes » reposant sur une association d’individus qui fondent un pouvoir et reconnaissent ce faisant qu’ils soumettent à lui sans restriction. Il y a donc dans un même mouvement l’expression d’un acte libre et l’abandon de cette liberté au profit d’une volonté générale censée être représentée par la somme des parties en présence sans que cette somme aboutisse à des résultats contraires aux intérêts de ses unités, c’est-à-dire ici, des individus la composant.

Dans la même ligne de pensée, Montesquieu (1689-1755), dans « l’esprit des lois », dénonce la monarchie absolue et développe sa réflexion sur la répartition des fonctions de l'État entre ses différentes composantes (séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire), appelée postérieurement « principe de séparation des pouvoirs », aujourd'hui encore considéré comme un élément essentiel de la démocratie20 .

Soulignons que cette conception était radicale en ce qu'elle contestait la structure en trois États de la monarchie française: le clergé, l'aristocratie et le peuple (le tiers état), représentés au sein des États généraux, effaçant ainsi le dernier vestige du féodalisme.

7- L’universalité humaine

 La révolution des Lumières, c’est l’affirmation de la commune condition humaine.

 « Comme la vérité, la raison, la justice, les droits de l’homme, l’intérêt de la propriété, de la liberté, de la santé sont les mêmes partout » souligne Condorcet.

 « Quand il est question de raisonner sur la nature humaine, le vrai philosophe n’est ni Indien, ni Tartare, ni de Genève, ni de Paris, mais il est homme », constate Rousseau.

 « Je suis nécessairement homme et je ne suis Français que par hasard » insiste Montesquieu.

 Les Lumières transcendent toutes les frontières parce que la reconnaissance de la dignité qui est en chacun de nous, l’affirmation du droit de chacun à choisir sa voie abolit les frontières.  Pour Montesquieu, Rousseau et Voltaire, les êtres humains ne se définissent pas par une appartenance à une communauté nationale, mais par leur appartenance à une nature humaine commune à tous les hommes. Les Lumières refusent de morceler le genre humain en groupes ethniques, historiques et culturels antagonistes.

A cet égard, si  Montesquieu voit dans le libre commerce le moyen pour les peuples de communiquer ; sans assigner pour autant au commerce la recherche de l’unité, mais tout au contraire le respect des diversités, Diderot, d’Holbach et Voltaire seront des critiques féroces de l’esclavage et du colonialisme.
2.1-Révolution politique : la révolution française

Le contexte historique:

La philosophie des Lumières se répand progressivement en France. Pour ce mouvement intellectuel la raison est une source d’émancipation individuelle et collective, le peuple demeure le seul souverain véritable, et tous les hommes possèdent des droits naturels inaliénables. Or, Louis XIV meurt en 1715, après un règne qui a vu l’apogée du pouvoir royal et le retour à un ordre moral.

La Régence qui s’ouvre, innove quant à la gestion politique et financière du pays. Mais la France est secouée par les guerres et les famines, malgré une période de trêve inaugurée par le règne de Louis XV de 1723 à 1774 : guerre de Succession d’Autriche, rivalité coloniale avec l’Angleterre, guerre de Sept Ans qui oppose la France à l’Angleterre et à la Prusse. Louis XVI tente de réorganiser les finances du royaume en s’appuyant sur Turgot et Necker. Mais les difficultés s’accentuent : mauvaises récoltes et banqueroute de l’Etat conduisent à la crise de 1789 et à la convocation des États généraux.

Une série d’événements :

La Révolution française est la période de l'histoire de France comprise entre l'ouverture des États généraux21, le 5 mai 1789, et le coup d'État du 18 brumaire22 de Napoléon Bonaparte, le 9 novembre 1799.

Les États généraux s’ouvrent le 5 mai à Versailles, où le Roi réside avec sa cour. 1 200 députés, venus de tout le royaume, sont présents. Les députés du Tiers Etat sont les plus nombreux. Dans la France inégalitaire, les députés veulent savoir comment les votes vont être comptés : par « ordre » (un vote par ordre) ou par « tête » (un vote par député). Louis XVI décide du vote par ordre ; les députés du Tiers Etat protestent et se constituent le 17 juin en « Assemblée nationale ». Des curés membres du bas clergé et des nobles les rejoignent. Louis XVI fait face à la première Assemblée nationale de l’histoire de France.

La révolution bourgeoise française se présente alors comme un véritable affrontement politique entre les représentants d’anciens Régime c’est-à-dire des anciennes forces sociales et économiques (aristocratie foncière/féodale, clergé, monarchie), et les classes qui émergent avec le nouveau mode de production de la socialité (bourgeoisie, petite bourgeoisie, classes ouvrière) particulièrement la bourgeoisie23 qui revendique, face à l'aristocratie féodale, un pouvoir social et politique correspondant à son pouvoir économique.

Il s'agit d'un moment crucial de l'histoire de France, puisqu'elle marque la fin de l'Ancien Régime, et le remplacement de la monarchie absolue française par une monarchie constitutionnelle, puis par la Première République (Le 21 septembre 1793 la proclamation la première République). La Révolution a bouleversé complètement la société, elle a mis fin à la royauté puisque le pouvoir n’est plus héréditaire (Louis XVI est guillotiné le 21 janvier 1793 à Paris, sa femme Marie-Antoinette, sera jugée plus tard et condamnée à mort et guillotinée le 16 octobre 1793), à la société d'ordres et aux privilèges. Elle a légué à la France la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, qui proclame l'égalité des citoyens devant la loi, les libertés fondamentales et la souveraineté de la Nation, apte à se gouverner au travers de représentants élus.

Grosso modo, une France nouvelle apparait et de nombreux acquis ont été obtenus.
1   2   3   4   5   6   7   8

similaire:

I-qu’est ce que la sociologie ? iconSociologie politique Séance 1 Introduction à la sociologie politique
Les hommes politiques, les militants, les journalistes, sont soumis à une éthique de la responsabilité

I-qu’est ce que la sociologie ? icon«Sociologie et sciences sociales.» Un document produit en version...
«Sociologie et sciences sociales» — De la méthode dans les sciences, Paris: Félix Alcan, 1909, pp. 259-285

I-qu’est ce que la sociologie ? iconCours de Sociologie des organisations
«actionnable» et que les acteurs de l’organisation puissent se l’approprier. C’est dans la résolution de ce problème que se trouve...

I-qu’est ce que la sociologie ? iconSociologie Les concepts clés

I-qu’est ce que la sociologie ? iconActualité de la sociologie politique wébérienne

I-qu’est ce que la sociologie ? iconSociologie des publics Semestre 5 Chapitre 1 : le public et les mass-médias

I-qu’est ce que la sociologie ? iconBibliographie 19 sitographie 19 introduction joffre Dumazedier est...
«l’entrainement mental», ainsi que celle découlant de sa théorie de l’Autoformation. Ces trois principaux sujets d’étude caractérisent...

I-qu’est ce que la sociologie ? iconLes précurseurs de la sociologie politique contemporaine et les grandes...

I-qu’est ce que la sociologie ? iconLittérature russe
«sans borne et sans limite qui sont la destinée des masses» et la conviction que cet état des choses ne peut durer, lui dictent des...

I-qu’est ce que la sociologie ? icon“It’s all about love !” Fuel #10/ ml # 3733 Translated by Lilac Newheart...
L’amour est très basique, IL est fondamental, IL est la force-même de Ma nature IL est Mon Esprit par essence. Par conséquent, l’amour...








Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
p.21-bal.com