Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h








télécharger 0.52 Mb.
titreDrouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h
page1/18
date de publication18.05.2017
taille0.52 Mb.
typeDocumentos
p.21-bal.com > documents > Documentos
  1   2   3   4   5   6   7   8   9   ...   18
LAFON CASTANDET

DROUOT RICHELIEU - VENDREDI 25 FEVRIER – SALLE 2 à 14h

MANNETTES DE LIVRES DU XVIIIEME SIECLE
BOURGOGNE ET HISTOIRE NATURELLE. FONDS BELIME
UN MANUSCRIT INEDIT SUR LES SINGES
ARCHITECTURE. FONDS ABEL MAZOYER (1848-1910)
BIBLIOTHÈQUE D’UN ECCLÉSIASTIQUE DU SUD DE LA FRANCE. ARCHITECTURE, VOYAGE, RELIGION ET REGIONALISME
CRIMES ET CHÂTIMENTS. BIBLIOTHÈQUE CRIMINELLE DE MONSIEUR B.

Experts :
Madame Véronique Delvaux,

Expert près la Cour d’appel de Paris

Assesseur de la commission de conciliation et d’expertises douanières

Tél. : 06 08 65 89 53 – veronique.delvaux@wanadoo.fr

Monsieur Jacques Benelli,

Expert près la Cour d’appel de Paris

244, rue Saint-Jacques – 75005 Paris

Tél. : 01 46 33 73 51 – jbenelli@noos.fr

Expositions publiques : jeudi 24 février de 11h à 18h et le vendredi 25 février de 11h à 12h

MANUSCRITS ET DOCUMENTS
FONDS BELIME ET À DIVERS


1. [BOURGOGNE. TONNERRE]. Ensemble de 12 documents, dont acquisitions, partages et échanges de terres, datant de 1570 à 1597, concernant des terres sises à Tonnerre, en Bourgogne, et à Langres, en Champagne, documents sur parchemin.
La majorité des documents concerne des terres relevant de Tonnerre (Yonne), d'autres concernent des terres à proximité telles Molosmes La Fosse ou encore le Grand Virey. On relève également un document concernant Langres (Haute-Marne). Sur les lieux concernés, voir le Dictionnaire topographique du département de l'Yonne (Paris, 1862), respectivement pp. 129, 84 et 144. Notons que Georges-Louis Leclerc de Buffon (1707-1788), célèbre naturaliste, puis ses descendants, étaient vicomtes de Tonnerre. Ceci explique la présence de ces documents parmi le fonds Belime qui contenait de nombreuses pièces relatives à la famille Leclerc de Buffon.
Estimation : 800 / 1000 €

2. [BOURGOGNE. FAMILLE DE BRETAGNE]. Ensemble de documents concernant la famille de Bretagne, datant de 1561 à 1859, sur parchemin et papier, chartes, correspondance, testaments, quelques pièces imprimées, quelques expéditions sur papier timbré.
Belle archive familiale, s'échelonnant sur quatre siècles. La famille de Bretagne [ou Bretaigne] est une famille importante de Bourgogne, qui donna de nombreux parlementaires [voir Dictionnaire des familles françaises..., vol. VII, Paris, 1908, pp. 31-33]. Notons que Philippe Lazare de Bretagne avait épousé Alexandrine Victoire de Coeurderoy en 1804, d'où l'association des deux familles dans cet ensemble. Un inventaire de ces papiers, daté de 1948, recense notamment les trois tableaux généalogiques détaillés ci-dessous.
Le plus ancien document est daté du 23 septembre 1561, copie collationnée du certificat de service donné à Jean de Bretagne par François de Mandelot gouverneur pour le roi dans le Lyonnais, Forez et Beaujolais. On y trouve de nombreux documents intéressant la Bourgogne, dont un titre daté 1627 qui établit Nicolas de Bretaigne comme écuyer de Louis XIII et le nomme religieux de l'Abbaye royale de Moustiers-Saint-Jean (Abbaye Saint-Jean-de-Réome, consacrée en 1177, dept. de la Cote-d'Or), signé « Louis »; ou encore une lettre du roi pour la convocation des États de Bourgogne datée du 30 mars 1671, donnée à Saint-Germain-en-Laye, signée « Louis » et contresignée Phelypeaux.
Pour le XVIIIème siècle, on a par exemple un « Extrait des registres du comité des surveillances révolutionnaires de la section nord de la commune de Semur [...] Charles Philibert de Bretagne...détenu à Dijon depuis le 2 avril 1793...caractère orgueilleux et dur, grand partisan de la tiranie et du tiran, l'un des plus grand enemis de la liberté et de la révolution [...] En 1792, il dit publiquement, oui je suis un aristocrate, je m'en fais gloire et je me f... des patriotes... ».
JOINT: Trois tableaux généalogiques, rehaussés de couleurs :

  1. Généalogie de Nicolas et François escuyers père et fils, sur parchemin, sans date [XVIIème s.].

  2. Tableau généalogique de la famille de Jacques de Bretagne escuier, seigneur de Senevois depuis ses trisaieuls paternels et maternels, sur papier [XVIIème s.].

  3. Tableau généalogique de Me. Charles Philibert de Bretaigne, écuyer, sur papier, sceaux de cire rouge [XVIIIème s. avec rajouts au XIXème s.].


Estimation : 1500 / 2000 €

3. [BOURGOGNE. VITTEAUX]. [GELQUIN, Laurent-François].


  1. Le gouvernement militaire de la Bourgogne au XVIIIème siècle


- Fort ensemble de documents concernant les convois militaires, le logement des soldats en Bourgogne et le stationnement des troupes à Vitteaux sous le règne de Louis XV. L.A.S. de Monsieur Amelot de Chaillou, intendant de Bourgogne aux échevins de Vitteaux. Copie de la lettre écrite par le duc de Choiseul à Monsieur de Villeneuve, intendant de Bourgogne, le 27 mars 1763. Copies d’ordonnances royales concernant les recrues, le stationnement des soldats, cavaliers et dragons. Les régiments cités sont ceux d’Orléans, Béarn, Chartres, Dauphin, Bourgogne, Royal Pologne, Auxonne artillerie.

B. Un dijonnais à Paris sous la Restauration. Correspondance de Laurent-François Gelquin
- Lettres de Laurent-François Gelquin, frère de Claudine Adèle Gelquin, épouse de François Belime, notaire à Vitteaux. Ensemble de 8 cahiers contenant les copies de lettres datées du 24 octobre 1818 au 8 septembre 1820, cahiers brochés couverts d'une fine écriture à l'encre brune.
On y apprend que le jeune dijonnais Laurent-François Gelquin intègre une étude de notaires en 1818. Il parfait ses notions de calligraphie et de copiste auprès de maîtres d'écriture à Paris, et se soucie de devenir membre honoraire de la basoche (guilde d’étudiants en droit remontant au XIVème siècle). Il s'occupe des formalités à la suite du décès (suicide) de son oncle Noël Belime en 1819 et passim. Nous avons là en huit cahiers soigneusement copiés la description circonstanciée de l'installation à Paris d'un jeune dijonnais, ses premiers moments loin de sa famille demeurée en Bourgogne, le tout décrit avec un réalisme parfois poignant. Sa sœur Claudine Adèle (avec laquelle il échange une importante correspondance) qui épouse François Belime et s'installe à Vitteaux, était l'arrière-grand-mère d'Abel Mazoyer (1848-1910), inspecteur général des Ponts-et-Chaussées, auteur du Pont-Canal de Briare.
Estimation : 600 / 800 €

4. [MANUSCRIT]. [GEOFFROY SAINT-HILAIRE, Étienne (1772 - 1844)]. [Projet de dissertation sur les singes], [Paris (?), après 1818, sans doute vers 1825-1830], en français, manuscrit sur papier [apparemment sans filigrane], un cahier de 24 pages, fine écriture cursive à l'encre brune, avec corrections d'une autre main, de plus gros calibre à l'encre plus foncée, couverture d'attente de papier, avec titre à l'encre brune: « Singes. 1er cah[ier] ». Dimensions: 308 x 200 mm [suivi de] Mise au propre du manuscrit décrit ci-dessus augmenté de la continuation, sans doute le texte du «2e cahier », pour l'heure non retrouvé, cahier de 32 + [8] pp., même fine écriture à l'encre brune que la première version annotée et corrigée, couverture d'attente avec inscrit à l'encre: « Cahiers à copier pour Abel ». Dimensions: 342 x 220 mm.

Ce premier cahier (de deux) et sa mise au propre (contenant la continuation) contient une dissertation sur les singes par Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, à replacer dans le contexte des mémoires sur les primates ou « quadrumanes » composés par le naturaliste, seul ou en commun avec Georges Cuvier, d'abord dans les années 1795-1798, puis jusque dans les années 1830.
Nous n'avons pas trouvé trace de ce projet de dissertation parmi les papiers de Geoffroy Saint-Hilaire, ni dans les bibliographies spécialisées recensant ses travaux. Notons que nous nous situons une trentaine d’années avant la parution de l’Origine des espèces de Charles Darwin en 1859.
Grâce à un faisceau d'allusions présent dans le texte, ce mémoire peut être daté approximativement. Premièrement, à la fin du cahier 1 (p. 24), répété dans la mise au propre (p. 22), l'auteur renvoie à une dissertation publiée par lui-même et Cuvier en 1795. Il s'agit de l'article paru sous le titre “Histoire naturelle des orangs-outangs. Des caractères qui peuvent servir à diviser les singes”, in Magasin Encyclopédique ou Journal des sciences et des arts, I (n. 3), 1795, pp. 451-463, effectivement publié par Georges Cuvier et Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, reparu avec peu de modifications en 1798 (voir bibliographie ci-dessous). Les auteurs explorent les caractères choisis pour la détermination des singes et leur classification. La classification des singes, adoptée par Cuvier et Geoffroy Saint-Hilaire, était principalement fondée sur la considération de l'angle facial.
Un second indice de datation est fourni par l'auteur du texte : « Le voyage de M[essieurs] Diard et Duvaucel est venu procurer d'autres especes... » (cahier 1, p. 10; mise au propre, p. 10). Nous connaissons bien les circonstances et les dates de ce voyage, décrit entre autres dans la Revue des deux mondes (1833, tome II, pp. 601-604). Ainsi le présent manuscrit fut-il copié bien après les premières dissertations de 1795-1798, mais aussi après les voyages de Diard et Duvaucel dans les années 1818-1824. Nous pensons qu'il fut composé peut-être à la fin des années 1820, en tout cas après 1823 où le jeune Abel Adam, dont il sera question ci-après, suit encore les cours à l'Athénée royal de Paris.
Grand naturaliste français, Étienne Geoffroy Saint-Hilaire est né à Étampes en 1772. Destiné plutôt à une carrière d'ecclésiastique, le jeune Étienne devint un des auditeurs les plus assidus de Fourcroy au Jardin des Plantes et suit les cours de minéralogie de Daubenton au Collège de France, dont il devient rapidement le protégé. Il est nommé sous-garde et sous-démonstrateur du Cabinet d'histoire naturelle en 1793, adjoint de Daubenton. Professeur de zoologie des mammifères et des oiseaux au jeune âge de 21 ans, dès la création du Muséum d’histoire naturelle, Étienne Geoffroy Saint-Hilaire conservera sa chaire jusqu'en 1841, alors atteint de cécité. Il meurt en 1844, et sera enterré au Père Lachaise. Si Étienne Geoffroy Saint-Hilaire a effectivement beaucoup publié, on conserve à la Bibliothèque du Muséum un fonds important de manuscrits et papiers – souvent inédits – de l'érudit naturaliste, longtemps propriété de son fils Isidore (voir Y. Laissus, 1972, pp. 365-366). Le présent projet de dissertation sur les singes vient se rajouter à ces sources inédites encore inexploitées.
Le copiste de ce manuscrit et sa mise au propre (qui contient un texte plus complet) est certainement Pierre Adam, notaire de Montbard et de Semur-en-Auxois, et notaire, entre autres, des familles Leclerc de Buffon et Daubenton (voir les lettres autographes de Pierre Adam dans le dossier joint). L'auteur des corrections nous semble être Abel Adam, fils de Pierre Adam, étudiant montbardois qui abandonna ses études de droit pour se consacrer à des études d'histoire naturelle fréquentant d'abord l'Athénée Royal de Paris, puis le Jardin du roi après 1823.
Il s'agirait donc d'un projet de copie qui associa le père (notaire) et le fils (jeune étudiant en histoire naturelle). Il est assez probable qu'Abel Adam suivit les cours de Geoffroy Saint-Hilaire ou du moins fut bien introduit au Jardin du roi vu les relations privilégiées qu'entretenait son père notaire avec le milieu naturaliste parisien. Signalons que les Adam étaient par ailleurs descendants directs ou par alliance des naturalistes Buffon et Daubenton.

Il était donc tout naturel que le jeune Abel Adam ait préféré poursuivre des études en histoire naturelle, étant issu de ce milieu montbardois et bourguignon qui associa avec bonheur sciences juridiques et sciences naturelles, produisant certains des plus illustres naturalistes de la fin du XVIIIème siècle. Fut-il proche de Geoffroy Saint-Hilaire pour se voir confier un projet inédit sur les singes clairement rédigé par le célèbre naturaliste ? S'agit-il d'un cours noté au Jardin du roi, puis retranscrit à Montbard dans le milieu familial ? De plus amples recherches permettront peut-être de le déterminer.
TEXTE

Incipit, « Les singes sont remarquables par une analogie extraordinaire de leur forme Ils sont formés sur un modèle particulier quant à la manière dont les membres sont terminés, l'existence de mains devant et derrière... »; Explicit [Brouillon, cahier 1], « [...] Nous publiâmes en 1795, M. Cuvier et moi, une dissertation pour améliorer cet état des choses, voyant qu'on les rassemblait par une communauté de rapports: la tête est formée des mêmes parties [changement de main, style plus télégraphique], les dens sont en même ordre, en même nombre, de la même sorte; il y a une communauté de formes dans la disposition du tronc...nous imaginâmes d'appliquer la méthode dont s'était servi Camper [Petrus Camper, médecin naturaliste hollandais (1722-1789)] pour déterminer les races humaines. Camper cet [...], cet observateur profond, cherche un [...] [texte interrompu suivi de la mention (voyez 2e cah[ier] à la fin)]»; Explicit [Mise au propre], « Une autre famille, les autopitheques, singes à pieds d'ourse, le caractere des singes est legerement effacé pouce opposable [...] ».
PROVENANCE: 1. Cahiers copiés par Pierre Adam (1756-1834), notaire à Montbard et Semur-en-Auxois, notaire des familles Leclerc de Buffon et Daubenton. Pierre Adam était le neveu du grand naturaliste Louis Jean-Marie Daubenton (1716-1800) (sa sœur Anne Daubenton était la mère de Pierre Adam, et avait épousé un chirurgien de Montbard, Claude Adam). - 2. Cahiers corrigés par Abel Adam, étudiant en histoire naturelle, botanique et zoologie, ayant fréquenté l'Athénée royal et le Jardin du roi, élève entre autres de Blainville, Desfontaines et sans doute de Geoffroy Saint-Hilaire. Abel Adam est le fils de Pierre Adam, petit-fils de Claude Adam et Anne Daubenton, sœur du grand naturaliste Louis Jean-Marie Daubenton. - 3. Fonds Belime, notaires à Vitteaux. 4. Fonds Léonce-Abel Mazoyer (1848-1910), Inspecteur général des Ponts-et-Chaussées, auteur du Pont-Canal de Briare.
BIBLIOGRAPHIE:
- Cuvier, G. et E. Geoffroy Saint-Hilaire, “Histoire naturelle des orangs-outangs”, in Magasin Encyclopédique ou Journal des sciences et des arts, I (n. 3), 1795, pp. 451-463; “Mémoires sur les orangs-outangs”, in Journal de physique, de chimie, et d'histoire naturelle et des arts, III (n. 46), 1798, pp. 185-191.
- E. Geoffroy Saint-Hilaire, “Considérations sur les singes les plus voisins de l'homme”, in Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des Sciences, II (no. 2), 1836, pp. 92-95.
- E. Geoffroy Saint-Hilaire, Leçons sur l'histoire naturelle des mammifères, Paris, 1828, en part. les leçons 5-11, 21 mai 1828-6 juin 1828.
- Barsanti, G., “L'Orang-outan déclassé (Pongo wurmbii Tied.). Histoire du premier singe à hauteur d'homme (1780-1801) et Ébauche d'une théorie de la circularité des sources”, in Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris, 1989 (t. 1, no. 3-4), pp. 67-104.

-Y. Laissus, “Catalogue des manuscrits d'Étienne Geoffroy Saint-Hilaire conservés au Muséum”, in Revue d'histoire des sciences, 25 (no.4), 1972, pp. 365-390.

JOINT

On joint un important dossier de pièces concernant plusieurs familles notables de Bourgogne, dont celle des Leclerc de Buffon et celle de Daubenton, dont le notaire était Pierre Adam. On y trouve une lettre de la main de Pierre Adam concernant les études d'histoire naturelle entreprises par son fils Abel. Cette lettre de Pierre Adam adressée en 1823 à M. Thouin (également montbardois) du Jardin du roi, nous semble de la même main que celle qui copie le brouillon puis la mise au propre du « Projet sur les singes.. ». On trouve de nombreux documents écrits par Pierre Adam, en particulier dans la chemise « Monsieur et Madame Adam ». On joint aussi un ensemble de cahiers et de cours copiés par la main très distincte d'Abel Adam, celle qui corrige le premier cahier mais aussi la mise au propre du « Projet sur les singes... » décrit ci-dessus.
  1   2   3   4   5   6   7   8   9   ...   18

similaire:

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h icon1s physique Salle 3 Maths Salle 3 1ES

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h iconLa Bibliothèque électronique du Québec
«Prascovie Fedorovna Golovine a la douleur d’annoncer à ses parents et amis la mort de son époux bien-aimé Ivan Ilitch Golovine,...

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h iconLe règlement de l’abandon du vendredi
...

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h iconSynthèse de l’Ummocat de Darnaude
«Diez Minutos» du 13 février 1954 consacre 2 pages à l’affaire de la main coupée. Les n° 129 et 130 (20 février) de la même revue...

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h iconMusique devient ouverte : mais notion essentielle qui reste le temps,...

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h iconAssemblée générale statutaire du 19 Février 2013
«Société Royale des Officiers Retraités – Namur asbl», en abrégé «sror – Namur asbl», a eu lieu le 19 février 2013 au Département...

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h icon14h : bd, Peinture, Sculpture, Céramique 18h20 : "Des anciens royaume...

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h iconFormation de Serveuse / commis de salle

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h iconCalendrier vendredi 1

Drouot richelieu vendredi 25 fevrier – salle 2 à 14h iconExpositions Vendredi 11 de 16 h à 19 h – Samedi 12 de 9 h à 12 h








Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
p.21-bal.com