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Voici la méthodologie établie par Sylvie Prüfer, professeur d’anglais du lycée Stanislas-Cannes : A. Une synthèse : qu’est ce que c’est ? Il s’agit de rendre compte de façon objective et ordonnée de plusieurs documents d’actualité reliés par une thématique commune. B. Une méthode simple en 5 étapes Prendre connaissance des documents Dégager la problématique (2 étapes= « 1H », Inspecteur d’allemand, au sujet de Centrale) Préparer le plan Rédiger Relire 1. Prenez connaissance des documents Un examen attentif des différents documents qui composent le dossier constitue le préalable indispensable. Il convient en premier lieu de lire les consignes, puis de prendre connaissance des documents de nature diverse (articles de presse, graphiques, documents iconographiques) sans négliger les indications précieuses fournies par le paratexte (source, date et auteur). Certains documents peuvent avoir été rédigés par des personnalités dont lesprises de position sont connues de tous. La date peut également être révélatrice d’un contexte socio‐économique précis. Les sources sont aussi importantes (espagnol : article de El Mundo, ABC –derechas- ≠ El País –izquierdas- ≠ El Público –tendencia republicana-/ América Latina: Ecuador, por ejemplo: el Telégrafo=pro-gobierno ≠ el Comercio, el Universo: grupos que pertenecen a fondos privados, anti-gobierno) Enfin, et surtout, cette première lecture doit vous permettre principalement de repérer les éléments essentiels de chaque document, et de dégager le thème commun aux différents documents (de quoi parle‐ t‐on ?). 2. Dégagez la problématique Un deuxième examen des documents, plus précis celui là, s’impose. Repérez la structure des documents, le propos (ce qu’on dit du thème abordé), le ton, le ou les points de vue exprimés. Il peut être utile, au moins au début de votre formation, de prévoir un petit tableau de confrontation sur le modèle suivant, qui vous permettra d’avoir sous les yeux l’essentiel de chaque document. Pensez à travailler en espagnol !
Servez vous de ce tableau pour réaliser une étude comparative des documents. Hiérarchisez les idées essentielles et secondaires. Effectuez des regroupements (mêmes idées, mêmes thèses) et des oppositions. Utilisez des couleurs différentes ou votre propre système de prise de notes. Explorez les pistes suivantes : avantages et inconvénients, arguments et contre arguments, positif et négatif, problème et solutions, causes et conséquences, perspectives et limites etc. Votre analyse doit déboucher sur une problématique (souvent exprimée par une question). Votre première lecture vous avait révélé le thème des documents, votre analyse doit vous révéler la problématique soulevée. Par exemple, si les documents abordent le thème de l’élargissement de l’Union Européenne, une problématique possible serait: L’élargissement de l’Union Européenne constitue t il un pas en avant pour les pays fondateurs? Cette question peut donner lieu à des réponses différentes et/ou nuancées selon que l’on se place d’un point de vue social, économique, politique, diplomatique etc. Si vous êtes perdu, demandez‐vous pourquoi tel document vous a été proposé en relation avec le thème abordé par l’ensemble du dossier. 3. Préparez votre plan En prenant appui sur votre analyse des documents, rédigez votre plan détaillé. Vous n’aurez pas le temps de rédiger l’intégralité de votre synthèse au brouillon. Aussi, il est important de rédiger au brouillon (numérotez les pages !) uniquement un plan détaillé que vous n’aurez plus qu’à suivre ensuite. Ne négligez pas cette étape, elle est cruciale. Assurez‐vous que votre plan soit solide avant de vous lancer au propre. Combien de parties faut‐il prévoir ? Il n’y a pas de règle, mais il est fréquent de prévoir une introduction (qui introduit le thème et la problématique si possible à l’aide d’une première phrase d’accroche qui éveille l’intérêt du lecteur), un développement en deux à quatre parties et éventuellement une conclusion sous forme de bilan (attention, pas de commentaire personnel !). Evitez les plans chronologiques et trouvez votre propre plan en fonction des documents (le classique ‘thèse, antithèse synthèse’, le plan explicatif du type ‘causes, conséquences et remèdes, le plan par fonction, acteur......). Idéalement, au début de chaque paragraphe, une nouvelle idée est présentée, suivie de références aux documents qui doivent développer l’idée annoncée dans la première phrase. Le paragraphe se termine par une courte phrase de bilan. En lisant uniquement la première et la dernière phrase des paragraphes, le lecteur devrait pouvoir suivre la progression de la pensée. Veiller à respecter le nombre de mots demandés implique de prévoir approximativement le nombre de mots consacré à chaque partie et de s’y tenir. Une fois le plan détaillé mis au point, il est temps de trouver un titre évocateur à votre synthèse. Si vous n’avez pas d’idée, laissez un blanc et revenez y une fois le devoir rédigé. 4. Rédigez Il suffit de suivre votre plan en ayant soin de prendre le temps de mobiliser le vocabulaire adéquat ainsi que les structures qui permettront de valoriser votre propos. Vous pouvez éventuellement rédiger uniquement votre introduction et votre conclusion au brouillon avant de les recopier. Soignez également les transitions. Normalement vous ne serez pas amené à citer les documents. Si vous souhaitez faire référence à l’un des documents du dossier, n’oubliez pas de suivre les règles de citation : utilisez des guillemets et introduisez la citation. 5. Relisez et corrigez les erreurs Une relecture attentive vous permettra d’éviter les erreurs de base qui risqueraient de vous pénaliser lourdement (les adjectifs sont invariables en anglais, veillez à accorder sujet et verbe et enfin soignez la ponctuation). Vérifiez également que vous n’avez pas oublié de donner un titre à votre synthèse. Lorsque vous êtes prêts, pensez à inscrire le nombre de mots utilisés à la fin de votre synthèse. Enfin, gérez votre temps et consultez régulièrement votre montre (oui, votre montre car les téléphones portables sont interdits le jour j !). Une synthèse incomplète produirait un effet désastreux. Question d’expression personnelle ECS/ Iena LV2/ 2011 Lisez, lisez, lisez (la presse) ! Apprenez à analyser des informations, il faut vous cultiver ! Préparez-vous à cette question par un enrichissement personnel quotidien, en ouvrant les yeux et les oreilles. Travaillez votre expression personnelle en parlant en classe assez longtemps pour apprendre à avancer une thèse et être capable de la soutenir. Essayez de montrer l’étendue de vos capacités lexicales et grammaticales, en élevant votre niveau de langue et en soignant les articulations, oppositions, enchaînements. Lisez la question attentivement pour en comprendre tous les aspects. Faites un plan précis, avec des parties équilibrées, dégagez l’essentiel, donnez la priorité aux faits plutôt qu’aux exemples. Cette question est en général composée de sous-questions complémentaires. Il fait savoir y répondre successivement. Dans la rédaction, prenez des risques, pensez à quels exemples utiliser pour illustrer concrètement ce que vous voulez dire, sortez des sentiers battus, osez exprimer des points de vue plus personnels. Vous ne serez pas évalués en fonction de vos opinions, mais en fonction de votre capacité à être clair et cohérent. Faites l’économie d’introductions banales qui souvent recopient l’intitulé de la question pour glaner des mots et n’ont d’autre objet que le remplissage, et attaquez-vous franchement au problème posé. Réfléchissez et soyez logiques. Ne vous contentez pas de banalités et de généralités. Elaborez une problématique et osez prendre position, argumentez. Faites un essai personnalisé. Exprimez-vous avec bon sens, simplement, rédigez une réponse argumentative et non simplement descriptive, en donnant des arguments contradictoires, des exemples concrets. Il ne fait pas se cantonner exclusivement au texte de départ. La solution à la question d’expression personnelle prend appui sur le texte, car celui-ci donne des amorces de solutions et stimule le jugement, mais il faut y ajouter un apport personnel. Il s’agit d’une épreuve de langue : rédigez pour remplir du papier ne sert à rien si vous ignorez tout des exigences de la langue. Donc efforcez-vous de rédiger correctement. N’oubliez pas le rôle primordial des connecteurs, mots de liaison, conjonctions de subordination, modalisateurs, de ces articulations qui relient vos différents arguments entre eux. Trop de devoirs ne sont qu’une juxtaposition d’arguments sans ces éléments qui doivent en faire ressortir la logique interne et structurer le discours. Faites le tri dans les belles formules idiomatiques, faites simple et correct, adoptez un langage authentique et moderne, personnel. Les correcteurs préfèrent prendre certaines copies au style plus plat, mais que sous-tend au moins une véritable réflexion. Ecricome LV2/ 2011 Le fond est noté sur 8, la forme sur 12. La norme est de 250 mots avec une marge de ± 10 % ; en cas de non- respect de cette norme, une pénalité d’un point par tranche de dix mots est appliquée. Exemple : 195 mots = 3 points de pénalité. Sont valorisées les rédactions dans lesquelles les arguments sont présentés avec cohérence et illustrés d’exemples probants (trop d’exemples sans construction de réflexion donne un effet catalogue). Nous rappelons aux candidats qu’ils doivent soigner leurs copies : une écriture lisible est indispensable et rédiger au brouillon afin d’éviter les ratures notamment. Comme souvent, les correcteurs ont eu parfois le désagréable sentiment que le candidat avait appris par cœur un exposé préparé et qu’il n’a pas pris soin d’analyser le sujet proposé. En guise de première étape de l’essai, l’analyse du sujet et de ses enjeux est indispensable. De ce point de vue, un nombre important de candidats ont pris soin d’introduire le sujet, de l’analyser, de poser une problématique. Une fois le sujet analysé le candidat doit penser à analyser tout au long de son essai les faits qu’il avance. En effet, il est regrettable de constater que des candidats qui possèdent des connaissances précises sur les faits n’aient pas su les exploiter et en montrer l’intérêt par rapport au sujet posé. Leurs essais ont souvent alors sombré dans un catalogue descriptif fastidieux, à une sorte d’énumération d’arguments mineurs en comparaison avec d’autres aspects de la réflexion. Dans l’ensemble les travaux des candidats ont montré un niveau de langue solide. Cette constatation semble a priori contradictoire avec les résultats insuffisants obtenus en version et en thème. En fait, l’expression écrite « libre » met en valeur une compétence différente en termes de communication que celle de la compréhension dévolue à la version. Néanmoins, nous avons constaté un manque de rigueur au niveau de la ponctuation et des accents. Le candidat ne doit pas oublier que ces éléments sont fondamentaux pour suivre le cheminement de l’essai. Rappelons aux candidats la nécessité de ne pas oublier d’indiquer le nombre de mots à la fin de leurs travaux. L’essai n°2, plus général, sociétal, semble être la cible des candidats peu désireux de prendre des risques, ou n’ayant pas travaillé leur cours de civilisation. L’écueil principal a été pour ceux qui ont choisi ce sujet le manque d’originalité, souvent même de pertinence. L’introduction a souvent été un plagiat maladroit de l’énoncé et la conclusion souvent inexistante. Combien de candidats introduisent chaque partie par un redondant « las causas de la obesidad son numerosas », puis par « segundo, hay que ver las soluciones para invertir la tendencia ». Les idées qui illustrent chaque argument sont parfois schématiques: « incitar a la gente a ir a trabajar andando »,… au lieu de réfléchir à l’efficacité de solutions existantes (campagnes de sensibilisation , rôle de la législation –interdire des aliments dans les cours de récréation certes mais l’interdiction est-elle garante de non consommation ?-, contradictions de nos sociétés avec le poids des multinationales agroalimentaires qui, alors que le bien-être n’a jamais été aussi grand, proposent des produits de plus en plus industrialisés qui détruisent notre santé,…) Nombreux sont ceux qui tombent dans le travers de l’énumération : par exemple, les causes sont citées les unes à la suite des autres : pas d’argent, pas de sport, trop de Mac Do,… … Mais peu mettent en regard tous ces éléments pour proposer une analyse, une réflexion. Dans cet essai, compte tenu des champs sémantiques requis, on a observé des lacunes lexicales considérables : méconnaissance de « engordar, grasa, obeso, comida basura, adelgazar… » et la confusion « deporte » et « deportista ». Retenons comme un correcteur le remarque que certains ont orienté leur réflexion vers des pistes plus hispaniques comme la comparaison « chiringuitos » / « restauración rápida »/ « tapas », « la dieta mediterránea española », « la longevidad española », « lo de las chucherías » ou «la vuelta a una ganadería saludable y sostenible». Toutefois, la portée généraliste du thème du sujet dont le plan était annoncé dans l’intitulé a permis a bon nombre de candidats manipulant une langue relativement correcte d’obtenir des notes acceptables. Ecricome LV2/ 2010 Des exemples sont bienvenus sans toutefois que la copie devienne catalogue. Si dans l’ensemble la méthode de l’essai est acquise, quelques copies s’affranchissent hélas encore de la nécessité de rédiger un essai construit, et ne prennent même pas la peine de faire une introduction et une conclusion. Attention à bien respecter le nombre de mots dans les essais. Il est dommage de perdre des points par négligence...Rien ne sert non plus de ne pas indiquer le bon nombre de mots... Nous avons constaté un manque de rigueur au niveau de la ponctuation. Le candidat ne doit pas oublier que ces éléments sont fondamentaux pour suivre le cheminement de la pensée. En outre, faut-il encore rappeler qu’avant toute chose, il faut poser une problématique, ou, tout au moins, un «fil conducteur». CCIP (HEC, EM Lyon, ECSP Europe,…) LV2/ 2011 À la suite d’une réunion d’harmonisation à laquelle participaient tous les correcteurs, il a été décidé de mettre l’accent, d’abord, sur la qualité linguistique (60% de la note), le contenu comptant pour 40%.Pour la langue, il s’agit de mesurer la capacité des candidats à s’exprimer correctement et clairement ; ont été valorisées les prises de risque ; les fautes grammaticales et lexicales ne faisaient pas l’objet d’un barème précis mais devaient être évaluées à l’aune de la qualité globale, bonne ou mauvaise, du texte. D’autre part, les candidats devaient être capables de répondre de façon cohérente aux questions posées et d’exprimer leurs idées avec clarté et précision. Pour ce qui est des réponses à la seconde question, les correcteurs ont été plutôt étonnés par la fréquente pauvreté de leur contenu: la deuxième question, très large, laissait la porte ouverte aux connaissances du candidat sur l’Espagne ‘contemporaine’. Ainsi, certaines copies limitaient leur commentaire à lister des événements peu significatifs. Nous avons constaté l’oubli de l’essence même de la question car, si la plupart des candidats nommaient des événements pertinents, ils manquaient de justification. Les examinateurs s’attendaient à trouver des événements autres que celui déjà présent dans le texte et surtout à ce que le choix soit justifié par la suite, répondant ainsi à la deuxième partie de la question : ‘dans quelle mesure’. Mines Ponts LV1 / 2011 La deuxième question est une question ouverte qui propose un thème de réflexion que le candidat doit développer de façon cohérente en s’appuyant sur une argumentation personnelle avec un souci constant de clarté. Parmi les critères retenus pour la correction figurent l’ouverture d’esprit, la culture, la qualité et la précision de la langue en plus de la cohérence des idées. Les meilleures copies sont celles qui savent allier une réflexion personnelle originale et intelligente avec une expression élégante et authentique. MP, PC, PSI/ CCP commentaire/ 2011 La question permet de juger d’une part, de l'ouverture d'esprit des étudiants et de leurs connaissances des problèmes de société actuels, d'autre part, de leur capacité à exprimer leurs idées personnelles de façon structurée et dans une langue cible correcte. Le sujet proposé a été porteur, favorisant de ce fait une meilleure réflexion que précédemment. Il y a donc eu davantage de bons devoirs. La question posée a été comprise et un grand nombre de candidats s’est acquitté de l’exercice correctement. Les meilleures copies ont offert une authentique réflexion, bien structurée, étayée d’exemples pertinents dans une langue sans faute, ou quasiment. Cependant, certains candidats se sont contentés de « gloser » fort maladroitement l’article proposé pour le résumé, s’abstenant de toute réflexion personnelle. D’autres, partisans du moindre effort, sont restés en surface s’en tenant à des lieux communs ; parfois peu convaincantes étaient les idées développées et inefficaces les exemples choisis pour étayer le raisonnement ; il y a eu ceux qui, peut-être faute de temps, se sont limités à réfléchir sur la première partie de la question, passant sous silence le volet « citoyen » ou encore ceux qui ont proposé un préambule trop étoffé et n’ont pu ensuite offrir qu’un corps du travail squelettique. Les copies pour lesquelles on déplore une réflexion superficielle, étriquée, jusqu’à indigente, ont été fort rares. Quant aux maladresses dans la formulation, elles s’expliquaient souvent par une langue fragile ne permettant pas d’expliquer efficacement sa pensée. Dans les copies les plus faibles, les fautes ont été nombreuses. Sur le plan lexical essentiellement des gallicismes et barbarismes (« abrutizante », « disparece », « favoriza », « el debero », « encerclados », « las aventajas »). Les fautes grammaticales ont offert une plus grande variété, comme la confusion « ser » / « estar» (« estar el culto », « está un mundo ») l’oubli du pluriel, l’omission de la diphtongue (comme « se pensa, pode, negan »). L’emploi du subjonctif est encore mal maîtrisé (avec « para que », « querer que », employés avec l’indicatif), la formation des temps imparfaitement connue (« veramos », « disminuó » en sont des exemples), « por » et « para » sont parfois confondus, « nadie » est souvent suivi de « no », on lit « desde mucho tiempo », « haber » et « tener » sont encore confondus, « tan » et « tanto » semblent interchangeables (« tan facilidad »).Insistons sur le fait que ces problèmes ne concernent qu’une minorité de candidats et que nous avons trouvé un certain nombre de copies excellentes, tant sur le fond que la forme et d’autres de bon niveau avec une maîtrise de la langue et de ses nuances incontestable. De nombreux candidats ont tenu compte, semble-t-il, des conseils prodigués au fil des années et ont élaboré un travail organisé et pertinent dans une langue précise et de qualité et ont su étayer leur réflexion d’exemples puisés dans leurs lectures et choisis avec soin. Conclusion : L’épreuve de Langue Vivante Obligatoire aux Concours est difficile et complexe et ne peut en aucun cas être perçue comme une simple formalité. Il convient de s’y préparer avec soin et d’y mettre le sérieux qui s’impose. Des manuels bien conçus, clairs et comportant l’essentiel des connaissances requises, existent sur le marché. Précis grammaticaux et lexicaux, dictionnaires bilingues, et également des livrets de civilisation bilingues. De plus, il est nécessaire de se tenir au courant de l’actualité des pays hispanophones, de lire la presse espagnole ou/et hispano-américaine, assez régulièrement, en réfléchissant aux divers problèmes soulevés. |
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