Résumé Les travaux de recherche sur le réseau social de l’entrepreneur ne cessent de croitre. Cependant les connaissances produites sur les dynamiques de construction de ce réseau restent limitées.








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La dynamique de construction de réseau dans un projet entrepreneurial innovant : Les apports de la théorie de la traduction


Wadid LAMINE

Enseignant-chercheur, Groupe ESC Troyes

wadid.lamine@get-mail.fr


Hela CHEBBI

Enseignant-chercheur, EDC Paris

hela.chebbi@edcparis.edu

Alain FAYOLLE

Professeur et directeur du centre de recherche en Entrepreneuriat,

EM Lyon Business School

fayolle@em-lyon.com



Résumé 
Les travaux de recherche sur le réseau social de l’entrepreneur ne cessent de croitre. Cependant les connaissances produites sur les dynamiques de construction de ce réseau restent limitées. Peu de travaux de recherche apportent une base empirique sur l’évolution du réseau de l’entrepreneur en fonction du temps. Ce constat est encore plus marqué pour tous ceux qui s’intéressent à l’étude de la phase ante création du processus entrepreneurial innovant. En prenant comme fondement théorique la conception de la création de la valeur nouvelle de Bruyat et Julien (2001), les auteurs ont suivi pendant deux ans la formation progressive du réseau d’un porteur de projet de création d’entreprise innovante.

La contribution majeure de ce travail réside dans l’emploi de la théorie de l’acteur réseau (Akrich, Callon et Latour, 1988, 2006) pour étudier cette dynamique de construction du réseau dans une situation de création d’entreprise innovante.
Mots clés : Processus entrepreneurial, Spécificités de la phase de survie-développement, Traduction, Réseaux, Innovation.

La dynamique de construction de réseau dans un projet entrepreneurial innovant : Les apports de la théorie de la traduction
Introduction

Sans nier le rôle et l’importance des grandes entreprises, l’impact de la création d’entreprise innovante sur l’économie (Acs & Audretsch, 2003 ; Baumol, 2006) a convaincu les pays de la nécessité d’orienter leurs politiques d’innovation et de soutien aux entreprises technologiques vers ce type d’organisation (Mustar & Larédo, 2002). En France, cela s’est traduit notamment par la mise en place d’incubateurs publics qui jouent un rôle clé dans l’accompagnement des projets de création d’entreprise innovante (Chabaud & Gonard, 2008). La réussite, survie dans un premier temps, puis développement des projets et des jeunes entreprises innovantes est un enjeu essentiel. Il dépend, certes, des structures et des mesures d’accompagnement, mais cet enjeu relève aussi de la manière dont l’acteur (le porteur de projet) interagit avec son environnement, en particulier pour exploiter les ressources des réseaux sociaux qui s’y trouvent (Fayolle, 2007). Bien que l’on parle systématiquement de mondialisation et de marché économique global, y compris pour ce type d’entreprise, les innovations et les connaissances sont souvent produites localement par des réseaux d’acteurs établis sur un territoire  (Heraud & Levy, 2005). Les créations d’entreprises innovantes, en France comme ailleurs, s’appuient donc sur au moins deux types de capital : social et humain (Akrich, Callon & Latour 1988 ; Bernasconi et al. 2006 ; Wright et al. 2007). En dépit du fait que de nombreux travaux ont cherché à mieux situer le rôle et l’importance des réseaux sociaux dans le champ de la création d’entreprise (Hoang & Antoncic, 2003; Witt, 2004 ; Hite, 2005 ; Messeghem & Sammut, 2007 ; Jack, 2010), nous pensons que les connaissances disponibles sont encore insuffisantes pour éclairer toute la complexité du phénomène (Gartner, 1985 ; Bruyat, 1993 ; Bruyat & Julien, 2001). En particulier, peu de recherches visent à prendre en compte les spécificités des projets de création d’entreprise innovante ou à s’inscrire dans une perspective dynamique pour mieux comprendre le processus de construction / mobilisation des réseaux (Jack, 2010).

Le travail que nous présentons ici a pour objectif de combler, partiellement, ces deux lacunes. Afin d’atteindre cet objectif, nous proposons d’utiliser la théorie de l’acteur-réseau (Akrich, Callon et Latour, 1988, 2006) pour prendre en compte les spécificités principales des projets de création d’entreprise innovante. Dans ce cadre, nous considérons qu’elle permet de restituer, d’une manière satisfaisante, la dynamique de construction / mobilisation de réseaux, au service des projets. Nous étudions, en conséquence, la survie et le développement initial des projets de création d’entreprise innovante, en considérant qu’ils sont liés à la manière dont les porteurs de projet parviennent à construire les réseaux et les alliances qui leur sont nécessaires. Cette conception nous conduit à adopter la définition de Bruyat (1993), qui considère l’entrepreneuriat comme une dialogique individu – création de valeur nouvelle, dans une double dynamique de changement, pour l’individu et pour l’environnement concerné.

Dans la suite de cet article, nous présenterons l’importance du réseau social pendant la phase de survie-développement des projets de création d’entreprise innovante (section I). Puis, nous introduirons la théorie de l’acteur-réseau en précisant son application au processus de création d’entreprise innovante (section II). Dans une troisième et dernière section, nous exposerons notre étude empirique, la méthodologie suivie et les résultats obtenus. Cette étude a porté sur un cas de création d’entreprise innovante incubée dans un incubateur public Rhône-Alpin. Nous terminerons cet article par une partie, discussion et conclusion, qui revient sur les apports de la recherche, ses limites et les voies nouvelles qu’elle suggère.


  1. L’importance du réseau dans la phase de survie-développement des projets de création d’entreprise innovante


La survie et le développement des jeunes organisations sont des thèmes qui renvoient vers une littérature abondante et riche sur la réussite, le succès, l’échec et enfin la croissance1 (Chrisman et al. 1998; Delmar & Shane, 2002 ;  Lasch et al. 2005 ; Gelderen et al. 2006 ; Moreau, 2008). Les travaux disponibles montrent que la réussite des projets de création d’entreprise innovante peut être reliée à des facteurs individuels (Boutiller & Uzunidis, 1999), organisationnels (Newbert, 2005) ou encore environnementaux (Tornikoski & Newbert, 2007). Mais cette approche de la réussite par des facteurs indépendants est de plus en plus contestée tant elle présente des limitations importantes (Aldrich, 2000 ; Schoonhoven & Romanelli, 2001 ; Moreau, 2008). Aussi lui préférera-t-on une perspective beaucoup plus interactionniste mettant en scène un porteur de projet actif dans un environnement donné (Jack & Anderson, 2002 ; Sarason et al. 2006). Les théories du capital social (Burt, 1992 ; Lin et al. 1981, Granovetter, 1973), des conventions (Boltanski & Thévenot, 1987) et de la structuration (Giddens, 1984) appliquées au champ de la création d’entreprise adoptent généralement, plus ou moins, cette perspective. Un bon exemple est donné par l’étude de Jack et Anderson (2002) où les deux auteurs mobilisent les travaux de Giddens (1984) pour montrer que le processus de reconnaissance et d’exploitation d’opportunité est conditionné, avant tout, par la relation dialectique qui lie l’entrepreneur à la structure sociale.
L’étude de réseau social de l’entrepreneur permet d’enrichir nos connaissances sur le phénomène entrepreneurial en mettant en avant le rôle de l’action collective dans la création de la valeur nouvelle (Bruyat & Julien 2001) et la mobilisation des ressources nécessaires (Hite, 2005). Ainsi, par l'intermédiaire des entités qui le compose, le réseau de l’entrepreneur contribue à l'identification, à l'évaluation et à l'accès à des opportunités d'affaires (Nicolaou & Birley, 2003; Schutjens & Stam, 2003). Le réseau, et notamment les contacts familiaux et les amis, influencent également par leurs conseils, la décision du passage à l'acte entrepreneurial ou non (Cooper, 2002). Il expose le couple individu-projet de création d’entreprise à des nouvelles idées, à des nouvelles visions du monde, où il lui offre un cadre de références à la fois protecteur et propice à la survie et au développement de la nouvelle entreprise (Davidson & Honing, 2003).
Le réseau social de l’entrepreneur contribue également significativement au processus de stimulation et de développement de l'apprentissage entrepreneurial et technologique. En effet, l'interaction entre l'entrepreneur et les différents membres de son réseau permet d'échanger les connaissances et les compétences et ainsi de faire émerger de nouvelles capacités entrepreneuriales, (Davidson & Honing, 2003).

Cependant, ces approches interactionnistes, utilisées pour tout type de projet, et qui sans doute, rendent davantage compte de la complexité des processus de création d’entreprises en général, peuvent souffrir d’une inadaptation relative aux spécificités de la création d’entreprises innovantes. Bruyat (1993) et Shane (2003), entre autres, considèrent que les spécificités principales des processus de création d’entreprises innovantes sont : l’incertitude, l’asymétrie d’information, le manque de légitimité et la nominalité requise indispensable pour la continuité de l’activité entrepreneuriale.


    1. L’incertitude

Selon Knight (1921), l’incertitude correspond à un futur dont la distribution des états est non seulement inconnue, mais impossible à connaître. Elle est toujours (plus ou moins) présente au cours d’un processus de création d’entreprise, car elle est associée à l’innovation, au changement et à la création. Lors de la mise au point de son projet, l’entrepreneur naissant doit faire face à deux types de facteurs d’incertitude : ceux associés à l’environnement et ceux liés au couple individu-projet lui-même. Ce sont ces derniers qui nous intéressent particulièrement, car les premiers, malgré leur importance, demeurent d’ordre général et non spécifiques au projet. En effet, un projet innovant, en raison de sa nature et de ses caractéristiques, supporte nécessairement une part d’incertitude non réductible, difficilement évaluable par les partenaires potentiels de l’entrepreneur. Le premier facteur, lié au projet, concerne la valeur qu’accorderont les partenaires au produit ou service. Certains projets n’expriment leur valeur que lorsque le produit ou le service est véritablement mis en marché (Shane & Stuart, 2002). Le second facteur d’incertitude est technique liée à la fabrication du produit ou du prototype. Ce type d’incertitude concerne la recherche – développement, la mise au point et l’industrialisation (Low & Srivatsan, 1994). Lorsque le projet est innovant et complexe, cette incertitude est omniprésente. Le projet peut alors achopper sur ce qui paraissait un point de détail (Bruyat, 1993).

    1. L’asymétrie d’information

Pendant la phase ante création du processus, le créateur d’entreprise s’efforce d’acquérir les ressources nécessaires au développement de son projet afin d’assurer la continuité de ses activités (Shane, 2003). Il doit communiquer et transformer des informations et des situations vécues (Fayolle, 2007) afin d’intéresser des parties prenantes qui détiennent les ressources indispensables à la survie de son projet. Cependant, il existe très souvent des décalages de représentation et de perception entre l’entrepreneur et ses parties prenantes (Barry, 1994 ; Gompers, 1995). Ces décalages sont dûs au caractère idiosyncratique de l’information et des croyances qui, dans certaines circonstances, sont nécessaires à l’existence du profit entrepreneurial. Selon Shane (2000), des acteurs qui ne partagent pas la même perception de la situation avec l’entrepreneur, vont soit sous évaluer l’opportunité détectée ou créée par lui, soit ne pas la percevoir tout simplement. Par ailleurs, certains chercheurs en entrepreneuriat ont mis l’accent sur le rôle des liens sociaux dans la résolution des problèmes engendrés par l’asymétrie d’information (Shane & Cable, 2002). En se basant sur le concept d’encastrement  de Granovetter (1973), Shane et Cable (2002) pensent que les obligations sociales entre des acteurs connectés et le transfert de l'information par des relations sociales, influencent la décision d’apporter ou non des ressources pour assurer la survie de la nouvelle organisation.


    1. Le manque de légitimité

Le manque de crédibilité de la future entreprise est une difficulté souvent soulignée par les entrepreneurs et les chercheurs. La confiance (Low & Srivatsan, 1994) et la légitimité (Tornikoski & Newbert, 2007; Messeghem & Sammut, 2007) sont au cœur des relations qui lient l’entrepreneur aux autres acteurs qui considèrent la nouvelle entreprise le plus souvent comme un client peu important et à risque (d’impayé). Le rôle de l’entrepreneur est dans ces conditions de communiquer sur son projet, de négocier avec les partenaires indispensables, de les convaincre que quelque chose n’existe pas, existe ou va exister, pour les faire adhérer au projet. La personnalité et les capacités dynamiques du créateur (Zahra et al. 2006), porte-parole de son projet et de son équipe, constituent des facteurs essentiels dans cette quête de légitimité et d’établissement d’un pacte de confiance.

    1. La nominalité requise

Nous avons vu précédemment que dans un contexte d’incertitude irréductible, il est quasiment impossible de prévoir les réalisations futures, qui sont par définition imprévisibles (Saravathy, 2001). Cependant, la création d’une entreprise innovante, sa survie et son développement dépendent très souvent de la capacité de l’entrepreneur et de son équipe à atteindre des performances minimales sur un certain nombre de fonctions ou d’opérations et à développer rapidement un ou plusieurs avantages concurrentiels (Eisenhardt & Schoonhoven, 1995 ; Hannan et al., 1996; Littunen, 2000).

Bruyat (1993), considère qu’un projet est à « nominalité requise » lorsque son lancement et sa réussite dépendent de ses performances minimales dans un ordre et dans des horizons de temps précis. Si chacune des opérations requises n’atteint pas, en un temps déterminé, un niveau de performance minimum, le lancement de l’entreprise sera irrémédiablement compromis. Ceci est dû à la perte de confiance, au désintéressement des partenaires indispensables et/ou surcoûts insupportables et des manques à gagner engendrés par l’allongement du processus de création.



  1. La théorie de la traduction et la création d’entreprise innovante


Ces quatre caractéristiques montrent que dans un contexte de création d’entreprise innovante, le porteur de projet se trouve dans une situation entrepreneuriale (Fayolle, 2007) complexe et problématique. Afin de rendre compte d’une description différente et plus complète du processus entrepreneurial, la théorie de l’acteur réseau (Akrich, Callon & Latour, 2006) peut s’avérer intéressante. Elle semble être une alternative intéressante parce qu'elle met à disposition un mode de réflexion qui permet de réaliser une description plus complète d'une situation entrepreneuriale complexe (Korsgaard, 2010) et changeante. Dans la mesure où le chercheur, qui étudie les évolutions du projet de création, traduit le processus entrepreneurial en une trajectoire narrative, en étudiant en profondeur un ensemble de documents, de récits, de discours et des artefacts techniques, tout en mettant l'accent sur les mouvements d'associations-dissociations des acteurs (humains et non humains).

Ainsi, la théorie de l’acteur réseau nous permet de rompre avec le monde dualiste où l'objet et le sujet sont déconnectés en situant le processus entrepreneurial dans le monde vécu et dans l'expérience, ce qui va donner du sens à la trajectoire entrepreneuriale et à son devenir (Steyaert, 2007). D'où la proximité et la cohérence avec la conception contingente et systémique de l'entrepreneuriat que nous avons adoptée dans ce travail, qui place le couple individu (sujet) - projet (objet) au cœur d'un système dynamique et ouvert sur son environnement.
La théorie de la traduction, appelée aussi théorie de l’acteur réseau (Actor Network Theory : ANT) a été développée dans le cadre des recherches portant sur les processus d’innovation et s’ancre dans une approche sociotechnique des organisations. Les fondateurs de ce courant, Akrich, Callon et Latour (1988, 2006) ont montré que le succès des innovations dépend de la réussite d’une association inédite entre des acteurs multiples et différents. De cette association, de la mobilisation et de la coopération de tous les acteurs va émerger un réseau sociotechnique et une dynamique de production qui ont pour corollaires l’efficience du processus et sa réussite.

Afin d’atteindre un stade de construction d’un réseau « irréversiblisé », ces chercheurs ont défini une démarche, inspirée de l’ethnométhodologie de Garfinkel (1967), qui prend appui sur une séquence d’étapes appelée chaîne de la traduction. Traduire, c'est « exprimer dans son propre langage ce que les autres disent et veulent, c'est s'ériger en porte parole» (Callon, 1986 : 204). Mais traduire c’est aussi, négocier, effectuer une série de déplacements de tous genres et ce à chaque séquence du processus, qui peut être défini en quatre grandes étapes :
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