Programme et résumés des communications








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O-21 EST-CE QUE L’INTRODUCTION DE NOUVELLES MODALITÉS DE TRAITEMENT EST ASSOCIÉ À UN MEILLEUR PROFIL D’ACTIVITÉ PHYSIQUE POUR LES ENFANTS DIABÉTIQUES DE TYPE 1? 

Isabelle Michaud, Mélanie Henderson, Laurent Legault et Marie-Eve Mathieu, Département de kinésiologie, Université de Montréal; Centre de recherche du CHU Sainte-Justine; Hôpital de Montréal pour enfants

Le traitement du diabète de type 1 (DT1) a récemment évolué avec l’utilisation de la pompe à insuline. Chez les enfants, le dispositif est de plus en plus prescrit, mais son impact sur les habitudes d’activité physique (AP) est peu connu. Jusqu’à maintenant, seulement une étude norvégienne a investigué le lien entre l’AP et le mode de traitement, et elle a révélé que l’utilisation de la pompe à insuline comparée aux injections multiples d’insuline n’est pas liée au niveau d’AP des patients.

Le but de l’étude est de dévoiler le profil d’AP complet, incluant les barrières à la pratique d’AP, des enfants canadiens ayant le DT1 selon le mode d’administration d’insuline.

L’étude a été effectuée à la Clinique du Diabète du CHU Sainte-Justine, Montréal, Canada. Un questionnaire auto-administré a été complété sous supervision par 188 patients DT1 de 6 à 17 ans suivant un traitement avec injections d’insuline (40%) ou avec pompe à insuline (60%). La durée moyenne du diabète était de 5,3  3,6 ans. Il y a 75% des patients avec injections qui rapportaient avoir des hypoglycémies pendant l’AP comparativement à 87% des patients sous pompe (p=0,068). Toutefois, le risque d’hypoglycémie pendant l’AP était perçu comme une barrière à la pratique d’AP pour 33% des répondants utilisant les injections contre 21% des répondants utilisant la pompe (p=0,089). Chez les enfants de moins de 12 ans, 61% de ceux qui utilisaient les injections ont rapporté faire 60 minutes d’AP moyenne à élevée au moins 4 jours par semaine, alors que la proportion était de 40% pour ceux qui utilisaient la pompe (p=0.263). Chez les enfants de 12 à 17 ans, 11% de ceux qui n’utilisaient pas la pompe et 19% de ceux qui l’utilisaient ont fait en moyenne 60 minutes d’AP d’intensité moyenne à élevée par jour (p=0.342).
Même si les patients de cette étude qui utilisaient la pompe ont rapporté plus d’expériences d’hypoglycémie pendant leur pratique d’AP, ils tendaient à souligner moins de barrières à la pratique d’AP dues aux hypoglycémies. Tout comme pour les jeunes patients norvégiens, un profil d’AP similaire aux patients utilisant les injections est trouvé pour les patients utilisant la pompe.


O-22 EFFET DU PRÉCONDITIONNEMENT ISCHÉMIQUE INDUIT PAR UN BRASSARD SUR LES CINÉTIQUES DE CONSOMATION D’OXYGÈNE CHEZ DES SPORTIFS AMATEURS

François Lalonde1,2, Maxime Caru1, Chantale Daigle1, Philippe Gimenez1, Jonathan Tremblay1 et Daniel Curnier1,2,3.

1Département de kinésiologie, Université de Montréal, Montréal, Canada

2Centre de Recherche du Centre Hostpitalier de l’université de Montréal, Montréal, Canada

3Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, Montréal, Canada
Contexte : Le préconditionnement ischémique à distance (PCDI) est une méthode qui alterne quelques cycles d’ischémie/reperfusion à l’aide d’un brassard sur un muscle squelettique. Certaines études ont récemment démontré que le PCDI pouvait améliorer les performances sportives via les valeurs suivantes : le VO2max, la puissance maximale ainsi l’amélioration performance sur des distances chronométrées. Objectif : Comprendre les mécanismes physiologiques en analysant les effets du PCDI sur les différentes phases des cinétiques de consommation d’oxygène. Méthodes : 18 sportifs amateurs en bonne santé ont été recrutés pour le projet comprenant trois visites au laboratoire de physiologie. La première visite servait à passer un test de VO2 max (breath-by-breath, Ultima CardiO2 et ECG, Medgraphics Cardiorespiratory Diagnostics) sur ergo cycle (Corival, LODE B.V. Medical Technology) servant à établir le seuil ventilatoire (SV), la pression nécessaire pour le PCID et pour être subdivisé en sous-groupe selon leur VO2max (critères du Cooper Institute of Health for Aerobics Research). La deuxième et troisième servent à établir les cinétiques de consommation d’oxygène des participants à différentes intensités (75 % et 115% du seuil ventilatoire à 90 RPM pendant huit minutes). Entre les deux efforts, il y a une période de repos passif de 20 minutes. Une semaine sépare les deux visites en laboratoires afin d’éviter les effets de la seconde phase de protection du précondionnement et pour permettre aux sujets de récupérer. Ce qui différencie les deux visites est l’intervention PCDI (4 cycles de 5 minutes d’ischémie pour 5 minutes de reperfusion à l’aide d’un brassard insufflé à 50mmHg de plus que la pression artérielle systolique) ou placebo (4 cycles de 5 minutes d’ischémie pour 5 minutes de reperfusion à l’aide d’un brassard insufflé à 10mmHg) avant l’effort qui ont été attribué aléatoirement. La modélisation mono-exponentielle des cinétiques est utilisée pour l’effort à 75% du SV : VO2 (t) = y0 + A1 × (1 - EXP - (t – TD) / τ1) et la bi- exponentielle pour l’effort à 115 % du SV: VO2 (t) = y0 + A1 × (1 - EXP - (t - TD1) / τ1) + A2 × (1 - EXP - (t – TD2) / τ2). L’utilisation de ces modélisations a permis d’obtenir l’amplitude, le délai et le tau qui serviront à l’analyse statistique via un test t apparier. Résultats : Malgré une tendance à l’amélioration pour l’intervention PCDI aucun résultat significatif n’a été enregistré dans le groupe avec un VO2 max inférieur (N=8). Toutefois, dans le groupe ayant un VO2max élevé (N=10), nous observons une amélioration du RIPC à un effort effectuer à 115% du SV sur les variables Tau (PCID 28.65 ± 6.47 vs PLACEBO 33.64 ± 6.98; p=  0.0276) et Délai (PCDI 11.58 ± 7.71 vs PLACEBO 6.94 ± 4.42; p= 0.05). Conclusion : En concordance avec d’autres études, le PCDI offre un avantage chez les athlètes de haut niveau lors d’un effort intense de type aérobie. Plus d’études sont nécessaires afin de trouver quel type de sport pourrait bénéficier de cette intervention.

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