Le Manuel Version 4
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Résumé des sessions par téléphone 1. De Barbara à Paulette Barbara (7 minutes 35 secondes) : Soulagement d'un souvenir d'un traumatisme (projetée sur un pare-brise), un mal de tête et l'insomnie. Del (9 minutes 56 secondes) : Il monte sur un toit avec un téléphone portable et surmonte la grave phobie des hauteurs dont il souffre depuis toujours. Cette phobie disparaît au point qu'il ira plus tard faire du parachutisme. Des douleurs dans le cou et les articulations diminuent aussi. Mike (3 minutes 28 secondes) : Il détient plusieurs diplômes en psychologie, et est renversé par ce processus. Il surmonte rapidement une peine d'amour (la rupture de sa relation avec son amie de coeur) ...mais il n'arrive pas à le croire. Ingrid (9 minutes 23 secondes) : Depuis de nombreuses années, elle souffre presque constamment d'un côlon irritable, de maux de tête, de "yeux brûlants" et de constipation. Tous ces symptômes sont soulagés, et vers la fin de la session, elle nous fait bien rire en parlant de son problème de constipation. Paulette (4 minutes 40 secondes) : Une peur de voyager en avion disparaît. Après l'EFT, elle fait deux voyages en avion sans ressentir la moindre intensité. 2. De Buz à Bruce Buz (9 minutes 10 secondes) : Buz était dans un état très grave de stress post traumatique. Un peu plus tard, il nous parle de ses souvenirs de guerre les plus traumatisants comme s'il parlait de faire ses courses. Donna (1 minute 35 secondes) : Elle utilise l'EFT pour améliorer sa vue. Kieve (9 minutes 45 secondes) : Ecoutez bien cet entretien. Kieve a appris les techniques exactement comme vous le faites, et s'en est servi avec plus de 150 personnes, obtenant des résultats étonnants. Il nous parle de personnes qu'il a aidées qui souffraient de phobies, SPM, migraines, douleur à la hanche, douleur causée par un cor au pied et autres problèmes. Maîtrisez ces techniques et vous pourrez faire de même. Cathy (7 minutes 23 secondes) : Cette femme souffrait de douleur dorsale tous les jours depuis un accident d'automobile 24 ans plus tôt. Elle avait essayé toutes les méthodes possibles pour se soulager...sans grand succès. Elle nous dit comment la douleur a été réduite après avoir tapoté avec l'EFT. Elle voit aussi réduire son anxiété quotidienne et son insomnie . Bruce (11 minutes 22 secondes) : Il a la sclérose en plaques depuis 7 ans et sent la force revenir dans ses jambes. Il est en fauteuil roulant, mais arrive à se lever pendant la session. Il sent de nouveau ses mains et ses pieds et voit diminuer sa douleur dorsale et ses troubles de sommeil . 3. De Geri à Bonnie Geri (10 minutes 15 secondes) : Cette psychothérapeute a une peur des dentistes. Elle se rend compte qu'elle a de nombreuses peurs. Cette session nous aide à comprendre que nos peurs et autres émotions négatives contiennent parfois plusieurs aspects. Shad (4 minutes 43 secondes) : L'EFT lui permet de bien gérer son stress et son anxiété de tous les jours. Il se sert aussi de la technique pour améliorer sa moyenne au golf de plus de dix coups. Margie (3 minutes 50 secondes) : En quelques minutes, elle réduit à zéro son besoin de chocolat. Elle affirme qu'il n'a même plus de saveur. Mary (12 minutes 16 secondes) : Elle surmonte ce qu'elle appelle une peur mondiale et planétaire et réduit des douleurs dans ses genoux et son dos. JoAnn (4 minutes 11 secondes) : Elimine un malaise dans la gorge et des symptômes d'allergie. Bonnie (8 minutes 30 secondes) : Des malaises émotionnels l'empêchent d'avaler sa nourriture normalement. En une seule session, elle surmonte des émotions non identifiables et avale sa nourriture sans problème. 4. De Steve à Doris Steve (13 minutes) : Cette personne qui souffre d'une maladie peu connue (anémie hémolytique) obtient un soulagement important de fatigue, yeux lourds ou démangeants, douleur dorsale (et spasmes musculaires), et de nombreux autres symptômes. Il élimine également un problème de colère et les cauchemars qui en résultaient. Rachel (3 minutes 53 secondes) : Elle neutralise une grave émotion reliée au souvenir d'une tentative de meurtre commise envers elle par son ami et surmonte en même temps un problème de respiration. Geoff (11 minutes 50 secondes) : Il a consulté cinq psychiatres mais sa dépression n'a jamais été soulagée. Après deux courtes sessions EFT, cette dépression diminue. Karen (6 minues 17 secondes) : Elle souffre de fatigue causée par son insomnie, et ne se sent jamais reposée. Elle se sent soulagée après une seule session avec EFT. Mike (7 minutes 50 secondes) : Il a une grande peur de parler en public et voit cette peur diminuer dramatiquement. Il raconte qu'il a pu faire une présentation impeccable après avoir utilisé l'EFT. Doris (1 minute 44 secondes) : Une patiente de cancer, elle nous raconte le soulagement émotionnel que lui a apporté l'EFT et le décrit ainsi : "C'est comme si j'avais un nouveau corps." 5. Bonnie Bonnie (35 minutes 9 secondes) : Elle utilise l'EFT avec persistence et améliore énormément son image de soi. On avait abusé de Bonnie lorsqu'elle était enfant et elle était en thérapie depuis 28 ans, ce qui lui avait coûté au-delà de 50,000 $. Elle fait des progrès sans pareil pour d'innombrables souvenirs traumatiques, des maux de tête, la honte de son corps, des sentiments d'incompétence, se ronger les ongles, une phobie, de l'anxiété, l'insomnie et la dépression. 6. De Jim à Dorothy Jim (2 minutes 40 secondes) : En cinq minutes, il voit disparaître sa claustrophobie s'il entre dans un placard sombre. Patricia (5 minutes 11 secondes) : Cette victime de viol passe d'un 10 à un zéro pour deux aspects différents entourant cette expérience traumatisante. Juanita (1 minute 57 secondes) : Son anxiété constante est soulagée en quelques minutes. Susan (2 minutes 12 secondes) : Susan se fait mal au dos en jouant au golf et sa douleur disparaît en moins d'une minute. Geri Nicholas (9 minutes 28 secondes) : C'est notre deuxième entretien avec cette psychothérapeute. Cette fois elle nous explique comment elle utilise l'EFT, pour elle et pour les autres. Dorothy Tyo (12 minutes 1 seconde) : Pour terminer, une interview fascinante avec une psychothérapeute qui a appris l'EFT comme vous le faites maintenant, et s'en est servi pour aider des gens qui avaient des problèmes variés, par exemple des douleurs physiques, la peur de parler en public, la peur des araignées, la cigarette, le hoquet, etc. EFT - Deuxième partie Remarque : Nous supposons que vous avez déjà étudié la première partie de ce manuel et que vous avez utilisé l'EFT pour votre épanouissement personnel. Vous trouverez sur les pages qui suivent la section sur l'EFT avancé. Vous approfondirez ce qui est enseigné dans la première partie et augmenterez votre compétence à utiliser cette technique unique. Dans cette section, vous allez : ● explorer les obstacles qui diminuent parfois les effets de l'EFT et apprendre ce qu'il faut faire; ● diviser la recette de base et apprendre des raccourcis pour obtenir des résultats plus rapidement; et, ● vous plonger dans l'art de l'EFT en observant d'innombrables démonstrations sur vidéo, pour toute une gamme de problèmes. Ce que vous apprendrez dans la section avancée vous sera très utile, et c'est tout aussi fascinant que ce que vous avez appris jusqu'à maintenant. Mais avant d'aller plus loin, je veux m'assurer que vous vous rendez bien compte de l'importance de la première partie, à savoir...la recette de base est un outil d'une puissance extraordinaire même sans les options avancées ...et... ...si vous persistez et utilisez la recette de base tout en étant "centré" sur votre problème il est probable que le problème disparaîtra. Même si ces concepts avancés sont importants, la persistance avec la recette de base suffira souvent. Cette recette de base est un cadeau et est un résumé de nombreuses années d'expérience. Ne l'oubliez pas, même si vous augmentez votre savoir en étudiant ce qui suit. Obstacles à la perfection Aspects - Inversion psychologique - Problème de respiration claviculaire - Toxines Même pour les nouveau-venus, la recette de base promet un taux de réussite assez élevé, soit environ 80 % la plupart du temps, surtout si elle est utilisée pour des événements négatifs précis dans la vie de la personne. C'est un taux de réussite extraordinaire et trés peu de techniques conventionnelles peuvent faire la même promesse. Cependant, il est possible de réussir davantage si vous savez ce qu'il faut faire face aux obstacles à la perfection. Quatre grands obstacles peuvent réduire les effets de la recette de base, soit : 1. Les aspects. 2. L'inversion psychologique. 3. Un problème de respiration claviculaire.
Premier obstacle : les aspects Nous avons parlé des aspects dans la première partie de ce manuel, alors inutile de s'éterniser ici. J'en parle comme s'il s'agissait vraiment d'obstacles, mais ce n'est pas tout à fait juste. Ils ressemblent à des obstacles parce qu'ils semblent retarder le progrès. Chaque aspect est simplement une nouvelle partie du problème qui doit être abordée afin d'obtenir un soulagement complet. Pour ce faire, nous utilisons la recette de base, tout comme si c'était un autre problème (ce qui est un peu vrai). Sur les vidéos de la Deuxième partie, vous verrez ceci se produire maintes et maintes fois. Et si aucun des autres obstacles n'y est, c'est en persistant que vous arriverez à neutraliser tous les aspects. Deuxième obstacle : l'inversion psychologique Dans la première partie, je vous ai parlé de la préparation, ou autrement dit, l'inversion psychologique, un phénomène qui nous a été présenté d'abord par Dr. John Diamond et plus tard par Dr. Roger Callahan, qui a inventé cette expression. C'est une découverte fascinante qui mérite que l'on s'y attarde. Vous vous êtes déjà demandé : pourquoi... ...la performance des athlètes baisse tout à coup ? Ceci échappe à toute logique. Aucune raison physique ne peut expliquer que leur performance soit sous la normale. L'athlète est toujours aussi bien entraîné, avant, pendant et après cette baisse de performance. Mais tous les athlètes traversent de telles périodes plusieurs fois au cours de leur carrière. Pourquoi ? ...il est si difficile de surmonter les dépendances ? Après tout, la personne en manque veut bien se défaire de ses schémas destructeurs. Elle sait, et avouera souvent, qu'elle paie le gros prix pour cette dépendance : le prix de sa santé, de ses relations et même de sa vie. Et pourtant, elle continue. Pourquoi ? ...la dépression est si difficile à guérir ? C'est l'un des problèmes psychologiques les plus difficiles à régler. Une personne qui choisit les thérapies conventionnelles pour surmonter sa dépression prend un engagement financier important pendant au moins cinq ans. Et le progrès, si progrès il y a, se fait à petits pas. Pourquoi ? ...nous nous sabotons parfois ? Lorsque nous essayons, par exemple, de perdre du poids ou lire plus rapidement, nous nous organisons souvent pour "s'arrêter" et retomber dans nos "zones de confort", n'ayant fait que peu ou pas de progrès. Pourquoi ? ...la guérison tarde parfois à venir ? Je parle du rhume qui s'éternise, l'entorse ou l'os cassé qui ne guérit pas, le mal de tête ou la douleur qui persistent et persistent. Parfois, les choses ne guérissent pas normalement. Pourquoi ? La raison est dans le système énergéti-que corporel. C'est la véritable cause de ce que nous appellons l'auto-sabotage. C'est la raison pour laquelle nous semblons parfois être notre pire ennemi et n'arrivons pas à atteindre ces "nouveaux niveaux" auxquels nous aspirons. En plus de ces exemples, c'est aussi pourquoi les gens essaient souvent, mais en vain, de gagner davantage et n'atteignent jamais un grand nombre de leurs objectifs même s'ils savent qu'ils possèdent les compétences voulues. C'est aussi l'une des choses qui contribue aux blocages psychologiques (par exemple l'écrivain qui a un blanc) et aux difficultés d'apprentissage (la dyslexie, par exemple). Autrefois, avant cette découverte, on attribuait l'empêchement qu'avaient les gens de réussir dans les domaines qui leur tenaient à coeur, à des choses comme "le manque de volonté", le "manque de motivation", "la distraction" ou d'autres faiblesses de caractère. Mais c'est faux. Il y a une autre cause...et il est possible de la corriger. Cette cause est l'inversion psychologique (IP). C'est une découverte extrêmement importante et utile qui s'applique à plusieurs domaines. Elle est importante dans les domaines de la psychologie, de la médecine, des dépendances, de la perte de poids, et d'autres champs d'activités, par exemple la performance dans les sports et les affaires. Là où il y a inversion psychologique, il n'y aura que peu ou pas d'amélioration. Elle... empêche tout progrès. Qu'est-ce que l'inversion psychologi-que ? Tout le monde en fait l'expérience. Elle se produit lorsque la polarité du système énergétique corporel est inversée, et la personne n'en est habituellement pas consciente. C'est véritablement une polarité inversée dans votre système énergétique corporel, comme si vos "piles étaient placées à l'envers", tel que je l'explique dans la première partie de ce manuel. Il est intéressant de voir qu'elle adopte souvent la forme de ce que les psychologues appellent "des bénéfices ou pertes secondaires." Par exemple, la personne qui croit consciemment qu'elle veut perdre du poids aura souvent un "blocage' comme : "Si je perds du poids, je vais le reprendre, et je devrai dépenser une fortune pour me refaire une nouvelle garde-robe." Cette personne a une inversion psychologique envers la perte de poids. Comment l'IP a-t-elle été découverte ? Les origines de l'inversion psychologique se trouvent dans le domaine de la kinésiologie appliquée. L'un des outils les mieux connus de cette discipline est le testing musculaire. Le patient soulève et allonge l'un de ses bras et le médecin exerce une pression sur le bras pour mesurer la force/résistance du patient. Le médecin s'entretient alors avec le patient et appuie sur le bras allongé lorsque ce dernier dit des affirmations. S'il y a un désaccord au niveau du subconscient au sujet de l'affirmation, les muscles faiblissent et lorsque le médecin appuie sur le bras, il baisse facilement. S'il n'y a pas de désaccord, le bras ne baisse pas. Ceci permet au médecin de "parler" au corps et l'aider à trouver où se situent les problèmes. Dr. Roger Callahan a utilisé cet outil avec une femme qui voulait perdre du poids. Voici comment il l'explique dans son livre : "How Executives Overcome the Fear of Public Speaking and Other Phobias." "Aucun thérapeute ne peut dire qu'il n'a jamais rencontré un patient qui n'arrive pas à guérir, peu importe l'efficacité qu'a habituellement la thérapie ou les efforts que font le patient et le thérapeute. Cette résistance aux soins est frustrante pour les thérapeutes et éprouvante pour les patients. On nomme cette résistance : l'instinct de mort, le syndrome du perdant, comportement d'auto-destruction ou négativisme. On nomme ces patients troublés : patients récalcitrants, personnalités négatives, personnes auto-destructives - mais leur situation est toujours la même, ils résistent à toute forme d'aide - peu importe l'approche utilisée. Ils affirment vouloir guérir - mais ils ne réagissent pas aux soins. Un jour que je travaillais avec une femme qui affirmait vouloir être mince, j'ai retrouvé ce blocage négatif. Elle suivait des régimes amincissants depuis des années, sans succès. Et pourtant, même si elle n'arrivait pas à diminuer son appétit, elle insistait sur le fait qu'elle voulait perdre du poids. J'ai fait un test musculaire, lui demandant de s'imaginer mince, comme elle souhaitait le devenir. Le résultat m'a surpris. Quand elle a réussi à se visualiser mince, sans surcharge pondérale, ses muscles ont faibli. Nous étions tous deux étonnés. Et malgré ce résultat négatif, elle insistait qu'elle voulait vraiment perdre du poids. J'ai donc essayé une approche différente. Je lui ai demandé de s'imaginer avec 12 kilos en plus. Cette fois, ses muscles n'ont pas faibli. J'ai reformulé ma question, lui demandant de dire à voix haute : "Je veux perdre du poids." Le test a démontré que cette affirmation était fausse. Ensuite je lui ai fait dire à voix haute : "Je veux prendre du poids." Cette fois, ses muscles étaient forts. Il est clair qu'il y avait un désaccord entre ce qu'elle affirmait vouloir et ce que démontrait le test. Intrigué, j'ai refait le même test avec six autres clients qui suivaient des régimes depuis des mois et des années sans succès. Ils ont tous démontré le même schéma. Ce qu'ils affirmaient souhaiter était tout le contraire de ce que ce même test musculaire démontrait. Bien sûr, ce n'était pas la première fois que je confrontais de la résistance aux soins. Mais j'avais maintenant un outil qui me permettait d'identifier et peut-être même surmonter cette résistance. Je voulais que le nom que j'allais donner à cette affection la décrive en même temps. Je l'ai donc nommée Inversion psychologique. ...Ensuite, je me suis mis à faire ce même test avec tous mes clients en ce qui avait trait à leur problème le plus important (c'est-à-dire : "Je veux surmonter mes crises d'anxiété", "Je veux avoir une meilleure relation avec mon époux/ma femme/mon amant", "Je veux surmonter ma frigidité/impuissance/problème d'éjaculation précoce" ou "Je veux être un acteur/musicien/chanteur/compositeur réussi et/ou excellent." Chaque fois, je demandais aussi au client de formuler une affirmation contraire (par exemple, "Je ne veux pas surmonter mes crises d'anxiété", etc.). Et chaque fois, je faisais aussi un test musculaire. J'ai été renversé par les résultats de cette expérience. A mon grand chagrin, j'ai découvert que chez un grand nombre de mes clients, leurs muscles faiblissaient lorsqu'ils pensaient à guérir ou s'améliorer, et résistaient facilement s'ils pensaient à empirer. Pas étonnant que la psychothérapie soit si pénible..." |
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