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(les termes anglais sont entre parenthèses et en italiques) L’étymologie ne nous apprend pas grand’chose : « status »… Utilisées dans le passé pour la collecte des impôts par les états, les Stats prennent une importance majeure dans la recherche moderne. Ex : en 1987, la FDA donne le feu vert pour la mise sur le marché de l’AZT en un temps record de 21 mois de recherche clinique (au lieu des ~9 ans habituels) étant donné la situation dramatique des victimes du SIDA. L’AZT avait des effets secondaires mais la preuve statistique d’une réduction du nombre de morts justifiait son utilisation. On peut distinguer 2 sortes de Stats :
Un troisième type de Stats à la charnière entre S descriptives et inférentielles a trait aux notions de corrélation et prédiction (voir chapitre concerné). Dans toute démarche utilisant les Stats, il convient d’abord de poser une question « de recherche » (ex. AZT freine-t’elle la léthalité du SIDA ?), laquelle est différente de la question statistique où ce qui est traité, ce sont des données numériques. Les Stats font partie du plan (design) expérimental généré par la question de recherche. Ce plan fait en général intervenir 4 types de paramètres :
Après un test, on tire une conclusion statistique d’ordre quantitatif (ex. il y a 5% de chances que tel résultat soit dû au hasard). Il ne s’agit pas d’une estimation qualitative : on ne peut pas dire par ex. que les groupes A et B sont différents. Après exécution du plan expérimental, lequel comprend plusieurs tests (parfois un grand nombre), on peut espérer atteindre à une conclusion « de recherche » d’ordre qualitatif. Les Stats mentent-elles ? En dehors de la manipulation délibérée, la possibilité existe de faire des erreurs de « design », par ex en ne contrôlant pas certaines variables parasites ou en effectuant inconsciemment un échantillonnage non-aléatoire. D’autre part, la quasi-totalité des résultats publiés dans les journaux scientifiques sont des résultats « positifs » obtenus en général avec un seuil de significativité (significance) de 0,05. Cela signifie que si 20 équipes travaillent sur le même sujet de recherche, dont 19 ne trouvent pas de résultat positif, il existe 1/20 chances qu’un résultat « faux » soit publié… ! (ex des plannaires et des engrammes). Les erreurs d’échantillonnage sont les plus communes, particulièrement en rapport avec la taille. Une trop petite ou trop grande taille d’échantillon peut amener à des conclusions statistiques qui faussent la conclusion de recherche. |
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